programme - La Maison de l`Europe

DOSSIER DE PRESSE
Avril 2016
UN NOUVEAU RÉCIT POUR L’EUROPE
Regards croisés sur l’histoire de la conscience européenne
COLLOQUE INTERNATIONAL
Les vendredi et samedi 20 et 21 mai 2016
au Collège des Bernardins
En collaboration avec la Commission Européenne dans le cadre de l’action « Un nouveau récit pour l’Europe »
Il n’existe pas à ce jour d’histoire européenne de l’Europe qui ait reçu un consensus favorable de la part
des Etats et des populations européennes.
Depuis 2013, le département de recherche « Société, Liberté, Paix » du Collège des
Bernardins s’est engagé avec plusieurs partenaires européens, ainsi qu’avec de grands
historiens, dans une recherche centrée sur l’histoire de la conscience européenne.
Le but de ce récit est de proposer un nouveau récit pour l’Europe qui soit centré sur
l’histoire de la conscience européenne, qui puisse croiser les regards d’historiens
appartenant à différentes traditions nationales, politiques et historiographiques, et qui
soit largement accessible et commenté par les Européens. Pour parvenir à un tel résultat,
une trentaine d’historiens appartenant à dix-sept pays différents exposeront leurs
recherches et dialogueront ensemble.
La première journée sera consacrée à la méthode, aux synthèses historiques de longue
durée possibles et à la présentation des caractéristiques principales de la conscience
européenne.
La deuxième journée sera centrée sur une trentaine de grands événements, de grands
personnages et de fruits majeurs qui ont marqué, ont produit ou ont résulté de l’histoire
mouvementée de la conscience européenne.
Il ne s’agit pas de produire un récit exhaustif ou apologétique ou exclusif de la conscience
européenne. Il s’agit de rendre visible la réalité mouvante d’une conscience européenne
qui s’affirme de plus en plus en Europe. Pour n’avoir aucun lieu où se penser et où se
refléter, celle-ci est bien souvent abandonnée à elle-même au point de douter de sa
réalité propre. Mais les enjeux politiques, économiques et culturels de l’Europe politique
sont tels que l’Union européenne ne pourra plus se permettre trop longtemps de se
passer de récit commun.
Ce colloque international affiche l’ambition d’écrire une histoire de la conscience
européenne, visant à dépasser les réticences et les blocages afin de répondre à une
aspiration des Européens, qui demeure fondamentale : connaître leur histoire
commune.
Ce colloque donnera lieu à une publication aux Editions Salvator.
Relations Media
Nathalie Moysan – [email protected] – 06 19 01 31 06
Collège des Bernardins – 20 rue de Poissy – 75 005 Paris
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SOMMAIRE
1 - LE PROJET DU RÉCIT EUROPÉEN……………………………….p.3
2 - LES ACTEURS DU PROJET………………………………………….p.4
3 - LE PROGRAMME DU COLLOQUE………………………………p.5
4 - LES PARTENAIRES ET SOUTIEN…………………………………p.6
5 - LE POLE DE RECHERCHE……………………………………………p.7
6 - LE COLLÈGE DES BERNARDINS………………………………….p.7
Relations Media
Nathalie Moysan – [email protected] – 06 19 01 31 06
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Collège des Bernardins – 20 rue de Poissy – 75 005 Paris
1 – LE PROJET DU RÉCIT EUROPÉEN
Pourquoi un récit de l’Europe à plusieurs voix
On ne compte plus les colloques, les réseaux de chercheurs et les publications sur la guérison des mémoires en
Europe et les récits transfrontaliers. Mais il n’existe pas à ce jour de récit de l’Europe écrit à plusieurs voix et
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disposant d’une reconnaissance européenne.
Les raisons sont multiples. Les uns ne croient pas en la possibilité d’un récit commun partagé au-delà des identités
nationales. Les autres redoutent un récit de professionnels qui imposeraient une vision téléologique de l’histoire.
Les derniers, partisans d’une histoire globale, ne croient tout simplement pas en la notion même de civilisation
européenne.
Notre point de départ, a contrario de ces opinions, est de considérer qu’il existe une demande de la part des
citoyens européens pour la mise en forme narrative de leur expérience européenne. Celle-ci est réelle et est
expérimentée tous les jours par les Européens, quelles que soient les générations et les opinions à l’égard de la
construction politique de l’Europe.
Face à la complexité des enjeux que doivent affronter les Européens, de la montée des populismes à celle des
tensions internationales, des défis écologiques et économiques à ceux des migrations et des dialogues interreligieux, il est urgent que les Européens parviennent à trouver un discours commun sur eux-mêmes, enraciné
dans des valeurs communes, et dans une dynamique historique maîtrisée.
La notion de « conscience européenne »
Pour donner une expression à ce qu’il faut bien désigner par la notion de « conscience européenne », au double
sens de « conscience morale » et de « savoir relié », nous avons choisi la méthode des « regards croisés »,
recommandée, en son temps, par le philosophe Paul Ricœur : « La traduction (…) est la seule manière de
manifester l’universalité du langage dans la dispersion des langues. La narration croisée (…) est la seule manière
d’ouvrir la mémoire des uns sur celle des autres ; le pardon (…) est la seule manière de briser la dette et l’oubli et
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ainsi de lever les obstacles à l’exercice de la justice et de la reconnaissance. »
Faire se croiser les regards des historiens
Le temps est venu de faire se croiser les regards des historiens de notre temps appartenant à différentes écoles
historiographiques, traditions religieuses et nationalités, et de les confronter avec les grands récits des maîtres du
passé, de Christopher Dawson à Denis de Rougemont ou de Johann Huizinga à Jacques Le Goff. Il s’agit de faire
comprendre que nous ne donnons pas le même sens à la révolution de 1968 ou de 1848 selon qu’on soit tchèque
ou français. Reconnaître les frontières, où qu’elles se trouvent, comme blessures, permet de trouver, lorsque cela
est possible, des voies de réconciliation.
Il s’agit de partir du temps présent pour proposer, comme l’ont recommandé en 2013, à la demande du
Parlement européen, Herman van Rompuy et José Manuel Barroso, un nouveau récit en vérité de la conscience
européenne. En vérité, c’est-à-dire un récit capable de proposer une synthèse narrative, sans cesse
recommencée, entre la vérité du mythe et la vérité de la raison logique. Il s’agit en particulier de partir du
consensus historique que représente le traité de Lisbonne de 2007 signé par 27 pays de l’Union européenne pour
donner une expression incarnée à son fameux préambule invoquant les « héritages culturels, religieux et
humanistes de l'Europe, à partir desquels se sont développées les valeurs universelles que constituent les droits
inviolables et inaliénables de la personne humaine, ainsi que la liberté, la démocratie, l'égalité et l'État de droit ».
Un récit accessible, participatif, inachevé et ouvert
Il est possible de trouver une nouvelle synthèse entre les tenants des histoires traditionnelles, souvent
fédératrices, mais parfois autoritaires, et des récits mémoriels, souvent vivants, mais faisant courir le risque de
l’éclatement à la conscience collective.
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Les institutions européennes ont longtemps été réticentes à promouvoir un tel récit pour ne pas empiéter sur les identités nationales. Un
manuel d’histoire de l’Europe, réalisé au début des années 1990 par douze historiens européens, a été vivement critiqué. Le manuel d’histoire
franco-allemand est très peu utilisé. Le bel ouvrage d’Antoine Compagnon et de Jacques Seebacher « L’esprit de l’Europe » n’a pas trouvé son
public. Antoine Arjakovsky, « How to write a New Narrative for Europe », The Mind and Body of Europe: A New Narrative, Foreword Jose
Manuel Durao Barroso, Bruxelles, 2014, pp. 187-189.
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P. Ricœur, « Quel éthos pour l’Europe ? » dans P. Kolakowski, Imaginer l’Europe. Paris, Cerf, 1992, pp. 107-116.
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Cela ne pourra se faire qu’avec un langage accessible, capable de proposer une synthèse facilement
compréhensible des grands événements, personnages et lieux de mémoire européens (ce qui n’empêche pas
l’érudition dans le travail de recherche préalable).
Ce nouveau récit doit offrir aussi un espace de travail participatif et démocratique, ouvert à tous ceux qui en
Europe souhaitent inscrire leur expérience de la civilisation européenne dans la grande histoire de l’Europe.
L’histoire de la conscience européenne est par nature une tâche infinie.
C’est pourquoi notre récit ne vise pas l’exhaustivité mais cherche à donner des clefs afin d’aider chacun à entrer
dans une dynamique de synthèse entre histoire et mémoires.
Cette histoire est ouverte dans le sens ou, bien qu’elle dispose dans le temps et dans l’espace de repères
chronologiques et géographiques précis, elle est évolutive, interactive, vivante. C’est la raison pour laquelle le
traité de Rome de 2004 ne définit pas de frontières à l’Union européenne. L’Europe y est définie en effet comme
« l’espace privilégié de l’espérance humaine ».
Selon la Cour constitutionnelle allemande de Karlsruhe l’avenir démocratique des institutions européennes sera
encore à construire tant que n’émergera pas au sein des nations européennes la conscience qu’elles forment un
ensemble civilisationnel commun, avec le même espace d’expérience et le même horizon d’attente. Le colloque
des Bernardins est donc tout autant une entreprise intellectuelle qu’un engagement civique.
2 – LES ACTEURS DU PROJET
LE COMITE SCIENTIFIQUE DU COLLOQUE
Antoine Arjakovsky, historien, co directeur du département de recherche Société Liberté Paix du Collège des
Bernardins ; Vincent Dujardin, professeur d'histoire et chercheur qualifié du FNRS (Fond de recherche
Scientifique), ses travaux portent sur l'histoire politique de la Belgique, de la construction européenne et des
relations internationales ; Jeanne Emmanuelle Hutin, directrice de la recherche éditoriale/journaliste, Ouest
France ; André Vauchez, historien, professeur d'histoire émérite à l'université Paris X-Nanterre ; Ursula Serafin,
directrice du développement et de l'administration à la Maison de l’Europe de Paris ; Philippe Poirier,
enseignant-chercheur en science politique à l'Université du Luxembourg, titulaire de la Chaire de recherche en
études parlementaires de la Chambre des Députés du Luxembourg.
3 – LE PROGRAMME DU COLLOQUE
(Programme page suivante)
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HISTOIRE ET MÉMOIRES DE LA CONSCIENCE EUROPÉENNE
VENDREDI 20 MAI 2016
9H00 - 23H00
9h00
Ouverture
LES CONDITIONS DE POSSIBILITE D’UN RECIT EUROPEEN
Isabelle Schwarz (Allemagne) head of Advocacy, Research and
Development, European Cultural Foundation, Amsterdam
9h15 – 11h
INTRODUCTION MÉTHODOLOGIQUE : COMMENT ET POURQUOI FORGER
UN RECIT EUROPEEN ?
Modérateur : Antoine Arjakovsky (France), directeur de recherche au
Collège des Bernardins
Avec :
Luuk van Midelaar (Pays Bas), professeur à l’université de Louvain
Taja Vovk Van Gaal (Slovénie), responsable de l’équipe scientifique,
Maison de l’Histoire européenne, Bruxelles
Débat
11h00 - Pause
11h15 – 13h00
L’EUROPE DES ORIGINES (AVANT 313)
Modérateur : Marie-Françoise Baslez (France), historienne des religions
de l'Antiquité, professeur émérite à l'université de Paris Sorbonne
Avec :
Emilio Marin (Croatie), professeur d’archéologie romaine et chrétienne,
ancien ambassadeur de Croatie, vice-président de l’Université catholique
de Croatie, Zagreb
Costa Carras (Grèce), président de la Société hellénique pour la protection
de l’héritage culturel, vice-président de Europa Nostra
14h00 – 15h45
L’EUROPE DES CHRÉTIENTÉS (313-1453)
Modérateur : Bruno Dumézil (France), maître de conférences à l’université
de Paris Ouest Nanterre
Avec :
André Vauchez (France), historien, médiéviste, membre de l’Académie des
Inscriptions et Belles Lettres
Antonio Padoa Schioppa (Italie), historien du droit et médiéviste, associé
étranger de l’Académie des Inscriptions et Belles Lettres.
Débat
15h45 - 16h00 Pause
16h00 – 17h45
L’EUROPE DES MODERNITÉS SECULIÈRES ET DES LUMIÈRES (1453-1945)
Modérateur : Tatiana Victoroff (France/Russie), maître de conférences en
littératures comparées à l’université de Strasbourg
Avec :
Thomas Maissen (Suisse), directeur de l’Institut d’histoire allemande à
Paris, titulaire de la Chaire d’histoire moderne à l’université de Heidelberg
Matthijs Lok (Pays-Bas), professeur d’histoire moderne au département
d’études européennes de l’université d’Amsterdam.
Débat
17h45-18h00 Pause
18h00 - 19h30
L’EUROPE COMME PROJET POLITIQUE (1945-2015)
Modérateur : Christophe de Voogd (France), professeur à l’IEP de Paris
Avec :
Vincent Dujardin (Belgique), président de l’Institut d’études européennes à l’université de Louvain la Neuve
Joanna Nowicki (Pologne), professeur à l’université de Cergy Pontoise
Débat
19h30 – 20h30 Cocktail
20h30 – 22h30
CONCLUSION : PHÉNOMÉNOLOGIE DE L’HISTOIRE DE LA CONSCIENCE EUROPÉENNE
Modérateur : Antoine Arjakovsky (France), directeur de recherche au Collège des Bernardins
Ouverture par Michèle Guyot Roze, présidente de la Fondation Hippocrène
Avec :
Joao Delgado, responsable du projet « Un nouveau récit pour l’Europe » auprès de la Commission
Européenne
Nora Repo (Finlande), docteur en philosophie
Evelyne de Mevius (Belgique), doctorante en philosophie
Christophe Bellon, maître de conférence en histoire contemporaine à l’université catholique de Lille, chargé
de cours IEP Paris, représentant de la Fédération des universités Catholiques en Europe
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LEUR HISTOIRE, MON HISTOIRE, NOTRE HISTOIRE
SAMEDI 21 MAI 2016
9H00 – 16H00
9h00 – 10h45
30 ÉVÈNEMENTS DE L’HISTOIRE DE LA CONSCIENCE EUROPÉENNE
Modérateur : Chantal Delsol, philosophe et membre de l’Académie des
Sciences morales et politiques, Paris
Avec :
Norman Davies (Royaume Uni), Wolfson College, visiting professor du
Collège d’Europe
Hans Stark (Allemagne), responsable du Comité d’Etudes des Relations
Franco-Allemandes à l’IFRI, professeur à l’université de Paris IV Sorbonne
14h00-15h40
30 FIGURES DE L’HISTOIRE DE LA CONSCIENCE EUROPÉENNE
Modérateur : Jeanne Emmanuelle Hutin-Gapsys, directrice de la recherche
éditoriale/journaliste, Ouest France.
Avec :
Petre Guran (Roumanie), chercheur scientifique à l'Institut des Etudes SudEst Européennes de l'Académie Roumaine, responsable du programme
d’études « Les grands livres de la civilisation européenne »
Philippe Poirier (France), professeur à l’université du Luxembourg, titulaire
de la Chaire de recherche en études parlementaires, Luxembourg
Débat
Débat
10h45-11h00 Pause
11h00 – 12h45
30 FRUITS DE L’HISTOIRE DE LA CONSCIENCE EUROPÉENNE
Modérateur : Ursula Serafin (France/Pologne), directrice de la Maison de
l’Europe, Paris
Avec :
Constantin Sigov (Ukraine), professeur à l’Académie Mohyla, Kiev
Juan Manuel Bonet (Espagne), écrivain et critique d’art, directeur de
l’Institut Cervantès, Paris
Débat
15h40
CONCLUSIONS
Modérateur : P. Antoine de Romanet (France), directeur de recherche au
Collège des Bernardins, Paris
Avec :
Paul Salmona (France), directeur du Musée d’art et d’histoire du judaïsme
(MAHJ), Paris
Jean-Marc Ferry (France), philosophe, titulaire de la Chaire de l’Europe à la
Maison des Sciences de l'Homme, Nantes
4 – LES PARTENAIRES ET SOUTIEN
Tarif plein : 33 € / Tarif réduit : 22 €
4 – PARTENAIRES INSTITUTIONNELS ET MEDIA
PARTENAIRE MEDIA
SOUTIEN
PARTENAIRES INSTITUTIONNELS
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5 – LE POLE DE RECHERCHE
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Reprenant la longue tradition dont il est dépositaire au sein de l’université de Paris depuis sa construction au XIII
siècle, le Collège des Bernardins a créé un pôle de recherche qui est ouvert à tous les débats qui traversent notre
société.
Ce Pôle de recherche, dirigé par le Père Frédéric Louzeau, est structuré autour d’une Chaire, de six départements
de recherche et deux cycles de réflexion sur des sujets de société engageant l’avenir de l’homme. La recherche
scientifique, menée dans le respect des convictions personnelles, fait émerger des propositions originales et
concrètes pour favoriser la construction d’une société plus humaine.
Les conférences et le colloque conclusif donnent lieu à des publications qui permettent de partager les fruits de
ces travaux avec un plus large public. Enfin, les réseaux sociaux, le site internet du Collège ou les Mardis des
Bernardins –tables rondes hebdomadaires télévisés- offrent à nos chercheurs des espaces privilégiés de dialogue
et d’échange avec la société.
Le travail de recherche est mené conformément aux critères habituels de l’objectivité scientifique dans le respect
des convictions personnelles. Ainsi, le Pôle de recherche stimule l’ouverture et la formation, et contribue à nourrir
la programmation du Collège des Bernardins.
LA CHAIRE DES BERNARDINS
2015 - 2017
L’humain au défi du numérique
Avec pour co-titulaire Milad Doueihi et Jacques-François Marchandise.
LES DIFFÉRENTS DÉPARTEMENTS
 Éthique biomédicale ;
 Sociétés humaines et responsabilité éducative ;
 Économie, Homme, Société ;
 Société, Liberté, Paix ;
 Judaïsme et christianisme ;
 La parole de l’art.
Chaque département est codirigé par un universitaire et par un théologien animant une équipe
pluridisciplinaire, où des chercheurs et des praticiens examinent ensemble des questions concernant l’avenir de
l’Homme et de la société. Le travail de recherche est mené conformément aux critères habituels de l’objectivité
scientifique dans le respect des convictions personnelles. Ainsi, le Pôle de recherche stimule l’ouverture et la
formation, et contribue à nourrir la programmation du Collège des Bernardins.
Le Pôle de recherche comprend également deux cycles de réflexion :
L’OBSERVATOIRE DE LA MODERNITÉ
Dix phares de la pensée moderne ;
dirigé par Chantal Delsol et Bérénice Levet.
LE FORUM DES BERNARDINS
Débat au service d’une prospective éthique ;
dirigé par Sadek Beloucif, Fabien Raynaud, Michel de Virville.
6 – LE COLLÈGE DES BERNARDINS
e
Édifice exceptionnel du XIII siècle, récemment restauré, Le Collège des Bernardins est un espace de liberté au
cœur duquel Foi et Raison entrent en dialogue.
Relations Media
Nathalie Moysan – [email protected] – 06 19 01 31 06
Collège des Bernardins – 20 rue de Poissy – 75 005 Paris
C’est un lieu de formation, de recherche, de création et de rencontres dédié aux espoirs et aux questions de notre
société. Au service de l’homme dans toutes ses dimensions – spirituelle, intellectuelle, sensible - il est ouvert à
tous ceux qui souhaitent réfléchir aux défis qui, aujourd’hui, engagent notre avenir : Culture, Education,
Economie, Environnement, Ethique, Numérique, Politique, Religion.
Etudiants, universitaires, artistes, enseignants, parents, acteurs du monde de l’entreprise, croyants et incroyants
sont invités à participer à la réflexion et aux débats.
Horaires d’ouverture du collège des bernardins
Du lundi au samedi de 10h à 18h et le dimanche et les jours fériés de 14h à 18h
Accès libre dans la nef et l’ancienne sacristie (sauf pendant les montages et démontages des expositions).
Renseignements
Standard : 01 53 10 74 44 et [email protected]
Recherche : [email protected]
Inscriptions
Sur place au Collège des Bernardins - Sur www.collegedesbernardins.fr (Paiement par carte bancaire)
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