Note d`orientations de formation 2017

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Note d`orientations de formation 2017
Note d’orientations de formation 2017
PREAMBULE
Le plan de formation 2017 sera bâti en s’appuyant sur les nouvelles règles posées par l’accord de
branche du 7 mai 2015 et sur notre propre accord d’entreprise signé le 6 juin 2016. Ce plan devra
également tenir compte des exigences de la loi de mars 2014 en respectant les obligations faites à
l’employeur en matière d’entretiens professionnels et de droit individuel d’accès à la formation sur
une période de six ans.
Quand bien même l’association a pris la décision de maintenir son investissement dans la formation
à hauteur de 2,3% de la MSB1, la part qu’il lui revient de gérer en propre, au travers de son CIFA2, est
sensiblement réduite et oblige à utiliser d’autres sources de financement de façon encore plus
opportuniste que par le passé : budgets mutualisés, période de professionnalisation, CIF, CPF si
formations éligibles…
Dans ce contexte, l’association, qui s’était jusqu’alors appliquée à maintenir l’équilibre entre
formation individuelle et formation collective, devra privilégier ce second type de formation pour
permettre l’accès au plus grand nombre. Le cahier des charges sera toujours co rédigé avec les
salariés, ainsi que cela se pratique depuis plusieurs années, pour permettre de répondre au plus près
à leurs attentes. Une réflexion devra être systématiquement menée pour voir comment pourrait être
favorisée la parole des usagers. L’objectif premier demeure de maintenir le niveau de
professionnalisme de chacun dans son domaine de spécialité en continuant à dispenser de la
formation d’adaptation.
La commission formation sera associée au travail de réflexion dans la construction de notre plan.
Pour l’aider à assumer sa charge et à comprendre les dispositifs existants dans ce domaine, un temps
d’information, assuré par notre OPCA, lui sera proposé en fin d’année 2016.
1
MSB : masse salariale brute
2
CIFA : compte investissement formation adhérent
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ORIENTATIONS GENERALES
Dans un contexte budgétaire contraint, la formation de chaque salarié devra, plus que jamais,
répondre prioritairement au besoin du poste ; elle s’inscrira dans des parcours individuels et
collectifs cohérents que les entretiens professionnels biennaux pourront permettre de construire.
Les directeurs devront exprimer leurs besoins en formation en s’assurant de l’acquisition d’un socle
commun de connaissances et compétences pour les salariés appartenant à un même service ; la
démarche collective sera ici privilégiée. Partant des acquis de chacun, ils devront ensuite chercher la
complémentarité au sein des équipes en proposant des formations individuelles ciblées.
La formation des assistants familiaux sera observée sous un regard multi-employeurs. L’entretien
professionnel devra ainsi permettre d’établir avec précision les actions menées au profit du salarié
dans leur globalité. Sans se prévaloir de formations qu’elle n’a pas financées, notre association devra
s’appuyer sur cette observation pour établir ses priorités.
Les formations visant à l’acquisition de connaissances et de savoir-faire pour l’approche de nouveaux
publics ou pour l’adaptation des pratiques à des contextes difficiles seront privilégiées. Dans ce
cadre-là, les collaborations inter-associatives seront privilégiées afin de vivifier le réseau et le
partenariat des pôles et services.
L’association souhaite enfin poursuivre l’effort engagé en direction des personnes qui veulent
intégrer notre secteur professionnel par la voie de l’apprentissage ; elle veut également s’ouvrir à
ceux qui attendent simplement de le découvrir au travers du service civique, des stages….
Enfin, l’association favorisera l’intégration des emplois aidés en les aidant à accéder à des formations
leur permettant de construire leur parcours professionnel.
La Direction des ressources humaines veillera à l’équité dans l’accès à la formation entre pôles et
entre métiers. Conscient que la continuité de service est plus impérative dans certains services que
dans d’autres, le remplacement de certains professionnels, retenus pour des formations, pourra être
intégré au CIFA pour faciliter leur absence.
De même, l’analyse de pratique sera intégrée au CIFA lorsqu’il n’y a pas de possibilité autre au sein
du budget.
L’expression de besoin en développement professionnel continu (DPC) du personnel médical et
paramédical sera réalisée avant écriture du CIFA pour, le cas échéant, y être intégré ; ce personnel ne
pouvant la même année se prévaloir des deux dispositifs.
Les directeurs et responsables de services, chargés de mener les entretiens professionnels, veilleront
au respect des échéanciers et s’appliqueront à rendre ces entretiens utiles pour la gestion de la
formation ; au terme de chaque entretien, ils s’attacheront ainsi à produire un compte rendu écrit,
formalisé par l’accord d’entreprise, qui permettra d’argumenter les nécessaires arbitrages en comité
de direction et d’éclairer les avis en comité d’entreprise. Une action d’information à destination des
cadres sera menée par notre OPCA en 2016.
Les nouvelles règles d’accès au CIF3 seront données aux salariés avant la fin de l’année 2016 pour une
mise en œuvre en 2017.
3
CIF : congé individuel de formation
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DIRECTION GENERALE
Seront priorisés :


Pour la comptabilité, les formations d’adaptation aux évolutions des logiciels résultant de
l’évolution de la législation.
Pour les ressources humaines, toutes les formations d’adaptation aux évolutions législatives.
POLE ACCUEIL FAMILIAL
Telles que rappelées dans les orientations générales, les contraintes budgétaires pour établir le plan
de formation 2017, restent fortes et nous amènent à en envisager les modalités sur un axe
essentiellement collectif.
Cependant la formation doit rester un levier qui permet aux professionnels du PAF d’être soutenu
dans l’exercice de leur profession et accompagnés dans l’adaptation de leurs pratiques. En effet, face
aux évolutions des cadres législatifs et réglementaires, des problématiques et donc des besoins des
publics accueillis, il est nécessaire que chacun puisse apporter des réponses adaptées, innover,
développer de nouvelles compétences.
Le nombre d’assistants familiaux à s’inscrire volontairement dans une démarche de demande de
formation reste minoritaire. Ainsi, une seule assistante familiale a fait une demande de formation en
2016. Pour rappel, en 2015, six assistants familiaux avaient émis des souhaits sur un sujet commun,
ce qui avait permis la mise en place d’une formation collective qui s’est déroulée sur 3 jours en
septembre et octobre 2015.
C’est une dynamique identique que nous devons maintenir pour l’année 2017 : faire émerger des
souhaits individuels et les traiter sous forme collective afin de permettre l’accès à la formation pour
un plus grand nombre d’assistants familiaux. C’est à ce titre que nous nous sommes appuyés sur les
entretiens professionnels menés en 2016 pour dégager deux axes de formation :

Les problématiques et leurs manifestations : les carences éducatives et affectives, le
handicap, les pathologies, les spécificités de l’adolescence…

Les modalités d’intervention : savoir se mettre à distance, gérer la violence, être dans une
relation d’aide…
Pour y répondre nous proposerons aux assistants familiaux, 4 modules de formations dont 2 dans le
cadre d’une reconduction : « Quand la violence fait irruption au sein de la famille d’accueil »
et « L’accompagnement de jeunes souffrant de troubles psychiques ».
Pour élargir le panel de réponses nous travaillons, en lien avec le CEFRAS, à l’élaboration d’une
formation qui traitera de l’impact des carences éducatives, affectives sur le développement de
l’enfant, de l’adolescent.
Enfin nous réfléchissons à un dernier module qui permettrait de soutenir les assistants familiaux dans
l’accompagnement du travail scolaire des jeunes qui leur sont confiés.
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Il est important de rappeler qu’une formation à l’analyse systémique est proposée hors CIFA depuis
maintenant 12 ans. Cette formation se déroule sur 2 ans et s’adresse spécifiquement aux assistants
familiaux.
Afin de respecter l’esprit de la loi de mars 2014, les personnels n’ayant pas suivi de formation depuis
2010, étaient prioritaires en 2016. A ce titre, les secrétaires du PAF vont bénéficier au cours du
dernier trimestre 2016 d’un module de formation traitant de l’organisation du travail en lien avec la
cohésion d’équipe qu’il sera nécessaire de poursuivre en 2017.
Dans le cadre du mécénat mis en place avec ALTRAN, elles peuvent continuer à bénéficier d’une
formation concernant le traitement des documents longs WORD et EXCEL.
Une formation spécifique à l’accueil physique et téléphonique est également envisagée pour 2017.
Concernant les personnels éducatifs une formation sur les écrits professionnels les amènerait à une
meilleure maîtrise non seulement technique mais également du sens à donner afin de répondre à
une double nécessité en ce qui concerne notamment le rapport d’échéance : être lu par des parents
et apporter les éléments dont ont besoin les juges pour prendre une décision objective. Elle pourrait
aussi traiter de la rédaction du Document Individuel de Prise en Charge qui doit être établi pour
chaque jeune accueilli.
Nous réfléchissons également à la mise en place d’un accompagnement des équipes psycho
éducatives, en y incluant les responsables de service, qui aurait 2 objectifs :

Harmoniser le fonctionnement des 3 équipes dans une visée d’organisation transversale de
la prise en charge des jeunes et de leurs familles.

Permettre à chacun de mieux appréhender son champ d’intervention et de responsabilité.
Deux recrutements devraient avoir lieu entre juin et septembre 2016, sur le poste d’adjoint(e)
d’animation en contrats emploi d’avenir et sur le poste d’assistant éducatif. Ces embauches
nécessiteront d’être accompagnées par des formations adaptées et définies avec les personnes
concernées.
Comme chaque année, l’inscription à des colloques reste un axe de formation à privilégier. Ils
favorisent la découverte d’approches nouvelles et d’innovations mais aussi d’échanges inter
secteurs, de rencontres avec des professionnels d’horizons divers. Comme les années précédentes, la
participation active du CPFS à la commission régionale de l’ANPF, donnera lieu à l’inscription d’un
groupe de professionnels au colloque annuel qui se tiendra à Paris les 29 et 30 septembre et
s’intitule « des places, des placements, des déplacements …Et l’enfants dans tout ça ? ».
POLE MILIEU OUVERT
Préambule :
L’orientation du pôle est, en matière de formation, résolument pluriannuelle et prospective. Ainsi,
cette note d’orientation s’inscrit d’une part dans la cohérence et continuité du schéma défini pour
chacun des services les années antérieures et d’autre part dans la définition des enjeux en termes
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d’adaptation aux évolutions en cours ou à venir au regard des publics, dispositifs, aux nouvelles
questions sociales mais aussi dans le renforcement de nos capacités d’innovation, lesquelles
supposent le développement des compétences. Le versant collectif de la formation, sans être
exclusif, est toutefois soutenu prioritairement pour permettre d’aborder dans des dynamiques
collectives les enjeux actuels des services et l’approche méthodologique.
Service de Prévention Spécialisée
La démarche de projets trisannuels est aujourd’hui bien établie au sein du service, elle favorise une
réflexion constante sur les pratiques au regard des évolutions, des besoins et des problématiques des
publics ainsi que des contextes d’intervention. De fait, elle permet de faire émerger les besoins de
formation, d’espaces de réflexion et d’expérimentation.
En complément, les Missions Exploratoires (MEX) portées par des collectifs de professionnels
développent des contributions et pistes de travail en termes notamment d’adaptation ou
expérimentations. Les travaux actuellement engagés sont ainsi susceptibles de faire émerger
certaines questions transversales aux équipes qui pourraient conduire à élaborer un schéma de
formation. A titre d’exemple, au vu de l’évolution des territoires, de l’emprise des trafics, et de la
montée de la violence entre jeunes, notre approche éducative des publics et des contextes doit être
reconsidérée.
Par ailleurs, la Recherche Coopérative sur les jeunes en rupture avec les systèmes d’aides aura, elle
aussi, rendu ses réflexions et préconisations tant en termes d’adaptation des pratiques que de
rénovation de l’approche sociale et éducative.
Pour soutenir et accompagner l’ensemble des professionnels dans ces démarches dynamiques et
participatives, la formation constitue un levier pertinent, celle-ci peut être utilement développée à
l’échelle d’une équipe, transversalement à l’échelle du service. A cet égard, le service a développé
ces dernières années une démarche collaborative d’élaboration de cahier des charges (en termes de
contenu et de format) pour cerner ses besoins de formation internalisée. Ce processus sera
reconduit comme garantissant la formation la plus adapté aux besoins des professionnels.
Le volontarisme développé par le service en termes d’expression et de participation des jeunes a été
largement inscrit dans les projets trisannuels (2015-2017). En 2018, les équipes devront
entreprendre une nouvelle démarche de diagnostics de positionnement et un nouveau cycle de
projets trisannuels, à cet égard l’ambition doit nous conduire à intégrer dans ce processus les jeunes
que nous accompagnons. La participation est aujourd’hui annoncée dans nombre de politiques
publiques (qu’il s’agisse de la Protection de l’Enfance ou au niveau de Rennes Métropole), et elle
constitue un enjeu majeur pour la Prévention Spécialisée dans la démonstration de sa capacité
d’innovation. Toutefois, la démarche, au-delà de son énoncé, suppose de définir une méthodologie
adaptée. Ainsi, une formation-action pourrait accompagner ce processus expérimental.
SEVAE
La démarche d’évaluation ponctuant la mise en œuvre de la MJIE (Mesure Judiciaire d’Investigation
Educative) a valu de faire des adaptations (depuis 2 ans) en termes d’organisation et de protocole
pour répondre au cadre d’application et aux moyens disponibles. En 2016, nous constatons qu’elles
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ne suffisent pas à maitriser la charge de travail et le flux des mesures, et de fait la persistance de
retards dans le rendu des rapports vient anéantir les efforts entrepris.
L’organisation du service et la démarche d’investigation doivent être reconsidérées, et des
adaptations seront engagées en 2016. Ainsi, alors qu’une forme de « rationalisation » de la démarche
d’investigation s’impose en référence aux moyens disponibles, nous identifions le besoin
d’accompagner les professionnels dans la recherche d’efficience du travail interdisciplinaire centré
sur l’investigation au regard de la circulaire MJIE 2015. Nous repérons notamment la nécessité de
soutenir des professionnels dans le travail d’écriture et d’élaboration des rapports dont on constate
qu’ils restent chronophages. Au regard du travail de recomposition de notre démarche
d’investigation, des besoins spécifiques pourraient émergés et valoir un soutien en termes de
formation.
Toute formation collective vaudra l’élaboration concertée d’un cahier des charges afin de garantir
l’adaptation la plus précise aux besoins du service et des professionnels.
C’est pourquoi, la formation doit être entendue soit comme une réflexion collective pour répondre
aux questions de la démarche interdisciplinaire, soit comme un accompagnement individualisé en
fonction des besoins et du profil de chacun.
Enfin, le colloque annuel organisé par la FN3S au regard de la qualité de ses contenus s’impose
désormais comme un temps de formation incontournable.
POLE PRECARITE INSERTION
Préambule
La formation professionnelle constitue un axe important en matière d’adaptation et d’actualisation
des pratiques, des compétences professionnelles afin de fournir un service et des prestations de
qualité répondant aux besoins des usagers. Elle peut également se révéler un levier pertinent pour
anticiper les évolutions futures requérant de nouvelles pratiques ou des modalités de travail
innovantes pour accomplir les missions qui nous sont dévolues. Au PPI, comme sur les autres pôles
de la SEA 35, les professionnels ont besoin d’ajuster et d’améliorer leurs pratiques, au regard des
évolutions du contexte externe (lois, cadres juridiques et réglementaires, etc…) mais également des
besoins des publics accueillis, hébergés ou accompagnés sur les différents dispositifs du pôle. Elle
peut aussi permettre de lutter contre les risques « d’épuisement » professionnel.
La démarche d’amélioration continue de la qualité dans laquelle s’est engagée la SEA 35 depuis
plusieurs années maintenant constitue un axe qui doit être renforcé au PPI.
Au sein du PPI, en 2016, la démarche de CPOM engagée avec les services de la DDCSPP s’est finalisée.
L’année 2017 sera donc consacrée à la mise en œuvre des orientations stratégiques et des objectifs
opérationnels définis dans la cadre du CPOM. Cette dynamique sera associée à la réécriture du projet
de pôle, à laquelle l’ensemble des professionnels du PPI sera convié, dans une volonté de
coopération, de co construction et de participation.
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Au cours de l’année 2016, plusieurs professionnels ont pu participer à des temps de formation
collective :



L’accès aux droits des étrangers
L’accompagnement de personnes ayant des conduites addictives ou souffrant d’addictions
(alcool, toxicomanie, etc…)
L’accompagnement de personnes souffrant de troubles d’ordre psychologique ou
psychiatrique.
Les professionnelles de l’EDD ont également pu bénéficier de temps formatifs liés à l’installation d’un
nouveau logiciel de traitement et de gestion des élections de domicile (Maléo).
Après quelques séances d’information et de formation, le logiciel de la Banque Alimentaire est
dorénavant opérationnel sur l’Abri.
Les infirmières du Point Santé ont également pu co élaborer avec Altran, un outil de traitement de
leurs données qu’il s’agit maintenant de rendre opérationnel sur 2017.
Orientations
Au regard des budgets contraints, les orientations de formation professionnelle pour le PPI
privilégieront les sessions collectives.
Les souhaits de formation émis par les professionnels lors des entretiens professionnels seront
étudiés et pris en considération pour élaborer le programme de l’année 2017.
Des temps de formation seront proposés pour faire suite, notamment, à des séances qui se sont
déroulées en 2016, concernant le droit des étrangers ainsi que l’accompagnement des migrants
souffrant de troubles d’ordre psychologique ou psychiatrique.
Au regard des troubles de comportement (agressivité, insultes, menaces, addictions…) présentés par
certains usagers, il apparaît également souhaitable d’envisager des modalités de soutien à la
pratique professionnelle. De fait, un groupe de réflexion va être mis en œuvre afin de réfléchir aux
besoins spécifiques des professionnels confrontés à ce type de situation. Il pourrait donc s’avérer
nécessaire de mettre en place une session de formation collective sur cette thématique.
En 2016 et 2017, les professionnels de l’équipe CAO/SKOAZELL vont également participer à des
temps de formation sur « l’évaluation sociale » organisée par la SIAO 35 et animée par le CREAI.
Cette formation inter associative devrait favoriser le développement de liens partenariaux.
Le groupe de réflexion sur la mise en œuvre des outils de la loi 2002-2 devrait également aboutir à
des propositions d’amélioration des pratiques concernant l’accompagnement dans l’expression et la
participation des usagers aux dispositifs. Il s’agira effectivement d’envisager des modalités
d’amélioration de nos pratiques et de nos interventions auprès des usagers, et ce, notamment en
référence au guide des bonnes pratiques, édité par l’ANESM.
Le CPOM, signé avec la DDCSPP, en mai 2016, a également défini un objectif de formation sur la
thématique de la « bientraitance ». Il y aura donc lieu d’étudier la meilleure temporalité pour la mise
en œuvre de cette formation.
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Par ailleurs, les séances d’analyse des pratiques professionnelles seront maintenues et les groupes
ont été reconstitués. Une séance supplémentaire par groupe a été actée fin 2016 et sera prolongée
pour 2017.
La participation à des colloques, à des conférences, à des journées thématiques (FNARS, CEMEA…)
sera privilégiée pour son levier formatif tout à fait pertinent, au regard des évolutions actuelles du
secteur.
La formation du personnel au risque incendie sera reconduite tout comme le PSC1 (Prévention
Secours civique niveau 1).
En ce qui concerne les obligations en matière de DPC (Développement Professionnel Continu) pour le
personnel paramédical du Point santé, il sera étudié les possibilités de participation à des sessions
d’approfondissement de leurs pratiques.
Enfin, les actions de formation pour les salariés en situation de contrats aidés (contrat emploi
d’avenir, CAE) ou pour les services civiques seront étudiées en fonction des souhaits exprimés et des
possibilités offertes par les organismes de formation.
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