CP Lila Downs - Mad Minute Music

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CP Lila Downs - Mad Minute Music
LILA DOWNS
LILA DOWNS Y LA MISTERIOSA EN PARIS
LIVE A FIP
Sortie le 9 avril 2010
Tournée européenne de mars à juin 2010
En concert à Paris le 27 mai à La Cigale,
le 20 mai à Metz à L’Arsenal et le 23 mai à Blois
Depuis plus de dix ans, la chanteuse et militante Lila Downs parcourt le monde. Avec
chaleur, elle réinvente de façon bouleversante la musique traditionnelle mexicaine et la
propulse dans la nouvelle pop d’aujourd’hui, en y glissant ses accents guerriers dont elle a le
secret. Toute en grâce et en puissance, elle possède un timbre saisissant et elle enlumine son
art vocal avec des accents soul, klezmer et africains, sans oublier le jazz, une musique qui a
été au cœur de son éducation.
Lila Downs est entourée par son groupe de toujours, La Misteriosa, une formation de huit
musiciens poly-instrumentistes qui est l’image même du multiculturalisme qu’elle
revendique. Au milieu d’eux, Paul Cohen, qui est à la fois son directeur musical, producteur,
collaborateur, arrangeur, saxophoniste, clarinettiste et… mari.
Enregistré au printemps 2009 à Paris, lors d'un concert organisé par FIP dans le
studio 105 de la Maison de la Radio, ce projet bénéficie du savoir-faire des équipes de
Radio France : Pascal Besnard, ingénieur du son, a capté et mixé ce concert assisté de Djaison
Taouss, et Jean Luc Leray (délégué à la musique de FIP) en a assuré la coordination
artistique. Lila Downs y la Misteriosa en Paris est le premier disque « live » de la chanteuse. Il
capture un moment unique, un concert qui rime avec brillance, exubérance, et toute cette
énergie qui est autant la sienne que celle de son groupe. Sa voix passionnée est au centre de la
musique, et tout autour d’elle les sonorités traditionnelles et contemporaines
s’entrechoquent, dans une joyeuse rencontre de rythmes et d’harmonies. Au fil des titres, sur
une texture luxuriante qui est tissée par la basse, la batterie, la guitare électrique et un tapis
de percussions latines, il arrive qu’un instrument, harpe, trombone, ou encore accordéon ou
clarinette, surgisse pour une intervention inattendue.
Les disques et les concerts de Lila Downs sont, au sens propre du terme, des voyages
musicaux. Quant à ses chansons, ce sont autant des hymnes de joie que des manifestes
sociaux, tant qu’il est vrai qu’elle met un point d’honneur à défendre des causes sous-tendues
par la vaste thématique de la condition humaine… Ses textes abordent souvent des questions
politiques comme la pauvreté, la justice sociale et l’immigration, des fléaux qui rongent sa
terre natale. D’ailleurs, ce n’est pas un hasard si le grand public l’a découverte lorsqu’elle a
participé en 2003 à la bande originale du film Frida, ce film hommage à sa compatriote la
peintre Frida Kahlo.
Née à Oaxaca au Mexique, Lila Downs est la fille de la
chanteuse de cabaret mixtèque Anita Sànchez et d’Allen
Downs, professeur d’art américain d’origine écossaise. Ce
double héritage et cette double nationalité lui confèrent une
position d’ambassadrice idéale entre deux pays qui
symbolisent chacun un univers, le premier le monde
occidental, le second le tiers-monde. La jeune Lila grandit entre
Oaxaca, la Californie et le Minnesota, où elle obtient deux
diplômes d’histoire du chant et d’anthropologie. Cette
approche liée aux sciences humaines est essentielle dans sa
vision de la musique, car la variété des cultures qui nourrissent ses compositions est l’une des
clefs de son inspiration.
À travers sa musique et ses spectacles, Lila Downs veut établir un lien avec chacun des
publics auxquels elle s’adresse. J’ai tellement de chance, explique-elle, les personnes qui nous
écoutent et qui nous suivent viennent de tous les horizons, ils veulent gratter la surface pour comprendre le
pourquoi et le comment. Chaque jour, de nouvelles connections apparaissent entre le public et nous.
« Regard d’obsidienne, longs cheveux de jais, Lila Downs fait
entrer le public dans un monde de magie et de mystère, par le
pouvoir de sa voix et de sa présence chamanique. »
François-Xavier Gomez – Libération
Bande-son d’un « road movie » qui conduit l’auditeur d’Oaxaca à La Nouvelle-Orléans, le
répertoire de Lila Downs y la Misteriosa en Paris est construit sur six albums, de La Sandunga
(1999) à Shake Away (2008). Il démontre que la musique de la chanteuse se joue des modes et
des époques, bref qu’elle est intemporelle. Lila Downs secoue ses refrains à coup de cumbia
rock, de poésie et de rythmiques festives, le tout se combinant dans un monde énigmatique et
fascinant qui n’appartient qu’à elle.
Perro Negro et son atmosphère de carnaval, Minimum Wage qui réinvente le blues, Paloma Negra
symbole de ces chansons traditionnelles qui ont toujours la faveur du public, voilà trois des
points cardinaux essentiels d’une planète musicale oh combien attachante. Et puis, cet album
concrétise le lien très fort qui existe entre la chanteuse et son public français, une histoire
d’amour qui a commencé en 2001 aux Transmusicales de Rennes et qui s’est poursuivie tout
au long de sa carrière, culminant aujourd’hui avec cet album qui fera date. S’il est vrai que peu
d’artistes et de groupes peuvent aborder avec autant d’allégresse des terrains aussi disparates,
Lila Downs y La Misteriosa s’affirment avec éclat au cœur de la diversité d’aujourd’hui, ils se
l’approprient et nous emmènent dans un monde d’émotion et de passion.
Lila Downs – chant
La Misteriosa
Paul Cohen - saxophone, clarinette
Celso Duarte - harpe, violon, charango
Rob Curto - accordéon
Dana Leong - trombone
Juancho Herrera - guitare
Carlos Henderson - basse
Yayo Serka - batterie
Samuel Torres – percussions
Contact presse world village Miles Yzquierdo [email protected] 01 53 80 38 01

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