Veiller à ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier

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Veiller à ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier
QU’ADVIENDRAIT-IL DE VOS BIENS
SI VOTRE SANTÉ SE DÉTÉRIORAIT?
Veiller à ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier,
c’est bien. Mais ce n’est pas tout.
protéger son épargne, c’est aussi veiller à ce que nos placements soient à l’abri des effets
qu’une maladie ou un accident imprévus risquent d’avoir sur la santé financière.
Santé physique et santé financière vont de pair
À la suite d’une blessure ou d’une maladie soudaine, il arrive que l’on se
trouve dans l’impossibilité d’exercer des activités de la vie quotidienne1
sans l’aide d’une personne; dans ce cas, bien des dépenses reliées aux soins
entrent en ligne de compte :
• coûts des soins personnels, du matériel ou des médicaments qui ne sont
pas complètement pris en charge par l’État ou les régimes collectifs.
• déplacements (essence, hôtel, restaurant), si le traitement
nécessaire n’est pas offert dans votre région.
• frais courants de subsistance plus élevés (frais supplémentaires de
garderie pour les enfants, de réparation de la maison, d’entretien de
la pelouse, de déneigement).
• revenu perdu au-delà du montant pris en charge par
l’assurance-invalidité*
• revenu perdu pour les membres de la famille qui risquent de devoir
réduire leur horaire de travail ou même de quitter leur emploi pour
Quels sont les risques?
Se lever du lit, se laver, s’habiller : autant d’activités
de la vie quotidienne que nous tenons pour acquises. Et
pourtant, chaque année, des milliers de personnes, au
Canada, se trouvent dans l’impossibilité d’accomplir
ces tâches élémentaires sans l’aide de quelqu’un
d’autre.
• Passé 65 ans, 44 % des hommes et 72 % des femmes
souffrent d’une altération des facultés cognitives ou
ont besoin d’aide pour exercer au moins deux activités
de la vie quotidienne, durant au moins 90 jours.
Source : Cohen, Marc A., Maurice Weinrobe, Jessica Miller,
and Anne Ingoldsby. “Becoming Disabled After Age 65: The
Expected Lifetime Costs of Independent Living,” AARP (American
Association for Retired Persons) Public Policy Institute, 2005.
se charger des soins
* L’assurance de soins de longue durée intéresse particulièrement les personnes qui n’ont pas accès à une assurance-invalidité suffisante
du fait d’un revenu peu élevé ou non déclarable; toutefois, l’assurance-invalidité et l’assurance de soins de longue durée ne fournissent
pas la même protection. Les prestations de l’assurance-invalidité sont versées en fonction de la capacité de travailler. Ainsi, une personne
assurée peut toucher des prestations d’invalidité, sans avoir besoin de soins de longue durée.
Il vous faut facilement compter 1 250 $ par semaine, soit 65 000 $ par an, pour prendre soin de
l’un de vos proches ou de vous-même. Comment faire face à ces dépenses supplémentaires?
Option 1 : Puiser dans le REER
Dans l’hypothèse d’un taux marginal d’imposition modéré de 40 %, il faut retirer 108 000 $ du REER pour couvrir le coût des soins de
65 000 $, pour une seule année. Cette somme de 108 000 $, investie pendant 25 ans à un taux de 5 %, représenterait plus de 338 000 $.
Ce qu’il en coûte de puiser dans un REER :
• Impossibilité de se réapproprier les droits de cotisation
• Impossibilité de remplacer la croissance en report d’impôt des placements
• Imposition des retraits au taux marginal
Option 2 : Emprunter
Dans l’hypothèse où l’on pourrait obtenir un prêt pendant qu’on est malade ou blessé, il faudrait prévoir, pour un prêt de 65 000 $
remboursable sur 10 ans à un taux d’intérêt de 7 %, des versements de 750 $ par mois. Un remboursement sur 10 ans s’élèverait à 90 000 $.
Évidemment, c’est 750 $ de moins de contributions mensuelles à votre épargne. En plaçant 9 000 $ par an à 5 %, durant 10 ans, on
se retrouve avec plus de 247 000 $ après 25 ans. Le montant total de la perte éventuelle se chiffrerait donc à plus de 337 000 $.
Option 3 : Souscrire une rente
L’achat d’une rente qui verserait 5 417 $ par mois (65 000 $ par an) après impôt pendant trois ans (impossible d’acheter une rente
d’une durée moindre), nécessite une somme initiale de plus de 190 000 $.2
Pour une rente à constitution immédiate de cinq ans, il faut compter plus de 300 000 $.2
De toute évidence, ce sont des options onéreuses de financement des soins.
Il existe une autre formule : l’assurance de soins de longue durée.
Les compagnies d’assurance peuvent offrir une protection pour une fraction du coût auquel doit faire face le particulier qui
nécessite des soins et qui n’a pas d’assurance. Tout dépend de la protection que l’on choisit. Ainsi, une prime mensuelle de
50 $ suffit à un homme de 40 ans pour recevoir, chaque semaine, un revenu de 1 250 $ tant qu’il se trouve dépendant1. Il existe
aussi une formule qui limite la durée de paiement des primes.
N’attendez pas d’être à la retraite pour étudier les avantages de l’assurance de soins de longue durée : plus on est jeune lors
de la souscription de cette assurance qui contribue à protéger les placements, plus les primes sont modiques et meilleures
sont les chances d’assurabilité. Vous bénéficierez aussi d’une protection pour les demandes de règlement anticipé à la suite
d’une blessure accidentelle.
L’assurance de soins de longue durée :
un placement judicieux pour éviter de perdre toutes ses économies.
L’Assurance de soins de longue durée Sun Life prévoit le versement d’une prestation hebdomadaire garantie tant que la personne assurée est
physiquement dépendante pendant une période qui excède le délai d’attente prévu. Par dépendance physique, nous entendons que la personne
assurée a besoin de l’aide de quelqu’un d’autre pour accomplir au moins 2 des 6 activités de la vie quotidienne (se laver, s’habiller, se nourrir, aller
aux toilettes, se déplacer, contrôler ses sphincters) ou qu’elle doit se trouver sous la surveillance constante de quelqu’un d’autre du fait d’une
détérioration de ses facultés intellectuelles.
1
2
D’après les aperçus de rente à constitution immédiate de la Financière Sun Life établis en mars 2009. Les taux ne sont pas garantis.
© Sun Life du Canada, compagnie d’assurance-vie, 2009.
820-3394-05-09