Le Musée et Сentre d`expositions «Manège » Le Centre culturel et
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Le Musée et Сentre d`expositions «Manège » Le Centre culturel et
Partenaires: Le Musée et Сentre d’expositions « Manège » Le Centre culturel et scientifique de Russie à Luxembourg Exposition « La Guerre et la paix de Vadim Sidour » 22.10—04.11.2016 Adresse : Le Centre culturel et scientifique de Russie, 32, rue Goethe L-1637 Luxembourg Horaires : de lundi à jeudi de : 10h00 à 19h00 vendredi : de 10h00 à 16h00 samedi : sur inscription préalable Renseignements : +(352) 264 803 22 [email protected] facebook.com/CCSR.Lux.fr/ Du 22 octobre au 4 novembre 2016 le Centre de Russie pour la Science et la Culture à Luxembourg accueillera l’exposition « La Guerre et la Paix de Vadim Sidour ». Luxembourg sera une étape parmi celles qui l’attendent durant sa grande tournée mondiale. L’exposition est organisée à l’initiative du Musée et Сentre d’expositions « Manège » et du Centre culturel et scientifique de Russie à Luxembourg avec le soutien de l’Ambassade de Russie à Luxembourg et celui de la Représentation permanente et de la Fédération de Russie auprès du Conseil de l’Europe. Cette exposition est consacrée au 125ème anniversaire de l’établissement des relations diplomatiques entre la Russie et le Grand-Duché de Luxembourg et au 5ème anniversaire de l’activité du Centre culturel et scientifique de Russie à Luxembourg. Le public aura l’occasion de découvrir plus de 40 œuvres du maître de différentes périodes de sa vie, avec des sculptures, de l’art graphique, des céramiques et des gravures sur linoléum. La majorité des pièces de l’exposition appartiennent au Musée Vadim Sidour, fondé en 1987, qui a été rattaché aux collections du Musée et du Centre d’expositions « Manège » en 2012. Ce n’est par hasard que l’exposition « La Guerre et la Paix de Vadim Sidour » a été choisi pour être montrée dans nombre de villes européennes et asiatiques. Stridentes, tragiques et en même temps incroyablement sincères, les œuvres de Sidour sont aussi en harmonie avec l’esprit de notre époque. Ces œuvres reflètent l’horreur de la guerre et de la mort violente, le danger imminent d’une catastrophe écologique globale, la recherche de l’harmonie dans un monde en voie de destruction, une vénération pour la force créatrice du génie humain. Beaucoup de ses œuvres semblent être des illustrations des articles de la Convention des droits de l’homme et des libertés fondamentales : le droit à la vie, l’interdiction de la torture, le droit à la liberté et à l’inviolabilité de la personne, le respect de la vie privée et familiale, la liberté de pensée et de conscience. Les œuvres de Sidour nous invitent à voir le monde différemment, à avoir un regard différent, plus profond, sur ce qui s’y passe, à entrevoir le futur et, en suivant les conseils de l’artiste, à tâcher de rendre ce futur meilleur. Le nom du maître, qui est considéré à juste titre comme un brillant représentant de l’art non-officiel, est digne d’occcuper le même rang que ceux de génies de l’avant-garde tels Henry Moore, Alberto Giacometti, Constantin Brancuși. L’artiste a laissé un héritage artistique immense, qui inclut plus de 500 sculptures, 2000 oeuvres graphiques, un recueil de poèmes, un ouvrage en prose d’avantgarde, un film. On peut voir ses monuments en Allemagne, aux États-Unis, en Russie. A diverses époques, ses créations sont venues compléter les collections de personnes célèbres telles le chancelier allemand Helmut Schmidt, Samuel Beckett et Pablo Neruda, lauréats du Prix Nobel de littérature, le compositeur Benjamin Britten et beaucoup d’autres collectionneurs. Bien que l’œuvre de Sidour ait déjà été reconnue de son vivant tant par le public que par la critique hors des frontières de l’Union soviétique, son nom est loin d’être connu de tous les amateurs d’art en Europe. Les organisateurs de l’exposition espèrent, grâce à ce projet, surmonter cette sorte d’injustice historique.