London Symphony Orchestra, Sir John Eliot Gardiner

Transcription

London Symphony Orchestra, Sir John Eliot Gardiner
Ludwig van Beethoven
Symphonie n° 2
Leonore II - Ouverture
entracte
Symphonie n° 8
London Symphony Orchestra
Sir John Eliot Gardiner, direction
Ce concert est enregistré par France Musique.
Fin du concert vers 21h40.
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London Symphony Orchestra | Sir John Eliot Gardiner | Samedi 2 février
samedi 2 février – 20h
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SAMEDI 2 FÉVRIER
Ludwig van Beethoven (1770-1827)
Symphonie n° 2 en ré majeur op. 36
Adagio molto – Allegro con brio
Larghetto
Scherzo. Allegro
Allegro molto
Composition : 1801-1802.
Dédicace : au Prince Lichnowsky.
Création : le 5 avril 1803 au Theater an der Wien sous la direction du compositeur.
Publication : 1804, Bureau des Arts et d’Industrie, Vienne (parties séparées).
Durée : environ 32 minutes.
Originaire de Bonn, Beethoven est venu à Vienne en 1792, désireux d’y « recevoir des mains
de Haydn l’esprit de Mozart ». Au bout de dix années dans cette ville, il a déjà parcouru un
bon bout de chemin : les quinze premières sonates pour piano ont vu le jour, deux concertos
pour piano, une symphonie, plusieurs œuvres de chambre, dont les six Quatuors op. 18.
Esquissée dans les grands traits avant le séjour à Heiligenstadt, la Deuxième Symphonie
conserve l’humeur joyeuse de sa première inspiration, laissant peu soupçonner le désespoir.
Elle est encore ancrée dans l’héritage classique, fait appel à un orchestre par deux, et
rappelle la Symphonie « Prague » K. 504 de Mozart, mais témoigne aussi d’innovations
considérables par rapport à la Première Symphonie.
Le premier mouvement s’ouvre sur une vaste introduction lente, beaucoup plus importante
que celle de la Première, qui débouche sur un Allegro con brio volontaire, tout du long parcouru
par une même énergie, avec un premier thème léger et fringant, s’élançant des basses, puis un
second thème en motif de fanfare.
Amplement développé, le Larghetto retrouve la veine lyrique des mouvements lents des
sonates pour piano dans son premier thème généreux et serein, mis en contraste avec un
deuxième thème enjoué et léger.
La Deuxième Symphonie est la première à remplacer explicitement l’habituel menuet
par un scherzo, plus rapide, plus énergique mais aussi plus violent, avec son opposition
brusque de dynamiques.
Une violence que l’on retrouve dans le finale, ouvert par un motif d’une densité explosive, une
de ces « empreintes » si typiques de Beethoven, qui se gravent dans la mémoire, contenant
en soi les cellules fondatrices du mouvement entier. Ce finale affirmatif, non dénué d’humour,
privilégiant le geste et la théâtralité, révèle encore un puissant sens de la propulsion. Il frappe
en outre par sa forme rondo-sonate déséquilibrée par une coda-développement terminale
d’une longueur extraordinaire, qui allonge d’un tiers le mouvement.
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Terminée peu de temps après le testament d’Heiligenstadt, la Deuxième Symphonie répond
au désir d’une « voie nouvelle », que Beethoven avait déclaré chercher en 1802, et jette
dans son langage les bases de la période héroïque. La Neuvième Symphonie, qui reprendra
certains de ses motifs, semble renvoyer à cette époque qui a vu coïncider le désespoir et,
dans la composition, la joie acquise par la volonté.
Marianne Frippiat
Leonore II, Ouverture op. 72a
Composition : 1805.
Création : le 20 novembre 1805 à Vienne, au Theater an der Wien, en pleine guerre et devant peu de public.
Durée : environ 14 minutes.
Que Beethoven n’ait pas composé moins de quatre ouvertures pour son unique opéra
Fidelio en dit long sur les difficultés que lui a coûté cette œuvre. Fidelio, après un four cruel
en 1805 et un demi-échec en 1806, n’a reçu sa réelle consécration, au prix de continuelles
retouches, qu’en 1814. La première ouverture, qu’il est convenu d’appeler Leonore (du nom
de l’héroïne) I, a été laissée de côté par le compositeur, avant même la création au théâtre :
il la trouvait trop simple. À la première exécution de 1805 correspond la présente Leonore II,
qui a été un peu remaniée en 1806 sous le titre actuel de Leonore III. Ces deux Leonore
quasi jumelles sont les plus populaires. Quant à la Leonore IV et définitive, elle s’appelle
tout simplement Ouverture de Fidelio et adopte encore des thèmes différents.
Pourquoi Beethoven a-t-il renoncé à ses Leonore II et III, si réussies ? Justement, parce
qu’elles sont trop belles. Comme les futures Coriolan et Egmont, elles font preuve d’un sens
dramatique si vif, elles résument si bien l’intrigue en un quart d’heure palpitant de musique
que le lever du rideau en devient pratiquement inutile. Rappelons au demeurant que cet
opéra commence sur des scènes de caractère léger, dans le genre Singspiel : comme le
notait Romain Rolland, il est difficile, après une telle épopée sonore, de « redescendre au
papotage près de la loge du concierge ».
La longue introduction correspond à l’univers carcéral, à l’écoulement du temps dans les
ténèbres, ainsi qu’au caractère grave et monumental de la situation. Le lent unisson initial
des cordes, le thème plaintif de Florestan (héros du drame), le clair-obscur des modulations
qui suivent font penser à une gravure de Piranèse, à ses voûtes élevées et suintantes.
Soudain, des petits appels de bois en notes piquées surgissent, comme un espoir, comme
une intuition inexplicable : ils introduisent la régularité, l’aigu, un éveil. Après deux accords
fortissimo et de longs, terribles silences, l’allegro peut commencer.
Le magnifique premier thème, bâti sur l’accord parfait, démarre doucement à la voix
très humaine des violoncelles, puis escalade tout un crescendo : la mélodie se forme en
quelque sorte devant nous, en une prodigieuse ascension. Dans le même élan, le pont
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mène à un deuxième thème qui n’est autre que le chant de Florestan, mais épanoui.
Le développement, considérable comme il sied à cette page d’action, est lui aussi un
crescendo : il commence par méditer sur le deuxième thème avant de s’échauffer sur
divers traitements du premier, de plus en plus agités. Tout à coup, un clairon sonne dans le
lointain, plus exactement une trompette, placée en coulisse : c’est le deus-ex-machina qui
vient apporter l’heureux dénouement ! En guise de réexposition, car il n’y en a presque pas,
le thème de Florestan est rappelé, palier temporaire de lenteur qui prépare d’autant mieux
l’effet final. La coda s’ouvre en un torrent de gammes, ivres de liberté, qui jaillissent comme
de l’eau sous pression, vers la lumière ; mené presto, le happy end s’affirme de façon
catégorique et très militaire – mais pour la bonne cause.
Isabelle Werck
Symphonie n° 8 en fa majeur op. 93
Allegro vivace e con brio
Allegretto scherzando
Tempo di Menuetto
Allegro vivace
Composition : 1811-1812 (terminée en octobre 1812 à Linz).
Création : le 27 février 1814, avec la Septième Symphonie, Grande salle de la Redoute, Vienne.
Publication : 1817, Steiner, Vienne (partition).
Durée : environ 25 minutes.
Beethoven passe l’été 1812 en Bohême, dans les villes d’eaux de Teplitz et de Karlsbad (actuelles
Teplice et Karlovy Vary). C’est à Teplitz, d’où il écrit sa lettre fameuse à l’« immortelle bienaimée », qu’il compose pour l’essentiel la Huitième Symphonie, dans la suite immédiate de
la Septième.
La symphonie se distingue par son choix de simplicité et sa durée d’ensemble qui revient
aux proportions classiques de la Première Symphonie. Seul le finale apporte un peu
d’extravagance, contrastant avec le déroulement très sage des trois premiers mouvements.
Plus modeste, elle présente aussi un intéressant traitement soliste des instruments.
L’Allegro vivace e con brio offre une structure de forme sonate nettement délimitée,
avec un premier thème bon enfant, mélodique plus que rythmique, et un deuxième thème
léger, en syncopes, sur un accompagnement non legato du basson. Le développement
est construit sur un grand crescendo par paliers, avec la réexposition pour climax.
Vient ensuite, non un mouvement lent, mais un divertissement, Allegretto scherzando,
d’une grâce légère, un peu désuète, avec des touches d’humour renvoyant à l’esprit de
Haydn. Sans trompettes ni timbales, il met en vis-à-vis les deux groupes des vents et des
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cordes, et montre une écriture plus intime, quasiment de chambre, caractérisée par son
dialogue entre instruments. La forme est simple : binaire ABA’B’, l’écriture, ciselée dans
l’articulation, non legato quasiment d’un bout à l’autre, dans une pulsation démultipliée
de doubles et triples croches en 2/4.
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La Huitième est la seule à posséder un vrai menuet. Celui-ci s’ouvre forte sur un motif
de brouhaha très marqué, évoquant le décor joyeux et animé d’une foire. De caractère
rustique, un peu pesant, avec des ponctuations de trompettes et timbales, il retient par
sa mise en valeur des instruments : le basson soliste, qui fait une brève apparition dans
la deuxième partie du menuet, et surtout les deux cors et la clarinette solo dans le trio,
sur un accompagnement en triolets pizzicato des violoncelles.
L’Allegro vivace couronne avec énergie cette œuvre plus discrète et renoue avec le finale
de la Deuxième Symphonie : de forme rondo-sonate comme celui-ci, il présente de même
une dilatation de la coda-développement terminale, qui fait presque la moitié du mouvement.
Petit grain de fantaisie : après l’énonciation du premier thème, pianissimo, aux cordes,
un ut dièse ff marque sa reprise au tutti. Cet élément étranger trouvera sa légitimation
dans la réexposition du deuxième thème en ré bémol majeur et sera complètement résolu
dans la coda.
Marianne Frippiat
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Sir John Eliot Gardiner
Sir John Eliot Gardiner est l’un des
chefs les plus polyvalents de notre
temps. Considéré comme un acteur
majeur du renouveau de la musique
ancienne, il est le fondateur et le
directeur artistique du Monteverdi
Choir, des English Baroque Soloists
et de l’Orchestre Révolutionnaire et
Romantique. En marge de ses activités
à la tête de ses propres ensembles,
il se produit régulièrement en tant
que chef invité avec des orchestres
symphoniques européens de premier
plan comme les Wiener et Berliner
Philharmoniker ou le London Symphony
Orchestra. Avec plus de deux cent
cinquante références inscrites au
catalogue des plus grandes maisons
de disques européennes (en particulier
Deutsche Grammophon et Philips
Classics), la discographie de Sir John
Eliot Gardiner témoigne de l’ampleur
de son répertoire. Nombre de ses
disques ont reçu des récompenses
internationales et il a, au cours de
sa carrière, remporté plus de prix
Gramophone que n’importe quel
autre artiste. Ses enregistrements
comprennent notamment les six
dernières messes de Haydn ainsi
qu’un disque sorti chez Emarcy en
complément de la série de concerts
qu’il a donnés pendant l’été 2004 sur
la route du pèlerinage de Saint-Jacquesde-Compostelle : Santiago a Cappella.
Plus récemment, il a réalisé, pour
son propre label (Soli Deo Gloria), un
enregistrement public des cantates de
Bach dont il a dirigé l’intégrale lors du
Pèlerinage Bach 2000. Ce disque lui a
rapporté un nouveau Prix Gramophone.
En février 2007, Sir John Eliot Gardiner
a fait l’objet d’un « domaine privé »
à la Cité de la musique composé de
concerts consacrés à Rameau et à ses
contemporains, qui comprenait une
version de concert de Castor et Pollux
et une collaboration avec Buskaid et
la compagnie de danse Roussat-Lubek
reprise récemment aux BBC Proms.
Cet automne, il a initié un ambitieux
projet consistant en vingt-huit
représentations de cinq programmes
basés sur l’œuvre de Brahms avec
l’Orchestre Révolutionnaire et
Romantique et le Monteverdi Choir.
En décembre, Sir John Eliot Gardiner
a dirigé l’Orchestre Révolutionnaire
et Romantique et le Monteverdi Choir
dans huit représentations scéniques
de L’Étoile de Chabrier à l’OpéraComique. Il sera également de retour
au Royal Opera House, Covent Garden,
pour Simon Boccanegra. Parmi ses
autres projets, mentionnons un cycle
de trois ans consacré à Beethoven
avec le London Symphony Orchestra
et des invitations de l’Orchestre
Philharmonique Tchèque, de l’Orchestre
de la Radiodiffusion bavaroise et du
Chicago Symphony Orchestra. En
1987, Sir John Eliot Gardiner s’est vu
décerner un doctorat honoris causa
de l’Université de Lyon. Cinq ans plus
tard, il est devenu membre honoraire du
King’s College de Londres et de la Royal
Academy of Music avant d’être promu,
en 1996, au grade de Commandeur
dans l’Ordre des Arts et des Lettres.
Il a également été fait Chevalier à
l’occasion de l’anniversaire de la Reine
Elizabeth II en 1998. En octobre 2006,
il a été nommé docteur honoris causa
de l’université de Crémone, la ville de
naissance de Monteverdi.
London Symphony Orchestra
Le London Symphony Orchestra est
considéré, de par l’intensité de ses
concerts, comme l’un des plus grands
orchestres actuels. Mais ses activités
ne se limitent pas aux seuls concerts :
elles comprennent également un
programme d’enseignement énergique
et novateur, une maison de disques,
un centre de formation musicale et un
travail dans le domaine des technologies
de l’information. Au Barbican, où il est
en résidence depuis 1982, le London
Symphony Orchestra organise plus de
concerts que n’importe quelle autre
société de musique classique dans la
capitale britannique. Si le disque lui
permet aujourd’hui de toucher des
millions de personnes, on peut également
l’entendre au cinéma – notamment dans
les six épisodes de la saga Star Wars –,
à la radio, à la télévision, dans des jeux
vidéo… Le label du London Symphony
Orchestra, LSO Live, domine dans sa
catégorie et apparaît régulièrement à
la première place des téléchargements
classiques sur iTunes. À deux pas du
Barbican, au LSO St Luke’s – le centre
de formation musicale d’UBS et du
London Symphony Orchestra – le London
Symphony Orchestra élargit son champ
d’activités aux émissions télévisées de
la BBC, aux concerts de musique de
chambre organisés à l’heure du déjeuner
par Radio 3 (BBC) ainsi qu’aux concerts
UBS Eclectica avec des artistes de
premier plan issus des horizons les plus
divers. Le programme LSO Discovery
facilite quant à lui l’enseignement et
la pratique en commun de la musique,
faisant intervenir des membres du LSO
et recourant aux nouvelles technologies
pour renforcer les liens de l’orchestre
avec le public londonien et les écoles
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de l’est de Londres. Plus d’un siècle
après sa création, le London Symphony
Orchestra continue d’attirer les meilleurs
instrumentistes, dont certains mènent
en parallèle de brillantes carrières
d’enseignants, de solistes ou de musiciens
de chambre. La liste des solistes et chefs
qui collaborent avec le LSO est unique :
Valery Gergiev en est le chef principal,
Colin Davis le président, Daniel Harding
et Michael Tilson Thomas les principaux
chefs invités. De l’international au local,
la boucle est bouclée.
Viol
And
Lenn
Nich
Robi
Nige
Jörg
Mich
Max
Clair
Laur
Sylv
Rhys
LSO Management & Administration
Managing Director
Kathryn McDowell
Director of Planning
Sue Mallet
Tours Manager
Miriam Loeben
Orchestra Assistant
Carina McCourt
Stage & Transport Manager
Alan Goode
Viol
Davi
Thom
Sara
Miya
Rich
Norm
Matt
Phili
Paul
Step
Assistant Stage & Transport Manager
Philip Tingle
Tour Management – Intermusica
Managing Director
Stephen Lumsden
Associate Manager, Tours & Projects
Helen Roden
Alto
Paul
Gillia
Malc
Regi
Rich
Robe
Jona
Land
Viol
Rebe
Alas
Jenn
Mary
Keith
Hilar
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Violons I
Andrew Haveron, Guest Leader
Lennox Mackenzie, Sub-Leader
Nicholas Wright
Robin Brightman
Nigel Broadbent
Jörg Hammann
Michael Humphrey
Maxine Kwok
Claire Parfitt
Laurent Quenelle
Sylvain Vasseur
Rhys Watkins
Violons II
David Alberman, Principal
Thomas Norris, Co-Principal
Sarah Quinn, Sub-Principal
Miya Ichinose
Richard Blayden
Norman Clarke
Matthew Gardner
Philip Nolte
Paul Robson
Stephen Rowlinson
Altos
Paul Silverthorne, Principal
Gillianne Haddow, Co-Principal
Malcolm Johnston, Sub-Principal
Regina Beukes
Richard Holttum
Robert Turner
Jonathan Welch
Lander Echevarria
Violoncelles
Rebecca Gilliver, Co-Principal
Alastair Blayden, Sub-Principal
Jennifer Brown
Mary Bergin
Keith Glossop
Hilary Jones
Contrebasses
Rinat Ibragimov, Principal
Colin Paris, Co-Principal
Nicholas Worters, Sub-Principal
Patrick Laurence
Thomas Goodman
Timbales
Nigel Thomas, Principal
Flûtes
Gareth Davies, Principal
Martin Parry
Hautbois
Emanuel Abbühl, Principal
Kieron Moore, Principal
John Lawley
Clarinettes
Andrew Marriner, Principal
Sarah Thurlow
Bassons
Rachel Gough, Principal
Audun Halvorsen, Guest Principal
Joost Bosdijk
Cors
Timothy Jones, Principal
John Ryan, Co-Principal
Angela Barnes
Jonathan Lipton
Trompettes
Roderick Franks, Principal
Christopher Deacon, Guest Principal
Gerald Ruddock
Trombones
Dudley Bright, Principal
Katy Jones, Co-Principal
Concert enregistré par France Musique
Salle Pleyel
Président : Laurent Bayle
Notes de programme
Trombone basse
Paul Milner, Principal
Éditeur : Hugues de Saint Simon
Rédacteur en chef : Pascal Huynh
Rédactrice : Gaëlle Plasseraud
Correctrice : Angèle Leroy
Maquettiste : Elza Gibus
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Salle Pleyel | Prochains concerts
DU dimanche 3 AU mardi 12 février
DIMANCHE 3 FÉVRIER, 16H
Ludwig van Beethoven
Ouverture des Créatures de Prométhée
Concerto pour piano n° 4
Symphonie n° 3 « Héroïque »
London Symphony Orchestra
Sir John Eliot Gardiner, direction
Maria João Pires, piano
Dans le cadre de Takeda Global concert.
MERCREDI 6 FÉVRIER, 20H
JEUDI 7 FÉVRIER, 20H
Carl Nielsen
Aladdin (Suite)
Jean Sibelius
Concerto pour violon
Eduard Tubin
Symphonie n° 5
Orchestre de Paris
Neeme Järvi, direction
Vadim Repin, violon
DIMANCHE 10 FÉVRIER, 16H
Johann Sebastian Bach
Messe en si mineur
Le Concert Spirituel, chœur et orchestre
Hervé Niquet, direction
Johannette Zomer, soprano
Philippe Jaroussky, contre-ténor
Emiliano Gonzalez-Toro, ténor
João Fernandes, basse
MARDI 12 FÉVRIER, 20H
LUNDI 4 FÉVRIER, 20H
VENDREDI 8 FÉVRIER, 20H
Angela Gheorghiu, soprano
Orchestre Lamoureux
Eugene Kohn, direction
Coproduction Céleste Productions – Les Grandes Voix,
Salle Pleyel.
César Franck
Sonate pour violon et piano en la majeur
Wolfgang Amadeus Mozart
Alban Berg
Concerto pour violon « À la mémoire d’un ange » Sonate pour violon et piano n° 26
Richard Strauss
Eugène Ysaÿe
Sonate pour violon n° 5 « Pastorale »
Sinfonia domestica
Charles Ives
Orchestre Philharmonique de Radio France
Sonate pour violon et piano n° 3
Eliahu Inbal, direction
Johannes Brahms
Sonate pour violon et piano n° 2 « Thun »
Frank-Peter Zimmermann, violon
Hilary Hahn, violon
Valentina Lisitsa, piano
MARDI 5 FÉVRIER, 20H
SAMEDI 9 FÉVRIER, 20H
Richard Wagner
Lohengrin – version de concert
Richard Strauss
Don Juan
Concerto pour cor n° 2
César Franck
Psyché (version intégrale)
Coproduction Céleste Productions – Les Grandes Voix,
Orchestre Philharmonique de la Radio
Néerlandaise
Chœur de la Radio Néerlandaise
Jaap van Zweden, direction
Udo Mehrpohl, chef de chœur
Klaus Florian Vogt, Lohengrin
Anne Schwanewilms, Elsa von Brabant
Eike Wilm Schulte, Friedrich von Telramund
Marianne Cornetti, Ortrud
Bjarni Thor Kristinsson, le roi Heinrich
Geert Smits, le Héraut du roi
Salle Pleyel.
Orchestre National de France
Chœur de Radio France
Kurt Masur, direction
Matthias Brauer, chef de chœur
David Guerrier, cor
Marianne Pousseur, récitante
Imprimeur SIC | Imprimeur France Repro | Licences 7503078, 7503079, 7503080
Œuvres de Bernstein, Catalani, Cilea,
Giordani, Haendel, Puccini, Rossini et Verdi.
Mécène de l’art de la voix
Les partenaires média de la Salle Pleyel
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Qu’allez-vous découvrir aujourd’hui ?
Le quotidien, ses suppléments et ses magazines
Le quotidien,
Le Figaro économie
et Le Figaro et vous
Les guides art de vivre
Le Figaro Sport - Le Figaro Littéraire
Le Figaroscope - Le Figaro Réussir
LES MAGAZINES DU WEEK-END
TV Magazine - Le Figaro Magazine - Madame Figaro
LE FIGARO S’OUVRE TOUS LES JOURS
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