Occasions avec l`assurance-vie en 2016
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Occasions avec l`assurance-vie en 2016
À L’USAGE EXCLUSIF DES CONSEILLERS Occasions avec l’assurance-vie en 2016 ÉTUDES DE CAS ÉTUDE DE CAS NUMÉRO 1 – CRÉDIT PORTÉ AU CDC D’UNE ENTREPRISE Joseph Roquette est âgé de 49 ans et il est l’actionnaire unique de XYZ inc., un fabricant prospère de bobsleighs. L’entreprise génère chaque année un revenu après impôt impressionnant, mais, de par la nature de l’industrie, les liquidités varient d’un mois à l’autre. Joseph sait qu’il a besoin d’une protection pour personne clé pour assurer la survie de son entreprise lorsque celle-ci sera transmise à la génération suivante, car sa famille continuera d’avoir besoin de ce soutien. Il veut également s’assurer que sa famille aura accès à l’argent de l’entreprise de la manière la plus efficace possible sur le plan fiscal. Joseph est en santé, mais il sait que cela pourrait changer à tout moment. Joseph rencontre son conseiller. Ils déterminent que son besoin d’assurancevie s’élève à 5 millions de dollars.1 Le conseiller lui dit qu’une assurance-vie permanente est ce qui convient le mieux à sa situation, puisque l’assurance doit demeurer en vigueur sa vie durant pour couvrir ses besoins liés à l’héritage. Ils discutent des options de couverture possibles. Joseph aime le concept de l’assurance avec participation, mais il s’inquiète de ce qui arriverait s’il disposait de moins de liquidités et ne pourrait régler les primes requises. Son conseiller lui parle ensuite de l’assurance- vie universelle dont la structure de paiement est plus souple, ce qui est important pour Joseph. Au cours de ses propres recherches sur le sujet, Joseph a appris que des modifications seront apportées en 2017 à la loi qui s’applique à l’assurancevie. Le conseiller lui explique que bien que les modifications fiscales qui toucheront l’assurance-vie en 2017 présenteront des occasions de conception et d’amélioration des produits, elles changeront aussi certains des avantages offerts en vertu des règles fiscales actuelles. Une des modifications concerne le calcul du coût de base rajusté (CBR) d’un contrat d’assurance-vie. Le calcul du CBR est complexe, mais on peut généraliser en disant que les primes payées sont ajoutées au CBR du contrat, ce qui fait augmenter le CBR. Un autre facteur – le coût net de l’assurance pure (CNAP) – est déduit du CBR. En général, le CBR d’un contrat augmente durant les premières années pour atteindre son maximum, puis il décroît jusqu’à zéro à un certain moment dans l’avenir. Cette décroissance est liée au fait que le CNAP augmente chaque année avec l’âge de la personne assurée, et celui-ci finit par être d’un montant supérieur à celui des primes payées. Le calcul du CBR pour les contrats établis à compter de 2017 sera aussi touché par des modifications apportées au calcul du CNAP. En bref, le calcul du CNAP utilisera des renseignements plus récents en matière de mortalité. Cela se traduira par une réduction du montant du CNAP par rapport à celui qui est utilisé actuellement, ce qui peut avoir pour effet de reporter le moment où le CBR atteint son maximum, hausser ce maximum et rallonger la période de temps avant que le CBR ne tombe à zéro. Joseph se demande pourquoi cette modification aura une incidence sur sa planification, en supposant que tous les autres facteurs demeurent inchangés. Le CBR d’un contrat détenu par une société est très important pour déterminer quelle portion du capital-décès total peut être versée libre d’impôt aux actionnaires d’une entreprise. En bref, si une entreprise est propriétaire d’un contrat d’assurancevie et que la personne assurée décède, l’entreprise reçoit le capital-décès en franchise d’impôt. Toutefois, sur la question de savoir si elle peut payer la totalité ou une partie du capital-décès libre d’impôt à ses actionnaires, cela dépend de son compte de dividendes en capital (CDC). Ce compte effectue le suivi des sommes libres d’impôt reçues par l’entreprise et cette dernière peut les payer aux actionnaires en déclarant un dividende en capital. Ceux-ci ne paient Aperçus fondés sur un contrat d’assurance-vie universelle de 5 millions de $ avec option Capital nominal plus le compte du contrat et CDA uniforme pour un homme non fumeur âgé de 49 ans; paiements de 140 000 $ affectés au contrat chaque année pendant 15 ans au taux d’intérêt hypothétique de 4 % et avec taux de CDA en vigueur le 1er février 2016. 1 La vie est plus radieuse sous le soleil 2 pas d’impôt sur les dividendes en capital. Toutefois, en ce qui concerne le capitaldécès d’un contrat d’assurance-vie, on ne peut porter au crédit du CDC de l’entreprise que le capital-décès diminué du CBR du contrat au décès. Moins le CBR est élevé, plus le crédit qui peut être porté au CDC sera élevé; et le résultat sera plus avantageux pour les actionnaires successeurs de Joseph. Le conseiller de Joseph sait que les produits pourraient changer en 2017, mais il est impossible de vraiment savoir de quelle façon. Il se demande néanmoins comment le CBR pourrait changer s’il n’y a rien d’autre qui change. Puisque le CBR aura des répercussions sur le crédit porté au CDC, Joseph préférerait un produit avec un CBR le plus bas possible et qui décroît à zéro le plus rapidement possible. Incidence sur le CBR 2 000 000 $ CBR avant 2017 le CBR 1 500 000 $ CBR après 2016 1 000 000 $ 500 000 $ 0$ 50 60 70 80 90 100 Âge de Joseph En appliquant les règles actuelles au CBR, celui-ci atteindra son maximum de 1 679 000 $ lorsque Joseph effectuera le dernier versement au compte du contrat à l’âge de 64 ans, et la décroissance du CBR atteindra zéro à l’âge de 76 ans. Lorsqu’il examine le même contrat en appliquant les nouvelles règles, le CBR atteint son maximum de 1 853 000 $ à l’âge de 64 ans aussi, mais sil atteint zéro à l’âge de 86 ans. Puisqu’on obtient le crédit porté au CDC en déduisant le CBR du capital-décès total, Joseph sait que le CDC sera également touché par cette modification. Incidence sur le CDC 100 % Crédit porté au CDC en % du capital-décès total 95 % 90 % 85 % CDC avant 2017 80 % CDC après 2016 75 % 70 % 60 % 55 % 50 % 50 60 70 80 90 100 Âge de Joseph Joseph constate que si son contrat est établi avant le 1er janvier 2017, il peut obtenir un crédit pour le CDC plus important que s’il attend que les nouvelles règles entrent en vigueur. L’aperçu calculé en appliquant les règles actuelles montre que c’est à l’âge de 76 ans que son entreprise pourrait obtenir un crédit au CDC pour le capital-décès total. Si on applique les nouvelles règles de 2017 au même contrat, ce n’est qu’à l’âge de 86 ans que le capital-décès total serait porté au crédit du CDC, soit 10 ans plus tard. Joseph tient compte des éléments suivants pour prendre sa décision : Un contrat d’assurance vie universelle lui donne plus de souplesse quant au paiement des primes. Cela lui convient, car ses liquidités peuvent varier durant la période de paiement prévue de 15 ans. §§ Les règles actuelles haussent le plafond d’exonération, ce qui permet une plus forte accumulation durant toute l’existence du contrat d’assurance-vie universelle avec option Capital nominal plus le compte du contrat et CDA uniforme que ne le permettront les nouvelles règles. Cela donne plus de souplesse à Joseph pour augmenter ses versements dans l’avenir si les liquidités le lui permettent. §§ Les modifications au calcul de l’impôt sur le revenu de placements (IRP) pour les contrats d’assurance-vie universelle avec CDA uniforme pourraient se traduire par une hausse du coût de l’assurance de ce type de contrat à compter de 2017. §§ Les règles qui s’appliquent actuellement au calcul du CBR d’un contrat pourraient permettre un crédit plus élevé pour le CDC pendant plus longtemps. Joseph décide d’agir dès aujourd’hui et de mettre en place son assurance avant que les modifications fiscales prennent effet le 1er janvier 2017. Ce faisant, il s’assure aussi que l’assurance est en place tout de suite, car il ne peut pas prévoir les changements qui pourraient survenir durant l’année ou qui pourraient affecter son état de santé à un moment donné. 3 ÉTUDE DE CAS NUMÉRO 2 – MAXIMISER LE PROVISIONNEMENT D’UN CONTRAT D’ASSURANCE-VIE UNIVERSELLE Julie a 57 ans et Stéphane en a 54; ils ont toujours vécu confortablement. Ils ont réussi à maximiser leurs cotisations au régime enregistré d’épargneretraite (REER) et au compte d’épargne libre d’impôt (CELI) et à accumuler suffisamment d’épargne non enregistrée pour avoir confiance en leur avenir. Comme ils ont deux enfants à l’université, et bien que Julie et Stéphane ne doutent pas qu’ils terminent leurs études avec succès, ils veulent faire de leur mieux pour les aider à y arriver. Le père de Stéphane est décédé récemment et il a laissé à Stéphane et à Julie un héritage d’un million de dollars. Stéphane et Julie veulent en tirer le meilleur parti, et puisqu’ils ont déjà garanti leur propre avenir financier, ils savent que c’est l’occasion idéale d’aider la génération suivante. Il est important pour eux de laisser un héritage à leurs deux enfants, tout comme le père de Stéphane l’a fait pour eux. Après avoir consulté leur conseiller, il est évident qu’un contrat d’assurance-vie est un excellent moyen de leur procurer un instrument d’épargne fiscalement avantagé, qui leur permettra aussi de laisser un héritage considérable à leurs enfants grâce au capital-décès libre d’impôt. Ils décident de ne pas affecter le montant de l’héritage au complet au contrat d’assurance; ils préfèrent payer 50 000 $ par année sur 15 ans. Ils aimeraient aussi avoir la possibilité d’augmenter les versements à leur contrat s’ils veulent le faire à un moment donné. Puisque Stéphane et Julie se sont occupés eux-mêmes durant une bonne partie de leur vie de gérer leurs finances et leurs portefeuilles de placement, ces investisseurs avisés aiment tenir les commandes de la gestion de leurs placements. Bien qu’ils apprécient la stabilité et l’historique de rendement solide d’un contrat avec participation, ils ont une préférence marquée pour les contrats d’assurance-vie universelle car ceux-ci sont axés sur les marchés. Puisque laisser un héritage à leurs enfants est leur préoccupation principale, ils choisissent un contrat sur deux têtes payable au dernier décès; ce type de contrat verse le capital après le décès du conjoint survivant. Ils décident de souscrire un contrat d’assurance-vie universelle avec option Capital nominal plus le compte du contrat et CDA uniforme. Le capital-décès initial est d’un million de dollars et ils verseront 50 000 $ au compte du contrat, chaque année pendant les 10 prochaines années.2 VU CDA uniforme avec versements de 50 000 $ pendant 15 ans – Règles fiscales avant 2017 2 500 000 $ 2 000 000 $ Fonds exonérés prévus 1 500 000 $ Plafond d'exonération avant 2017 1 000 000 $ 5 00 000 $ 0$ 1 3 5 7 9 11 Si Stéphane et Julie souscrivent un contrat en vertu des règles actuelles, l’échéancier de paiement qu’ils ont prévu leur laisse encore de la place pour 13 15 17 19 21 23 25 27 29 accumuler une somme importante de fonds exonérés dans leur contrat. De plus, s’ils décident d’utiliser une portion de leur héritage dans l’avenir pour 31 33 35 37 39 41 43 45 augmenter leurs versements, ils pourront le faire et cela contribuera à augmenter davantage l’héritage en franchise d’impôt qu’ils pourront laisser à leurs enfants. Aperçus fondés sur un contrat d’assurance-vie universelle sur deux têtes payables au dernier décès de 1 million de $ avec option Capital nominal plus le compte du contrat et CDA uniforme pour un homme non fumeur âgé de 54 ans et une femme non fumeuse âgée de 57 ans; paiements de 50 000 $ affectés au compte du contrat chaque année pendant 10 ans au taux d’intérêt hypothétique de 4 % et avec taux de CDA en vigueur le 1er février 2016. 2 4 2 500 000 $ VU CDA uniforme avec versements de 50 000 $ pendant 15 ans – Règles fiscales après 2016 2 000 000 $ Réserve pour primes nettes Fonds prévus Nouveau plafond d'exonération 1 500 000 $ 1 000 000 $ Retrait de fonds requis pour maintenir l'exonération 500 000 $ 0$ 1 3 5 7 9 11 RENTES ASSURÉES La situation change considérablement pour Stéphane et Julie lorsqu’on applique les nouvelles règles fiscales de 2017 au même contrat. Ces nouvelles règles tiennent maintenant compte d’une réserve actuarielle, connue sous le nom de réserve pour primes nettes (RPN), pour déterminer le plafond d’exonération d’un contrat. Ce nouveau facteur représente une portion considérable du provisionnement maximum exonéré d’impôt des contrats d’assurance-vie universelle avec option Capital nominal plus le compte du contrat et CDA uniforme. En conséquence, les versements planifiés de 50 000 $ pendant 15 ans dépasseront dorénavant le plafond d’exonération. Cela signifie aussi qu’ils ne pourront plus faire de versements supplémentaires s’ils le voulaient. Ils décident que la capacité de provisionnement plus élevée qu’offre un contrat établi avant 2017 est importante pour eux, car cela leur donne une 13 15 17 19 21 23 25 27 29 souplesse accrue si jamais ils voulaient faire des versements supplémentaires. La rente assurée, parfois appelée rente adossée, présente au client un potentiel de croissance du revenu après impôt, car il souscrit une rente prescrite bénéficiant d’un traitement fiscal préférentiel et reconstitue le capital utilisé pour souscrire la rente au moyen d’un contrat d’assurance. Chaque paiement uniforme provenant de la rente prescrite comporte une portion imposable qui est calculée au moyen des tables de mortalité prescrites dans la Loi de l’impôt sur le revenu et le Règlement de l’impôt sur le revenu. De nouvelles tables de mortalité s’appliqueront au calcul de la partie imposable des rentes prescrites souscrites à compter du 1er janvier 2017, ce qui se traduira par une augmentation du montant imposable. Comme la partie imposable sera plus élevée, le revenu après impôt sera moins élevé. LES STRATÉGIES À EFFET DE LEVIER ET LE CNAP Les calculs révisés à la suite des modifications aux facteurs du CNAP se solderont généralement par un montant de CNAP moins élevé pour les contrats d’assurance-vie établis après 2016. Le CNAP d’un contrat d’assurance-vie est un facteur important pour déterminer si les primes du contrat d’assurance-vie sont déductibles aux fins de l’impôt dans certaines situations. Si un contrat d’assurance-vie est cédé en garantie d’un prêt auprès d’une institution financière et qu’il satisfait aux conditions énoncées dans la Loi de l’impôt sur le revenu, le client pourrait avoir le droit de demander une déduction égale au montant des primes payées ou au CNAP, selon le moindre montant. Cela pourrait se traduire par une baisse du montant déductible aux fins de l’impôt sur le revenu des clients dans le cadre des stratégies à effet de levier faisant appel à l’assurance-vie. Les contrats assortis d’une surprime pourraient avoir un CNAP plus élevé, mais cela sera probablement neutralisé par un CBR accru et un provisionnement maximum réduit, comme nous l’avons montré dans les études de cas ci-jointes. 31 33 35 37 39 41 43 45 Les rentes assurées font communément appel à l’assurance-vie universelle avec coût de l’assurance uniforme. Les primes pour ce type de produit pourraient être plus élevées à compter de 2017, compte tenu du besoin d’incorporer les modifications à l’impôt sur le revenu de placements (IRP). Il pourrait être dans l’intérêt des clients qui songeaient à souscrire une rente assurée de le faire avant 2017 pour s’assurer un revenu après impôt plus élevé que celui qui sera versé en vertu des nouvelles règles. Prenons l’exemple d’un client qui a placé 500 000 $ dans un CPG lui procurant des intérêts annuels au taux de 3 %. Il aimerait prendre cette somme pour mettre en place une stratégie de rente assurée. Tout d’abord, il doit souscrire un contrat d’assurance-vie universelle avec CDA uniforme dont le capital-décès est de 500 000 $ et payer la première prime mensuelle de 1 311 $. Ensuite, il utilise le solde de 498 689 $ pour souscrire un contrat de rente prescrite qui lui versera un revenu mensuel uniforme pour le reste de sa vie. Compte tenu de l’imposition préférentielle dont bénéficient les rentes prescrites, cette stratégie pourrait générer un revenu supérieur à celui produit par son CPG. À son décès, le capital-décès de 500 000 $ renflouera son patrimoine. 5 Le tableau ci-dessous montre le revenu après impôt que générerait cette stratégie en tenant compte du traitement fiscal actuel des rentes prescrites, comparativement à celui qui s’appliquera à ces rentes à compter de 2017. Cependant, cette comparaison ne tient pas compte des modifications qui pourraient être apportées aux rentes ni des taux du coût de l’assurance en vigueur. CPG seulement Rente assurée – Règles fiscales actuelles Rente assurée – Règles fiscales 2017 REVENU TOTAL 15 000 $ 30 995 $ 30 995 $ PARTIE IMPOSABLE $15 000 $ 3 595 $ 6 429 $ IMPÔT PAYABLE À 30 % 4 500 $ 1 079 $ 1 929 $ REVENU NET 10 500 $ 29 916 $ 29 066 $ MOINS : PRIME D’ASSURANCE N/A 15 495 $ 15 495 $ REVENU DISPONIBLE 10 500 $ 14 421 $ 13 571 $ VALEUR SUCCESSORALE 500 000 $ 500 000 $ 500 000 $ La stratégie de la rente assurée continue de procurer un avantage par rapport au CPG, mais si elle est souscrite après 2017, cet avantage ne sera plus aussi intéressant qu’il ne l’est en vertu des règles en vigueur aujourd’hui. La stratégie de la rente assurée procure au client un revenu après impôt de 14 421,93 $ en appliquant les règles actuelles, par rapport à 13 571,57 $ si les nouvelles règles de 2017 étaient appliquées. Il perd 6 % du revenu après impôt généré dans le cadre de la stratégie. Il est important de noter que cet exemple utilise les taux courants, car il nous est impossible de prévoir quels seront les taux de rente ou les taux du coût de l’assurance en 2017. La vie est plus radieuse sous le soleil La Sun Life du Canada, compagnie d’assurance-vie est membre du groupe Financière Sun Life. © La Sun Life du Canada, compagnie d’assurance-vie, 2016. 820-4551-Numérique-03-16 Si des changements aux calculs de l’IRP entraînent un coût de l’assurance plus élevé pour le contrat d’assurancevie universelle, en mettant en place cette stratégie après 2016, cela réduira davantage le revenu disponible généré.