DP_Francheschini Pietri_Rossella Bellusci

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DP_Francheschini Pietri_Rossella Bellusci
Pa l a i s f e s c h
musée des beaux-arts
EXPOSITIONS TEMPORAIREs
Napoléon III et Franceschini-Pietri
Reflets d’Empire
Rossella Bellusci
Parcours de lumière
27 novembre 2015 - 9 mai 2016
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musée des beaux-arts
EXPOSITIONS TEMPORAIREs
Napoléon III et Franceschini-Pietri
Reflets d’Empire
Pendant plus de quinze ans, Jean-Baptiste Franceschini-Pietri est l’homme
de confiance de Napoléon III. Attaché
au service de l’Empereur dès 1855, il le
suit jusqu’à la chute de l’Empire en 1870,
puis en exil en Angleterre.
Enterré à l’entrée de la chapelle impériale de Chislehurst, Franceschini-Pietri
est le dernier fidèle de Napoléon III.
Arrière-petit neveu de Pascal Paoli et
originaire de Monticello en Balagne, il
quitte la Corse à l’âge de 18 ans. Protégé par son oncle Pierre-Marie Pietri,
préfet de police de la ville de Paris, il intègre rapidement le cercle des Corses
de l’Empereur.
Au-delà de sa carrière administrative
exemplaire et de sa fidélité sans faille,
Franceschini-Pietri est un grand bienfaiteur de son île natale. Il lègue, entre
autre, la maison natale de Pascal Paoli
à Morosaglia au Conseil Général de la
Corse et deux œuvres à la ville d’Ajaccio, dont le Portrait de Napoléon III par
Alexandre Cabanel.
Portrait de Napoléon III
Alexandre Cabanel
Palais Fesch-musée des Beaux-Arts
L’exposition temporaire du Palais Fesch a pour objectif de
mettre en valeur cette personnalité riche mais pourtant
méconnue du Second Empire. À travers une série d’une
centaine de photographies ainsi que d’effets personnels de
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EXPOSITIONS TEMPORAIREs
l’Empereur, de l’Impératrice et du Prince Impérial, l’exposition retracera l’intimité de la vie de la famille impériale depuis
le Palais des Tuileries jusqu’à l’exil anglais de Chislehurst et la
villa Cyrnos du Cap Martin.
L’Impératrice Eugénie
Portrait de
Tito Franceschini-Pietri
Michele Schemboche
Collection particulière
Dessin du Prince Impérial où l’on
voit un combattant résister à une
troupe d’agresseurs « indiens »
dotés de lances
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EXPOSITIONS TEMPORAIREs
Commissaire de l’exposition Franceschini-Pietri :
Sampiero Sanguinetti
Exposition Rossella Bellusci :
conçue par Philippe Costamagna et Rossella Bellusci,
avec l’aide de Sylvain Laveissière
L’Impératrice Eugénie
à bord du Thistle
En 1895, l’Impératrice Eugénie
achète le yacht Thistle
L’Impératrice Eugénie,
le comte Primoli et Jean-Baptiste
de Baciocchi-Adorno
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EXPOSITIONS TEMPORAIREs
Rossella Bellusci
Parcours de lumière
Comment mettre en parallèle des tableaux anciens,
riches d’histoire, de matière
et de couleur, avec des photographies diaphanes et
presque blanches, dont les
sujets sont réduits à leur
plus simple expression ?
Tout semblait les opposer.
Le travail de Rossella Bellusci
est essentiellement consacré à la lumière et à l’éblouissement. Depuis ses premiers Autoportraits, la lumière
envahit l’image, détruisant
le modèle pour en prendre
la place, et devenir dans les
derniers travaux l’unique
sujet de la photographie.
C’est à partir de cette expérience que Rossella Bellusci
choisit certaines œuvres en
fonction notamment du rôle
que la lumière y tient.
Mode : Homme de dos
Vogue Hommes International Mode,
n° 1, 1985
Tantôt celle-ci sculpte les
formes comme dans Saint
Laurent remettant les trésors
de l’Église à l’empereur Valérien, de Orioli (xve siècle),
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Fluorescenze A, 2008
Collection de l’artiste
Nu d’homme, 3e série (torse
de trois-quarts à gauche), 1985
Collection de l’artiste
EXPOSITIONS TEMPORAIREs
dont elle rapproche un personnage de dos, tantôt elle les fait
surgir de l’ombre, comme le Saint Sébastien de Giordano, auquel la photographe oppose la brûlure qui fait apparaître et
disparaître ses Torses d’hommes.
Les séries des Lignes-portraits rejoignent dans leur épure les
contours simplifiés des bustes néo-classiques, tel celui de
marbre blanc de la fille d’Elisa Bonaparte.
Le halo qui entoure les personnages de Fluorescenze et
les éclairs qui composent ceux de Bagliori et d’autres,
trouvent un écho dans les rayons émanant de la figure de Saint Pierre d’Alcantara en extase de Gimignani.
Le Paysage nocturne attribué à Pandolfo Reschi tire sa fascination de son clair de lune se reflétant dans la mer : autour de
lui, Rossella Bellusci a réuni les Lumières frontales qui déclinent
dans leur diversité géométrique une analogue irradiation.
Il ne s’agit nullement ici, dans cette mise en parallèle, de comparer peintures anciennes et photographies contemporaines :
mais d’inviter le public à voir les unes à la lumière des autres.
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VISUELS LIBRES DEs DROITs
Portrait de Napoléon III
Alexandre Cabanel
Palais Fesch-musée des Beaux-Arts
Portrait de
Tito Franceschini-Pietri
Michele Schemboche
Collection particulière
L’Impératrice Eugénie
à bord du Thistle
VISUELS
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Nu d’homme, 3e série
(torse de face)
1985
Mode (José de dos)
1985
Sdoppiamento (Dédoublement)
2005
Ligne-portrait, Audrey A.
1990
VISUELS
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LES COLLECTIONS
Le palais fesch et ses collections
Le Palais Fesch a été
construit suivant la volonté
du cardinal Fesch, oncle maternel de Napoléon Ier, qui
souhaitait créer à Ajaccio,
dans le quartier Saint-Roch
en bord de mer, un « Institut
des Arts et des sciences »
pour éduquer les jeunes
Corses.
Palais Fesch, galerie du cardinal
Les collections du musée
des Beaux-Arts sont constituées en grande partie du
legs du cardinal Joseph
Fesch, oncle de l’Empereur
Napoléon Ier. Par son testament, le cardinal Fesch voulait que soit fondé à Ajaccio un « Grand Institut des
Études », nanti d’une collection d’œuvres d’art. Joseph
Bonaparte, comte de Survilliers, contesta le legs ; la
ville dût ériger le bâtiment à
ses propres frais, mais elle
reçu toutefois, provenant
des collections du cardinal,
approximativement 1 500
objets d’art, une partie du
mobilier du cardinal et la
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LES COLLECTIONS
statue de Napoléon Ier consul sculptée par Massimiliano
Laboureur. On ne parle donc plus de legs Fesch, mais de donation Survilliers. La collection du cardinal constitue néanmoins le fonds principal du musée d’Ajaccio.
Différents dons et legs enrichiront par la suite les collections
du Palais Fesch, notamment ceux de Félix Baciocchi en 1866,
du duc de Trévise en 1892, de Jérôme Napoléon en 1897, de la
famille Rothschild en 1889 et 1909, du baron et de la baronne
Vognsgaard en 1974 et 1992, et de François et Marie-Jeanne
Ollandini en 2007 et 2009.
L’État, pour sa part, procède dès 1854 et régulièrement
jusqu’en 1973 à des dépôts à la ville d’Ajaccio. Ainsi le Palais
Fesch abrite une collection d’œuvres d’art qui présente un
choix important de peintures italiennes : les Primitifs italiens,
la peinture baroque napolitaine ; des paysages, des scènes
populaires et des natures mortes de l’école flamande, une
collection napoléonienne et une collection de peintures
corses.
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INFORMATIONS PRATIQUES
PALAIS FESCH
musée des beaux-arts
50, rue Fesch
20 000 Ajaccio
Tel : +33 4 95 26 26 22
Site internet :
www.musee-fesch.com
Ouverture au public
Du 1er octobre au 30 avril
Lundi, mercredi, samedi :
10 heures- 17 heures
Jeudi, vendredi :
12 heures-17 heures
Dimanche : 12 heures18 heures (le 3e dimanche
de chaque mois)
Du 1er mai au
30 septembre
Lundi, mercredi, samedi :
10 heures 30-18 heures
Jeudi, vendredi, dimanche :
12 heures -18 heures
Fermé le mardi
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Tarifs
Plein tarif : 8 €
Tarif réduit : 5 €
Tarif abonnement : 4 €
(pour les professionnels
du tourisme ayant une
convention avec le musée)
Carte de fidélité : 30 €
Site internet
www.musee-fesch.com
Contact presse Catherine Cristofari
+33(0)4 95 26 26 22
[email protected]
Les expositions et les activités culturelles du musée sont réalisées avec le soutien exceptionnel
de la Collectivité Territoriale de Corse
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avec le soutien exceptionnel
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