Questions, suggestions, critique ? Écrivez à - de
Transcription
Questions, suggestions, critique ? Écrivez à - de
« Le rocher de la Botte près de St-Ingbert » © 2003 par Rembert Schmidt, 66133 Saarbrücken, Allemagne version 3c, 22/04/2003, traduit par Rolf Schmidt 29/05/2003 1. Introduction Le rocher de la Botte près de St-Ingbert (Stiefel, autrefois Styffel) est un monument culturel de la Sarre. Le rocher de grès est probablement né par érosion. Il se trouve sur un plateau de montagne à une altitude de 350 mètres. Toute la montagne est boisée, on ne peut voir le rocher de la Botte que directement en devant. Le rocher s’est formé dans la nuit des temps, et elle a été visitée et admirée par les gens depuis des milliers d’années. Le rocher et le lieu où il se trouve sont entourés d’un mystère sensible. Figure 1 : Grande Botte près de St-Ingbert, en arrière le pont au dessus de l’A 6 qui mène au parking dans la forêt à Sengscheid 2. Position La Botte se trouve sur la Grande Botte, une montagne au sud-ouest de St-Ingbert (398 m). L’autoroute A 6 passe au pied de la Grande Botte. Elle doit être passée lorsque on s’approche du parking dans la forêt au pied de la Botte dans le quartier stingbertien de Sengscheid. Il y a beaucoup de chemins de randonnée menant à la Botte. On peut atteindre la Botte dans une petite heure à partir du quartier sarrebruckois de Scheidt. À partir de la gare de St-Ingbert, on marche une heure et 15 minutes. Il y a aussi des chemins à partir du quartier st-ingbertien de Rentrisch. On quitte l’autoroute A 6 Sarrebruck-Mannheim à la sortie « St-Ingbert Ouest ». Puis on va en direction St-Ingbert, mais on tourne à gauche vers « Sengscheid » près du parking. À Sengscheid, on passe l’Alfa Hotel (à droite) vers le centre du quartier. Près du magasin de boisson Jungfleisch, on prend la droite encore. On s’approche maintenant du café de jardin Fath. Devant le café, tournez à gauche. Après quelques Questions, suggestions, critique ? Écrivez à [email protected] « Le rocher de la Botte près de St-Ingbert » © 2003 par Rembert Schmidt, 66133 Saarbrücken, Allemagne version 3c, 22/04/2003, traduit par Rolf Schmidt 29/05/2003 mètres, tournez encore à droite, la rue mène à travers d’un pont au dessus de l’A 6 au parking dans la forêt. À partir du parking, il y a plusieurs chemins sur la Botte. Les marques sont décrites dans un chapitre ultérieur. Le chemin le plus court mène directement en haut, mais il est très raide et pénible. Il suffit de suivre le sentier battu qui mène en haut. Figure 2 : rocher de la Botte près sur la Grande Botte 3. Histoire L’histoire de la Botte peut être tracée loin dans le passé. On a trouvé des lames de pierre, des pointes de flèches, des montiers et des haches de pierre sur la Grande Botte qui viennent de l’âge de la pierre (8000 à 4000 av. J.-C.). Des restes de vases d’argile de l’âge de bronze (1200 à 750 av. J.-C.) indiquent aussi un peuplement. Près du rocher de la Botte se trouve un menhir qui est connu comme « Table de diable ». Lui aussi, il est une figure imposante sur le sommet de la montagne. Le Spellenstein à Rentrisch (direction Dudweiler) est un vestige de l’âge néolithe (3000 à 2000 av. J.-C.). Il s’agit d’un menhir formé de grès et à peu près 5 m haut. Il servait probablement de lieu de culte et de calendrier, au moyen âge, on l’utilisait aussi comme borne de frontière. Il est alligné vers la Botte, donc un rapport entre Spellenstein et Botte est soupçonné. Au Xe siècle, une forteresse a été construit sur la Botte, le Stiefeler Schloss. On trouve toujours des restes des murs et tranchées de la forteresse. Le château de la Botte a été examiné approfondiement par l’archéologe Dr. Mehlis. L’historien local Wolfgang Krämer de St-Ingbert a rapporté les détails des divers fouilles. Questions, suggestions, critique ? Écrivez à [email protected] « Le rocher de la Botte près de St-Ingbert » © 2003 par Rembert Schmidt, 66133 Saarbrücken, Allemagne version 3c, 22/04/2003, traduit par Rolf Schmidt 29/05/2003 Non loin de là, à la pente en face, se trouve un monument pour les dieux celtiques Sucellus et Nantosvelta qui s’appelle « Hänsel et Gretel » dans le langage populaire. Citation de « Les légendes de la Sarre » de Karl Lohmeyer, 1989 : « Les gens croient reconnaître ‘Hänsel et Gretel’ dans le monument de divinités qui est taillé avec passion dans une niche d’une paroi rocheuse dans une vallée boisée latérale près de Schengscheidt qui se trouve en face de la montagne légendaire de la Botte, donc dans une vallée latérale de la vallée charmante du Grumbach. Mais à la fin du XVIIIe siècle, le sanctuaire celtique était appellé ‘rocher de l’abbé’ faisant allusion à l’abbé aisé de Wadgassen… » Les Celtes, aussi appellés Gaullois, se sont établis au VIIIe siècle av. J.-C. dans une région de la Champagne et la Sarre à travers la Rhénanie et la Bavière jusqu’à la Bomême. Plus tard, l’empire des celtes s’étendait de la Grande Bretagne jusqu’à l’Anatolie. Les porteurs de la religion celtique étaient les druides. Il y avait quatre grandes fêtes dans l’année : Imbole le 1er février, Beltene le 1er mai, Lugnasad le 1er août et Samhain le 1er novembre. Sucellos était le dieux des ancêtres – avec un marteau dans sa main – qui disposait des forces de la vie et de la mort. Nantosvelta était la protectrice des domiciles, représentée par un corbeau et une maison. Elle était aussi la protectrice de l’autre monde où habitait les ancêtres. L’historien local Wolfgang Krämer de St-Ingbert a écrit sur Hänsel et Gretel en 1925 : « Sans doute une image antique et peut-être le plus grand reste de la culture gallo-romaine dans notre région se trouve à quinze minutes au sud de Sengscheid et à la fin d’un bois silent. » Figure 3 : Hänsel et Gretel 4. Environs À proximité de la Botte se trouve la « Table de diable », un menhir imposant. Peut est connu de son origine. Elle est éclipsée par la Botte connu, bien qu’elle est une grand pierre impressionante. Autour de la Table de diable s’étend un plateau qui était connu autrefois comme « parc de Bismarck » et qui servirait comme lieu de récréation. À partir de ce plateau, un chemin mène plus haut, au sommet de la Grande Botte. Sur le sommet, il y a une cabane. L’ancienne cabanne des chasseurs appartient aujourd’hui au Club de la Forêt du Palatinat section locale de St-Ingbert. Son nom Questions, suggestions, critique ? Écrivez à [email protected] « Le rocher de la Botte près de St-Ingbert » © 2003 par Rembert Schmidt, 66133 Saarbrücken, Allemagne version 3c, 22/04/2003, traduit par Rolf Schmidt 29/05/2003 officiel est « cabane Heinrich Kohl ». Heinrich Kohl était un des fondeurs du Club de la Forêt du Palatinat. La cabane est aussi appellée « cabane de la Botte ». Elle est ouverte chaque dimanche, et elle est très populaire. Elle est gérée par des membres du club. Figure 4 : cabane de la Botte dans la neige 5. Chemins de randonnée marqués 5.1. Circuit de la Sarre marque : rouge et blanc Cette randonnée de 275 km entoure toute la Sarre. Elle passe directement à côté de la cabane et du rocher de la Botte. Elle mène de la gare de l’est à Sarrebruck à travers le Spellenstein à Rentrisch à la cabane et au rocher de la Botte. Elle continue à travers les ruines de la forteresse de Kirkel à Hombourg, St-Wendel, Bosen, Nonnweiler, Mettlach, Berus, lac du Warndt, Völklingen et retour à Sarrebruck. 5.2. Randonnée Sarre-Moselle marque : point rouge dans un carré blanc Ce chemin mène de Zweibrücken à Sarrebruck ; passant de la Kaiserstraße à Scheidt sur le chemin dans le bois près de la boulangerie Kleinbauer et continuant à la pierre des aviateurs et à la Botte. Ça continue à Nalbach, Bachem, Saarhölzbach, Oberemmel, Roscheider Hof et Trèves/Feyen. Questions, suggestions, critique ? Écrivez à [email protected] « Le rocher de la Botte près de St-Ingbert » © 2003 par Rembert Schmidt, 66133 Saarbrücken, Allemagne version 3c, 22/04/2003, traduit par Rolf Schmidt 29/05/2003 5.3. Randonnée des auberges de jeunesse marque : triangle rouge au fond d’un carré blanc Ce chemin national relie toutes les auberges de jeunesse de l’Allemagne. Il va à Sarrebruck en passant par HombourgSanddorf et continue de la Kaiserstraße à Scheidt dans le bois près de la boulangerie Kleinbauer, menant à la pierre des aviateurs et la cabane de la Botte. Puis le chemin continue à Wallerfangen, Siersburg, Beckingen, Merzig, Losheim, Waldhölzbach, Weiskirchen, Noswendel, Tholey. 5.4. Circuit de l’écureuil marque : écureuil Une randonnée de 6 km du parking dans la forêt à Sengscheid à travers le Stiefeler Hangweg à la Petite Botte, la pierre des aviateurs, la Grande Botte, la cabane de la Botte et retour au parking. 5.5. Randonnée ciblée du chêne marque : feuille de chêne Une randonnée ciblée de 15 km de la gare de St-Ingbert au rocher de la Botte. Le chemin traverse la vallée Lautzen, le bois de la fonderie, le pré des bergers, le cimetière, Rentrisch, la pierre des aviateurs jusqu’à la Grande Botte. figure 5 : esquisse de la randonnée à la Botte, à droite l’A 6 et le parking dans la forêt Questions, suggestions, critique ? Écrivez à [email protected] « Le rocher de la Botte près de St-Ingbert » © 2003 par Rembert Schmidt, 66133 Saarbrücken, Allemagne version 3c, 22/04/2003, traduit par Rolf Schmidt 29/05/2003 6. Légendes 6.1. Le géant Kreuzmann sur la Grande Botte près d’Ensheim Sur la « Grande Botte », une montagne conique près d’Ensheim, un bloc s’appelle toujours «la table du géant». C’est là où habitait il y a longtemps le géant terrible Kreuzmann qui cacha des hommes et mangea les détenus. Il était tellement fort qu’il arracha les arbres les plus épais de la forêt comme des tiges de chanvre, et qu’il souleva des rochers aussi grands qu’une petite maison ce qu’on peut toujours voir avec la table du géant qu’il mit ici. Le monstre enferma les hommes qu’il voulait mettre de côté dans un cage de bois jusqu’à ce qu’il avait faim. Les gens malheureux crièrent terriblement dans leur prison, et on les entendait de loin. Mais le géant railla de méchanceté : « Ah, comme mes oiseaux sifflent ! » Les gens devaient souffrir du géant pour longtemps. Finalement les habitants de la région décidèrent de le tuer. Ils voulaient enfumer son habitation après son repas, parce qu’il dormait profondement pendant quelque jours après son repas. Ils accumulèrent donc de la paille, des brindilles et beaucoup de bois et allumèrent tout pour l’étouffer. Mais Kreuzmann pensait que la fumée qui le réveilla était du brouillard épais. Au moins il devait éternuer fortement. Cela fit trembler la terre, et les gens effrayés tombèrent de la montagne. Lorsque Kreuzmann sortit de sa tour pour prendre de l’air frais, il remarca ce que les gens avaient fait, et il se mit très en colère. Il avait dans sa main le grand queux affiloir qu’il utilisait pour aiguiser les coutaux avant de tuer ses victimes. Il le jetta avec toute sa force dans la directions de ses ennemis. La pierre sauta en sifflant, passa au dessus des hommes et tomba avec la pointe dans la terre où elle est toujours visible à côté du ruisseau. Maintenant le géant voulait vite descendre la montagne pour frapper les gens avec des troncs d’arbres, mais il trébucha sur un rocher et tomba avec une telle force qu’il était assommé. Les gens virent à peine sa chute quand quelques hommes très courageux s’approchèrent et tuèrent le monstre. Ils jettèrent sa dépouille dans un grand trou et roulèrent des pierre au dessus jusqu’à ce que c’était une petite colline. Le géant y est toujours enterré. Mais la colline s’appelle maintenant la tombe du géant. Questions, suggestions, critique ? Écrivez à [email protected]