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TABLE DES MATIÈRES • 581 Table des matières Sommaire 5 Avant-propos 7 Chapitre I. – La cause des femmes 9 Chapitre II. – De la Cause au Sujet des femmes : le volcan et le fond 19 Section I. – Eyjafjallajökull ! ! — le volcan 19 Section II. – La cause des femmes — le fond 21 Section III. – La différence entre les sexes 22 Section IV. – L’égalité entre hommes et femmes 23 Section V. – Le pourquoi de la diversité § 1. De quoi parle-t-on en fait ? § 2. La diversité en entreprise § 3. Le choc personnel § 4. Le choc statistique § 5. La lente marche d’un monde qui s’emballe § 6. Le constat empirique § 7. Les défis du futur § 8. L’humanité a besoin des hommes et des femmes 25 25 26 27 29 32 33 34 34 Chapitre III. – Le gage, contrat réel : une fiction ? 37 Chapitre IV. – Une réflexion prémonitoire ou restée sans écho ? 61 Chapitre V. – Les référés commerciaux et le rôle préventif du tribunal de commerce 81 Introduction 81 Section I. – Les référés commerciaux § 1. Définition § 2. Historique LARCIER 81 81 82 582 • RÉALITÉS ET FICTIONS DU DROIT DES GARANTIES § 3. Conditions d’intervention du président du tribunal de commerce siégeant en référé I. LA COMPÉTENCE II. L’URGENCE III. LE PROVISOIRE A. L’étendue de la notion B. La fonction du provisoire § 4. Objet et contenu des ordonnances du président du tribunal de commerce statuant en référé I. LES EFFETS DE COMMERCE II. LES MARQUES III. LES CONTRATS COMMERCIAUX IV. LES SOCIÉTÉS § 5. Conclusion 83 83 85 90 90 94 95 96 96 97 98 101 Section II. – Le rôle préventif du tribunal de commerce 102 Section III. – Conclusions générales 108 Chapitre VI. – Le point sur l’évolution des référés commerciaux 113 CHAPITRE I. – La compétence 113 CHAPITRE II. – L’urgence 116 Section I. – Généralités 116 Section II. – L’urgence en degré d’appel 118 CHAPITRE III. – Le provisoire 125 Conclusions 129 Chapitre VII. – L’immunité d’exécution des personnes publiques et l’article 1412bis du code judiciaire 131 Sommaire 131 Introduction 132 CHAPITRE I. – Le privilège de l’immunité d’exécution 132 § 1. Le principe 132 § 2. La remise en cause du principe I. LES CRITIQUES DOCTRINALES 135 LARCIER 135 TABLE DES MATIÈRES • 583 II. LA CONVENTION DE ROME DU 4 NOVEMBRE 1950 ET SON PROTOCOLE ADDITIONNEL DU 20 MARS 1952 III. DES DÉROGATIONS LÉGALES ISOLÉES IV. UNE CERTAINE ÉVOLUTION JURISPRUDENTIELLE A. Division de la jurisprudence des juges du fond B. L’arrêt de la Cour de cassation du 30 septembre 1993 CHAPITRE II. – La loi du 30 juin 1994 insérant un article 1412bis dans le code judiciaire 136 136 138 138 140 145 § 1. Un projet plusieurs fois remanié 145 § 2. L’article 1412bis du Code judiciaire I. LE PRINCIPE : L’INSAISISSABILITÉ II. L’EXCEPTION : UNE SAISISSABILITÉ LIMITÉE A. Champ d’application de la saisissabilité limitée I. Ratione personae II. Ratione materiae B. La liste de biens saisissables I. Le mécanisme et sa raison d’être II. Établissement, publicité et modification de la liste III. Le juge est-il lié par la liste ? C. L’absence de liste ou l’insuffisance des biens inscrits sur cette liste I. Le critère fonctionnel II. Les notions de domaines public et privé D. La faculté de substitution E. L’opposition III. ENTRÉE EN VIGUEUR DE LA LOI DU 30 JUIN 1994 148 Conclusion 148 150 150 150 151 152 152 152 155 157 157 158 159 160 164 164 Chapitre VIII. – L’immunité d’exécution des personnes publiques : une évolution nécessaire, mais difficile 167 I. L’IMMUNITÉ D’EXÉCUTION DES PERSONNES PUBLIQUES DE DROIT BELGE 168 A. Un engagement au nom des droits de l’Homme B. Les jurisprudences strasbourgeoise et communautaire C. Les progrès d’une conception restrictive de l’immunité d’exécution des personnes publiques de droit belge D. La loi du 30 juin 1994 insérant l’article 1412bis dans le Code judiciaire E. La mise en œuvre de l’article 1412bis : un bilan négatif 168 LARCIER 170 172 174 175 584 • RÉALITÉS ET FICTIONS DU DROIT DES GARANTIES F. Quelle réforme de la saisissabilité des biens des personnes publiques ? G. L’immunité d’exécution des personnes publiques en dehors des saisies II. L’IMMUNITÉ D’EXÉCUTION DES PERSONNES PUBLIQUES DE DROIT INTERNATIONAL A. Une intervention limitée du législateur belge : l’article 1412ter du Code judiciaire B. Les progrès d’une conception restrictive de l’immunité d’exécution des personnes publiques en droit international C. La jurisprudence de Strasbourg sur les immunités reconnues en droit international D. La jurisprudence belge récente relative aux immunités des organisations internationales Conclusion 181 184 186 186 187 189 193 199 Chapitre IX. – L’hypothèque constituée pour sureté de toutes sommes dues ou à devoir par un débiteur à son créancier 205 I. ÉTAT DE LA QUESTION DANS LA DOCTRINE ET LA JURISPRUDENCE BELGES 205 A. Dans l’excellente note qu’ils ont consacrée au « cautionnement donné en garantie de toutes les obligations d’un débiteur envers son créancier » MM. Lucien Simont et André Bruyneel ont démontré la validité de l’acte de cautionnement conçu dans des termes aussi généraux 205 B. D’une manière générale, et jusqu’à tout récemment, la doctrine fut laconique sur la question et la jurisprudence demeure peu abondante 206 II. BREF APERÇU DE L’ÉTAT DE LA QUESTION DANS LA DOCTRINE ET LA JURISPRUDENCE FRANÇAISES III. PROBLÈMES POSÉS PAR LA CONSTITUTION D’HYPOTHÈQUE POUR SÛRETÉ DE « TOUTES SOMMES DUES OU À DEVOIR » A. Constitution d’hypothèque pour « toutes sommes » et caractère futur des dettes garanties I. Inscription et rang II. Justification III. Signification exacte du principe de l’accessoire B. Constitution d’hypothèque pour « toutes sommes » et principe de spécialisation I. Position du problème II. Son évolution en droit belge LARCIER 208 208 209 210 211 211 214 214 214 TABLE DES MATIÈRES • 585 III. L’arrêt de la Cour de cassation belge du 4 octobre 1963 IV. Inapplicabilité en droit belge d’une solution inspirée du droit français C. Constitution d’hypothèque pour « toutes sommes » et déterminabilité des dettes garanties Conclusion 217 220 221 227 Chapitre X. – L’hypothèque pour « toutes sommes » Introduction 229 229 I. LES ÉLÉMENTS ACTUELS DU DÉBAT A. Le principe de l’accessoire et le caractère futur des créances garanties B. L’exigence de déterminabilité des créances garanties C. Le principe de spécialisation de l’hypothèque 231 231 234 236 Conclusion 243 Chapitre XI. – L’hypothèque entre tradition et modernité Illustration par l’hypothèque pour toutes sommes sur aéronef 245 I. CECI N’EST PAS UNE HYPOTHÈQUE II. LE GAGE SUR AÉRONEF ET LE GAGE SUR FONDS DE COMMERCE III. L’AFFAIBLISSEMENT DU BANNISSEMENT DE L’HYPOTHÈQUE IV. LA CONVENTION ET LE PROTOCOLE Conclusion et hommage 245 245 246 247 255 Chapitre XII. – Saisie-arrêt bancaire Introduction 257 257 TITRE I. – Généralités 257 CHAPITRE I. – Les acteurs de la saisie bancaire 257 Section I. – Le saisissant 257 Section II. – Le saisi 257 Section III. – Le tiers saisi 258 CHAPITRE II. – Oppositions extra-judiciaires ou amiables et obligations du banquier Section I. – Le principe : absence de toute valeur juridique § 1. Évolution historique LARCIER 259 259 259 586 • RÉALITÉS ET FICTIONS DU DROIT DES GARANTIES § 2. L’arrêt du 19 avril 1990 de la Cour de cassation 261 Section II. – Le tempérament au principe : effet de « blocage » temporaire en cas de circonstances particulières 262 Section III. – Responsabilités 264 CHAPITRE III. – Étendue de la saisie-arrêt bancaire intra et extraterritoriale 265 Section I. – Problèmes posés 265 Section II. – Étendue intraterritoriale § 1. Saisie-arrêt pratiquée au siège social § 2. Saisie-arrêt pratiquée dans une agence 265 Section III. – Étendue extraterritoriale § 1. Effets de la saisie pratiquée au siège social en Belgique à l’égard des succursales à l’étranger I. INTERDICTION DE SE DESSAISIR II. DÉCLARATION DE TIERS SAISI A. Position de la jurisprudence et de la doctrine B. Appréciation critique § 2. Effets d’une saisie pratiquée auprès de la succursale belge, d’une banque ayant son siège social à l’étranger § 3. Effets en Belgique d’une saisie ou autre mesure de contrainte pratiquée au siège social à l’étranger ou auprès d’une succursale étrangère § 4. Effets de la saisie en Belgique à l’égard des filiales à l’étranger et vice versa TITRE II. – La créance saisie-arrêtée CHAPITRE I. – Rappel des principes généraux 265 266 267 267 267 272 273 276 278 279 279 280 280 Section I. – Objet de la saisie-arrêt 280 Section II. – Caractères de la créance saisissable § 1. Généralités § 2. Les créances futures § 3. Les créances à terme, conditionnelles ou litigieuses § 4. Les créances éventuelles 280 280 Section III. – Les créances à échoir 282 Section IV. – Intérêts, accessoires et frais 282 Section V. – Indisponibilité et déclaration complémentaire 283 LARCIER 280 281 281 TABLE DES MATIÈRES • 587 Section VI. – Incidence du libellé de l’acte de saisie-arrêt CHAPITRE II. – Les comptes en banque 284 284 Section I. – Généralités 284 Section II. – Définitions 285 Section III. – Diverses sortes de comptes en banque § 1. Compte de dépôt § 2. Compte courant 286 Section IV. – Saisissabilité des comptes en banque, opportunité d’une saisie-arrêt sur ces comptes et détermination de la créance saisie-arrêtée § 1. Saisissabilité des comptes en banque I. SAISISSABILITÉ DU SOLDE CRÉDITEUR DES COMPTES DE DÉPÔT II. SAISISSABILITÉ ET COMPTE COURANT § 2. Opportunité de la saisie-arrêt d’un compte bancaire § 3. Détermination de la créance saisie-arrêtée I. PRINCIPES II. CONSÉQUENCES A. La saisie-arrêt frappe le solde créditeur du compte B. Si le solde est débiteur, la saisie est sans objet Section V. – Cas particuliers § 1. Comptes ouverts à plusieurs titulaires I. LE COMPTE INDIVIS ET LE COMPTE JOINT II. LE COMPTE EN USUFRUIT ET EN NUE-PROPRIÉTÉ § 2. Les comptes spéciaux ouverts en vertu des lois coordonnées sur les sociétés commerciales § 3. Les comptes ouverts en une qualité particulière — kwaliteitsrekeningen. Les comptes rubriqués § 4. Les comptes de tiers ouverts au nom des avocats § 5. Les comptes-tiers ouverts au nom des notaires § 6. Le compte de provision dans le cadre du crédit documentaire ou d’autres crédits de garantie § 7. Carnets de dépôt ou d’épargne § 8. L’escrow account I. NOTION D’ESCROW ACCOUNT II. DISTINCTION AVEC D’AUTRES INSTITUTIONS III. LA SAISIE-ARRÊT PORTANT SUR LA CRÉANCE DE RESTITUTION DES FONDS OU BIENS DÉTENUS PAR L’ESCROW AGENT LARCIER 286 287 288 288 288 288 290 291 291 292 292 295 296 296 296 297 298 299 304 308 310 310 311 311 313 314 588 • RÉALITÉS ET FICTIONS DU DROIT DES GARANTIES § 9. Le compte fiduciaire I. NOTION DE FIDUCIE II. APPLICATIONS ET VALIDITÉ DU TRANSFERT FIDUCIAIRE III. LA SAISIE-ARRÊT EN CAS DE TRANSFERT FIDUCIAIRE 317 317 318 323 § 10. Le compte titres 324 § 11. Comptes insaisissables I. LES COMPTES D’ÉPARGNE DU TROISIÈME ÂGE OU D’ÉPARGNE-PENSION II. LES COMPTES COURANTS DE VALEURS MOBILIÈRES OUVERTS AUPRÈS DE LA C.I.K III. LES COMPTES TITRES DE LA DETTE PUBLIQUE 325 327 § 12. Le sort des revenus insaisissables versés sur un compte 328 Section VI. – Détermination de l’entendue de l’indisponibilité du solde créditeur saisi-arrêté Sous-section I. Solde créditeur saisi-arrêté par rapport à la créance du saisissant § 1. Principe de l’indisponibilité totale § 2. Applications pratiques § 3. Illégalité des cantonnements officieux pratiqués unilatéralement par le tiers saisi § 4. Remède éventuel : le cantonnement (art. 1403 et 1404 Code judiciaire) Sous-section II. Détermination de l’assiette exacte de la créance saisie-arrêtée : inclusion de créances à naître des « opérations en cours » et exclusion des créances à naître d’« opérations nouvelles » § 1. Principes § 2. Principales applications pratiques I. LES CHÈQUES TIRÉS SUR LE SOLDE SAISI II. LES ORDRES DE VIREMENT III. LES TRANSFERTS ÉLECTRONIQUES DE FONDS IV. LES OPÉRATIONS SUR EFFETS DE COMMERCE A. Encaissements B. Paiements C. Escompte CHAPITRE III. – Les effets 325 326 330 330 330 332 334 335 330 335 339 339 342 346 348 349 351 352 356 Section I. – Généralités 356 Section II. – Applications particulières § 1. Effets de commerce remis à l’encaissement 356 LARCIER 356 TABLE DES MATIÈRES • 589 § 2. Effets escomptés 357 § 3. Les titres de sociétés 358 CHAPITRE IV. – L’ouverture de crédit 358 Section I. – Notion 358 Section II. – Absence de créance à l’égard du banquier 359 Section III. – Caractère intuitu personae de l’ouverture de crédit 361 CHAPITRE V. – Le crédit documentaire 363 Section I. – introduction 363 Section II. – Objet de la saisie-arrêt 364 Section III. – Identification du banquier tiers saisi 365 Section IV. – Admissibilité de la saisie-arrêt du produit du crédit documentaire 366 § 1. Saisie-arrêt pratiquée par le donneur d’ordre I. PRINCIPES A. Donneur d’ordre se prévalant d’une créance qui découle de l’opération sous-jacente B. Donneur d’ordre se prévalant d’une créance étrangère à l’opération sous-jacente II. L’INCIDENCE DE LA FRAUDE DU BÉNÉFICIAIRE DU CRÉDIT III. ATTITUDE DE LA BANQUE, TIERS SAISI 367 367 367 373 374 375 § 2. Saisie-arrêt pratiquée par un autre créancier du bénéficiaire 376 § 3. Saisie-arrêt pratiquée par un créancier du donneur d’ordre, notamment par le bénéficiaire lui-même 377 § 4. Saisie-arrêt pratiquée entre ses mains par le banquier 378 CHAPITRE VI. – La garantie bancaire autonome 379 Section I. – Notions 379 Section II. – Créance saisie 380 Section III. – Créance cause de la saisie 381 Section IV. – Inadmissibilité de la saisie-arrêt de la garantie bancaire autonome par le donneur d’ordre 381 CHAPITRE VII. – Le coffre-fort TITRE III. – Les garanties de tiers et du banquier CHAPITRE I. – Les garanties de tiers LARCIER 383 384 384 590 • RÉALITÉS ET FICTIONS DU DROIT DES GARANTIES Section I. – Compte ouvert sur cantonnement judiciaire et consignation conventionnelle en compte, dite « cantonnement officieux » 384 Section II. – Gage sur titres ou créances 390 Section III. – Le compte individualisé ouvert au nom d’un locataire 397 CHAPITRE II. – Les garanties du banquier 399 Section I. – Généralités 399 Section II. – Clause d’unicité de comptes 400 Section III. – Clause de compensation § 1. Notion — exemple § 2. Interdiction de principe de compenser après la survenance d’un concours, sauf connexité entre les dettes et les créances à compenser § 3. Conditions d’existence de la connexité autorisant la compensation nonobstant le concours et question de l’opposabilité aux tiers des conventions relatives à la compensation I. CONDITIONS D’EXISTENCE DE LA CONNEXITÉ II. OPPOSABILITÉ AUX TIERS DES CLAUSES PRÉVOYANT 403 LA COMPENSATION RENFORCÉE A. Argument fondé sur le principe d’égalité des créanciers B. Argument fondé sur le caractère fictif de la connexité conventionnelle § 4. Le moment auquel la clause de compensation renforcée doit être mise en œuvre pour pouvoir être opposée au saisissant TITRE IV. – La déclaration de tiers saisi du banquier. — Aspects particuliers 403 404 407 407 409 410 412 421 423 CHAPITRE I. – Généralités 423 CHAPITRE II. – Modalités 425 Section I. – Contenu de la déclaration de tiers saisi § 1. Généralités I. TENEUR DE LA DÉCLARATION II. ERREUR DE FAIT DANS LA DÉCLARATION, ERREUR INEXCUSABLE ET ERREUR TARDIVEMENT CORRIGÉE III. PIÈCES JUSTIFICATIVES LARCIER 426 426 426 428 429 TABLE DES MATIÈRES • 591 § 2. Solde débiteur du compte 430 § 3. Avoirs sis à l’étranger — Incidence des succursales à l’étranger 431 § 4. Coffre fort 431 § 5. Exemples de déclarations de tiers saisi 431 Section II. – Autres modalités : forme, mode de communication, délai et frais de la déclaration de tiers saisi § 1. Forme § 2. Modes de communication § 3. Délai § 4. Frais 432 433 433 433 434 CHAPITRE III. – Déclaration complémentaire de l’article 1455 du Code judiciaire 434 CHAPITRE IV. – Déclaration en cas de transformation d’une saisie-arrêt conservatoire en saisie-arrêt exécution 436 TITRE V. – La fin de la saisie : mainlevée — cantonnement dessaisissement et répartition CHAPITRE I. – Mainlevée et expiration du délai de validité 436 437 Section I. – Mainlevée amiable § 1. Formes § 2. Modalités § 3. Précisions en cas de saisie-arrêt exécution : présence de créanciers opposants 437 Section II. – Mainlevée judiciaire § 1. Mainlevée octroyée par le juge du fond ou le juge des saisies § 2. Force probante de la décision de mainlevée — absence de mise à la cause du tiers saisi § 3. Exécution de la décision de mainlevée par le tiers saisi. Les mécanismes protecteurs du tiers saisi 439 Section III. – Responsabilité du tiers saisi en cas de mainlevée Section IV. – Expiration du délai de péremption de la saisie-arrêt conservatoire § 1. Principes § 2. Tempéraments I. RENOUVELLEMENT DE LA SAISIE II. SUSPENSION DU DÉLAI DE PÉREMPTION LARCIER 437 438 438 439 441 442 445 445 445 446 446 446 592 • RÉALITÉS ET FICTIONS DU DROIT DES GARANTIES CHAPITRE II. – Cantonnement par le débiteur et par le tiers saisi 448 Section I. – cantonnement par le débiteur 448 Section II. – Cantonnement par le tiers saisi § 1. Les principales hypothèses visées I. PRÉTENTIONS CONTRADICTOIRES II. INTÉRÊTS DUS PAR LE TIERS SAISI SUR LA CRÉANCE SAISIE III. RÉPARTITION § 2. Procédure § 3. Créances alimentaires 449 CHAPITRE III. – Dessaisissement à l’issue d’une saisie-arrêt exécution Section I. – Conditions et effets du dessaisissement § 1. Conditions § 2. Absence de transport de la créance du simple fait de la saisie § 3. Effet libératoire des paiements vis-à-vis du tiers saisi Section II. – À partir de quel moment le tiers saisi est-il tenu de se dessaisir et sur présentation de quels documents ? § 1. Dessaisissement à l’issue d’une saisie-arrêt exécution s’étant déroulée sans incident I. DÉNONCIATION DE LA SAISIE A ÉTÉ SIGNIFIÉE À LA PERSONNE OU AU DOMICILE RÉEL OU ÉLU DU DÉBITEUR SAISI 450 450 450 452 453 453 454 454 454 455 456 456 456 457 II. DÉNONCIATION DE LA SAISIE N’A PAS ÉTÉ SIGNIFIÉE À LA PERSONNE OU AU DOMICILE RÉEL OU ÉLU DU DÉBITEUR SAISI : LE VISA DU JUGE DES SAISIES 458 A. Nature et portée juridique du visa octroyé par le juge des saisies (art. 1544 Code judiciaire) B. Visa et signification par dépôt C. Production du visa 458 459 460 § 2. Dessaisissement à l’issue d’une saisie-arrêt exécution après incidents I. OPPOSITION DU DÉBITEUR SAISI II. CONTESTATION DE LA DÉCLARATION DE TIERS SAISI § 3. Dessaisissement en cas de transformation d’une saisie-arrêt conservatoire en saisie-arrêt exécution I. LA SAISIE N’A PAS ÉTÉ CONTESTÉE II. LA SAISIE A ÉTÉ CONTESTÉE, DEVANT LE JUGE DES SAISIES Section III. – Entre les mains de qui et à concurrence de quel montant le tiers saisi doit-il se dessaisir ? LARCIER 461 461 462 462 463 464 466 TABLE DES MATIÈRES • 593 § 1. Entre les mains de qui le tiers saisi doit-il se dessaisir ? § 2. Montant à concurrence duquel le tiers saisi est tenu de se dessaisir I. GÉNÉRALITÉS : DOUBLE LIMITE A. 1re limite : le montant de la dette du tiers saisi envers le débiteur saisi B. 2e limite : le montant de la saisie II. PERTE DE L’ACTUALITÉ JURIDIQUE DU TITRE Section IV. – À qui incombe les éventuelles répartitions ? § 1. Rappel des principes § 2. Cas où l’huissier de justice reste en défaut de mettre en œuvre la procédure de distribution par contribution ? Section V. – Sanction en cas de refus du tiers saisi de se dessaisir 466 466 466 467 467 468 468 468 469 470 Index alphabétique 470 Chapitre XIII. – L’unicité du patrimoine (se) déchire Introduction 483 I. LA SAISIE-ARRÊT DONT L’ASSIETTE EST LE COMPTE TIERS D’UN AVOCAT II. L’ARRÊT DE LA COUR DE CASSATION DU 27 JANVIER 2011 Conclusion 483 484 485 489 Chapitre XIV. – Trois questions relatives à certaines garanties nouvelles La nature du versement d’une somme d’argent à titre de garantie et la qualification des provisions pour crédits documentaires 491 Section I. – Le gage sur espèces 491 Section II. – Le paiement anticipé 493 Section III. – La garantie d’une nature particulière 496 Section IV. – Le versement de la provision pour crédit documentaire § 1. L’opposabilité aux tiers de la création conventionnelle d’un lien de connexité entre la retention d’une chose et des créances ou entre créances et dettes réciproques § 2. La validité de la cession de créance à titre fiduciaire 499 Chapitre XV. – Les mécanismes de garantie issus de la pratique : les grands traits de leur évolution depuis 1992 Introduction Section I. – La compensation-sûreté LARCIER 501 508 517 517 519 594 • RÉALITÉS ET FICTIONS DU DROIT DES GARANTIES § 1. La compensation légale I. LES PRINCIPES À LA LUMIÈRE DE L’ENSEIGNEMENT DE LA COUR DE CASSATION II. LA COMPENSATION FISCALE : CAS PARTICULIER DE CONNEXITÉ OBJECTIVE ? III. LES CAUSES DE DIFFICULTÉS DE LA MISE EN ŒUVRE DE LA CONNEXITÉ OBJECTIVE A. Compensation entre l’avance d’actionnaire et le solde de la souscription du capital B. Compensation multilatérale IV. CAS PARTICULIER DU REDRESSEMENT JUDICIAIRE A. Rappel de quelques cas de jurisprudence sous l’empire de la loi du 17 juillet 1997 B. Incidence de la nouvelle loi du 31 janvier 2009 § 2. La connexité conventionnelle I. QUELQUES CONSIDÉRATIONS GÉNÉRALES A. Les clauses de compensation B. Convention d’unicité de compte II. CAS PARTICULIER DE LA CONNEXITÉ TECHNIQUE DU COMPTE COURANT A. En cas de concours B. Cas particulier de la réorganisation judiciaire 519 519 522 526 527 529 531 531 534 535 535 537 540 541 541 542 § 3. L’apport de la loi du 15 décembre 2004 en matière de sûretés financières 545 I. GÉNÉRALITÉS 545 II. LE SORT DES FONDS REÇU PAR L’ÉTABLISSEMENT DE CRÉDIT POSTÉRIEUREMENT À LA FAILLITE DU DÉBITEUR : UN CAS D’APPLICATION DE LA LOI RELATIVE AUX SÛRETÉS FINANCIÈRES ? 550 Section II. – La cession de créance à titre de garantie § 1. Considérations générales § 2. Évolution de la jurisprudence de la Cour de cassation 555 Chapitre XVI. – Les avatars d’une loi imparfaite 565 Chapitre XVII. – Anne-Marie Stranart à l’Université Libre de Bruxelles 571 Chapitre XVIII. – Bibliographie et conférences d’Anne-Marie Stranart 573 LARCIER 554 554