Habitat - Pays de Lons

Transcription

Habitat - Pays de Lons
0
15
at
2
19
N°92
Mars 2015
Ha
b it
en
l
a
r
nt
e
c
ih er
Ca
5à
s
ge
pa
Pays de Lons
Journal GRATUIT d’informations
2015
SARL Vizicoif. RCS Lons 449 385 814 (entreprise indépendante membre d'un réseau de franchise)
Toute l’actualité locale et nationale : les évolutions
fiscales et juridiques, la conjoncture immobilière dans
le Jura, l’amélioration de son habitat…
25 rue du Commerce (sous les arcades)
39000 LONS-LE-SAUNIER
03 84 24 31 96
Ce salon utilise les produits
SCHWARZKOPF PROFESSIONAL
VOTRE SALON TOTALEMENT RÉNOVÉ
DEPUIS LE 27 SEPTEMBRE 2014 !
2 actu
Pays de Lons n°92 - Mars 2015
EXPRESS
Revigny L’église dévoile un trésor insoupçonné
JURA LA COUR DES COMPTES ÉPINGLE
SÉRIEUSEMENT L’AÉROPORT DOLE JURA
L’infrastructure jurassienne était déjà dans le collimateur
de l’Union Européenne qui mène des enquêtes sur ces
aéroports régionaux financés par des subventions
publiques. C’est maintenant la Cour des comptes
parisienne, qui, dans son dernier rapport publié le 11 février
dernier, dénonce une viabilité économique non “démontrée”
pour les deux aéroports de Dole et Dijon, à quelque 50 km
l’un de l’autre. On pourra lire notamment dans ce rapport :
“La pertinence même d’un aéroport unique interrégional
n’apparaît pas évidente au regard de la faiblesse du bassin de
chalandise”. Selon la Cour, les deux plateformes se sont livré
une concurrence néfaste et ont cherché toutes deux à
attirer les compagnies à bas coût. Rappelons que l’aéroport
de Dijon a cessé son activité d’aviation commerciale en
septembre 2014. La Cour des comptes recommande de
développer davantage les grands aéroports voisins plutôt
que de faire de Dole un nouvel aéroport interrégional.
Christophe Perny (PS), président du conseil général du Jura,
dénonce un “rapport obsolète fait dans des bureaux
parisiens”. Il rappelle que c’est l’Etat en 2006 qui a décidé de
transférer les aéroports aux collectivités, sans prendre la
décision de fermer ces deux aéroports.
SEJOUR LINGUISTIQUE
DES JEUNES ÉTUDIANTES
RECHERCHENT UNE FAMILLE D’ACCUEIL
L’association CEI, Centre d’Echanges Internationaux, est à la
recherche de familles d’accueil bénévoles dans le Jura pour
accueillir de jeunes étrangers souhaitant venir séjourner en
France. Noëlle, jeune colombienne de 15 ans, séjournera en
France du 29 août au 18 décembre, et Emma, jeune berlinoise
de 15 ans 1/2, arrivera en France également le 28 août. Tous
les frais sont pris en charge par l’association ou le jeune.
Contacts : Bernard Emorine, 10 rue de la Seille,
Baume les Messieurs. Tél. 09 88 66 68 45 / 06 80 11 97 34,
[email protected]
Une peinture murale représentant la Passion du Christ, peut-être une des plus anciennes de France, a été découverte par
hasard dans l’église de Revigny. Des travaux de restauration devraient être engagés dans les mois qui viennent.
C’est une découverte fortuite à laquelle
la petite commune de Revigny ne s’at­
tendait certainement pas, et qui a
dévoilé un trésor patrimonial et histo­
rique : des peintures murales, qui pour­
raient remonter au XVe siècle.
Tout a débuté par des travaux mal réa­
lisés de réfection de la toiture en lauze
de l’église, il y a une quinzaine d’an­
nées. D’importantes infiltrations d’eau
durant plusieurs années ont alors pro­
voqué l’effondrement d’une plaque de
plâtre au niveau de la voûte du chœur
de l’église en décembre 2013. “C’est en
dégageant le plâtre que l’on a décou­
vert ces peintures murales” raconte
Jean­Yves Bailly, maire de la commune.
Les travaux de dégagement viennent
de se terminer, laissant apparaître un
trésor plutôt bien conservé, malgré les
trous d’accroche du plâtre. 16 pan­
neaux représentent le chemin de croix
du Christ. Une peinture de la Passion
du Christ qui pourrait être une des plus
anciennes de France. On peut y obser­
ver le Christ qui porte sa croix, les souf­
frances et les supplices infligés par ses
tortionnaires… Une des particularités
de cette œuvre est la représentation
sur un des panneaux de saint Côme et
saint Damien, patrons des chirurgiens
et des pharmaciens. “On ignore qui est
l’artiste, et s’il s’agit d’une personne de
passage ou d’un Revignois”, poursuit
Jean­Yves Bailly. “Nous allons deman­
der le classement de ces peintures.”
L’Eglise paroissiale de l’Assomption de
Revigny est, elle, déjà inscrite au titre
des monuments historiques. Avant
d’engager la restauration de ces excep­
tionnelles peintures, la mairie souhaite
d’abord se pencher sur le bâti et les fis­
sures apparues au­dessus du chœur de
l’église. Une fois les éventuels travaux
de consolidation entrepris, les pein­
tures seront alors laissées entre les
mains des experts pour la restauration
des couleurs et le bouchage des trous.
Avec cette découverte historique et
artistique, l’église de Revigny revêt un
intérêt particulier pour les amateurs
d’histoire de l’art, et les futurs travaux
de datation des peintures apporteront
des informations nouvelles sur le bâti.
Mais pas question de faire venir des
autocars de touristes de toute la
France, le maire tient à préserver ce
site. “C’est un site historique mais avant
tout un lieu de culte. Je tiens à ce que
tout le monde s’y retrouve, et qu’il reste
aussi un lieu de culte. Pour l’instant,
l’idée n’est pas de faire venir du monde,
mais déjà de construire le projet.
Aujourd’hui, il va falloir trouver les
financements, car le budget de la com­
mune n’est pas proportionné à l’am­
pleur du projet.” En parallèle des
demandes de subventions, une sous­
cription devrait être prochainement
lancée.
C.G.
Jean-Yves Bailly, le maire de Revigny, ici devant saint Côme
et saint Damien, patrons des chirurgiens et des pharmaciens.
Bresse-Revermont et Haute Seille
Un réseau pour réunir les acteurs économiques
C’est le quatrième réseau territorial interprofessionnel (RTI) lancé par la chambre de commerce et d’industrie
du Jura. Ce dispositif vise à fédérer les décideurs et acteurs économiques des deux bassins d’emploi BresseRevermont et des Coteaux de la Haute Seille, pour répondre ensemble aux défis du développement
économique.
Après le Pays du Revermont, le Haut Jura, et
Arinthod­Orgelet­Clairvaux­les­Lacs, ce qua­
trième RTI couvrira les territoires de la
Haute Seille et Bresse Revermont. L’objectif
est de réunir les décideurs économiques
des collectivités et les représentants des
filières professionnelles autour d’une même
table. Un panel le plus large possible afin de
représenter les acteurs économiques des
territoires, et qui devraient regrouper
autour des élus les syndicats professionnels
comme la CGPME (Confédération générale
du patronat des petites et moyennes entre­
prises), le Medef, l’UMIH (Union des
métiers et des industries de l’hôtellerie),
mais aussi la chambre de métiers et de l’ar­
tisanat du Jura, les élus de la CCI :“L’objectif
est de promouvoir ces bassins d’emploi,
échanger sur les projets, et tenter d’appor­
ter des solutions aux problématiques spéci­
fiques de ces territoires en matière écono­
mique”, explique Rémy Laurent, président
de la CCI du Jura. “Concrètement, cela per­
met aux élus en charge du développement
économique d’avoir des réponses pour leur
secteur, mais aussi des réponses à des pro­
blématiques transversales sur plusieurs
communautés de communes.” Tout ce petit
monde devrait se réunir une fois par an
pour échanger et trouver des solutions
ensemble, au­delà des frontières adminis­
tratives. Un modus operandi qui a
convaincu Jean­Louis Maitre, président de
la communauté de communes Bresse­
Revermont. Pour lui, il n’est plus question
de faire du développement économique
seul dans son coin, et la guerre des ZA entre
territoires n’est plus d’actualité. “Les liens
sont trop distendus, il faut rassembler nos
forces aujourd’hui. Ce besoin de RTI m’a
semblé évident, pour observer comment
chacun voit les difficultés, les forces et les
E TAT C I V I L
NAISSANCES
Evan de Geoffrey SALVADOR
et Emilie GOMBA, Bletterans
Manon de Stéphane TISSOT
et Stéphanie BEURTIN,
Bonnefontaine
Sandro de Nicolas OLIVA et
Anne­Sophie THOUVENOT,
Chilly­le­Vignoble
Loan de Lionel MASSON et
Perrine ORSAT,
Commenailles
Nolan de Romain MERVANT
et Angélina BAILLY, Cosges
Tessya de Jason GODERON
et Pauline COLIN, Cuisia
Vanessa de Julien DAVID et
Laurence MONNOT,
Domblans
Rayan de Sofiane TABANI et
Cynthia PEZY, Domblans
Camille de Antoine
PETITJEAN et Laura
VAUCHER, Gevingey
Lise de Ludovic MOREY et
Camille CLOSCAVET,
Hautecour
Loïs de Xavier BÉTRY et
Bettina POUTHIER, Lombard
Ines de Valentin MIRONE et
Ingrid DUCASTEL, Lons­le­
Saunier
Selman de Altin MARRA et
Precylla ROCHE, Lons­le­
Saunier
Maël de Yvan GENIN et
Anne­Laure PETETIN, Miéry
Angueran de Alban LEBERT
et Séverine BERNARD,
Orgelet
Yann de Jean­Pascal BILLOT
et Olessia OMELNITSKAIA,
Passenans
Élèna de Grégory ZOANI et
Céline DESPRES, Poligny
Maëly de Walid TRIAA et
Lucie NICOLAS, Poligny
Albane de Aldric CHOLET et
Élodie CHARPENTIER, Sainte­
Agnès
Hugo de Quentin PLUBELLE
et Emilie VOITOUX, Sellières
Léa de Hervé FOURNIER et
Marie FORSTER, Tourmont
Robin de Thomas RODOT et
Catherine CLAVEZ, Vincelles
DÉCÈS
CROCHET Georges, Arlay,
75 ans
THIBAUDET Edmond,
Beaufort, 76 ans
MONGIN Odette,
Chaumergy, 101 ans
atouts des uns et des autres. C’est l’ensem­
ble qui gagnera.” Les spécificités et problé­
matiques du territoire ont pu être abordées
lors de la première réunion du réseau le
19 février dernier : comment faire de l’agri­
culture un levier du développement local et
touristique, comment maintenir le com­
merce de proximité, comment faire du
développement économique compte tenu
des difficultés à acquérir le foncier, sans
perturber l’agriculture.
La question du tourisme
et des zones d’activité pour
la Haute Seille
Pour la Haute Seille, une des questions abordées sera “comment apporter plus de
notoriété aux sites touristiques”.
Pour le territoire de la Haute Seille, on
retrouvera la problématique transversale du
manque de foncier disponible. “Lors du lan­
cement ont été évoquées les difficultés à
acquérir des terrains pour créer de nouvelles
zones d’activité d’un côté du territoire, et de
l’autre côté, la présence de ZA non utilisées”
reprend le président de la CCI du Jura Rémy
Laurent. “Il faut donc réfléchir à une plus
BRIDRON Paulette, Clairvaux­
les­Lacs, 85 ans
VERNOIS Danielle, Cogna,
67 ans
FAVIER Maria, Cousance,
98 ans
VINCENT Christian,
Cousance, 52 ans
BAZIN Daniel, Crançot,
70 ans
MICHET Jacqueline, Gizia,
91 ans
LÉGLISE Gérard, Largillay­
Marsonnay, 66 ans
BON Aline, Le Pin, 92 ans
DE PINHO GONCALVES,
Lons­le­Saunier, 49 ans
DAUBIGNEY Odette, Lons­le­
Saunier, 89 ans
COULON Fernande, Lons­le­
Saunier, 94 ans
BARRAUX, Lons­le­Saunier,
82 ans
BOULLY Flavie, Lons­le­
Saunier, 32 ans
BOCKENMEYER Robert,
Lons­le­Saunier, 98 ans
LATOUR Odette, Lons­le­
Saunier, 88 ans
PAULIN Hélène, Lons­le­
Saunier, 89 ans
FARABOS Yvonne, Lons­le­
Saunier, 94 ans
LAMARD Rose, Lons­le­
Saunier, 88 ans
RICHARD Georgette, Lons­le­
Saunier, 96 ans
DEFAYSSE Claude, Lons­le­
Saunier, 89 ans
LOUP Henri, Lons­le­Saunier,
95 ans
SIMERAY Colette, Lons­le­
Saunier, 90 ans
VILLET Hortense, Lons­le­
Saunier, 97 ans
BOUVIER Joëlle, Lons­le­
Saunier, 56 ans
SNYERS Renée, Lons­le­
Saunier, 94 ans
AUBLÉ Michel, Lons­le­
Saunier, 63 ans
LEROY Olga, Lons­le­Saunier,
94 ans
REBOURG Marie, Lons­le­
Saunier, 91 ans
CHATAIN Yvette, Lons­le­
Saunier, 90 ans
BAILLY­MAITRE Raymonde,
Lons­le­Saunier, 87 ans
QUINÇON Janine, Macornay,
82 ans
BEZY Roselyne, Montain,
88 ans
NEUVILLE Marie­Stella,
Montmorot, 49 ans
MOREY Michelle,
Montmorot, 74 ans
ANDRÉ Guy, Orgelet, 59 ans
PHILIPPE Louise, Perrigny,
84 ans
RANZONI Olga, Perrigny,
91 ans
LÉCUYER Paulette, Poligny,
86 ans
KIENY Yvan, Poligny, 84 ans
MANTILLET Françoise,
Ruffey­sur­Seille, 72 ans
SCHUCK Catherine,
Sarrogna, 46 ans
SASSARD Marie­Thérèse,
Thoiria, 87 ans
MAÎTRE Pierre, Vernantois,
84 ans
REMOND Bernadette,
Vincelles, 74 ans
BEJEAN Madeleine, Voiteur,
82 ans
grande cohérence, ainsi qu’à la question du
développement touristique : comment
apporter plus de notoriété aux sites de la
Haute Seille.”
C.G.
Zone des Epenottes
BP 212 - 39102 Dole
Tél. 03 84 82 50 21
n°ISSN : 1 778-820X
Imprimé en France
Rédaction :
[email protected]
Régie publicitaire
Tél. 03 84 82 50 21
Portable 06 33 79 00 94
[email protected]
4 actu
Pays de Lons n°92 - Mars 2015
Santé Une socio-esthéticienne à
l’hôpital pour retrouver l’estime de soi
Aurélie Fleury est la seule socio-esthéticienne du Jura. Elle prend soin et bichonne les patient(e)s atteints de cancers du
sein et digestif, et souhaiterait généraliser son activité à tous les services de l’hôpital.
Un soin du visage, une manucure, un mode­
lage… Le temps d’une parenthèse bien­être,
c’est un peu le poids de la maladie qui s’at­
ténue. Peu connue, la socio­esthétique est
un véritable soin de support précieux pour le
malade, un trait d’union entre estime de soi
et esthétique. Depuis juin 2014, Aurélie
Fleury, esthéticienne et auparavant aide­soi­
gnante pendant sept ans au service cancéro­
logie du centre hospitalier de Lons, inter­
vient auprès de femmes souffrant de cancer
du sein pour proposer des soins esthétiques.
En 2011, le CAP esthétique en poche, forte
de plusieurs expériences en instituts de
beauté, Aurélie se lance dans une formation
en oncologie, grâce notamment au réseau
Oncolie, réseau de cancérologie en Franche­
Comté, et à l’association Onco­Doubs qui
finance le poste aujourd’hui. Depuis, elle
intervient tous les mercredis dans une
chambre “customisée” mise à disposition
par l’hôpital, et propose gratuitement et
systématiquement ses soins. “La chimiothé­
rapie a beaucoup d’effets secondaires sur le
corps, il n’y a pas que la perte des cheveux.
Les brûlures cutanées aux pieds et aux mains
nécessitent des soins spécifiques. Je fais éga­
lement des soins de visage qui apportent
détente et apaisement, et des modelages
relaxants.” Elle dispense également des
conseils maquillage, des astuces pour
reconstituer les sourcils, ou encore des
recettes maison pour prendre soin des pieds
et mains brûlées par les traitements. Tout
cela repose sur une écoute bienveillante,
une dose d’empathie, et une certaine psy­
EXPRESS
chologie pour aider le patient à appréhender
un corps souvent meurtri. “Psychologique­
ment, il y a parfois de lourdes émotions qui
sortent. On aborde des sujets douloureux,
comme l’image corporelle, le physique qui
change, ce sein qui manque… Il faut arriver
à aider ces femmes à reprendre confiance en
elle et à avoir envie de prendre soin d’elles.”
Des soins pour le corps et l’esprit si précieux
que la jeune femme a étendu son activité
depuis janvier dernier pour les patients souf­
frants de cancer digestif, à la demande du
Dr Almotlak, chef du service oncologie, mais
aussi à la demande des patients eux­mêmes.
Aujourd’hui, elle souhaite étendre son acti­
vité à tous les services de l’hôpital, là où les
patients atteints de cancer auront besoin de
C.G.
ses soins.
Nevy-sur-Seille Le café blabla,
MESSIA-SUR-SORNE
plus qu’un rendez-vous, une institution !
ECLA souhaite étendre la zone d’activité de Messia-sur-Sorne
jusqu’à l’emprise du contournement sur la commune de Chillyle-Vignoble. Ce projet se fait dans le cadre d’une procédure de
zone d’aménagement concertée au cours de laquelle la
population est associée. Après la première réunion publique qui
s’est déroulée le 26 février dernier, un registre des observations
est désormais disponible dans chacune des communes aux
horaires indiqués ci-dessous, jusqu’au 20 mars inclus.
Mairie de Messia-sur-Sorne : le lundi de 16 h à 18 h, le mardi de
10 h à 12 h, le mercredi de 10 h à 12 h 30 et le vendredi de 10 h à
14 h 00. Mairie de Chilly-le-Vignoble : lundi et jeudi de 17 h à 19 h,
le mercredi de 11 h à 12 h.
Tous les premiers dimanches de chaque mois, ils sont une trentaine à se retrouver pour le café blabla de la Haute Seille
et discuter librement autour d’un thème de société.
PROJET D’EXTENSION DE LA ZAC : UN
REGISTRE POUR LES OBSERVATIONS EN MAIRIE
réfléchit à relancer le projet sous une autre forme, peut­être plus
attractive. La dénomination du café “blabla” s’imposa alors. Tous les
premiers dimanches de chaque mois à 11 h, l’invitation est lancée
urbi et orbi à tous ceux et celles qui souhaitent venir écouter ou
échanger et débattre sur des sujets d’actualité, de politique, histo­
riques, de société, environnementaux, médicaux… et même locaux.
“Avec une règle absolue” précise Pierre Carpentier, le modérateur :
“Parler de choses qui fâchent sans se fâcher !” Rapidement un noyau
dur d’une dizaine de personnes se constitue. “Nous nous sommes
vite rendu comte que pour pouvoir gérer, il fallait une sorte de maître
d’école, un modérateur. Son rôle est de faire en sorte que chacun
donne son avis pendant que les autres écoutent, et qu’il n’y ait pas
trop d’apartés, tout en veillant à ce qu’il n’y ait pas trop de mono­
logues” reprend Pierre Carpentier. La première année, ils sont entre
dix et quinze participants à venir controverser à chaque rendez­vous.
“Puis, assez rapidement, ça s’est su” continue Anne­Marie Anstett.
“Aujourd’hui, nous sommes une trentaine, avec un pic à 40 pour le
café blabla autour du Center Parcs de Poligny. Les gens attendent le
rendez­vous, on ne s’attendait pas à un tel succès.”
MONTIGNY-LES-ARSURES
33 000 VISITEURS POUR LA PERCÉE DU VIN JAUNE
La Percée du Vin jaune a réuni pour son édition 2015
33 000 visiteurs dans les rues de Montigny-les-Arsures.
71 caveaux ont accueilli les visiteurs. 2008 dévoile des vins à la
fois bien structurés, solides avec une grande aptitude au
vieillissement. La vente aux enchères a fait salle comble,
86 % des lots vendus, ce qui n'est jamais arrivé. La majorité
des plus belles bouteilles, Jaune 1933, 1934, Château-Chalon
1943, 1928 et 1929 ont été vendues, de 500 à720 euros. En
2016, la fête aura lieu à Lons-le-Saunier le samedi 6 et le
dimanche 7 février. C’est Jean-Yves Vapillon du Domaine
éponyme qui sera le Président de la 20e édition.
SÉCURITÉ ROUTIÈRE
PLUS DE MORTS SUR LES ROUTES EN 2014
La préfecture du Jura présentait son bilan de la sécurité routière
2014 le mois dernier. Un mauvais bilan au regard du nombre de
tués sur les routes à la hausse. Pour la première fois depuis cinq
ans, ce chiffre est en augmentation dans le Jura. Au total,
pratiquement tous les indicateurs sont à la hausse : 119 accidents
corporels en 2014 comme en 2013, mais 30 tués en 2014 contre
28 en 2013, 177 personnes blessées en 2014 contre 171 en 2013,
dont 134 personnes hospitalisées en 2014 contre 129 en 2013. Les
principales victimes restent les jeunes entre 18 et 24 ans, et les
seniors de plus de 60 ans. Les chocs frontaux sont la première
cause des accidents mortels (8 des 24 accidents mortels), suivie
par une vitesse inappropriée (7 des 24 accidents mortels), et
arrive en 4e position l’alcool (3 des 24 accidents mortels).
De gauche à droite : Anne-Marie Anstett, secrétaire du café blabla,
Pierre Carpentier, modérateur, et Dédé, propriétaire du café Chez
Janine.
A Nevy­sur­Seille, le café blabla n’est pas un café citoyen comme les
autres. Bien sûr on s’y retrouve une fois par mois pour débattre sur
des sujets de société, mais la chaleur, le charme et le cachet d’un
authentique bistrot de campagne, l’accueil personnalisé de la sémil­
lante patronne, en font un véritable lieu de vie. Au bistrot “Chez
Janine”, Dédé pour les intimes, on ne s’embête pas avec le proto­
cole ; tout le monde y est un peu comme à la maison, toutes pro­
portions gardées bien sûr. Voilà qui confère au café blabla de la
Haute Seille une ambiance unique, et qui fait surtout son succès
depuis cinq ans. A l’initiative de Ghislaine de Sury, ex­vice­présidente
à la culture au sein de la communauté de communes de la Haute
Seille, ce rendez­vous aujourd’hui incontournable prenait d’abord la
forme d’un café philo. En 2008, Anne­Marie Anstett, aujourd’hui
secrétaire du café blabla, prenait la vice­présidence à la culture et
Au café blabla, personne ne détient la vérité !
Aujourd’hui, le collectif est indépendant, et ne possède pas de statut
associatif. Ce qui importe au café blabla, c’est la réelle participation
des citoyens. Personne ne peut s’ériger en détenteur de la vérité, ni
monopoliser la parole, que l’on soit spécialiste de la question traitée
ou non. “Il n’y a pas un dominant ou un président qui va dicter la
ligne. Les thèmes, l’organisation sont décidés de manière collective”
reprend la secrétaire. Les sujets – la corrida, l’urbanisation des cam­
pagnes, les élections européennes, l’analyse des rêves… pour n’en
citer que quelques­uns – sont envoyés en amont par Anne­Marie
Anstett. Le jour du débat, un volontaire introduit le thème, et les
échanges durent environ 1 h 30. A la fin, chacun pourra s’il le sou­
haite partager un petit repas ou une consommation. De quoi redon­
ner vie à un petit café de pays. Ambiance villageoise et chaleureuse
garantie !
C.G.
Installation neuve / Rénovation
VMC simple et double flux
Alarme / Domotique / Interphone
Sanitaire chauffage
Plancher chauffant / Pompe à chaleur
Poêle à pellet
Chauffe-eau thermodynamique
03 84 47 29 89 - 06 28 21 80 29
Mars 2015
2MS - Arnaud Meunier - 39, Chemin du Verger Judan - 39570 CHILLE
Assurance
décennale
Spécial
de Lons”
Hors-série “Pays
Au sommaire…
Retrouvez toute l’actualité en matière d’habitat et d’immobilier dans ce hors-série
de 15 pages du Pays de Lons. Les applications de la loi de finances 2015 dans le Jura,
les enjeux de la qualification RGE pour les entreprises jurassiennes, la politique du
logement à Lons… En avril, ne manquez pas le volet “Artisans” de ce hors-série.
SAS JAILLET ÉLECTRICIEN
Qualification RGE
“Pas d’affolement” pour la
fédération du BTP 39 p. 9
Lons-le-Saunier
120 logements réhabilités
Rénovation
énergétique
Primes à la baisse
p. 10
Siret 79138326800012
MAÇONNERIE
p. 17
CHARPENTE
COUVERTURE
ÉLECTRICITÉ
GÉNÉRALE
Tertiaire
Industrie
Collectivité
Particuliers
Tél. : 03 84 85 90 09 - Fax. 03 84 48 96 57
[email protected]
1, Chemin des Tatres - 39190 CUISIA
TERRASSEMENT
AMÉNAGEMENTS EXTÉRIEURS
e !
Notre expérience et expertise à votre servic
www.maconnerie-charpente-39.com
sarl petiot romain
Sarl PETIOT Romain - 39190 COUSANCE - 06 59 74 65 06 - [email protected]
6
Hors-série mars 2015 -
Pays de Lons
Loi de finances 2015
LES AUTRES
MESURES
Immobilier : ce qui va changer en 2015
Plusieurs changements
en matière d’urbanisme
Le délai de validité des permis de construire,
d’aménager, de démolir et de non opposition aux
déclarations préalables, passe de 2 à 3 ans pour les
autorisations en cours de validité et celles obtenues
jusqu’au 31 décembre 2015. Une prorogation d’un an
est possible en complément. Par ailleurs, un arrêté
du 11 décembre 2014 allège les obligations à se
conformer à la RT2012 pour les bâtiments de petite
surface ou encore les extensions de maisons. Enfin,
pour les ventes en l’état futur d’achèvement (VEFA),
désormais les promoteurs sont tenus de fournir à
compter depuis le 1er janvier 2015 une garantie
apportée par un garant extérieur et permettant
ainsi de garantir efficacement l’achèvement des
constructions.
Chaque loi de finances apporte son
lot de nouveautés et entérine les
dispositifs de l’année précédente. La
loi de finances 2015 et la loi de
finances rectificative pour 2014
prévoit plusieurs mesures en faveur
du logement. Le point avec Agnès
Martinet, directrice de l’ADIL 39 et
juriste, sur les principaux dispositifs
qui concernent le Jura.
­ Le Prêt à taux zéro élargi à l’ancien. Initialement prévu jusqu’au
31 décembre 2014 pour le neuf, le Prêt à taux zéro est prolongé
jusqu’au 31 décembre 2017, et s’étend désormais aux biens anciens
nécessitant des travaux de réhabilitation. Les travaux devront s’élever
à 25 % du coût total de l’opération. “Mais attention, précise Agnès
Martinet, ces achats­travaux ne concernent que 45 communes du
Jura (voir liste ci­dessous), principalement des bourgs­centres avec un
taux de vacance important. Je reste dubitative sur ces conditions :
peu de personnes pourront y répondre dans le Jura.”
­ L’éco­prêt à taux zéro simplifié. Deux nouveautés pour ce prêt per­
mettant de financer des travaux améliorant la consommation éner­
gétique du logement. Depuis le 1er janvier 2015, la liste des maté­
riaux et équipements éligibles à l’éco­prêt à taux zéro a évolué, tout
comme certains critères techniques qui conditionnent leur éligibilité.
Ces critères s’alignent désormais sur ceux requis pour le bénéfice du
crédit d’impôt pour la transition énergétique (CITE). De plus, les
banques sont déchargées du contrôle des travaux éligibles. Seuls les
artisans et entreprises RGE (Reconnus garants de l’environnement)
pourront attester de l’éligibilité des travaux de rénovation énergé­
tique qu’ils réalisent.
­ Le crédit d’impôt : plus qu’un seul taux unique. Désormais appelé
CITE, le crédit d’impôt pour les travaux de rénovation énergétique
est simplifié, avec un taux unique de 30 %, et ce pour les dépenses
effectuées depuis le 1er septembre 2014. Les premiers travaux
enclenchés sont éligibles, sans obligation de volume de travaux, avec
une TVA à 5,5 %. La liste d’équipements intègre dorénavant les
bornes de recharge pour véhicules électriques personnels, et les
appareils permettant d’individualiser les frais de chauffage. Là aussi,
il est obligatoire de faire appel à une entreprise ou un artisan RGE
Quatre quartiers jurassiens
concernés par une TVA à 5,5 %
pour l’accession sociale
Agnès Martinet, directrice de l’ADIL 39, aux côtés de
Marc-Henri Duvernet, président de la structure jusqu’au renouvellement
du bureau au terme des élections départementales.
pour réaliser les travaux. “Cette mesure aura pour moi l’impact le
plus important, commente Agnès Martinet. Le crédit d’impôt est
simplifié, sans un minimum imposé de travaux, ce qui est aussi
incohérent : on ne gagnera pas forcément sur la facture énergé­
tique.”
­ Prolongation du crédit d’impôt d’aide à la personne. Ce dispo­
sitif permet d’aider les particuliers à financer des équipements
spécialement conçus pour l’adaptation au handicap ou la vieil­
lesse du logement. Il est prolongé jusqu’à fin 2017. Il propose un
taux de 25 % sur la facture totale, dans la limite d’un plafond de
dépenses.
­ Simplification de calcul sur l’Imposition des plus­values immo­
bilières de cession de terrains à bâtir. La détermination des plus­
values immobilières de cession de terrains à bâtir est calquée sur
les cessions des autres biens immobiliers. Un abattement excep­
tionnel supplémentaire de 30 % s’applique sous conditions,
jusqu’au 30 décembre 2015.
Communes éligibles au nouveau PTZ : Andelot-en-Montagne, Annoire, Arbois,
Arinthod, Balanod, Beaufort, Bletterans, Les Bouchoux, Bracon, ChapelleVoland, Chassal, Chaux-des-Crotenay, Clairvaux-les-Lacs, Cousance, Cuvier,
Gevingey, Gigny, Jouhe, Lavans-lès-Saint-Claude, Mantry, Mignovillard, Moiransen-Montagne, Mont-sous-Vaudrey, Morbier, Morez, Mouchard, Orchamps,
Orgelet, Pagney, Passenans, Pleure, Poligny, Pont-de-Poitte, Ravilloles, SaintAmour, Saint-Julien, Saint-Lupicin, Salins-les-Bains, Sellières, Septmoncel,
Souvans, Tassenières, Villers-Farlay, Viry, Voiteur.
Le Jura n’est pas (encore) concerné
par la loi Pinel, ancienne loi Duflot
La défiscalisation Pinel concerne l’investissement dans un logement situé dans
une zone éligible au dispositif : zone Abis, zone A, zone B1 et zone B2. Pour le Jura,
essentiellement en zone C, 11 communes sont désormais classées en zone B2
(Authume, Baverans, Bois d’Amont, Brevans, Choisey, Crissey, Dole, Foucherans,
Prémanon, Les Rousses, Villette-lès-Dole). Il faut cependant une dérogation du préfet
de région pour accéder au dispositif dans ces zones. Plusieurs demandes
de dérogations sont actuellement en cours, et pourraient aboutir en 2015.
LONS LE SAUNIER
Rare appartement T4 92 m2 au 4e et der­
nier étage avec ascenseur, proche parc,
2 ch., séjour 40 m2, 2 grands balcons Est
et Ouest, parquets. Garage et cave.
120 000 €
SECTEUR LONS LE SAUNIER
Maison d’architecte,
2 Ha de terrain, piscine.
Renseignements à l’agence.
MONTMOROT
Pour les locations non meublées dans le Jura, les
bailleurs peuvent toujours opter pour les dispositifs
Borloo dans l’ancien loyer social ou intermédiaire.
Ils permettent à des bailleurs d’obtenir une
déduction forfaitaire sur leurs loyers de 60 % ou
30 % selon la nature de la convention signée avec
l’ANAH. Toutefois, pour les conventions conclues à
compter du 1er janvier 2015, le plafond de loyer doit
être établi dans le respect du plafond de loyer du
dispositif d’investissement locatif Pinel et les
plafonds de ressources sont également alignés sur
ceux du même dispositif Pinel.
En revanche, les conventions Borloo loyer
intermédiaire conclues avant 2015 restent soumises
aux dispositions qui leur sont propres. De fait, il y
aura désormais 2 plafonds de ressources différents
selon que la convention loyer intermédiaire a été
établie avant ou à compter de 2015.
Les APL sont revus à la hausse
Depuis le 1er octobre 2014, les montants de
paramètre de calcul des aides au logement (APL,
ALS et ALF) ont augmenté de 0,57 %. Ce taux
correspond à l’IRL (Indice de référence des loyers)
calculé pour le deuxième trimestre 2014, par l’Insee
(Institut national de la statistique et des études
économiques).
Assurance : résiliation à tout
moment de certains contrats
Auparavant, l’assuré ne pouvait rompre un contrat
d’assurance tacitement reconductible que dans un
délai de 20 jours à compter de l’envoi de l’avis
d’échéance annuelle. Le nouveau décret ouvre droit
à une résiliation à tout moment, notamment pour
les contrats d’assurance multirisque habitation.
Plâtrerie - Peinture - Revêtements de sol
19, RUE ST-DÉSIRÉ
39000 LONS-LE-SAUNIER - 03 84 24 04 91
DPE
NC
Evolution du dispositif Borloo
Loyer intermédiaire
Entreprise MERCIER SN
AGENCE IMMOBILIÈRE ET COMMERCIALE
FONDÉE EN 1950, FROISSARD PÈRE ET FILS
260 000 €
Le taux de TVA est réduit à 5,5 % pour les
constructions de logement situés dans le périmètre
des 1 300 quartiers prioritaires. Pour le Jura,
4 quartiers sont concernés : les Mesnils Pasteur à
Dole, Marjorie-les Mouillères à Lons-le-Saunier, les
Avignonnets et Chabot-Le Miroir à Saint-Claude.
DPE
F
Pete maison à rénover, emplacement
dominant plein sud, vue excep­
onnelle, 75 m2, parquets, chauffage
central au gaz, garage,
cour et jardin 392 m2.
Revêtement muraux
Décoration intérieur - Peinture
Plaque de plâtre - Cloison sèche
Revêtement de sol
Peinture façade - Isolation par l’extérieur
Laine soufflée pour isolation de comble
Flocage isolation thermique et Coupe-Feu
395, chemin des Dombes - Lons-le-Saunier
03 84 24 43 51
Fax. 03 84 24 11 82
www.mercier-peinture.fr
JURA ASSAINISSEMENT
SARL
Distributeur régional des microstations DELPHIN’WATER SYSTEM®
Spécialiste de l’assainissement non collectif
Vente aux professionnels & particuliers
Que des avantages !
Faible emprise au sol : 6 m seulement !
Cuve garantie 20 ans !
consommation d’électricité
Faible
(4 EH : 25 €/an - 6 EH : 25 €/an
2
Installation facile : le système est
complètement
pré-assemblé et est immédiatement
utilisable après l’achèvement des travaux.
ultérieur minimes : l’emploi minimal
Frais
d’équipement électrique garantit des dépenses
La solution de remise
aux normes de fosses
septiques entièrement
biologiques
Matériel vendu seul
ou installé
Assistance
d’installation
SAV & Maintenance
de réparation et d’entretien réduites.
Méthodes d’épuration naturelle : les processus de traitement
dans
le lit fixe correspondent à l’auto-épuration d’un ruisseau.
Les variations de charge (nombre de personnes) ne gênent pas
le fonctionnement de la station.
UN CONCESSIONNAIRE
PROCHE DE CHEZ VOUS !
ve
Ouvert du lundi au
ndredi de 14 h à 18 h. Samedi de 9
h à 12
h.
Tél. Fax - 03 84 70 08 78 - 06 71 98 87 37
www.jura-assainissement.fr - [email protected]
4, route de Dole - 39120 VILLERS ROBERT (Le Deschaux)
JF Meubles 03 84 47 10 58
Direction Bourg ­ Sortie Messia
336, rue Louis Rémy ­ Z.I. ­ 39570 MESSIASURSORNE
G
G
Poêles à bois et à granulés Cuisinières à bois
Cheminées contemporaines ou traditionnelles
G
G
G
G
G
G
Dossier de permis
de construire Devis
Coordination de travaux
Maîtrise d’œuvre &
expertise en bâtiment
Siret : 8043156790001
PARTICULIER OU PROFESSIONNEL
Vous recherchez un professionnel pour la réali­
sation de votre projet immobilier dans le Jura ?
Diplômé et fort d’une expérience de 13 ans dans
le domaine du bâtiment (conception, économie
de la construction, conduite de travaux, exper­
tise des sinistres), JÉRÔME MEILLAND conçoit,
chiffre et réalise votre projet de construction,
d’agrandissement ou de rénovation en toute
sécurité. Le cabinet étudie la faisabilité de votre
projet, en fonction des contraintes techniques,
des règles de l’urbanisme, de vos attentes et de
vos exigences ainsi et surtout de votre budget !
Conseils
Plans
5
BONNES RAISONS
DE CONFIER
VOTRE PROJET À
JÉRÔME MEILLAND
1- Respect du montant des travaux
2- Qualité de service garanti
3- Conception de plan sur-mesure
4- Interlocuteur unique
5- Satisfaire vos délais
EURL Jérôme Meilland ­ 215, route de la Fontaine aux daims
39570 MACORNAY ­ 03 84 86 01 56
www.meilland­maitredoeuvre.com ­ [email protected]
Conseils personnalisés
Devis gratuits
SAV
Pose par nos techniciens
Garantie décennale…
L’Art du Feu
Votre spécialiste depuis 20 ans dans la vente, l’installation
et le SAV de votre poêle à bois, poêle à granulés,
cuisinière à bois et cheminée (conception sur-mesure
avec visualisation 3D).
Showroom de 300 m²
+ de 80 modèles exposés !
avec plusieurs modèles en fonctionnement !
Distributeur des plus grandes marques :
1, boulevard Duparchy - 39000 LONS-LE-SAUNIER
03 84 47 15 71 - www.cheminees-gotti.fr
9
Pays de Lons - Hors-série mars 2015
Qualification RGE des entreprises
EN BREF
“Pas d’affolement” pour
la Fédération du BTP 39
L’ADIL du Jura est devenu PRIS
Depuis le 1er janvier 2015, seuls les travaux d’amélioration énergétique réalisés par des professionnels qualifiés RGE (Reconnus garant de l’environnement) ouvrent droit au crédit
d’impôt de transition énergétique (CITE ex-CIDD) et à l’éco-prêt à taux zéro. Les entreprises
jurassiennes seront-elles prêtes à répondre aux demandes clients ? Le point avec Rémi
Mertz, secrétaire général de la Fédération du bâtiment et des travaux publics du Jura.
Rémi Mertz, combien d’entreprises et artisans
jurassiens sont aujourd’hui labellisés RGE ?
Environ 190 entreprises sont aujourd’hui qualifiées RGE, pour un total de 1 000 entreprises
jurassiennes. Il faut préciser que certaines de ces
190 entreprises possèdent beaucoup de salariés.
De plus, toutes les entreprises du bâtiment ne
sont pas concernées par la rénovation énergétique, comme le gros œuvre, la maçonnerie…
Aujourd’hui, toutes les entreprises positionnées
sur ce marché sont RGE ou en cours. Pas d’affolement, les particuliers jurassiens trouveront des
entreprises RGE en phase, et avec de la concurrence.
Comment cette mesure a été accueillie par les
professionnels ? Sont-ils plutôt inquiets, ou au
contraire rassurés par la perspective de
nouveaux chantiers à venir ?
C’est avant tout une bonne mesure car elle
apportera de la qualité pour nos entreprises. Il y
a certes des contraintes supplémentaires, mais
cela tire la profession vers le haut.
Cette qualification est-elle longue et chère
à décrocher ?
La formation dure trois jours, avec des formations différentes par corps d’état. Concernant
les installations particulières (panneaux photovoltaïques, pompes à chaleur…), il y avait déjà
une qualification spécifique, avec des compétences techniques importantes. Le prix n’est pas
excessivement cher, elle coûte surtout du temps.
Et le temps coûte cher pour un artisan. Sans
compter les contraintes administratives, et les
audits a posteriori sur les chantiers.
Nouvelle OPAH du Grand Dole
en préparation
Il y a donc des contraintes pour les
professionnels…
C’est un véritable effort pour l’artisan qui doit
évoluer pour aller chercher la performance et
mieux vendre son métier. Je tiens à préciser que
le client particulier doit comprendre aussi que le
travail de qualité a un coût, avec des règles techniques, des matériaux de qualité…
Les entreprises RGE constatent-elles
aujourd’hui un réel afflux de chantier ?
Très sincèrement, non, c’est le souci. Pourtant, la
période est favorable, avec le nouveau crédit
d’impôt, les taux au plus bas… et pourtant le
marché a du mal à décoller. Nous avons poussé
nos entreprises à se former, mais aujourd’hui
elles nous disent qu’elles ont du mal à voir les
clients. Il y a peut-être aussi un déficit d’informations du grand public. C’est pour cette raison
que nous organisons des journées d’informations (voir ci-contre) sur l’amélioration de l’habitat, avec des micros conférences, des ateliers…
Propos recueillis par C.G.
Le Plan national de rénovation énergétique de l’habitat
s’appuie sur un réseau de Point rénovation info service
(PRIS) pour informer les particuliers sur l’ensemble des
aides financières et fiscales en faveur de la rénovation
énergétique. L’Adil du Jura constitue désormais l’un de
ces points d’information. De nombreuses aides
financières et fiscales existent pour financer des travaux
de rénovation énergétique, qu’il s’agisse des subventions
de l’Anah, des collectivités (conseil général, conseil
régional,..), de prêts avantageux tels l’éco-prêt ou encore
d’avantages fiscaux sous forme de crédits d’impôt.
Toutes ces aides répondent aujourd’hui à une même
logique : améliorer efficacement la performance
énergétique des bâtiments. Pour cela, le financement est
favorisé dans le cadre de bouquet de travaux
d’économie d’énergie ou dans l’amélioration significative
de la performance énergétique.
Journées d’informations sur l’amélioration de
l’habitat : 21 mars à La Commanderie de Dole,
et 18 avril au Carcom de Lons-le-Saunier.
De 9 h 30 à 17 h.
L’actuelle Opération programmée d’amélioration de
l’habitat (OPAH) du Grand Dole, mise en place lors de la
précédente mandature de Claude Chalon, se terminera
en juin 2015. La nouvelle majorité de l’agglomération a
d’ores et déjà fixé l’objectif de mettre en place une
nouvelle OPAH. Il s’agit d’une action ayant pour but
d’encourager la réhabilitation du patrimoine bâti,
d’améliorer le confort des logements et de favoriser
l’accueil des nouvelles populations. Les travaux
d’amélioration de l’habitat répondant aux critères
d’éligibilité donneront droit à des subventions
exceptionnelles de l’Agence nationale de l’habitat (Anah)
et du Grand Dole. L’agglomération est aujourd’hui en
attente d’en savoir plus sur les montants des
subventions de l’Anah. “Cette OPAH sera différente et
sera axée sur le renouvellement urbain pour des îlots
profondément dégradés, où on peut davantage être
coercitif à l’égard des propriétaires pour des logements
dangereux et insalubres” précise Jean-Baptiste Gagnoux,
mandaté au Grand Dole pour la “Politique de la ville”.
Mais avant d’en arriver à des mesures coercitives, l’élu de
la ville de Dole précise que tout sera fait pour d’abord
inciter les propriétaires à lancer des travaux de
rénovation. “En parallèle, nous essaierons aussi de lancer
un programme de rénovation de façades, non pris en
charge par l’Anah.”
Les aides pour la rénovation énergétique dans le Jura
Quel type de chauffage choisir, quelle énergie privilégier, quels travaux entreprendre pour améliorer la
performance énergétique de son logement, quelles aides mobiliser pour financer notre projet… : autant de
questions que chacun d’entre nous nous posons à l’heure de la hausse continue du prix des énergies et dans
un légitime souci de réduire notre facture énergétique. Avant d’engager tous travaux, votre première démarche
doit être de vous renseigner sur l’intérêt d’engager tels ou tels travaux, de concilier économies d’énergie et
respect de l’architecture de votre bâtiment, et enfin de connaître les aides de nature à concrétiser votre projet.
L’octroi d’aides est subordonné à faire réaliser les travaux par une entreprise, qui doit dans certains cas avoir la
qualification RGE. En outre, ne démarrez jamais les travaux avant d’avoir déposé vos dossiers de demandes de
subventions et avant d’avoir obtenu l’autorisation de démarrer vos travaux.
Le conseil régional de Franche-Comté accompagne les particuliers souhaitant s’engager dans un projet de
rénovation BBC (bâtiment basse consommation) : c’est programme EFFILOGIS. Dans ce cas, un audit
énergétique devra être préalablement réalisé par un thermicien. Cet audit dont le coût a été négocié par la
région à 700 euros vous reviendra en réalité à 150 euros car la région financera les 550 euros restants. Suite à
cet audit, si vous souhaitez vous engager dans la démarche rénovation BBC globalement ou par étapes, vous
pourrez obtenir une aide de la région cette fois-ci pour financer les travaux.
Selon l’importance de votre projet, une autre subvention pourra être sollicitée : c’est l’aide de l’Anah (Agence
Nationale de l’Habitat) et de ses partenaires dans le cadre du programme Habiter mieux (voir page 17 de notre
dossier Habitat). Une aide est en effet octroyée
aux propriétaires occupants dont les revenus ne
dépassent pas certains plafonds et qui réalisent
des travaux permettant de gagner au moins 25 %
de gain de performance d’énergie. Cette aide peut
également être ouverte aux propriétaires bailleurs
sans condition de ressources mais avec une
obligation de performance énergétique plus
élevée (+ 35 %).
Il existe un autre dispositif : les certificats
d’économie d’énergie. Ces primes se demandent
auprès des fournisseurs d’énergie qui sont tenus soit de réaliser eux-mêmes des économies d’énergie, soit
d’acheter auprès des particuliers les économies générées par les travaux réalisés, soit de payer une surtaxe à
l’Etat. Attention : de tels certificats ne peuvent pas être cumulés avec les aides de l’Anah. Vous ne pouvez
obtenir qu’une prime par nature de travaux. Rendez-vous sur les sites internet des fournisseurs d’énergie pour
connaître la prime que vous pourriez obtenir selon la nature des travaux que vous allez réaliser. Puis faites votre
demande en ligne avant d’engager les travaux.
Portes
ouvertes
DU 13
AU 29 MARS
OUVERT : du lundi de 14 h à 18 h 30
Mardi au vendredi de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 18 h 30
le samedi de 9 h 30 à 12 h et de 14 h à 17 h
Tél. 03 84 85 08 81
Piscines Concept 39 - Patrice BUATOIS / Concessionnaire exclusif JURA
51, rue E. Vauchez - 39570 MESSIA-SUR-SORNE (LONS)
www.desjoyaux.fr - [email protected]
10
Hors-série mars 2015 -
Lons-le-Saunier
Pays de Lons
Rénovation urbaine :
déjà 120 logements réhabilités
La politique de la ville concerne les actions mises en place par la collectivité pour revaloriser les zones
urbaines sensibles (ZUS). A Lons-le-Saunier, deux quartiers sont définis comme sensibles, La Marjorie et Les
Mouillères, et ont bénéficié des crédits de l’ANRU, l’Agence nationale pour la rénovation urbaine. Ces
subventions ont permis une réhabilitation massive de logements et la construction de nouveaux aménagements au cœur de ces quartiers. Mais la ville ne sera pas éligible pour le programme de l’ANRU 2. Le point
avec Nadia Benagria, adjointe chargée notamment de la politique de la ville, et Daniel Bourgeois, premier
adjoint en charge de l’urbanisme pour la ville de Lons.
Les quartiers de la Marjorie et des
Mouillères resteront-ils des quartiers
prioritaires pour la nouvelle politique
de la ville du Gouvernement ?
D.B. : L’État a défini une nouvelle liste de
1 300 quartiers prioritaires dans laquelle
les deux quartiers lédoniens figurent
(NDLR : contre 2 600 auparavant). En
revanche, ils ne figurent pas dans la liste
des 200 quartiers déclarés d’intérêt
national de l’ANRU. 80 % des crédits de
l’ANRU 2 iront à ces quartiers d’intérêt
général.
Les périmètres des zones urbaines
sensibles vont être revus selon les
critères de l’État. Vont-ils changer
pour les deux quartiers lédoniens ?
D.B. : Ils ont été légèrement modifiés,
mais on conserve le même pourtour, les
mêmes rues. Une zone pavillonnaire à
côté de l’école Jacques Prévert a été retirée. On a pu obtenir ce que l’on souhaitait, c’est-à-dire remplacer les copropriétés par des HLM qui ont accès aux
financements.
Quel est aujourd’hui le bilan de
l’ANRU 1 à Lons-le-Saunier ?
N.B. : Plus de 16 millions d’euros ont été
investis dans le cœur de quartier de la
Marjorie, et 120 logements ont déjà été
réhabilités. Tous les aménagements
seront terminés en septembre, avec les
dernières plantations. Nous n’avons pas
été retenus pour l’ANRU 2, mais nous
avons sollicité le préfet de région pour
être éligibles aux aides du contrat Étatrégion. L’objectif est de poursuivre les
réhabilitations, car des habitants attendent pour leur logement.
La politique de la ville est devenue
intercommunale depuis une année
pour l’agglomération lédonienne. Les
communes d’ECLA ont-elles accepté
facilement de mettre dans le pot
commun pour des quartiers qui ne
sont pas le leur ?
N.B. : Il y a une cohérence dans ce transfert de compétences, on raisonne sur un
bassin d’emploi. On ne peut plus mener
une politique de quartier sans tenir
compte du bassin d’emploi. En construisant des logements sociaux en dehors
des quartiers de La Marjorie et des Mouillères, on désenclave aussi ces quartiers.
Approuvez-vous le terme du premier
ministre Manuel Valls quand il parle
d’apartheid pour qualifier les
quartiers sensibles ?
N.B. : Dans le précédent contrat de ville,
on parlait de risque de ghettoïsation.
Aujourd’hui, on peut dire que le risque est
moindre, voire nulle pour Lons-le-Saunier,
et au-delà pour tout le Jura.
La mixité sociale est aujourd’hui un
volet important de la politique de la
ville. Quelle part de logements
sociaux se trouve aujourd’hui en
dehors de la zone urbaine sensible ?
D.B. : 80 % des logements sociaux sont
implantés sur la ville de Lons. La plus
grosse partie est concentrée sur les quartiers de La Marjorie est des Mouillères,
mais il y en a aussi place de la Comédie,
aux Princières… Aujourd’hui, l’enjeu est
d’essayer de mettre de nouvelles productions dans les autres communes d’ECLA.
Les cibles sont les communes périphériques comme Montmorot, Perrigny,
Courlans, Courlaoux là ou du développement économique est prévu. Nous prévoyons de construire 20 logements
sociaux par an dans le parc public. Mais
nous préférons mettre les moyens pour
réhabiliter le parc social, plutôt que de
construire.
Quels sont les programmes de
construction et de réhabilitation
hors zone en cours ?
D. B. : Pour la construction de logements
sociaux, nous privilégions plutôt de
petites opérations afin de mieux les
répartir et favoriser la mixité. Un lotissement vient de sortir de terre à Perrigny.
Pour le volet réhabilitation, on s’est fixé
un objectif de 70 logements à rénover
par an. En ce moment, il y a par exemple
un programme de réhabilitation boulevard Jules-Ferry, entre autres.
Pour favoriser la mixité sociale, vous
construisez ou réhabiliter des
logements sociaux hors zone, mais
comment faire venir des familles plus
aisées dans les quartiers de La Marjorie
et des Mouillères ?
N.B. : C’est la grosse difficulté. Il faut
changer l’image du quartier qui est toujours stigmatisé par les habitants extérieurs au quartier. L’enjeu est de retravailler les espaces publics pour améliorer
l’attractivité, en faire un quartier agréable à vivre… La Maison commune permet
déjà le brassage des populations avec des
gens extérieurs qui viennent participer à
des activités. D’autres aménagements
structurants comme la Maison de l’emploi et des services amènent également
des gens de la ville.
Comment favoriser l’accession sociale
à la propriété et le parcours
résidentiel dans ces quartiers ?
D. B. : Nous avons notamment proposé
aux bailleurs sociaux de nous racheter un
terrain pour y construire des logements
en accession sociale, avec une part des
loyers prélevée les premières années afin
de constituer un apport pour un futur
achat immobilier.
Quelles seront les priorités du
nouveau contrat de ville ?
N. B. : Un bilan du premier contrat de ville
nous montre que 90 % des objectifs de
départ sont atteints, comme la mise en
place de la Maison de l’emploi et des services. Aujourd’hui, il faut confirmer la
baisse des écarts entre ces quartiers et le
reste de l’agglomération, en matière d’indicateurs scolaires, de précarité La
grande proportion de familles monoparentales nous inquiète. Si cela est
confirmé par les chiffres, il faudra mettre
en place des actions pour contribuer à
aider ces personnes.
Propos recueillis par C.G.
DÉTECTEURS DE FUMÉE
L’installation pourrait
être reportée sous condition au 1er janvier 2016
Tous les lieux d’habitation (appartement, maison)
devront être équipés d’au minimum un détecteur
de fumée normalisé au plus tard le 8 mars 2015.
Mais les députés ont adopté un délai
supplémentaire pour les propriétaires, en raison du
risque de rupture de stock des produits, et pour les
bailleurs d’importants parcs de logements. Ce
report ne pourrait être accordé que si le
propriétaire a signé “un contrat d’achat des
détecteurs au plus tard au 8 mars 2015”. Attention
toutefois, cet amendement n’a pas encore été
signé par les sénateurs, et il est donc plus prudent
de s’équiper dès aujourd’hui.
L’installation d’un détecteur de fumée doit
permettre de détecter les fumées émises dès le
début d’un incendie, et d’émettre immédiatement
un signal sonore suffisant pour permettre de
réveiller une personne endormie. Le détecteur doit
être fourni et installé par le propriétaire du
logement, que celui-ci occupe son logement ou le
mette en location. Avant cette date et si le
logement est occupé par un locataire, une
alternative est offerte au bailleur qui peut soit,
fournir le détecteur à son locataire, soit, lui
rembourser l’achat. Dans ces deux cas, il
appartiendra au locataire de procéder à la pose du
détecteur. Le détecteur doit être installé de
préférence dans la circulation ou dégagement
(palier, couloir) desservant les chambres. Lorsque le
logement ne comporte pas de circulation ou
dégagement (cas des studios), le détecteur doit
être installé le plus loin possible de la cuisine et de
la salle de bain, et être fixé solidement en partie
supérieure, à proximité du point le plus haut et à
distance des autres parois ainsi que des sources de
vapeur (fumées de cuisson et vapeur d’eau). Dans
les maisons ou dans les
appartements comportant
plusieurs étages, il est
recommandé d’installer un
détecteur par étage. Dans les
logements de grande
surface, il est également
recommandé d’installer plusieurs détecteurs. À
partir du 8 mars 2015, la vérification de présence et
du bon fonctionnement du détecteur sera faite au
moment de la mise en location du logement lors
de l’état des lieux d’entrée. L’obligation d’entretien
et de remplacement du détecteur appartient à
l’occupant du logement. Ainsi, dans un logement
loué, le locataire doit veiller en cours de bail au bon
fonctionnement du détecteur en vérifiant et en
remplaçant les piles ou le détecteur (en cas de
défaillance).
Le locataire ou le propriétaire qui occupe son
logement doit déclarer à son assureur avec lequel il a
conclu un contrat garantissant les dommages
d’incendie que le logement est équipé d’un détecteur
de fumée. Cette notification est faite par la remise
d’une attestation. Aucune sanction n’est
actuellement prévue par la réglementation en cas de
non installation du détecteur de fumée. La
compagnie d’assurance ne peut d’ailleurs pas se
prévaloir du défaut d’installation du détecteur pour
s’exonérer de son obligation d’indemniser les
dommages causés par un incendie.
FERMETURES
ISOLATION
ERIES!
IS
U
N
E
M
S
E
L
R
U
S
S
A
PRIX B
’au 31
* Offre valable jusqu
mars 2015
Fenêtre PVC blanc
sur-mesure
(Max. 1500 x 1600 mm)
2 vantaux + oscillo-battant
Garantie 10 ans
Coefficient thermique = 1,3 W/m2.k
399 €*
Prix TTC posé
TVA 5,5%
Isolation thermique
extérieure à partir
de 79 €/m2
Renseignez-vous !
- Fenêtres PVC / ALU / BOIS - Volets roulants / battants - Portails ALU / PVC - Portes de garage - Store intérieur / extérieur Crédit d'impot 30 %
87 Route de Beauregard - 39570 COURBOUZON
Tél. 03 84 43 02 82 - 06 77 70 83 43
www.grigi-technique.com - [email protected]
NOUVEAU À LONS !
Vous aimerez faire construire
créateur
constructeur
www.1001-maisons.fr
03 84 72 90 84 - M. Bullier au 06 85 68 06 36
Entreprise agrée
Ardiet parquets
habille vos murs du sol au plafond
R
esponsable de la structure depuis près
de dix ans, depuis l’an dernier Élise
Ardiet a pris la suite de son père Chris­
tian dans la gestion de l’entreprise créée à
Messia, en 1968, par son grand­père Jean
Ardiet. Et la dynamique entrepreneuse n’a pas
mis longtemps à apposer sa patte sur une
entreprise artisanale dont la réputation d’excel­
lence, le professionnalisme et la notoriété ne
sont plus à faire.
À sa création essentiellement spécialisée dans
les activités de ponçage, de rénovation et de
vitrification des parquets, en sus des profes­
sionnels, de nombreuses administrations et
gérants de copropriété qui font régulièrement
appel à elle, la société s’est depuis largement
ouverte aux particuliers et compte désormais
plusieurs centaines de fidèles clients. Une
ouverture qui trouve son prolongement dans la
palette de services désormais proposée par
Ardiet Parquets. Outre l’activité traditionnelle
de vente, de pose et/ou de rénovation de par­
quets, assumée à chacune des étapes par une
équipe de techniciens spécialisés, les porteurs
de projets peuvent désormais découvrir dans
le flambant neuf showroom de 60 m2, à partir
de 12,99 € TTC, une large gamme de parquets
(flottants, traditionnels, contrecollés, lames
vinyles, stratifiés) et, à partir de 15,99 € TTC, des
revêtements muraux avec les lambris nouvelle
génération, esthétiques et faciles à poser dont
l’originalité et les prix ajustés prouvent qu’il
n’est nul besoin de fréquenter les grandes sur­
faces “fourre­tout” pour bénéficier de produits
durables et de qualité soigneusement sélec­
tionnés…
Particulier ou professionnel, chacun peut choi­
sir sa prestation à la carte, de la vente simple
avec ou sans la pose, à la rénovation. “Les par­
ticuliers aiment venir chez nous car ils sont bien
conseillés et disposent d’un large choix de pro­
duits”, détaille Elise Ardiet. “Nos produits sont
très qualitatifs, car c’est ce qui fait notre signa­
ture depuis 1968, mais aujourd’hui nous avons
su développer des produits plus accessibles
financièrement. Nous avons toute une gamme
de produits faciles à poser, y compris pour les
débutants, et, en tant que professionnels, nous
sommes là pour expliquer clairement aux
clients comment procéder et leur apporter
toutes les informations techniques dont ils ont
besoin”. Chez Ardiet Parquets, toute demande
de devis est évidemment gratuite et sans
aucune obligation d’achat.
Ardiet Parquets
319, rue Louis-Rémy
39570 Messia-sur-Sorne
À 3 minutes de Lons, à la sortie de Messia,
direction Bourg par la nationale.
03 84 43 05 10
Fax : 03 84 47 56 73
[email protected]
Ouvert du lundi au vendredi de 9 h à 12 h et de
14 h à 19 h et le samedi matin de 9 h à 12 h.
Découvrez Ardiet parquet sur Internet
www.parquets-ardiet.com
Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 92
I Publirédactionnel
13
Pays de Lons - Hors-série mars 2015
Précarité énergétique
Des ateliers pour aider à réduire
les charges d’eau et d’énergie
Pour la troisième année, le Relais d’accueil et de services du Val
d’Amour, en lien avec la Maison des Solidarités d’Arbois et EFOR 39,
relaie dans le Val d’Amour le dispositif du conseil général Energie Logis.
Cinq ateliers pédagogiques pour apprendre les bons gestes afin de
réduire les charges en eau et électricité sont prévus jusqu’à mai.
Dans le Jura, entre 1 300 et 1 400 familles bénéficient chaque
année des aides financières du conseil général du Jura (Fonds de
solidarité pour le logement) car elles ne parviennent pas à s’acquit­
ter de leurs factures d’énergie. Avec l’augmentation du coût des
énergies, la précarité énergétique est devenue une réalité cruelle
pour de nombreux foyers jurassiens. Selon une étude de l’INSEE,
plus les ménages habitent dans des zones rurales et des logements
vétustes, plus ils sont en état de “précarité énergétique”. Un défi
majeur pour les collectivités, et pour le conseil général du Jura qui
est chef de file sur cette question. Une première action avait été
initiée en septembre 2012, dans le cadre du dispositif Energie
Logis, en partenariat avec EDF Solidarités, et avait accompagné 300
familles en situation de précarité, afin de leur permettre de mieux
maîtriser leur consommation d’énergie. En 2013, puis 2014, des
“kits énergie” étaient distribués aux Jurassiens.
Le dispositif est reconduit cette année, en partenariat avec le
Relais d’accueil et de services d’Ounans. Avec l’appui technique de
nombreux partenaires (EDF Solidarités, ARS, AJENA, ADIL du Jura,
Jura Habitat), des conseils pratiques seront apportés lors des ate­
liers pour acquérir les bons réflexes en matières d’économie
d’énergie ou encore pour mieux choisir un futur logement. Cinq
ateliers sont prévus (voir ci­dessous), avec inscription obligatoire,
gratuits, ouverts à tous, avec une priorité toutefois accordée aux
habitants du Val d’Amour. “Tout le monde peut y participer, sans
conditions, propriétaires, locataires, associations… même si l’on
vise surtout les personnes en situation de précarité énergétique”
précise Noémie Poncet, coordinatrice du Relais d’accueil et de ser­
vices du Val d’Amour. Avec une seule restriction : ceux et celles qui
s’inscrivent pour un atelier devront participer à l’ensemble des
ateliers prévus, avec, au terme du programme, une remise d’un kit
énergie. Ce dernier sera composé de divers outils permettant de
réduire les consommations : ampoule basse consommation,
mousseur pour robinet, prise à économie d’énergie…
Ateliers au Relais d’accueil et de services du Val d’Amour :
mardi 10 mars à 14 h : la maîtrise de l’énergie. Mardi 31 mars à 14 h :
le chauffage. Mardi 7 avril à 14 h : les clés d’un logement bien isolé.
Mardi 21 avril à 14 h : bien vivre son logement. Mardi 12 mai à 14 h :
la lecture de sa facture d’énergie. 11, route de Salins Ounans.
Tél. 03 84 37 77 69 / Fax : 03 84 37 77 44
Les seniors francs-comtois privilégient la maison individuelle
C’est ce qui est ressorti d’une étude de
l’INSEE du mois dernier. La maison
individuelle constitue l’habitat privilégié par
l’ensemble de la population franc-comtoise
(60 %), en particulier dans les départements
les moins urbanisés. C’est encore plus vrai
pour les seniors. Avant 75 ans, 75 % des
seniors francs-comtois occupent une maison
individuelle, 24 % un appartement et 1 %
vivent en communauté (maison de retraite
essentiellement). Avec l’âge, la part de
personnes résidant en appartement reste
stable, tandis que celle des personnes vivant
en maison individuelle diminue
essentiellement au profit du logement en
communauté. La bascule est nette après 85 ans,
reflétant des difficultés plus importantes à
vivre de façon autonome dans une maison.
En conséquence, la part de seniors
propriétaires de leur logement diminue au
fur et à mesure que l’âge avance. Avant
75 ans, 80 % des seniors sont propriétaires de
leur logement. Après 85 ans, cette part baisse
de 20 points, correspondant à la progression
des personnes vivant en communauté ou
logées gratuitement dans leur famille.
Toutefois, après 85 ans, plus de la moitié des
seniors résident toujours dans une maison et
60 % des personnes sont encore propriétaires
de leur logement.
Faible mobilité résidentielle
chez les seniors
Les personnes âgées de 65 ans et plus ont
une faible mobilité résidentielle. Elles sont
nombreuses à continuer d’occuper le même
logement alors que leur situation familiale a
pu évoluer depuis leur emménagement
(départ des enfants ou décès du conjoint,
passage à la retraite). Dans la région, 16 %
des seniors vivent dans leur logement depuis
moins de dix ans. Parmi les seniors de moins
de 75 ans, la mobilité résidentielle récente est
toutefois plus élevée que chez les plus âgés :
20 % ont déménagé depuis moins de dix ans
contre 11 % parmi les personnes de 85 ans et
plus. En conséquence, les logements occupés
par les seniors sont souvent de grande taille :
77,6 % des seniors vivent dans un logement
de quatre pièces ou plus.
Source : INSEE Franche­Comté
JURA LOCATION SERVICES
06 08 53 16 44
[email protected]
PARTICULIER
S
PRO
COLLECTIVITÉ
S
MATÉRIEL TP - MOTOCULTURE
6/7 j
UTILITAIRES / REMORQUES
LOCATION AVEC OU SANS CHAUFFEUR
CONTRATS PRO ET FORFAITS WE
LIVRAISON ET ENLEVEMENT GRATUITS
14
Hors-série mars 2015 -
Pays de Lons
Tarifs des notaires du Jura : qu’estce qui va changer avec la loi Macron ?
Les députés sont parvenus à un compromis afin d’autoriser la pratique de remises encadrées.
Dans une certaine tranche non fixée à ce jour, des remises seront applicables, mais les actes les
plus simples seront toujours soumis à un tarif unique. Les notaires dénoncent une privatisation du
droit. Alors assiste-t-on à une colère de “nantis-profiteurs” comme on a pu l’entendre, ou à une
ultra-libéralisation du système juridique français, qui servira les profits de quelques-uns, mais qui
aboutira à un lent déclin de la profession, mettant en péril la sécurité juridique ? Décryptage avec
Me Valérie Cerri, présidente de la chambre départementale des notaires du Jura.
Les députés sont finalement revenus sur le principe du corridor
tarifaire, mais les notaires pourront pratiquer des remises.
Qu’est-ce que cela implique pour les notaires ?
Dans le projet de loi déposé en décembre 2014, un article faisait état du
corridor tarifaire, permettant aux notaires de faire varier leur prix dans
une fourchette comprenant un maximum et un minimum. Le client et
le notaire pouvaient se mettre d’accord sur le tarif dans cette fourchette imposée. Ce qui change aujourd’hui avec cette nouvelle mesure,
c’est la possibilité d’effectuer des remises dans une certaine tranche de
prix que l’on ignore aujourd’hui. Cela suppose donc une transparence
des tarifs avec un affichage des prix. Cette tranche pourrait sans doute
se situer entre 100 000 et 300 000 euros.
Plus de transparence dans les tarifs, et une possibilité de négocier
le prix pour le client : cela va donc dans le sens des particuliers ?
Si on va véritablement dans cette tranche, cela aura un impact très fort
en milieu rural, comme le Jura, où la moyenne des transactions pour
les maisons anciennes est de quelque 130 000 euros. Pour les particuliers, cela peut signifier une baisse des frais dans certains cas, mais aussi
une hausse pour des actes moins rémunérateurs afin de parvenir à un
équilibre. En effet, avec l’ouverture à la concurrence par ce système de
remises, si le client n’accepte pas les tarifs d’un notaire, il devra en trouver un autre. Mais quel notaire acceptera de travailler à perte ?
J.M. CHAUVIN
Plâterie - Peinture
Revêtement sols et murs
Façades - Plafonds tendus
Parquets flottants
Arrondissement de Dole
Rue du Château
9130 PATORNAY
1627 : indice du coût de la construction au 3e trimestre 2014,
soit une baisse de - 0,93 % par rapport au 3e trimestre 2013.
-
125,29 : indice de référence des loyers au 4e trimestre 2014,
soit une hausse de 0,37 % par rapport au 4e trimestre 2013
-
108,52 : indice des loyers commerciaux au 3e trimestre 2014,
soit une hausse de 0,05 % par rapport au 3e trimestre 2013.
- 127,73 : indice mensuel des prix à la consommation en
décembre 2014, soit une hausse de 0,21 % par rapport au mois
précédent.
Jusque-là, nos tarifs ont toujours été imposés par l’État, permettant
d’aboutir à un équilibre économique de nos structures. Entre l’immobilier et le droit de la famille, concernant les actes les moins importants,
les tarifs sont les mêmes pour tous les clients dans toute la France. Le
tout avec des tarifs raisonnables inférieurs au coût de production pour
les actes les moins importants, et une rémunération avec de plus fortes
marges pour les actes les plus gros, afin d’arriver à un équilibre économique, permettant également d’assurer nos conseils gratuits (40 % de
notre temps). Cette pratique des remises remettra en cause l’équilibre
des structures, et stoppera toute embauche dans les études. Dans le
Jura, cela signifie 61 emplois qualifiés supprimés sur 182 postes au total.
Propos recueillis par C.G.
Conjoncture :
“On sent un frémissement”
En 2014, la présidente de
la chambre départementale des
notaires du Jura,
Me Valérie
Cerri, parle globalement
d’une année
difficile. A
l’image de la
conjoncture
économique, le
marché de l’immobilier s’est montré plutôt atone et mitigé. “On peut
parler d’un marché beaucoup plus difficile sur cette
période, tant dans la demande des acquéreurs, que
dans les exigences des banques, le tout ayant freiné
les opérations, et donc diminué le nombre de mutations” analyse Me Cerri. Après une décennie d’euphorie immobilière et de développement du secteur, 2008 et la crise ont marqué un effondrement
de l’activité.
Des acquéreurs
de plus en plus exigeants
www.chauvin39.com
-
Quels impacts pour les offices notariaux ?
Dans l’ancien, le prix moyen pour un appartement est de 75 000 euros dans
le Jura. Pour les maisons anciennes, le prix médian est de 125 000 euros,
mais légèrement plus élevé pour le secteur dolois que pour Lons.
Quant aux terrains à bâtir, on avoisine une moyenne de 35 000 euros.
Profitez en 2015 :
- Du crédit d’impôt à 30 %
- Du prêt à 0,85 %
EN CHIFFRES
Nous avons aujourd’hui une obligation d’instrumenter, c’est-à-dire que
nous n’avons pas le droit de refuser un acte. Mais la pratique d’une
remise est en contradiction avec cette obligation d’instrumenter ! Si le
client et le notaire ne parviennent pas à se mettre d’accord sur la
remise, le client peut ne pas trouver de notaire. Cela peut également
aboutir au fait que de jeunes notaires privilégient la pratique des prix
bas pour attirer la clientèle nécessaire à sa survie. Ainsi, avec plus de
volume mais moins de temps pour chaque dossier, on va à l’encontre
de la sécurité juridique. Le droit n’est pas une marchandise.
Les prix par secteur
ISOLATION
PAR L’ EXTÉRIEUR
03 84 48 35 49
Vous dénoncez donc une certaine privatisation du droit ?
Arrondissement de Lons-le-Saunier
En ce début d’année, avec des taux qui n’en finissent pas de baisser et les nouvelles aides de la loi
de finances 2015, tout devrait être réuni pour attirer et consolider la part des primo-accédants. Mais
la présidente des notaires du Jura reste mesurée :
“On sent un frémissement en ce début d’année,
c’est encourageant.” Elle note cependant une forte
évolution du comportement des acheteurs, qui
deviennent encore plus exigeants. Autrement dit,
les acquéreurs mèneraient-ils la danse ? Avec les
prix du m2 en baisse et les taux bas, ils veulent
dénicher la meilleure affaire et se montrent exigeants sur les nouvelles normes, sur l’isolation, les
coûts liés à l’énergie… Mais aussi sur l’emplacement idéal, la meilleure exposition… “On veut du
plain-pied, des vérandas, pas de contrainte dans la
distribution des pièces”, reprend Me Valérie Cerri.
“Les émissions télévisuelles sur l’immobilier ont de
plus en plus d’impact sur les acheteurs. Ils veulent
également un coût de fonctionnement maîtrisé”.
Les vendeurs, de leur côté, commencent à entendre les arguments. Dans ce marché de l’immobilier
entre deux eaux, les acheteurs pourraient bien
devenir les rois...
DUBOIS NETTOYAGE
a réussi sa révolution industrielle
Débutée en 1963 grâce à son créateur Gilbert
Dubois, la saga de Dubois Nettoyage Lédonien
se perpétue encore aujourd’hui au sein l’entre­
prise grâce aux deux filles du pré­cité,
Véronique Renaud et Nathalie Blanchon qui,
depuis vingt ans, ont repris les rênes de la
société familiale.
A l’origine une entreprise de nettoyage ayant
vocation à s’adresser à une clientèle de profes­
sionnels (industriels, hôtels, gérant de
copropriétés, cabinets de professions libé­
rales…) et d’institutionnels (collectivités
territoriales, administrations…), la société
catharus avait rapidement ouvert ses presta­
tions au grand public.
Tout en diversifiant ses activités pour les élargir
aux services aux particuliers désireux de pou­
voir bénéficier de l’expertise et du savoir­faire
acquis en plus de cinquante ans par des profes­
sionnels. Adhérente à la Fédération des
entreprises de nettoyage du grand Est, dont
Véronique Renaud est d’ailleurs l’efficace secré­
taire générale, scindée en deux entités dis­
tinctes, Dubois nettoyage lédonien ayant pour
vocation l’entretien des locaux, la vitrerie, le
décapage, le nettoyage de moquette, de tapis,
de fauteuils, l’entretien des parties communes
des immeubles, le nettoyage mécanique des
sols et les travaux en hauteur, l’entreprise, à
travers Dubois Service à la personne propose
une large palette d’assistance aux particuliers.
Créée en 2006, cette structure apporte des
solutions adaptées dans des domaines aussi
variés que le ménage, le repassage, les courses,
la vitrerie, l’entretien des vérandas, moquettes,
tapis, le nettoyage approfondi de la maison, le
lavage haute­pression ou mécanique des sols,
terrasses et divers nettoyages sur demande. S’y
ajoute des travaux d’espaces verts comme la
tonte, la taille de haies, le bêchage et de nom­
breux travaux extérieurs. Sans oublier le petit
bricolage : montage de mobilier, pose de
cadres, de rideaux et la manutention. Des ser­
vices qui pour le client sont assortis d’avantages
sous la forme d’une TVA réduite et de réduc­
tion d’impôts.
Une entreprise moderne à la pointe
de l’évolution technologique
Soucieuse d’évoluer avec son époque tout en
s’appuyant sur son indéniable expérience, la
société Dubois s’est engagée depuis 2011 dans
un process ‘’écolo­responsable’’ respectueux
de l’environnement : “Nous avons changé nos
produits et en les remplaçant par des produits éco­
logiques aussi efficaces, ainsi que les méthodes de
travail et le matériel”, détaille Véronique
Renaud. “Nous participons à des formations tech­
niques qui portent aussi sur l’amélioration du
travail en entreprises “Gestes et postures” ou sur
la façon de mettre en place une éco­conduite dans
l’entreprise. Nous restons une entreprise à taille
humaine dont de nombreux salariés sont dans la
société depuis plus de 15 ans. À tous les échelons
de responsabilité, ils partagent nos valeurs : le res­
pect, la fidélité, la discrétion, la confidentialité, la
Nos locaux sont ouverts du lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 18 h, et le vendredi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h.
Dubois nettoyage - 14, Avenue Maillot - 39570 MONTMOROT - Tél : 03 84 47 12 71
proximité, la réactivité et le professionnalisme”.
Signe des temps, Dubois nettoyage, qui
rayonne depuis bien longtemps au­delà du bas­
sin lédonien, vient de changer de logo afin de
rajeunir son image. Devenu Dubois nettoyage,
autre signe des temps, l’entreprise s’est dotée
d’un nouveau site internet, s’est ouverte à la
vente aux particuliers de produits profession­
nels écolabelisé, microfibres et de matériel
professionnel utilisé au sein de l’entreprise, et
propose maintenant un service de repassage
de linge dans ses locaux.
Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 92
I Publirédactionnel
17
Pays de Lons - Hors-série mars 2015
Rénovation énergétique : les primes
de l’Etat vont baisser en 2015
Le programme de lutte contre la précarité
énergétique de l’Etat verra ses subventions
baisser en 2015. Après avoir ouvert les robinets depuis 2013 en augmentant les plafonds de ressource, l’enveloppe est
aujourd’hui mangée.
Réservé aux propriétaires occupants aux revenus modestes, le pro­
gramme “Habiter mieux” permet de subventionner des travaux
d’économie d’énergie, à condition que ces travaux permettent de
réaliser au minimum 25 % d’économie d’énergie. Ce programme est
alimenté d’une part par les subventions de l’ANAH, l’Agence natio­
nale de l’habitat, et par le FART, le Fonds d’aide à la rénovation ther­
mique. Dans le Jura, c’est l’association Jura Habitat qui est le relais
de ce programme auprès des particuliers. Les techniciens de Jura
Habitat réalisent au préalable un diagnostic au domicile des proprié­
taires afin de définir quels travaux permettraient d’atteindre ces
fameux 25 % d’économie d’énergie. “Nous proposons des travaux
qui n’étaient pas forcément prévus, mais qui permettront au proprié­
taire d’être gagnant au final, car il obtiendra plus d’aides, et plus
d’économie d’énergie à terme” explique Bernard Cantenot, respon­
sable du service Habiter mieux au sein de l’association. En effet, les
propriétaires occupants peuvent aussi compter sur le programme
régional Effilogis (voir page 9), mais également sur le nouveau crédit
d’impôt CITE, les aides des collectivités dans le cadre de leur opéra­
tion programmée d’amélioration de l’habitat… “Les particuliers ne
connaissent pas forcément toutes ces aides, reprend Bernard Cante­
not. Elles peuvent se cumuler, et nous pouvons instruire les dossiers
de demande de subventions à leur place.”
Pour 2015, la nouveauté concerne les aides du programme Habiter
mieux : ces dernières ont été revues à la baisse, et sont soumises à
toujours plus d’économie d’énergie. Si les plafonds de ressources
n’ont pratiquement pas bougé pour 2015, ils ont été augmentés en
2013, selon les territoires et la composition du ménage. Avant cela,
il n’était pris en compte que les ménages dits “très modestes” (par
exemple, dans le Jura, un ménage avec un enfant et un revenu fiscal
de référence inférieur à 25 152 euros était considéré comme très
modeste). A partir de 2013, les ménages dits “modestes” sont deve­
nus éligibles (par exemple, dans le Jura, un ménage avec un enfant
et un revenu fiscal de référence situé entre 25 152 euros et
32 244 euros). Le nombre de foyers éligibles a ainsi augmenté consi­
dérablement en France comme dans le Jura. Dans le département,
100 dossiers étaient traités en 2011, 130 en 2012, 300 en 2013 et
440 en 2014. Fin 2014, on dépassait le 1 000e dossier depuis le lan­
cement du programme. Conséquence : aujourd’hui, les crédits de
l’Etat et de l’ANAH, qui devaient s’étendre sur la période 2013­2017,
sont presque épuisés. Dans le Jura, on ignore toujours à combien
s’élèvera précisément cette baisse, mais elle pourrait passer de 50 à
40 % pour les aides de l’ANAH, et de 3 000 à 2 000 euros pour le
FART. Les trois délégataires locaux de ces aides, le conseil général du
Jura, le Grand Dole et ECLA devraient prochainement procéder à la
répartition de l’enveloppe globale attribuée au département. C.G.
Macornay : une résidence
intergénérationnelle vient d’ouvrir
Face au défi du vieillissement, la question
de l’habitat et du bien-vieillir à domicile est
centrale pour les territoires, et concerne tous
les secteurs de l’habitat : bailleurs sociaux,
publics, privés et collectivités. Les collectivités
sont de plus en plus nombreuses à
aménager leur territoire en prenant en
considération cette problématique, et à
proposer une offre de logements adaptés
avec ses services, en attestent ces “résidences
seniors” qui poussent un peu partout. A
Macornay, dans le Val de Sorne, on a fait le
pari d’une résidence intergénérationnelle, qui
mêle les générations dans un même un lieu
de vie au cœur du village. Le projet est lancé
en 2009 avec l’acquisition d’un grand
bâtiment de 4 000 m2 par la communauté
de communes du Val de Sorne et la
commune de Macornay. Une partie de ce
bâtiment sera par la suite réhabilitée pour
abriter la crèche intercommunale. Le projet
communal était quant à lui retenu dans le
cadre des pôles d’excellence ruraux,
permettant d’attribuer des crédits aux collectivités pour les projets liés à la thématique du vieillissement. Les travaux débutaient alors à l’automne
2012 et se terminaient durant l’été 2014, et les premiers résidents s’installaient dès l’automne. Ce pôle intergénérationnel regroupe 13 appartements,
dont 11 destinés prioritairement à des résidents seniors, et 2 destinés à des familles. Le rez-de-chaussée est constitué de parties communes, avec
2 salles de convivialité permettant les rencontres entre résidents. Des animations ponctuelles seront mises en place quand tous les logements seront
occupés. Un bureau est destiné à accueillir divers intervenants pour des prestations accessibles à tous les administrés (assistante sociale, infirmière…).
Un local indépendant accueille depuis début 2015 la nouvelle bibliothèque municipale, et le parc devrait être aménagé au cours de l’année.
EN BREF
Comment optimiser les gains d’énergie ?
En matière de travaux d’économies d’énergie dans son logement, on
pense souvent en premier lieu au changement de fenêtres. Si le
remplacement de ces dernières par des fenêtres plus performantes
permet d’économiser de l’énergie, cela ne permettra pas toujours
d’atteindre un gain énergétique de 25 %, permettant d’être éligible
aux aides de l’ANAH (voir ci-dessus). “Remplacer les fenêtres ne suffit
pas, c’est ce qu’il faut faire en dernier, avant d’autres améliorations”,
explique Bernard Cantenot, responsable du service Habiter mieux au
sein de l’association Jura Habitat. “L’isolation des combles apporte
beaucoup”. L’isolation des combles est donc un choix de rénovation
énergétique à prioriser. En effet, jusqu’à 30 % des pertes de chaleur
se font par la toiture. Cette isolation est donc celle qui permet de
faire le plus d’économies d’énergie pour un coût moindre. Puis,
remplacer sa vieille chaudière par une chaudière à condensation
permet de réduire sa consommation de gaz jusqu’à 35 %.
Grâce aux économies réalisées et aux différentes aides réduisant
ce coût, cette chaudière gaz peut être rentabilisée en quelques
années. On pourra également revoir le système de ventilation,
et l’isolation des murs.
Le Jura retenu “Territoire à énergie
positive” par Ségolène Royal
Le Jura vient d’être retenu par la ministre de l’Ecologie, du
développement durable et de l’énergie, Ségolène Royal, lauréat de
l’appel à projets “Territoire à énergie positive pour la croissance
verte”. Le conseil général du Jura fait partie des 212 lauréats parmi
plus de 500 candidats. Cette distinction permettra au Jura de se voir
attribuer une aide financière de 500 000 euros, qui pourra être
renforcée jusqu’à 2 millions d’euros en fonction des projets. Ces
subventions se porteront sur tout ou partie des 26 projets présentés
par le conseil général du Jura. Parmi ces projets, on citera le dispositif
Energie Logis, pour aider les personnes en situation de précarité
énergétique à mieux gérer leur consommation d’énergie, et son
programme complémentaire Slime, qui propose un diagnostic
technique. On citera également l’isolation thermique extérieure du
collège de Chaussin, l’installation photovoltaïque sur la toiture du
collège de St-Laurent-en-Grandvaux pendant sa réfection, le
raccordement des collèges et autres bâtiments aux réseaux de chaleur
existants…
18
Hors-série mars 2015 -
Prêts immobiliers
Un bon dossier pour
emprunter : stop aux
idées reçues
Des taux historiquement bas
Les taux des prêts immobiliers n’ont jamais été aussi bas, pouvant descendre jusqu’à 2 %, et ne devraient pas remonter en 2015. Le point avec
Didier Henriet, président du Comité des banques du Jura, association
fédérant la plupart des banques jurassiennes.
Pourquoi les taux des prêts immobiliers sont-ils aussi bas ?
Les taux se calquent sur la valeur de la monnaie. On assiste à une
baisse régulière des taux depuis 2008. Mais lorsqu’on atteint un
certain seuil psychologique, cela marque plus les esprits. Nous
n’avons jamais connu des taux aussi bas. Mais ce qui est fondamental, c’est l’intermédiation entre ceux qui placent leur argent, et
ce que les banques prêtent. Tout est lié. Un banquier ne peut pas
vivre en rémunérant plus l’épargne qu’en ne prêtant.
Cette baisse se poursuivra-t-elle en 2015 ?
En tout cas, on peut s’attendre à ce qu’ils n’augmentent pas en
2015. Nous sommes aussi soumis à l’environnement européen. La
tendance n’est donc pas à la hausse.
Quels sont les taux les plus bas observés dans le Jura
pour un dossier solide ?
Ils ont pratiquement diminué de moitié sur 10 années. Aujourd’hui,
on peut devenir primo-accédant avec un financement à long
terme, avec un taux à 2 %, voire moins, pour un bon dossier.
La renégociation de crédits immobiliers intéresse-t-elle les
banques ?
Non, car lorsqu’elles ont acheté l’argent à des taux supérieurs, elles
peuvent perdre aujourd’hui facilement jusqu’à 20 000 euros par
dossier. Mais elles le font tout de même, car sinon, un établissement
concurrent le fera. Aujourd’hui, le client, qu’il ait un prêt existant ou
qu’il en souscrive un, est gagnant dans tous les cas.
Quelle a été la tendance en 2014 et comment s’annonce-t-elle
pour 2015 ?
L’activité est plus soutenue que les années précédentes. La tendance était à la hausse en 2014, et on voit beaucoup de projets
depuis le début de l’année 2015, alors que ça se réveille générale-
Pays de Lons
ment au printemps. Avec les nouvelles lois, les taux bas, le foncier
qui a tendance à baisser, tout est réuni pour encourager les particuliers à emprunter.
Est-il important pour les banques d’être compétitives sur ce
genre de produit ?
Le prêt immobilier est un produit d’appel, qui marque également
une relation durable avec le client. Aujourd’hui, un primo-accédant
emprunte sur une durée oscillant entre 20 et 25 ans. Les crédits sur
30 ans ne se font plus.
Les clients privilégient-ils les taux fixes ou variables ?
La tendance va plutôt vers les taux fixes, même si les taux variables
reviennent au goût du jour. Il s’agit de taux variables un seuil maximum et minimum. Par exemple, pour un prêt sur 15 ans, nous pouvons garantir un taux fixe sur dix ans. Tout dépend du projet.
Propos recueillis par C.G.
La grande majorité des particuliers accédant à la propriété passe
par un prêt immobilier pour financer leur acquisition. Est­il
nécessaire de disposer d’un apport personnel ? D’un CDI ? Les
futurs propriétaires sont nombreux à rester accrochés à de
fausses idées.
Tout d’abord, il faut bien préparer son dossier, avec toutes les
pièces administratives nécessaires à l’étude du dossier (feuilles
de paie, feuilles d’imposition…), et connaître précisément le
montant à emprunter. Penser que les jeunes ne peuvent avoir
accès à l’emprunt immobilier n’est plus de mise aujourd’hui. “On
peut financer un jeune de 22 ans ayant un travail. Certaines
banques financent la primo­accession sans apport” concède
Didier Henriet, président du Comité des banques du Jura. Idem
pour le CDI qui n’est plus un prérequis, à condition que l’em­
prunt se contracte en couple et qu’au moins un des deux
conjoints dispose d’un CDI.
Les taux sont calculés en fonction de la durée d’emprunt, mais
également du risque potentiel représenté par le client : “Les
primo­accédants représentent systématiquement un risque fai­
ble. Mais on observera tout de même le fonctionnement du
compte.” En clair, mieux vaut éviter les découverts à répétition
et les incidents de paiement réguliers, et se montrer bon ges­
tionnaire de son argent. Le banquier jurassien conseille toutefois
de conserver son épargne, une sécurité pour d’éventuels coups
durs, pour emprunter davantage.
Disposer d’un PEL ou d’un CEL pour faciliter l’accès à un prêt
immobilier est toujours d’actualité. Même si les taux ont baissé,
ces placements restent conseillés. Par ailleurs, l’éligibilité aux dif­
férents financements ou crédits d’impôts proposés par l’Etat
(PTZ, Eco­prêt…) est un plus à votre dossier. Avec la nouvelle loi
de finances 2015, la grande nouveauté concerne l’éco­prêt : dés­
ormais, ce sont les entreprises qualifiées RGE qui doivent s’assu­
rer de l’éligibilité des travaux entrepris, et non plus les banques
comme c’était le cas auparavant. “Pour nous, c’est énorme,
reprend Didier Henriet. Avant, c’était une véritable usine à gaz,
les démarches étaient longues et compliquées, et il y a eu beau­
coup de mécontentements. Avec cette mesure, nous gagnerons
en temps et en professionnalisme.”
Enfin, le taux d’endettement, fixé généralement à 33 %, dépend
là aussi de la situation générale. “Ce que l’on regarde, plus que
le taux d’endettement, c’est ce qu’il reste pour vivre, une fois pré­
levés le prêt, les impôts et les charges.”
Jura : vos interlocuteurs en matière d’habitat
ADIL du Jura
L’ADIL du Jura, association à but non lucratif créée en
1985, est chargée d’informer les Jurassiens sur leurs
droits et devoirs en matière de logement, dans le
respect de trois principes : neutralité, objectivité et
gratuité du service rendu. Les juristes sont à votre
disposition pour répondre à toutes les questions liées
à l’habitat, que ce soit sur les relations entre
propriétaires et locataires, sur l’accession à la propriété
et son financement, sur les avantages fiscaux, sur
l’investissement locatif, sur l’urbanisme, la copropriété
ou encore les relations de voisinage. L’ADIL du Jura
assure la coordination du dispositif départemental de
lutte contre l’habitat indigne et indécent.
32, rue Rouget de Lisle, Lons-le-Saunier, Tél. 03 84 86 19 30. adil.39 @wanadoo.fr.
Uniquement sur rendez-vous : du lundi au jeudi de 9 h à 12 h et de 14 h à 17 h 30, le vendredi de 14 h à 17 h 30.
Espace Info Energie du Jura
L’Espace Info Energie (EIE) du Jura est porté par
l’association AJENA, en partenariat avec l’ADEME Franche
Comté, le conseil régional de Franche-Comté et la
communauté d’agglomération du Grand Dole. Pour toutes
les questions liées à l’énergie en général, ou pour un projet
de rénovation ou construction, un conseiller vous
accompagne pour vous aider dans vos réflexions en
vous donnant les avantages et inconvénients de chaque
technique de construction, d’isolation, de chauffage…,
vous aider à hiérarchiser vos travaux, et vous indique les
possibilités de financement.
Maison des Energies Renouvelables, 28 bd Gambetta
à Lons-le-Saunier, le lundi de 14 h à 17 h 30 et du mardi
au vendredi de 9 h à 12 h et 14 h à 17 h. Dole : 3 rue Aristide
Briand, tous les vendredis après-midi de 13 h 30 à 16 h 30.
Dans tous les cas, la prise d’un rendez-vous est conseillée
au 03 84 47 81 14.
Jura Habitat
Spécialiste (entre autres) des aides à l’habitat, Jura Habitat informe et conseille les Jurassiens dans leur
montage de projet : de maîtrise de l’énergie, d’adaptation des logements au vieillissement et au handicap,
d’amélioration de l’habitat, et d’investissement locatif. L’association propose diverses prestations : diagnostic
immobilier, conseil technique sur les équipements, les matériaux et l’énergie, schéma d’aménagement,
estimation des travaux, plan de financement, informations financières et fiscales, et constitutions des dossiers
de demandes de subventions et leur suivi.
Maison de l’Habitat, 32 Rue Rouget de Lisle - Lons-le-Saunier. Tél. 03 84 86 19 10.
Accueil physique : du lundi au vendredi de 8 h à 12 h et de 13 h 30 à 17 h 30 (sauf vendredi : 17 h)
A Dole : 3 avenue Aristide Briand, Dole, Tél. 03 84 82 24 79.
Accueil les lundis, mercredis et vendredis de 9 h à 12 h.
CAUE du Jura
Le conseil d’architecture, d’urbanisme et de l’environnement du Jura
a pour mission de promouvoir la qualité architecturale, urbaine et
environnementale dans le Jura. Il intervient à toutes les échelles :
information et sensibilisation du public à la qualité de l’architecture,
de l’urbanisme et de l’environnement, l’information et le conseil
auprès des particuliers qui désirent construire ou rénover, afin
d’assurer la qualité architecturale des constructions et leur bonne
insertion dans le site environnant, conseil aux collectivités locales,
formation des maîtres et des professionnels.
151 rue Regard, Lons-le-Saunier. Tél. 03 84 24 30 36. [email protected]
Collés et cloués
Ponçage
Mise en teinte
Vitrification
Huile-cire
Après
Avant
La qualité s’obtient
par une remise
en cause constante
de sa propre
prestation
Emmanuel
PICARD
11, route de Tassenières - 39230 LES DEUX FAYS
Tél / Fax : 03 84 48 69 05 - Portable : 06 75 55 78 07
www.parquets-picard.fr
U
A
E
V
U
NO
1er fabricant de vérandas certifiées par le CSTB*
Exigez cette Preuve
de Qualité !
Les Vérandas-Extensions
Abris de piscines
Pergolas
www.renoval.com
DEVIS GRATUIT
sur tout le Jura
* Centre Scientifique et Technique du Bâtiment. Voir conditions en magasin-expo.
EURL STANDING HABITAT - PANFILO Sabrina - 4 rue du Petit Mont - 39100 MONNIERES - (Locaux Grosfillex, face au Mont-Roland)
[email protected] Ouvert du lundi au vendredi : 9 h - 12 h / 14 h- 18 h
03 84 82 03 98 - 06 72 99 51 70
20 Spécial élections
Pays de Lons n°92 - Mars 2015
Ce qui va changer pour ces élections
ELECTIONS
DÉPARTEMENTALES
LES 22 ET 29 MARS
Les élections cantonales sont désormais dénommées “élections départementales”. Elles seront organisées
pour la première fois sous cette appellation les 22 et 29 mars prochains. Ces élections permettront d’élire les
conseillers départementaux, jusqu’ici appelés conseillers généraux et renouvelés par moitié tous les 3 ans.
Ils seront désormais élus pour 6 ans. Le conseil départemental, ex-conseil général, sera renouvelé dans son
intégralité lors des élections départementales. Pour chaque canton, les candidats se présenteront en binôme,
obligatoirement composé d’un homme et d’une femme. Cette mesure permettra de mieux représenter les
femmes au sein du conseil départemental. La carte des cantons a été redessinée au début de l’année 2014. Leurs
nouvelles délimitations s’appuient sur les chiffres des populations légales publiés par l’Insee le 27 décembre 2013.
Cette nouvelle carte de 17 cantons pour le Jura permettra une représentation plus équitable de chaque canton en
nombre d’habitants par élu. Pour la première fois dans le Jura, le Front National sera présent dans tous les
cantons, excepté celui de Saint-Claude. On notera aussi la naissance d’un nouveau mouvement pour ces
élections, Majorité citoyenne, composé de différentes sensibilités politiques (EELV, Parti de gauche, NPA…), et qui
présentera des candidats pour 9 cantons.
AUTHUME
Julie LALORCEY et Dominique TRONCIN (BC­DVG)
Jessica DA SILVA CUNHA et Benoit POUTHIER (BC­FN)
Franck DAVID et Sandrine MARION (BC­UD)
Laurence BERNIER et Hervé PRAT (BC­FG)
MONT-SOUS-VAUDREY
Stéphanie DESARBRES et Grégoire DURANT (BC­DVG)
Natacha BOURGEOIS et Gérôme FASSENET (BC­UD)
Françoise MOLARD et Stéphane MONTRELAY (BC­FN)
Christelle BOBILLIER et Marc BORNECK (BC­VEC)
DOLE 1
Jean­Bapste GAGNOUX et Chrisne RIOTTE (BC­UD)
Chrisan BOURGEOIS et Maud ROUSSEL (BC­FN)
Karine ROMAIRE et Patrick VIVERGE (BC­DVG)
DOLE 2
Jean­Bernard MARCUZZI et Nadège PONCET (BC­DVG)
Jean BORDAT et Dominique LAIR (BC­UDI)
Delphine HERMETEY et Fabrice SCHLEGEL (BC­UD)
Nathalie DESSEIGNE et Florent LOPPÉ (BC­FN)
Françoise BARTHOULOT et Michel GINIÈS (BC­UG)
TAVAUX
Guy SAVOYE et Annie TRUCHOT (BC­DVG)
Catherine MATÉO et Thibaut MONNIER (BC­FN)
Jean­Michel DAUBIGNEY et Chantal TORCK (BC­UD)
ARBOIS
Marie­Chrisne CHAUVIN et René MOLIN (BC­UD)
Emmanuel BARRAUX et Johanna GERRIET (BC­FN)
Norbert MAIRE et Claudine ROUEFF (BC­UG)
BLETTERANS
Nathalie DAILLY et Michel SEURET (BC­FN)
Philippe ANTOINE et Danielle BRULEBOIS (BC­SOC)
Linda GARDE­MARCEAU et Stéphane LAMBERGER (BC­UD)
LONS 1
Catherine DÉODATI et Marc­Henri DUVERNET (BC­DVG)
Gwendoline BERGER et Claude CHARBONNIER (BC­FN)
Alexis DAVID et Géraldine REVY (BC­FG)
Christophe BOIS et Céline TROSSAT (BC­UD)
LONS 2
Annie AUDIER et Cyrille BRERO (BC­UMP)
Viviane FERRARI et Christophe PERNY (BC­UG)
Claude BUCHOT et Anne PERRIN (BC­DVG)
Hace DEMIR et Laurent FRARIN (BC­FN)
Les nuances politiques selon le ministère
de l’Intérieur
BC-DVG : Binôme Divers gauche
BC-FN : Binôme Front National
BC-UD : Binôme Union de la Droite
BC-FG : Binôme du Front de gauche
BC-UDI : Binôme de l’Union des Démocrates
et des Indépendants
BC-SOC : Binôme du Parti socialiste
BC-UMP : Binôme de l’Union pour un Mouvement
Populaire
BC-UG : Binôme Union de la gauche
BC-VEC : Binôme d’Europe-Ecologie-Les Verts
POLIGNY
Marie Odile MAINGUET et Laurent MENETRIER
(BC­DVG)
Dominique LEPAUL et Roger REY (BC­DVG)
Dominique CHALUMEAUX et Christelle MORBOIS
(BC­UD)
Bernard COQUET et Marne RIFFIOD (BC­FN)
I Publirédactionnel
Opéré par les Pompes Funèbres Regard,
s’installe dans le Jura
qualifiés, Dominique Andrique prend la
tête de la Marbrerie et des Pompes
Funèbres Andrique de Pierre­de­Bresse
(71) ainsi que celle de l’établissement de
Chaussin. Ces magasins deviennent les
Pompes Funèbres Andrique­Regard.
Un partenariat avec ROC ECLERC
et une nouvelle agence à Poligny
G
Désireuse de s’appuyer sur un réseau
national fort dont elle partage les valeurs
et le professionnalisme, la famille
Andrique choisit de rejoindre le réseau
ROC ECLERC. C’est ainsi que depuis
août 2014, l’agence de Lons est devenue
ROC ECLERC, opéré par les Pompes
Funèbres Regard tout comme celle de
Poligny en février dernier.
Le partage des valeurs, qui font la force
et les fondations solides de la marque et
qui sont le reflet de la conception que
M. Andrique a du funéraire, et aux­
G
G
quelles il est très attaché ont fait la diffé­
rence : être à l’écoute des familles, les
accompagner du mieux possible lors
de la perte d’un être cher, proposer des
produits et des prestations de qualité,
sur mesure, au PRIX JUSTE, est la raison
qui a décidé M. Andrique à rejoindre
ROC ECLERC.
Grâce à une équipe d’une trentaine
de salariés et désormais épaulé depuis
2011 par son fils cadet, Johan, sur les
sites de Villevieux, Lons, Bletterans. Les
familles sont accueillies du lundi au ven­
dredi de 9 h à 18 h 30 et le samedi
de 9 h à 17 h 30. Et pour améliorer
encore les services aux familles, le “tiers
payant” pratiqué par les nombreuses
mutuelles, sera très prochainement
proposé dans les agences de Lons­le­
Saunier et Poligny qui pratiquent d’ores
et déjà des facilités de paiement.
G
• Vos agences ROC ECLERC dans le Jura •
G
Agence de Lons­le­Saunier
Agence de Poligny
LONS-LE-SAUNIER - 160, rue Regard - 03 84 47 66 08 - [email protected]
POLIGNY - 50, Grande Rue - 03 84 52 00 25 - [email protected]
www.pompesfunebres-regard.fr
Textes sous la responsabilité de l’annonceur ­ Reproduction interdite ­ © Pays de Lons n° 92
A
près avoir créé en avril 1989, à
Villevieux, la SARL Marbrerie Blet­
teranoise, Dominique Andrique,
par l’ouverture de plusieurs magasins, a
considérablement développé ses activi­
tés. En 1997, il se développe encore en
s’installant à Lons, sous l’enseigne
Pompes Funèbres Regard. En 2004, à
Bletterans, il acquiert l’entreprise Guille­
min et est amené à gérer le funérarium
local, le Funérarium du Seillon. Dès
2005, il crée le funérarium de Domblans,
Funérarium de la Haute­Seille. Déjà soli­
dement implanté sur une partie
du territoire jurassien, Dominique
Andrique élargit son territoire et ouvre
en 2009, une nouvelle agence de
marbrerie­pompes funèbres à Champa­
gnole, gérée par son fils aîné Manuel.
Déjà en charge d’un réseau de six maga­
sins dans lesquels travaillent une
vingtaine de professionnels hautement
Permanence
24h/24 - 7j/7
SARL Pompes Funèbres Lédoniennes – 160 rue Regard – 39000 LONS-LE-SAUNIER au capital de 5.000 € – RCS Lons-le-Saunier 802 690 693 – ORIAS 07033117 – Habilitation n° 14.39.69 – Société indépendante membre du réseau ROC ECLERC.
SARL Pompes Funèbres du Revermont – 50 Grande Rue – 39800 POLIGNY au capital de 10.000 € – RCS Lons-le-Saunier 808 566 970 – ORIAS 07033117 – Habilitation n° 15.39.70 – Société indépendante membre du réseau ROC ECLERC.
G
G
22 loisirs
Pays de Lons n°92 - Mars 2015
MUSÉE DES BEAUX-ARTS DE LONS-LE-SAUNIER
Restauration de deux stèles funéraires
gallo-romaines de Menotey
En 2014, le musée de Lons­le­Sau­
nier a fait entrer dans ses collec­
tions deux stèles funéraires gallo­
romaines provenant de Menotey,
grâce à la générosité d’un proprié­
taire privé et de la commune de
Menotey. L’objectif de cette entrée
au musée était d’en assurer la
pérennité en offrant à ces vestiges
archéologiques de bonnes condi­
tions de conservation et de sécu­
rité. Elles appartiennent à un
groupe de stèles provenant de la
région doloise, dont l’étude a mon­
tré qu’elles proviennent peut­être
d’un même atelier local. Les stèles
ayant été longuement exposées
aux intempéries, une opération de
restauration s’est avérée néces­
saire. Celle­ci a eu lieu en fin d’an­
née dernière, dans les locaux du
centre de conservation et d’étude
© D. Vuillermoz / Musées de Lons-le-Saunier (Jura)
>ROUTE DES VILLAGES
Samedi 7 Mars
Puces aux vêtements - Messia-Sur-Sorne
Vente d’habits et chaussures de l’enfant à l’adulte, accessoires
qui vont avec l’habillement (ceinture, bijoux, écharpes…..) et ce
qui concerne le tissu.
Samedi 14 Mars
Théâtre - Chaumergy
Pièce de théâtre “Le prénom” interprétée par la Troupe Les
Joyeux Drilles
>SPECTACLES
Mardi 17 mars
“La brume du soir” - Théâtre
Monsieur Alexandra tient un cabaret sur les bords de la Marne.
On apprendra plus tard qu’il vient d’un autre pays. On
apprendra aussi qu’Alexandra, ce n’est pas son vrai nom. Mais,
pour l’heure, Monsieur Alexandra téléphone partout pour
retrouver sa fille, Mathilde, qui a disparu depuis plusieurs jours.
Lons, théâtre, 20 h 30, 11 à 21 euros.
Réservations : 03 84 86 03 03.
Mercredi 25 mars et jeudi 26 mars
“Le Petit chaperon rouge” - Danse hip hop
Dans la pénombre d’une forêt sinistre et balayée par des rafales
de vent, le pauvre Petit Chaperon Rouge court à perdre haleine.
Mais voici que surgit le Loup, monstrueux, terrifiant. Aïe ! Grâce
virginale et cris d’un côté, férocité carnassière et hurlements de
l’autre. La boucherie est imminente. Ah non. Tiens. Voilà que les
deux se rapprochent pour esquisser un pas de deux…
Lons, théâtre, mercredi 25 mars à 19 h 30 et jeudi 26 mars à
10 h et 14 h 45, 10 et 13 euros. Réservations : 03 84 86 03 03.
>CONCERTS
Mercredi 4 mars
Transat - Musique irlandaise
Des mélodies irlandaises balancées au violon et propulsées par
une rythmique débridée de bouzouki, de percus et de samples
mêlés. Une chanteuse jazzy dont l’énergie et la liberté
d’interprétation n’ont d’égal que sa présence sur scène. C’est
Transat, Irish Trad System. Entre musique traditionnelle et
musique urbaine, sonorités acoustiques et électroniques, ce trio
franc-comtois vous emmène en Irlande et à travers le temps.
Lons-le-Saunier, salle du Cœur de Bœuf, 21 h. Informations :
03 84 24 73 69
René Rémond qui abrite les collec­
tions des musées de Lons­le­Sau­
nier.
Deux restaurateurs du patrimoine,
Emmanuel Desroches et Elodie
Beaubier ont réalisé ce travail.
Après l’application répétée d’un
biocide destiné à tuer les micro­
organismes qui s’étaient installés
sur la pierre, un premier nettoyage
a été effectué à la brosse. L’une
des stèles a ensuite nécessité une
consolidation des fissures. Enfin, le
nettoyage final, très minutieux, a
été réalisé par micro­sablage. Les
stèles ont ensuite regagné la
réserve lapidaire du musée, en
attendant leur présentation au
public.
Musées de Lons-le-Saunier,
Centre de Conservation et d’Etude René-Rémond,
133 rue René-Maire, Lons-le-Saunier.
Tél. 03 84 86 11 73
Samedi 7 mars
Samedi 21 mars
Barnac Blues Band - Rock
Bran Van 3000 + Dtwice - Electro groove nomade
C’est en 2001, qu’une bande de potes décide de jouer de la
musique ensemble… 2002, fut l’année des premiers live ! Le
mot d’ordre : interpréter les morceaux du répertoire des
“Creedence Clearwater Revival”, un des groupes les plus
marquants de ces cinquante dernières années ! D’année en
année, les concerts se sont enchaînés. Après plusieurs
remaniements, le groupe persiste et signe !
Lons-le-Saunier, salle du Cœur de Bœuf, 21 h, 5 euros.
Informations : 03 84 24 73 69
Le hippie chic James Di Salvio, DJ vidéaste, prince des nuits
hypes, mène Bran Van 3000, collectif de musiciens
magnétiques et partage sa vie entre Montréal et Los Angeles.
Le dandy décalé David Darricarrère, auteur-compositeur
réalisateur, agitateur des scènes nantaises, concentre autour de
lui le groupe Dtwice. Sur le plan géographique, un océan les
éloigne. Sur le plan artistique, tout est fait pour les rapprocher.
De la générosité, des envies de fête, un regard vif et lucide sur le
monde moderne, tendre et dépité sur l’humanité. Normal que
ces deux-là se soient retrouvés. Restent les envies de groove, de
nomadisme des genres, le parfum des parties débridées, le goût
des jolies choses et une furieuse envie de bousculer les cadres !
Plus de 2 000 000 d’albums vendus, des concerts autour du
monde, aux côtés de Daft Punk, Bjork, Beastie Boys, Ben Harper…
, des vidéos avec plus de 3 000 000 de vues, voilà le grand
retour des Bran Van 3000, ne ratez pas ça !
Moulin de Brainans, 20 h 30, 10 à 12 euros.
Mercredi 11 mars
Mamadjo - Roots-Rock
Attaché aux sonorités “roots-rock” et “bluegrass”, Mamadjo
développe une musique où règne en maître le rock acoustique.
Depuis 2013, les quatre garçons de ce groupe puisent leur
inspiration dans diverses influences, pour créer un mélange
détonnant et surprenant. Leur 1er EP intitulé “Colors” sorti en
2013 nous fait voyager dans l’univers Mamadjo à travers 4 titres.
Lons-le-Saunier, salle du Cœur de Bœuf, 21 h.
Informations : 03 84 24 73 69
Mercredi 18 mars
Lune et L’autre - Chant et musique acoustique
Emilie (piano/voix/paroles et musique) et Anne-Gaëlle
(violoncelle) font s’accorder les cordes vocales aux cordes
instrumentales : Lune et l’autre est un duo qui joue sur la
corde sensible en invitant le public à partager son univers
intimiste, composé de chansons, à la fois drôles et émouvantes.
Lons-le-Saunier, salle du Cœur de Bœuf, 21 h.
Informations : 03 84 24 73 69
Mademoiselle K
(Rock), le samedi
28 mars au
Moulin de
Brainans
Mercredi 25 mars
Joy as a toy - Free Jazz Pop
Joy as a toy est un trio de rock fondé à Bruxelles en
janvier 2009 par Clément Nourry, Gilles Mortiaux et Jean
Philippe de Gheest. Ses membres ont en commun d’avoir
grandi à la croisée de trois cultures musicales différentes : le
mouvement free jazz des années 60-70, la musique
postromantique du début du siècle et la culture Pop des
années 80. Après deux albums et plus de 150 dates en
Belgique, France, Suisse, Pays-Bas, ils se jettent dans l’écriture
d’un nouveau répertoire. Combattants de l’improbable,
aventuriers du cross over, les membres de Joy as a Toy
continuent à (s’)inventer avec insouciance.
Lons-le-Saunier, salle du Cœur de Bœuf, 21 h. Informations :
03 84 24 73 69
“QUESTIONS POUR UN CHAMPION”,
NOUVEAU CLUB DE JEU À LONS-LE-SAUNIER
Un nouveau club de jeu, “Questions pour un champion”, vient de se
créer à Lons-le-Saunier à l’initiative de Jean-Paul Viguié, son Président
fondateur. Il n’existait pas de club “Questions pour un champion” jusqu’à
ce jour à Lons et ce nouveau divertissement devrait attirer les plus
cultivés d’entre vous.
Le club est agréé par “Fremantle média” qui encadre tous les clubs
francophones (170 en tout entre la France métropolitaine, les Dom-Tom,
la Suisse et la Belgique). Le jeu se déroule exactement comme à la
télévision, dans les mêmes conditions, encadré par un arbitre et respecte
des critères précis comme le matériel de jeu. Le 12 mars 2015 aura lieu
l’inauguration officielle du club. Celui-ci enregistre déjà une trentaine
d’adhérents qui se retrouvent tous les jeudis à partir de 17 h 30 en salle
331 au Centre Social René Feït.
Cotisation annuelle : 40 euros
Pour vous inscrire : jeanpaul.viguié@gmail.com
loisirs 23
Pays de Lons n°92 - Mars 2015
Vendredi 27 mars
Broussaï + Mystical Faya - Reggae
Avec plus de 600 dates au compteur, Broussaï enflamme les
scènes d’Europe et d’ailleurs. Cette formation phare du reggae
hexagonal revient en 2015 avec In the Street, nouvel album
explosif, urbain et résolument contemporain. Il vous entraînera
dans une ambiance musicale singulière célébrant toute la
diversité du reggae et de la culture jamaïquaine. On effleure
sons électro, dubstep, voire même hiphop dans une ferveur
toujours intacte ! Armés de leurs nouveaux morceaux, matures
et sincères, ces 8 musiciens vous embarquent au firmament du
reggae dans une osmose impressionnante.
En 1re partie, Mystical Faya, 7 musiciens reconnus dans l’est de la
France, travaillent compositions, textes et son depuis plus de
6 ans. Il en résulte un son massif composé de rythmiques
entraînantes, skanks incisifs à l’appui, qui rappelle les
productions jamaïcaines des années 70/80.
Moulin de Brainans, 20 h 30, 10 à 15 euros.
JOURNÉE INTERNATIONALE DE LA FEMME
Les associations jurassiennes
se mobilisent
Dans le cadre de la journée internationale de la
femme le 8 mars prochain, le CIDFF (Centre d’in­
formation sur les droits des femmes et des
familles) du Jura, la compagnie du théâtre de la
Petite Montagne et l’association Femmes debout
se mobilisent afin d’organiser diverses manifesta­
tions à l’occasion de la journée internationale de
la femme le 8 mars prochain. Ces actions ren­
dront hommage également au 70e anniversaire
de la libération des camps de concentration, et à
l’entrée au Panthéon de Germaine Tillion le
27 mai 2015.
Tout d’abord, une exposition, réalisée en partena­
riat par les médiathèques et la bibliothèque
nationale de Strasbourg, par le collectif “Rodéo
d’âme” et le musée de la résistance de Besançon,
sera présentée du 9 au 20 mars au conseil général
du Jura. Elle sera ouverte au public de 8 h 30 à 12
h et de 13 h 30 à 18 h. Cette exposition intitulée
“Robes grises” regroupe des dessins et manus­
crits clandestins de Jeannette L’Herminier et Ger­
maine Tillion, réalisés au camp de Ravensbrück.
Par ailleurs, une soirée de lecture de textes
autour des femmes qui résistent sera organisée
le 11 mars à 18 h au centre social de Lons­le­Sau­
nier, rue de Pavigny. Les portes seront ouvertes
gratuitement à toutes et à tous, et un verre de
l’amitié clôturera la soirée.
Samedi 28 mars
Prelude en live - Musique acoustique
Afin de financer un voyage pour les enfants du foyer SaintJoseph, l’équipe de la maison d’enfants propose un minifestival de musique acoustique avec : The Donuts Machine
Band, Kaloun et pour conclure la soirée le groupe africainColombien : Ebano Nala. Ensemble des styles : jazz/blues musique d’Amérique du Sud et Arabo-Andalouse
Lons-le-Saunier, salle du Cœur de Bœuf, 5 euros, 21 h.
Informations : 03 84 24 73 69
Samedi 28 mars
Mademoiselle K - Rock
C’est reparti pour Mademoiselle K, en cavale dans toute la
France, avec dans ses bagages les titres de son 4e album Hungry
dirty baby, auto produit et sorti sur son propre label, Kravache.
Changement de structure, d’équipe, de langue, la demoiselle,
grande punk androgyne à la voix légèrement éraillée, armée
d’une guitare acérée, revient sur scène en trio pour un rock
brut, aux influences punk, soul et pop où plane en filigrane
entre ces mots crus qu’elle se plaît à balancer ce parfum de
romantisme exacerbé… Indomptable, Mademoiselle K s’affirme
encore et encore, comme si tout venait juste de commencer…
Moulin de Brainans, 20 h 30, 12 à 18 euros.
BRIC A BRAC
ET FRIPERIES
Du 9 au
21 mars
OPÉRATION
PUÉRICULTURE
SUR TOUS NOS SITES !
OPÉRATION
VÉLO
sur le site de Poligny recyclerie
BRANGES : (proche Louhans) 410, rue des Industries
(Face AL KO /LDC) - 03 85 72 26 11
DOLE : 51, avenue Jacques Duhamel - 03 84 82 23 15
POLIGNY : ZA Des Perchées – R J Eschbach - 03 84 37 03 96
POLIGNY Recyclerie : ZI – R Thirode - 03 84 37 26 04
CHAMPAGNOLE : 46, av. Clémenceau - 03 84 52 09 67
MOREZ : 23, av. de la Libération - 03 84 33 13 47
Pour plus d’infos, retrouvez-nous sur :
www.alcg-reemploi.com
Contact : Christine ROY - 03 84 37 09 09
ES
BR
NÈ
FU
ES
MP
PO
POMPES FUNÈBRES TANIER
FUNÉRARIUM DE POLIGNY
Rue Roger Thirode - 39800 POLIGNY
Dans la tradition et le respect des familles.
Le sérieux et la dignité d’un service personnalisé.
Permanence
et assistance
24h/24
Les Pompes Funèbres TANIER sont à votre écoute avec 6 adresses !
et 7j/7
POLIGNY
03 84 37 14 94
DOLE
03 84 71 71 71
ARBOIS
03 84 37 50 89
TAVAUX
03 84 80 06 05
03 84 37 14 94
Zone industrielle - Sortie Poligny
Direction Dole
ASNANS
Mont s/s VAUDREY
03 84 81 79 11
03 84 81 50 21