L`ENFANT DE LA HAUTE MER

Transcription

L`ENFANT DE LA HAUTE MER
 Projet de création 2012/2013
L’ENFANT DE LA HAUTE MER
(titre provisoire)
Inspiré de la nouvelle de Jules Supervielle
Direction artistique : Aurélie MORIN
« Le temps ne passait pas sur la ville
flottante. L’enfant avait toujours douze
ans…»
Spectacle d’ombres et de figures tout
public à partir de 5 ans
Le Temple Faubourg du Temple 26340 Saillans - Tel/Fax : 04 75 21 23 13 /// e-mail : [email protected] – www.letheatredenuit.org /// N° Siret : 479 228 173 00023 – Code APE : 9001 Z – Licence : 2-1031254
« Avec son air naturel, le surnaturel nous entoure »
Jules Supervielle Le Temple Faubourg du Temple 26340 Saillans - Tel/Fax : 04 75 21 23 13 /// e-mail : [email protected] – www.letheatredenuit.org /// N° Siret : 479 228 173 00023 – Code APE : 9001 Z – Licence : 2-1031254
Sommaire
1. L’enfant de la haute mer_ création février 2013 ///
2. Processus de création _ ombres et composition théâtrale ///
3. Extraits_ L’enfant de la haute mer ///
4. Sur la mise en scène_ ombres et figures ///
5. Projet scénographique_ perspectives ///
6. Direction artistique_ Aurélie Morin ///
7. Le Théâtre de Nuit_ une équipe de création associée ///
8. Tarifs et logistique ///
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1. L’ENFANT DE LA HAUTE MER _ création février 2013
Le Théâtre de Nuit présente pour sa prochaine création un projet
inspiré de la nouvelle “L’enfant de la haute mer” de Jules
Supervielle.
La poésie de Jules Supervielle, par sa mise en scène du
quotidien, paraît se situer dans l'ordinaire. Cependant, dans son
exploration de l'irréel, sa poésie s'écarte de l'ordinaire «
habituel» : chez Supervielle, le monde quotidien est mis en scène
mais en même temps, à l'intérieur de ce monde, l'irréel est
apprivoisé et l'impossible peut surgir. L'imagination est ainsi unie
au monde quotidien ; le poète passe de l'ordinaire au fantastique
et à l'irréel pour de nouveau rejoindre l'ordinaire.
“L’enfant de la haute mer” est comme un long poème et dès la
première lecture, l’écriture m’a semblée familière. Cette rencontre
improbable avec un auteur marque pour la première fois le désir
de rapprocher le théâtre de nos ombres à un texte existant.
L’histoire et ce qui s’en dégage m’apparait d’emblée comme écrite
pour le théâtre d’ombres… Il me plaît d’imaginer que cette
nouvelle est peut être venue à nous pour être la source d’un
spectacle d’ombres !
Pourquoi ? Parce que le personnage principal, une enfant seule
prisonnière entre la vie et la mort, lance des appels depuis le
village flottant où elle se trouve.
En ce moment même, elle s’y trouve encore… la fonction
première du théâtre d’ombres est réactivée : relier le monde des
humains au monde des morts et des esprits errants...
L’enfant fut ainsi rappelée par son père, qui, dans le noir de la
nuit, pensa avec une force terrible à son enfant perdue.
///
Le théâtre d’ombres et de figures nous ouvre deux voies : celle de
donner un corps, une matière aux apparitions, aux rêves, aux
êtres imaginés et imaginaires, celle de libérer par le rituel les êtres
réels et ceux de l’autre monde.
La nouvelle nous dit que l’enfant ne peut ni vivre, ni mourir, ni
aimer, et ce pour l’éternité. Elle nous dit aussi que le père garde
en lui une tristesse infinie…
Le théâtre d’ombres pourrait-il se mettre au service de cette
enfant et de son père et ainsi donner une issue possible à cet
emprisonnement, leur rendre leur liberté ?
La poésie du spectacle naîtra du fait que nous dirons des choses
graves avec simplicité et transparence, sans même que le public
puisse l’identifier comme tel, c’est à dire, finalement, en le
trompant. Peut-être aura-t-il vu quelque chose de léger, de beau
et de coloré… Les lectures possibles du spectacle nous
conduisent ainsi à mettre en parallèle ce qui semble souvent ne
pas s’accorder : la solitude avec le beau, la mort avec la légèreté,
la tristesse avec la couleur…
Aurélie Morin
Étapes de création :
Hiver 2012 : écriture
Printemps / Été 2012 : recherches esthétiques ; construction
scénographie, objets.
Septembre / Octobre 2012 : construction des silhouettes et
installations d’ombres.
Novembre 2012 : lumières, recherches et répétitions plateau.
Janvier 2013 : répétitions.
Février 2013 : création.
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2. PROCESSUS DE CRÉATION_ ombres et composition théâtrale
« Comment s'était formée cette rue flottante ? Quels marins, avec
l'aide de quels architectes, l'avaient construite dans le haut
Atlantique à la surface de la mer, au-dessus d'un gouffre de six
mille mètres ? Cette longue rue aux maisons de briques rouges si
décolorées qu'elles prenaient une teinte gris-de-France, ces toits
d'ardoise, de tuile, ces humbles boutiques immuables ? Et ce
clocher très ajouré ? Et ceci qui ne contenait que de l'eau marine
et voulait sans doute être un jardin clos de murs, garni de tessons
de bouteilles, par-dessus lesquels sautait parfois un poisson ?
Comment cela tenait-il debout sans même être ballotté par les
vagues ? Et cette enfant de douze ans si seule qui passait en
sabots d'un pas sûr dans la rue liquide, comme si elle marchait
sur la terre ferme ? Comme se faisait-il... ? Nous dirons les
choses au fur et à mesure que nous les verrons et que nous
saurons. Et ce qui doit rester obscur le sera malgré nous. »
Jules Supervielle décrit le quotidien de cette enfant comme s’il
s’agissait bel et bien d’une réalité. La simplicité et la grandeur
poétique du texte redonnent toute leur force à l’imaginaire et la
sensibilité propres à l’Humain. Imaginaire qui parfois nous
échappe : L’enfant de la haute mer est bien là, au milieu de
l’océan, infiniment présente et infiniment absente à la fois.
Touchée par l’histoire de cette enfant, j’aimerais fabriquer un
théâtre pour ses ombres, mais je souhaiterais surtout lui suggérer
qu’elles se teintent de lumières et de couleurs, symboles d’une
liberté enfin possible…
Le travail des ombres a sa dramaturgie propre : une image en
deux ou trois dimensions, composée de formes et de matières
rythmées entraîne un flot de sensations et d’interprétations
possibles !
///
Cependant, la recherche dramaturgique sera d’autant plus précise
que la poésie visuelle sera inspirée par celle de l’extrait final du
texte :
« Marins qui rêvez en haute mer, les coudes appuyés sur la lisse,
craignez de penser longtemps dans le noir de la nuit à un visage
aimé. Vous risqueriez de donner naissance, dans des lieux
essentiellement désertiques, à un être doué de toute la sensibilité
humaine et qui ne peut pas vivre ni mourir, ni aimer, et souffre
pourtant comme s'il vivait, aimait et se trouvait toujours sur le
point de mourir, un être infiniment déshérité dans les solitudes
aquatiques, comme cette enfant de l'Océan, née un jour du
cerveau de Charles Liévens, de Steenvoorde, matelot de pont du
quatre-mâts "Le Hardi", qui avait perdu sa fille âgée de douze
ans, pendant un de ses voyages, et, une nuit, par 55 degrés de
latitude Nord et 35 de longitude Ouest, pensa longuement à elle,
avec une force terrible, pour le grand malheur de cette enfant. »
Sachant cela, on découvre au fil des images l’identité de l’enfant,
sa raison d’être, sa profondeur. Ce qui n’est pas dit d’emblée sera
perceptible grâce aux images, aux sons.
Le support des ombres projetées donnera une vie presque
palpable à l’enfant. La force des mots de Jules Supervielle fondra
en images et le texte restera présent : des phrases, des mots
lancés par la lumière au travers des écrans comme pour souligner
la force des appels de l’enfant lancés au monde.
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3. EXTRAITS_ l’enfant de la haute mer
///
Le Théâtre d’ombres et de figures est le lieu privilégié de
l’enfant de la haute mer : Existe t-elle réellement ? Et qui
est-elle ?
L’enfermement de l’enfant, c’est aussi son mutisme,
mais soudain, les mots jaillissent comme des traits de
lumière dans l’ombre qui fuit.
La nouvelle présente une enfant en quête de son identité.
Gardienne de sa rue qu’elle entretient et anime « comme s’il
fallait à tout prix que le village eût l’air habité, et le plus
ressemblant possible », elle révèle petit à petit sa véritable
origine :
« L’enfant percevant pour la première fois un bruit qui lui
venait des hommes, se précipita à la fenêtre et cria de
toutes ses forces : « Au secours ! »
Et elle lança son tablier d’écolière dans la direction du
navire. L’homme de barre ne tourna même pas la tête.
Et un matelot, qui faisait sortir de la fumée de sa
bouche, passa sur le pont comme si de rien n’était.
[…]
En rentrant à la maison, l’enfant fut stupéfaite d’avoir
crié : « Au secours ! » Elle comprit alors seulement le
sens profond de ces mots. Et ce sens l’effraya. Les
hommes n’entendaient-ils pas sa voix ? Ou ils étaient
sourds et aveugles, ces marins ? Ou plus cruels que les
profondeurs de la mer ? »
« Dans une malle de sa chambre se trouvaient des papiers
de famille, quelques cartes postales de Dakar, Rio de
Janeiro, Hong-Kong, signées : Charles ou C. Liévens, et
adressées à Steenvoorde (Nord). L’enfant de la haute mer
ignorait ce qu’étaient ces pays lointains et ce Charles et ce
Steenvoorde. Elle conservait aussi, dans une armoire, un
album de photographies. L’une d’elles représentait une
enfant qui ressemblait beaucoup à la fillette de l’Océan, et
souvent celle-ci la contemplait avec humilité : c’était
toujours l’image qui lui paraissait avoir raison, être dans le
vrai ; elle tenait un cerceau à la main. »
[…]
« Dans une autre photographie, la petite fille se montrait
entre un homme revêtu d’un costume de matelot et une
femme osseuse et endimanchée. L’enfant de la haute mer,
qui n’avait jamais vu d’homme ni de femme, s’était
longtemps demandé ce que voulaient ces gens, et même
au plus fort de la nuit, quand la lucidité vous arrive parfois
tout d’un coup, avec la violence de la foudre. »
La nouvelle est aussi le lieu de l’isolement, de la
difficulté à communiquer avec le monde extérieur.
Les écrans sont des séparations entre les
marionnettistes, leurs marionnettes d’ombres, et le
public. Les émotions sont filtrées et très intérieures ;
elles parlent directement au spectateur, car l’intimité est
préservée : celle de l’enfant de l’océan et celle du
spectateur…
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4. SUR LA MISE EN SCÈNE_ ombres et figures ///
La présence des marionnettistes à vue est essentielle pour
faire ressentir l’humanité qui se dégage du personnage. Ils
restent cependant totalement au service des personnages
et objets manipulés, cela pourrait dire que ce sont elles qui
impulsent le mouvement aux marionnettistes ; elles mènent
souvent la danse.
Le rythme des mouvements peut être empreint de lenteur
extrême mais aussi de jaillissements presque fulgurants…
Le principe même de l’ombre souscrit aux fondus
enchaînés, à la douceur et aux apparitions presque
surnaturelles qui font écho à la nouvelle et à l’écriture de
Jules Supervielle.
Une marionnettiste incarne discrètement la mère de
l’enfant. De même, on devine que le père de l’enfant est
discrètement incarné par le deuxième marionnettiste.
Cela n’est jamais dit, cela est suggéré, c’est
pourquoi le jeu sur scène n’est pas
théâtral, mais profondément habité.
Cette simplicité n’exclut pas la tension magique des corps
sur la scène. Au contraire, le temps est comme suspendu
et l’on perçoit bien la sphère intemporelle dans laquelle
baigne l’enfant.
La présence forte des ombres et des figures est aussi
l’expression directe de la sensibilité des corps des
marionnettistes. Leur mouvement est inspiré de l’eurythmie
ou des danses post-modernes cherchant à rendre « visible
le souffle » (Anna Halprin).
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5. PROJET SCÉNOGRAPHIQUE_ perspectives
Le spectacle se joue sur une scène ronde. Il pourra être donné
soit en salle, soit dans une structure gonflable.
Les éléments scénographiques sont tous reliés à des sortes de
mâts, ou grues.
Les écrans sont ainsi étirables, orientables et déformables,
comme les voiles d’un bateau.
L’enfant vit dans une petite ville étrange, flottante et liquide,
perdue au milieu de l’océan. La présence de l’eau sur le plateau
sera perceptible : chaque matin, la fillette ouvre les volets, tente
de faire fonctionner la vieille horloge, allume le feu de trois ou
quatre maisons pour faire monter la fumée hors des cheminées,
lève les rideaux métalliques des magasins, tente inlassablement
de donner un peu de vie à cette petite ville qui semble déserte.
///
Le quotidien, les lieux de l’intime du personnage sont visibles sur
de petits écrans, comme des fenêtres ouvertes sur son monde
intérieur. Il n’est jamais ennuyeux ; il apparaît en noir et blanc,
puis se colore peu à peu : les décors, comme des collages, se
superposent ; certaines couches sont grattées ou tombent
comme usées par les années ; les choses secrètement gardées
par le temps surgissent ou se révèlent. L’enfant parvient à
reconstituer le tableau de sa vie, à le rendre vivant grâce aux
intrusions de ses rêves dans la réalité.
.
Le village est en cuivre ou en plaque off-set découpée et en
volume. Celui-ci peut disparaître car il est pliable à la manière des
livres “Pop-up”.
La transparence du verre et la brume d’eau, translucide,
donneront la qualité des écrans pour nos castelets d’ombres. Des
scénettes, silhouettes et petits boîtiers lumineux seront manipulés
à distance au moyen de câbles fins relies aux deux mats.
Un « bateau-lumière », au centre de notre scénographie,
apparaîtra, disparaîtra et projettera des images.
Nous utiliserons des rails pour mettre en mouvements certains de
ces objets. Les projections lumineuses seront réalisées à partir de
lampes basse tension, un rétroprojecteur, un “projecteur diapo”…
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6. DIRECTION ARTISTIQUE_ Aurélie Morin ///
Aurélie Morin : Direction artistique, conception, ombres et
figures
2002 : à l’issue de l’ESNAM, le Théâtre du Fust coproduit
une première création en partenariat avec le Théâtre de la
Marionnette à Paris et dans le cadre d’un accompagnement
de jeunes artistes : « Petites Migrations ».
1985 : Dans le cadre de mes études générales, je bénéficie
d’un enseignement artistique au conservatoire de Caen :
danse classique, contemporaine, et chant. Parallèlement, je
bricole, peins et assemble de petits personnages, écris de
courts poèmes.
1996 : Admise à l’école de danse P.A.R.T.S (Bruxelles),
dirigée par Anne Teresa de Keersmaeker, je rencontre
Fernand Shirren, entre autres Maître de rythme, qui me
transmet ses notions de durée, de centre, de présence
« suspendue ». Je participe ainsi à la recréation de
« Rythmes pour bouches », pièce pour quatre voix de
Fernand Shirren, présentée à l’Opéra de La Monnaie à
Bruxelles.
1998 : Ma formation se poursuit en danse au CND à Paris.
(Auprès d’Elsa Wolliaston, Marion Ballester, Masaki Iwana et
Will Swanson.).
Depuis 2003, le travail évolue, se libère peu à peu des
apprentissages.
2005, 2007, 2008, 2010 : Des pièces voient le jour. Les
matières, les mots, les ombres, les réminiscences
s’assemblent, trouvent une résonnance. Les mythes
archaïques se régénèrent. Les figures s’ajoutent au théâtre
d’ombres. Le temps du rêve est peut être réalité.
2012 : Renaud Herbin me propose d’être
artiste associé au
projet de pôle européen de création artistique pour les arts
de la marionnette du TJP CDN d’Alsace et de Strasbourg.
Le lien avec le TJP se renforce. 1999 : J’intègre ainsi l’ESNAM (Ecole supérieure nationale
des arts de la marionnette) à Charleville Mézières. Fabriccio
Montecchi et Jean Pierre Lescot m’initient au théâtre
d’ombres. Union entre la matière, le rituel théâtral, le
mouvement, les sens, l’intime, le simple et l’universel, le
théâtre d’ombres m’ouvre à une voie que je cherchais. Dès
lors, je m’y consacre pleinement.
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7. LE THÉÂTRE DE NUIT_ une équipe de création associée
Le Théâtre de Nuit : Fondé en 2004 sous l’impulsion
d’Aurélie Morin, le Théâtre de Nuit allie théâtre d’ombres,
éléments naturels, arts plastiques et figures animées. Il
propose un théâtre poétique des «sens», de l’intime, entre
douceur et jaillissement. Là, le temps du rêve a toute sa place
et rend sa liberté à la réalité, au quotidien. La compagnie crée
des spectacles vivants pour les enfants et les adultes. Elle
propose aussi des ateliers de fabrication et d’apparitions
d’ombres.
Aurélie Morin, en étroite complicité avec les artistes de la
compagnie, explore les différents langages que portent
l’ombre, la lumière et la figure. Leurs métamorphoses sont
l’écho des profondeurs de l’âme, des émotions premières, des
rituels perdus ou retrouvés. Ici, elles sont traversées par la
danse, les matières brutes ou travaillées, la musique et les
sons, les mouvements des voix et des scénographies ; autant
de fragments d’une expression qui donne plusieurs visages à
la narration. Cette expression s’inspire de techniques
traditionnelles et contemporaines, puis s’en éloigne pour
mieux, hors du temps, se mouvoir.
Les créations du Théâtre de Nuit ont reçu le soutien de
Théâtre du Fust (Compagnie Emilie Valantin), du Théâtre de
la Marionnette de Paris, du Grand Bleu E.N.P.D.A / Lille /
Nord-pas-de-Calais, de l’Espace 600 de Grenoble, du CREA /
Festival Momix Kingersheim, du Channel / Scène Nationale
de Calais, du Théâtre Jeune Public / CDN d’Alsace et de
Strasbourg, du Dôme Théâtre d’Albertville, du Granit / Scène
Nationale de Belfort, de l’Arche de Béthoncourt, du Théâtre
de Villefranche sur Saône, de la Maison des arts de ThononEvian, du Train Théâtre de Portes-lès-Valence.
///
L’équipe de création (« l’enfant de la haute mer »)
Direction artistique, conception, ombres et figures :
Aurélie MORIN
Assistante chorégraphique :
Chloé ATTOU
Compositeurs :
David MORIN, Aurélien BEYLIER
Assistant scénographe / constructeurs :
Elise GASCOIN, David FRIER
Création Vidéo :
Laure CARNET
Distribution (2 marionnettistes) :
Julia KOVACS / Aurélie MORIN
En alternance : en cours
Régisseur général :
Aurélien BEYLIER
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« Et ce qui doit rester obscur, le sera malgré nous»
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Présidente
Renée MEUNIER-CHOMET
Direction artistique
A u ré lie M O R IN
Administration / Production
Yannick VALIN
Tel/Fax : 04 75 21 23 13
Siège social
Place de la Daraize
26340 Saillans
Siège administratif
Le Théâtre de Nuit
Le Temple Faubourg du Temple
263409 Saillans
nouveau site internet
www.letheatredenuit.org
[email protected]
www.letheatredenuit.org
Licenses: 2-1031254 & 3-1031255
Siret : 479 228 173 000 23
APE : 9001Z
Le Théâtre de Nuit est soutenu par la Région Rhône-Alpes, le Conseil Général de la Drôme, la Commune de Saillans et la Communauté de communes du pays de
Saillans (CCPS) Le Temple Faubourg du Temple 26340 Saillans - Tel/Fax : 04 75 21 23 13 /// e-mail : [email protected] – www.letheatredenuit.org /// N° Siret : 479 228 173 00023 – Code APE : 9001 Z – Licence : 2-1031254

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