"La Parole de Dieu n`est pas enchaînée !" (2 Timothée 2:9.)

Transcription

"La Parole de Dieu n`est pas enchaînée !" (2 Timothée 2:9.)
Quatre ans après le naufrage du Titanic, lors d'une réunion à Hamilton, au Canada, un jeune
Écossais prit la parole en ces termes: "Je suis l'un des rescapés du Titanic. Alors que je dérivais sur
un morceau d'épave, en cette terrible nuit, le courant amena près de moi John Harper, qui
s'agrippait lui aussi à un espar. Il me lança:
—Eh ! toi! Es-tu sauvé? (Autrement dit:"As-tu reçu le don du salut éternel?")
—Non ! répondis-je.
—Crois au Seigneur Jésus-Christ, ajouta-t-il, et tu seras sauvé (Actes 16:31).
Les vagues le repoussèrent au loin, puis le ramenèrent à portée de voix.
—Et maintenant, tu es sauvé?, questionna-t-il à nouveau.
—Non, pas que je sache, criai-je.
—Crois au Seigneur Jésus-Christ et tu seras sauvé, fit-il encore une fois.
Peu après, il sombrait, et c'est là, par 3 000 mètres d'eau sous les pieds, que je crus en Jésus. Oui,
je suis le dernier converti de John Harper."
"La Parole de Dieu n'est pas enchaînée !" (2 Timothée 2:9.)
(De Daniel et Joan, ex-missionnaires en Chine) En 1986, nous
nous sommes rendus dans plusieurs villes chinoises. En Chine,
les dispositions à l’égard des étrangers et des influences étrangères étaient beaucoup plus strictes qu’elles ne le sont
aujourd’hui. Nous devions donc faire preuve d’une extrême prudence lorsque nous parlions de Jésus à quelqu’un.
Un soir, nous avons vu cinq enfants donner un spectacle d’acrobaties dans la rue. Il est très rare, là-bas, de rencontrer une
famille aussi nombreuse, de sévères pénalités étant encourues
par ceux qui n’observent pas strictement la règle "d’un enfant
par famille". Nous avons envoyé notre petite fille leur remettre
une pièce. Le lendemain soir, nous les avons revus et avons fait
de même.
Quelques jours plus tard, la police nous arrêtait à cause de
nos activités à caractère chrétien. Ils ont fouillé nos effets personnels et nous ont confisqué toutes nos publications (à l’exception d’un Évangile de Jean en chinois, qu’ils n’ont pas trouvé). Ils
nous ont fait savoir que nous étions sous surveillance.
Nous aurions voulu témoigner aux jeunes acrobates et à
leur mère, mais le simple fait que nous leur adressions ouverteOn raconte qu'un jour, Saint François d'Assise dit à ses disciples:
—Allons prêcher la Bonne Nouvelle dans ce village.
Chemin faisant, ils rencontrèrent un voyageur qui avait l'air
accablé. François prit le temps d'écouter attentivement le récit de ses
malheurs.
Arrivé au village, François s'arrêta pour parler avec les marchands
et les fermiers qui avaient dressé leurs étals de fruits et légumes, et il
en profita aussi pour jouer avec les enfants dans la rue.
Sur le chemin du retour, ils croisèrent un fermier ployant sous son
fardeau, et François s'arrêta pour converser avec lui. Finalement, le
petit groupe parvint au monastère, qu'ils avaient quitté de bon matin.
L'un des disciples de François, qui semblait très déçu, lui fit
remarquer:
—François, mon frère, tu as dit que nous irions prêcher la Bonne
Nouvelle! Mais nous voilà de retour sans avoir fait aucun sermon!
—Au contraire, répondit François, de toute la journée, nous n'avons
cessé de prêcher.
ment la parole aurait pu les mettre
en danger. Lorsque nous avons prié,
le Seigneur nous a montré de leur
écrire un mot en chinois, pour les informer que nous allions bientôt partir mais que nous espérions les revoir au Ciel. Nous leur avons expliqué que pour aller au ciel, il leur suffisait de prier une simple prière, que
nous avions écrite à leur intention.
Puis nous avons acheté un sac de jolies pommes et y avons glissé notre
message. Ce soir-là, sous l’œil vigilant du policier qui était chargé de
nous surveiller, nous leur avons remis le sac de pommes avec notre
obole habituelle.
Le lendemain, nous avons croisé,
dans la rue, la maman des petits
acrobates. Elle s’est approchée de
nous pour nous serrer la main. Ce
faisant, elle nous a passé une note
qu’elle avait pliée avec soin, pour ne
pas attirer l’attention de notre policier. Plus tard, en lisant la note, nous
avons été émus jusqu’aux larmes
d’apprendre que toute leur famille
avait récité la prière du salut.
Deux jours avant notre départ de
Chine, ayant réussi à semer le policier, nous avons rencontré toute la famille, dans leur petit logement d’une
pièce. Nous leur avons donné l’Évangile de Jean qui avait échappé à la
fouille le soir de notre arrestation.
Nos amis nous ont dit: "Nous avons
vu l’amour de Dieu en vous, dans
votre gentillesse envers nous".
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