La famille Macareux Moine et ses trophées perdus

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La famille Macareux Moine et ses trophées perdus
La famille Macareux Moine et ses trophées perdus
Il était une fois, une famille Macareux Moine composé de papa Macareux
Moine, maman Macareux Moine, grande sœur Macareux Moine et bébé
Macareux Moine.
Ils avaient gagné tous les concours de pèche de la ville. Chez eux, ils
avaient une vitrine remplie de trophées. Un jour, ils voulurent nettoyer leurs
trophées mais ils découvrirent la vitrine vide. Les trophées avaient disparu !
Ils décidèrent d’aller à la recherche de leurs trophées et parcoururent la
ville pour trouver le voleur. Maman Macareux Moine eut une idée :
« Allons demander aux voisins s'ils ont aperçu quelqu’un rôder par chez
nous cette nuit » dit-elle.
Ils allèrent frapper à la porte de Monsieur et Madame Pigeon. Madame et
Monsieur Pigeon étaient très bavards. Quand on leur posait une question ils
faisaient toujours un grand speech.
« Toc-toc
- Entrez, dit Monsieur Pigeon. Ah voilà notre famille préférée,
s’exclamèrent-ils. Que se passe-t-il? vous avez l’air désespéré ?
- Nos trophées ont disparu !! Avez-vous vu quelqu’un rôder dans les parages
cette nuit chers voisins ? demandèrent Monsieur et Madame Macareux
Moine.
- Ho !! Maintenant que vous nous en parlez nous avons remarqué Monsieur
Hibou vers les 23h30 qui se promenait dans le quartier. Il avait l’air pressé. »
La famille Macareux Moine s’en alla frapper à la porte de Monsieur
Hibou.
« Bonjour Monsieur Hibou ,dit papa Macareux Moine.
- Bonjour, lui répondit Herbert le Hibou. Qu’est ce qui vous amène de si bon
matin chez moi ? Vous me semblez contrarié.
- Il s’avère que nos trophées ont été volés cette nuit, Monsieur et Madame
Pigeon nous ont dit vous avoir aperçu vers les 23h30 rôder dans les parages. Estce vous le voleur ?
- Vous me prenez pour un voleur maintenant !!! cria Herbert le Hibou. Me
pensez vous capable d’un tel acte ? Moi, j’ai aperçu vers les 23h45 Monsieur et
Madame Faisan longeant les murs de la rue. Allez donc les voir. »
La famille Macareux Moine s’excusa et s’en alla frapper à la porte de
Monsieur et Madame Faisan.
« Bonjour cher voisins, que faites vous si tôt à venir chez nous ?
s’exclamèrent Monsieur et Madame Faisan.
- Bonjour, dirent Monsieur et Madame Macareux Moine. Nous sommes à la
recherche de nos trophées qui ont été volés cette nuit. Nous avons été voir
Monsieur et Madame Pigeon puis Monsieur Hibou et venons maintenant vous
voir. Monsieur Hibou nous a dit vous avoir aperçu vers les 23h45 rodant dans
les rues. Est-ce vous les voleurs ?
- Ho !!! Comment osez-vous nous traiter de voleurs. Nous nous promenions
tranquillement quand nous avons aperçu vers les minuits Madame Paonne qui
semblait cacher quelque chose sous ses plumes. Allez donc la voir ! »
Monsieur et madame Macareux Moine s’excusèrent et s’en allèrent frapper à
la porte de Madame Paonne.
« Bonjour cher voisins, dit Patricia la paonne. Qu’est ce qui vous amène chez
moi de si bonne heure ?
- Bonjour, hurla la famille Macareux Moine qui était de plus en plus énervée.
Nous sommes à la recherche du voleur de trophées. Nous avons été voir
Madame et Monsieur Pigeon, puis Monsieur Hibou puis Madame et Monsieur
Faisan et enfin vous. Les voisins vous ont aperçue vers les minuits rôdant dans
la ville, semblant cacher quelque chose sous vos plumes. Est-ce vous la voleuse
de trophées ?
- Ho !!! Comment osez-vous me prendre pour une voleuse. Je suis allée voir
ma cousine pour lui apporter des médicaments car elle était malade. Moi, je n’ai
aperçu personne. »
La famille Macareux Moine rentra à la maison très énervée de ne pas avoir
découvert le voleur de trophées. Ils s’installèrent tous dans le salon, très tristes et
déçus de ne pas avoir retrouvé leurs trophées.
Tout à coup, bébé Macareux Moine qui n’avait pas parlé de la matinée, avoua
qu’il avait pris les trophées dans sa chambre pour les nettoyer et faire une jolie
surprise à ses parents.
Papa et maman Macareux Moine acceptèrent ses excuses et découvrirent enfin
ce qui était arrivé à leurs trophées.
Pour se faire pardonner d’avoir douté de tous leurs voisins, ils leur
écrivirent une lettre leur expliquant qui était le vrai coupable et leur offrit à tous
un trophée.
FIN
Camille B.

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