Cergy Village_LIVRET PEDAGOGIQUE - Anper95

Le Conseil général soutient
la culture en Val-d’Oise
À la découverte de Cergy
Cergy--Village
L E LIVRET ENSEIGNANT
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S O M M A I R E
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Présentation
11
Les définitions
5
Les grandes
lignes
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Les notions de
base
10
Les dates
15
En savoir plus
3
Présentation
L’
Atelier de Restitution du Patrimoine & de l'Ethnologie (ARPE) propose des ateliers mêlant histoire, mémoire et enquêtes de terrain, avec ses
partenaires et en concertation avec les enseignants.
Rattaché à la direction de l'Action culturelle du Conseil
général du Val-d'Oise, l'Atelier de Restitution du Patrimoine et de l'Ethnologie mène depuis 1993 des études sur
l'histoire du territoire et de ses habitants, du XIXe au XXIe
siècle. Son champ d'investigation couvre des domaines
aussi divers que le patrimoine architectural, les activités
industrielles, la mémoire familiale, les relations villecampagne, la transformation des paysages, la mise en
place de la banlieue...
L’ARPE collecte des témoignages oraux, des photographies, des films et des archives de famille et apporte un
soutien méthodologique, scientifique ou technique aux
communes, associations, chercheurs ou particuliers, intéressés par la collecte de mémoire, le montage d'un projet
ethnographique ou la production d'audiovisuels culturels.
L’ARPE multiplie depuis plusieurs années, auprès des collégiens, ses actions de sensibilisation au patrimoine local.
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Les grandes lignes
À la veille de la Révolution
Au printemps 1790, la France est divisée en départements. La Seine-et-Oise regroupe neuf districts et cinquante-neuf cantons d'environ quatre lieues carrées, soit six
cent quatre-vingt-cinq villes, bourgs et paroisses ; Versailles est le chef-lieu du département.
La Seine-et-Oise couvre alors trois régions naturelles : le Vexin français, le Parisis, la
Vieille France. Au XVIIIe siècle, ces territoires sont des pays agricoles. On y cultive
le blé, le seigle ou la vigne. Les forêts, plus étendues qu’aujourd’hui, sont aménagées
pour les chasses royales et princières (forêts de L’Isle-Adam, de Montmorency, de Carnelle). Des bois au milieu des champs - les remises - servent de refuge au gibier.
La Seine-et-Oise est une région de passage entre la Normandie et Paris, comme en
témoigne l'ancienne « Chaussée Jules César » qui passait par la Vallée de Montmorency
et franchissait l'Oise à la hauteur de Pontoise, au gué de « Briva Isarae ».
La carte ci-contre,
appelée
carte
de
Cassini et dessinée
entre 1751 et 1781,
est la première réalisée à l’échelle de la
France entière en se
reposant sur les mesures
trigonomé-
triques fiables des
coordonnées
d'un
point en longitude et
latitude. Y sont figurées les principales routes ainsi que les massifs forestiers ou le
vignoble, très étendu jusqu’au début du XIXe siècle. Les noyaux d’habitat sont représentés par des symboles qui traduisent leur importance et illustrent en quelques traits
l’organisation spatiale ancienne de secteurs aujourd’hui très urbanisés.
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Pistes de questionnement
a.
Repérez la ville de Cergy sur la carte de Cassini à la page 5. Quelle était son ortho-
graphe pendant la Révolution ?
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b.
Remarquez-vous d’autres noms de villes différents de ceux d’aujourd’hui ?
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.............................................................................................................................................
c.
Aujourd’hui, quel est le chef-lieu du département ?
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d.
Comment s’appelait le département avant 1964 ?
.............................................................................................................................................
e. Comment appelle-t-on les habitants du Val d’Oise ?
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De la Seine-et-Oise au Val d'Oise
Dans les années 1950, le Conseil général de Seine-et-Oise est accaparé par la tâche
immense de reconstruire et moderniser un département de 691 communes confronté à
un sous-équipement important et une explosion
démographique. C’est alors l’époque des Trente
Glorieuse (1946-1975), période durant laquelle
la France et la plupart des économies occidentales connaissent une croissance exceptionnelle
et régulière, et à l’issue de laquelle elles entrent
dans l’ère de la société de consommation.
Les frontières du département sont issues du découpage de l’ancienne Seine-et-Oise dont les
limites artificielles forment une couronne autour de Paris. La création de nouveaux arrondissements en Seine-et-Oise en 1962, dont l'arrondissement de Montmorency, constitue le premier acte de division administrative du département le plus peuplé de France (2 344 108 habitants au recensement de 1962, avec
un accroissement de 34,7 % d'augmentation depuis 1954).
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Le Val d’Oise est créé par la loi du 10 juillet 1964. Parallèlement au redécoupage de
la région parisienne, on discute du nom des nouveaux départements. Sont évoqués pour
l'actuel Val-d'Oise : Vexin, Parisis, Ile-de-France, Pays de France, Seine-et-Oise-Nord,
ou Seine-et-Oise. Le 26 mars 1968, l'Écho Régional annonce que « le Val d'Oise
semble avoir été choisi pour nom du nouveau département ».
Le rôle d'Adolphe Chauvin, premier Président du Conseil général du Val d’Oise, est
immense dans la « constitution » du nouveau département. Les grandes étapes de
développement sont marquées par le lancement de la Ville Nouvelle de CergyPontoise en 1969, et par l'ouverture de l'aéroport de Roissy-Charles de Gaulle en
1974.
Le Val d’Oise est un des plus jeunes départements de France. Il est aussi l’un des
plus juvéniles : 29 % des Valdoisiens ont
moins de 20 ans en 1989.
Pistes de questionnement
a. Donnez une définition des Trente Glorieuses :
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.............................................................................................................................................
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b. À votre avis, pourquoi cette période s’est-elle appelée ainsi ?
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.............................................................................................................................................
c. Savez-vous qui est l’actuel président du Conseil général du Val d’Oise ?
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Cergy-Village, le quartier historique de Cergy
Autrefois bourg médiéval dans un méandre de l'Oise, le village de Cergy a su
conserver ses monuments historiques, habitations anciennes et espaces naturels: église
du XIIe siècle remaniée à la Renaissance, ses dépendances monastiques, chapelle,
mairie-école, étangs et berges de l'Oise.
Le village de Cergy est bâti autour du site naturel de la boucle de l'Oise. On peut encore observer les traces de son passé agricole.
L’implantation du village s’explique par une utilisation rationnelle de l’espace :
La zone inondable, au bord de la rivière, est occupée par des pâtures pour
l’élevage ; les terres les plus pauvres, comme celles du bois de Cergy, trop sablonneuses, ne sont pas exploitées et restent boisées ;
Le village est implanté à mi-pente : c’est là qu’affleurent, à la limite de la
couche calcaire et de la couche des sables, de nombreuses sources qui permettent l’alimentation en eau des fontaines et des lavoirs ;
Au-dessus du village, les coteaux ensoleillés sont idéals pour le vignoble, activité principale du village jusqu’à ce que, à la fin du XIXe siècle, la vigne soit
décimée par le phylloxéra ;
Le plateau offre une très bonne terre labourable pour la culture des céréales
(seigle et blé) et les gros légumes.
Après la Seconde Guerre mondiale, le cadre de Cergy, entre rivière et coteaux, est de plus en plus
apprécié des citadins qui viennent y
passer le week-end ou s’y installer.
Dans les années 1960, la démocratisation de l’automobile rend le village beaucoup plus accessible de
Paris. L’habitat de type pavillonnaire
progresse
rapidement
et
s’implante aussi bien dans les « dents creuses » du village que sur les coteaux abrupts
ou dans la zone inondable.
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Lorsque Cergy est choisie pour devenir le centre d'une agglomération nouvelle en
1964, ce n'est encore qu'un village. La commune a moins de 3 000 habitants à la fin
des années 1960, mais plus de 10 000 au milieu des années 1970 et approche 20 000
habitants au début des années 1980. Au lieu de se greffer sur ce noyau existant, les urbanistes de la ville nouvelle choisissent de créer de toutes pièces de nouveaux centres
à l’écart des villages anciens. Ce choix, qui fait la particularité des villes nouvelles,
permet de préserver le caractère des villages. Aujourd’hui intégré à la partie nouvelle
de Cergy, le quartier des bords d’Oise, avec son histoire, ses spécificités, participe activement à la richesse et à la diversité architecturale et paysagère de la ville.
Piste de questionnement
a. Réalisez un dessin synthétisant :
La zone inondable
Le village
Les coteaux
Le plateau
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Les dates
La chronologie peut être complétée avec les élèves lors de la première séance.
Arrivée du chemin de fer et inauguration de la mairie
1912
1914-1918
Première Guerre mondiale
1939-1945
Seconde Guerre mondiale
1950-1960
Crise du logement
1964
Naissance du département
1965
La ville nouvelle de Cergy est implantée à proximité du village ancien
1970
La préfecture du Val d’Oise ouvre au public
1989
Construction de Port-Cergy par l’architecte Bernard Spoerry
Piste de questionnement
a. Dans quel ordre sont arrivés les premiers habitants de ces quartiers ?
Cergy-préfecture- Cergy-le Haut- Cergy-village- Cergy Saint-Christophe
1.............................................
3.............................................
2.............................................
4.............................................
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Les définitions
Atrium (en architecture) :
Dans une maison romaine, un atrium est la pièce
principale de forme carrée, entourée de portiques, couverte d’un toit possédant une ouverture en son centre pour laisser pénétrer l’eau de pluie et la lumière.
Bourg: Un bourg est une agglomération rurale moins importante que la ville où se
tient ordinairement le marché des villages environnants. On parle généralement de
bourg pour désigner une cité de taille intermédiaire entre le village et la ville, sans faubourg ou banlieue. Sur le plan administratif, le bourg est le chef-lieu d'une commune
dont peuvent dépendre des villages et hameaux.
Corps de ferme :
partie
principale
Un corps de ferme est la
d’un
bâtiment
agricole.
L’habitation est organisée autour d’une cour carrée.
Les matériaux sont en moellon de calcaire (pierre
locale) enduit de plâtre pour protéger les bâtiments.
La façade sur rue est pourvue d’une porte charretière de part et d’autre de laquelle se trouvent deux
chasse-roues (borne de pierre qui protègent les arrêtes des murs du passage des charrettes). Au-dessus du porche, la lucarne sert d’accès à la grange où sont stockés le fourrage et le grain.
Coteau : Pente d’une colline ou petite colline.
Hameau : Petit groupe de maisons écartées du lieu où se trouve la paroisse.
Maison « bourgeoise » : Construites à Cergy dès la fin du XIXe siècle, les maisons bourgeoises ne sont plus dans l’alignement de la rue, mais adoptent un recul, aménagé en jardin, qui les protège de l’animation de la rue. On les repère aussi par leur matériau, la meulière. La maison bourgeoise est caractérisée par un vocabulaire inventif (le
perron, l’auvent métallique, la marquise, les frises décoratives de brique ou de faïence,
les lucarnes, les bow-windows...).
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Meulière : Nom donné à des moellons de roche particulièrement résistante.
Patrimoine : du latin patrimonium, héritage du
père.
Le patrimoine est l'héritage commun d'un groupe ou d'une collectivité qui est transmis
aux générations suivantes. Il peut être de nature très diverse : culture, histoire, langue,
système de valeurs, monuments, œuvres artistiques...etc.
Paysage urbain : Le paysage est ce qu’on voit lorsqu’on regarde son environnement à perte de vue. Le paysage urbain est le paysage de la ville. Il est une image fragmentaire de la ville. Il est surtout la multiplicité d'images. Les paysages sont des fragments de la totalité, du réel, sectionnés par le regard (un certain regard) pour la contemplation. C'est dans ce sens que l'on peut dire que le paysage est une création du regard, à
partir d'une sensibilité donnée. (...) Le paysage urbain est le lieu de la diversité du regard, car c’est un paysage qui bouge, qui change selon une vitesse définie par les pratiques urbaines. (Maria Luiza Carrozza, « Paysage urbain : matérialité et représentation », Les Cahiers du Centre de Recherches Historiques, 1996)
Sente : Petit sentier, petit chemin pédestre.
Urbanisation :
du latin urbanus, de la ville. L’urbanisation est l’action
d’urbaniser, c’est-à-dire de favoriser, de promouvoir le développement des villes par la
transformation de l’espace rural en espace urbain.
Viaduc : Pont qui passe au-dessus d’une vallée ou d’une voie ferrée.
Village :
du latin villagium. Il désigne un groupement d’habitations permanentes
dont la majeure partie de la population travaille dans le secteur agricole.
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Les notions de base
Archéologue :
L'archéologue recherche et
étudie les traces et les vestiges de l'homme depuis
la préhistoire jusqu'à nos jours. Ses découvertes
permettent de mieux connaître les modes de vie des
sociétés du passé.
Architecte : L'architecte est le créateur artistique et technique d'un bâtiment et de tout ouvrage de génie civil. Il a pour
mission d’en concevoir la structure en 2D et 3D, d'organiser
l'agencement des espaces, et éventuellement d’en diriger la
réalisation.
Culture : La notion de culture est abordée à partir de la définition qui en est donnée dans la Déclaration universelle de l’UNESCO pour la diversité culturelle.
« Ensemble des arts et des lettres, des modes de vie, des façons de vivre ensemble, des
systèmes de valeurs, des traditions et des croyances. ». On insiste sur l’idée que les cultures ne constituent pas des ensembles figés, mais qu’elles sont en constante transformation, notamment par contacts et interactions avec d’autres cultures.
Ethnographie : Méthode de travail des ethnologues qui consiste à observer et décrire la réalité quotidienne : écriture dans un carnet de notes, cartographie, photographie, dessin, enregistrements sonores et visuels, etc.
« ...Observer le plus attentivement possible tout ce que l’on y rencontre, y compris et
peut-être même surtout les comportements les plus anodins, les aspects accessoires du
comportement, certains petits incidents, les gestes, les expressions corporelles, les
usages alimentaires, les silences, les soupirs, les sourires, les grimaces, les bruits de la
ville et les bruits des champs » (La description ethnographique, François Laplantine, Nathan Université,
1996).
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Ethnologue :
L’ethnologue étudie les caractères sociaux et culturels, et se fonde
sur l’observation et la description ethnographiques pour connaitre en profondeur les
cultures des groupes humains. L’ethnologie est une discipline qui nécessite une rupture
avec la logique et les évidences du sens commun, sur lesquelles se fondent toutes les
sociétés. Cela implique en premier lieu une prise de distance critique vis-à-vis de sa
propre société et de ses cadres de références. Cette définition de base nécessite aussi
une explication des mots suivants : science sociale, observation, description, culture,
ethnographie. Présentée comme une science qui permet de connaitre une culture de
l’intérieur,
à
d’observation,
travers
de
un
patient
description
et
travail
d’écoute,
l’ethnologie est aussi abordée comme pratique
permettant ainsi de combattre l’ignorance, les
préjugés et l’intolérance.
La pratique de l’ethnologie a considérablement
changé depuis un demi-siècle. Ce n’est plus seulement une science de l’exotique étudiant les
cultures lointaines, mais une science ayant une dimension réflexive ; les ethnologues
peuvent étudier leurs propres sociétés à travers des thèmes de recherches aussi divers
que l’organisation familiale, les rituels, les quartiers, les institutions, etc.
Patrimoine : Tout comme la définition de la culture, celle du patrimoine est très
vaste. Désignant d’abord les vestiges les plus monumentaux des cultures, elle s’est enrichie de nouvelles catégories telles que le patrimoine naturel, immatériel, industriel, etc.
C’est une notion très ouverte qui englobe la culture vivante autant que celle du passé.
L’aborder par son étymologie (patrimonium, biens hérités du père et de la mère, et par
extension héritage commun d’un peuple) permet de cerner la notion de transmission.
Les mots incontournables sont notamment : monuments, sites, œuvres d’art, paysages,
architectures, habitats, connaissances, savoir-faire, pratiques, expressions, imaginaires
et représentations.
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En savoir plus
Ressources documentaires
-
Le
patrimoine
des
communes
du
Val-d'Oise,
ouvrage
collectif.
Flohic Éditions, 1999. 2 volumes illustrés (Le Patrimoine des communes de
France).
-
Cergy le guide, collectif, éd. Du Valhermeil.
-
L’invention du Val-d’Oise, 1920-2000, naissance d’un département, ouvrage
collectif dirigé par Pierre Gaudin, Cergy-Pontoise, Conseil général du Val
d’Oise, 2001.
-
Du bac au pont de Neuville (I, II, III, IV), par Françoise Waro. Vivre en Vald'Oise, 56, 1999, p. 23-32 ; 57, 1999, p. 32-41 ; 58, 1999, p. 40-47 ; 59, 2000, p
28-37.
-
Carte archéologique de la Gaule : le Val-d‘Oise, 95, ouvrage collectif dirigé par
Monique Wabont, Franck Albert et Didier Vermeersch.Paris, Maison des
sciences de l'homme, 2006, p. 196-198.
-
Cergy-Pontoise, vingt ans d’aménagement de la ville 1969-1989, collectif, Le
Moniteur Image (1989).
-
Oublier Cergy…, l’invention d’une ville nouvelle, Cergy-Pontoise 1965-1975, B.
Hirsch, presses des ponts et chaussées (2000).
-
L’urbanisme de dalles, continuités et ruptures, actes du colloque des ateliers
d’été de Cergy, collectif, presses des ponts et chaussées (1995).
-
Les villes nouvelles en France, P. Merlin, P.U.F. (1991).
-
Quarante ans en Île-de-France, rétrospective 1960-2000, sous la direction de F.
Awada, édition IAURIF (2001).
-
Les villes nouvelles d'Île-de-France, J. Sreinberg, Masson (1981).
-
Ville nouvelle de Pontoise-Cergy in Urbanisme, n°114 (1969), pp 5-8.
-
Paris demain, P. Condroyer, documentaire (1969), 32 min.
-
Une ville à la campagne, S. Florentin, documentaire (1979), 15 min.
15
-
Voyage en villes nouvelles, 1- Bâtir la ville / 3- Vivre la ville, M. Lallaoui, documentaires (1995), 23 min / 19 min.
-
L'église de Cergy, V. Le Ronne, Seine-et-Oise illustrée, 1889.
-
L'église, le manoir et les chapelles de Cergy, L. Régnier, Excursions archéologiques, Tome I, 1922.
-
Cergy-le-Haut vingt ans après les Touleuses, M.-P. Défossez, Vivre en Vald'Oise n°30, 1995.
-
L'Oise et Cergy-Pontoise, B. Warnier, Vivre en Val-d'Oise n°15, 1992.
-
Dédale, G. & L. Meichleir, documentaire (1993), 18 min.
-
L'ami de mon amie, É. Rohmer, film (1987), 99 min.
-
Cergy, Chanson d’Anis, audible sur www.anis-music.com et biographie visible
sur www.rfimusique.com
-
Cergy-Pontoise : Terre des possibles, Gex, L. Masqué, J-M. Pagès, L. 2007,
Autrement.
-
Cergy-Pontoise, du projet à la réalité, Warnier, 2004, Pierre Mardaga éditeur.
-
Le tympan de l'église de Cergy, C. Crnokrak, Bulletin SHP, 1999.
-
Cergy: du village à St-Christophe, J. Desanti et L. Guinard, 1988.
-
Cergy, souviens-toi des chemins de la tendresse, F. Pincebourde, 1990.
-
Cergy-Pontoise, ville du prochain millénaire, Collectif, Vivre en Val-d'Oise
n°39, 1996
-
Don Quichotte à Cergy, F. Gir, Vivre en Val-d'Oise n°45, 1997.
-
Chroniques de Cergy, 30 ans d'aventure en Ville nouvelle 1964-2000, V. Girard,
2000.
-
L'église St-Christophe de Cergy: histoire du site, Ch. Sapin, 2003.
-
Architectures contemporaines de Cergy-Pontoise, B. Warnier, Vivre en Vald'Oise n°63, 2000.
-
Check-up d'une ex-ville nouvelle: Cergy-Pontoise, J-C. Cavard, Vivre en Vald'Oise n°89, 2004.
-
Villes mobiles : les territoires du déplacement en Ile-de-France, Alexandre Delarge, Pierre Gaudin, Juliette Spire, Henri Zuber, Editions Créaphis, 2003.
16
Sites Internet utiles
-
ETHNODOC (www.ethnodoc.free.fr) : Centre de documentation du patrimoine culturel immatériel
-
AFEA
(www.asso-afea.fr):
d’anthropologie
-
VALDOISE (www.valdoise.fr): Site du Conseil général du Val d’Oise
-
ETHNOCLIC (www.ethnoclic.net): Plateforme numérique des apprentis ethnologues
-
CAUE 95 (www.caue.95.free.fr): Le Conseil d'Architecture, d'Urbanisme et de
Association
française
d’ethnologie
et
l'Environnement du Val d'Oise est à la disposition des collectivités et des particuliers. Architecte, urbaniste, paysagiste, éco-conseillère et documentaliste sont
à votre service.
-
CERGY (www.ville-cergy.fr): Site de la mairie de Cergy
-
COMMUNAUTÉ
(www.cergypontoise.fr):
Site
de
la
communauté
d’agglomération de Cergy-Pontoise
-
ASSOCIATION
DE
accueilAxeMaj.html)
L’AXE
MAJEUR
(www.axe-majeur.net/00-
-
ANPER 95 (www.anper95.valdoise.fr): Le Conseil général du Val d’Oise et ses
partenaires proposent des ressources éducatives destinées aux Valdoisiens du
CM2 à la 3e.
17
Atelier de Restitution du Patrimoine et de l’Ethnologie
Direction de l’Action culturelle
Conseil général du Val d’Oise
Hôtel du Département
2, avenue du Parc
95 032 Cergy-Pontoise cedex
Tél. : 01 34 25 38 00
www.valdoise.fr
[email protected]
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