gagner plus que de l`argent

FICOBA
CONSULTANTS S.A.
Division commerce
et banque
2, rue de la Scie
1207 Genève
Tél. 022 735 34 55
et
Division industrie
technique bâtiment
et médical
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1207 Genève
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26, bd Helvétique
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FICOBA EMPLOI SARL
37, rue du Simplon
1006 Lausanne
Tél. 021 614 05 55
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CE SUPPLÉMENT CE
NE PEUT
ÊTRE VENDU
SUPPLÉMENT
NESÉPARÉMENT
PEUT ÊTRE VENDU SÉPARÉMENT
MERCREDI 25 NOVEMBRE 2009
EMPLOI
É
Juridique...............................................................2
Apprentissages....................................................2
Finance - Comptabilité..........................2 et 11
Commerce - Administration.......................2-5
Cadres....................................................................3
Banque - Assurance..........................................4
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Industrie - Ingénierie.......................................4
Marketing - Communication..........................5
Vente - Représentation................................5-7
Informatique - Télécoms.................................7
Arts et métiers....................................................7
Emplois divers................................................7-11
£
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Bâtiment - Construction..............................8-9
Restauration - Hôtellerie ................................ 9
Médical, paramédical et social......................9
Petites annonces...............................................11
Enseignement - Palmarès.........................11-13
Formation......................................................13-14
Un «petit job»? C’est gagner
bien plus que de l’argent!
«Il aura montré au futur employeur qu’il a pu gérer son emploi du temps en affrontant deux
tâches simultanément, l’école et
le travail», ajoute Philippe Pache.
L’adolescent aura une dernière corde à son arc: s’être
familiarisé aux méthodes de recherche d’emploi. Il aura déjà
démarché des employeurs pour
décrocher un ou plusieurs jobs
et rédigé son CV.
EXPÉRIENCE
Les petits boulots peuvent
influencer le futur
professionnel des jeunes.
OCE
L’
Office cantonal de
l’emploi recommande
aux jeunes de ne pas
attendre d’avoir leur diplôme en
poche pour faire leurs premiers
pas dans le monde du travail.
Fort d’une ou de plusieurs expériences pendant sa scolarité, ses
études ou ses vacances, un jeune
diplômé décrochera plus facilement son premier emploi.
Pour la plupart des jeunes, un
petit job durant l’été ou l’année
scolaire est un bon moyen de
gagner de l’argent de poche. Mais
il permet de gagner bien plus.
Prenons l’exemple de Lucas*,
16 ans, livreur dans une pharmacie de quartier chaque samedi.
Passionné d’informatique, il s’offre le matériel désiré. Mais encore? Il apprend à être ponctuel
au travail, à respecter les délais
et à être poli avec les clients.
A soigner son look et à organiser
logiquement son parcours de
livraison… En bref, il acquiert
savoir-être et savoir-faire.
Tisser un réseau
Philippe Pache, consultant
chez Porot Partenaire et conseiller en emploi à la Cité des métiers et de la formation de
Genève, énumère d’autres avantages: «Entre 16 et 25 ans, un
Bien choisir son job
Mais, car il y a un mais, tous
les petits jobs n’engrangent pas
compétences et expérience.
Exemple-type? Marc*, 17 ans,
veut un écran plat géant dans sa
chambre. Il choisit un travail
rémunérateur qu’il quitte, une
fois la somme nécessaire obtenue. Marc enchaîne les jobs pour
combler ses désirs de consommer. Philippe Pache comme
Cédric Wyss regrettent les choix
motivés par le seul gain à court
terme. Ils prônent de choisir un
boulot formateur. D’autant que
«les jobs qui paient bien sont
rarement très qualifiants»,
déplore le premier. «Je dis souvent aux jeunes que toute peine
mérite salaire, ajoute le second.
Mais je leur recommande de
choisir un job en fonction des
compétences qu’ils vont acquérir
en savoir-faire et en savoir-être,
car elles influenceront leur futur
emploi professionnel.»
*prénom fictif
Se découvrir soi-même et le monde de l’entreprise, et gagner
en assurance. Tel sont quelques-uns des avantages des «petits
jobs». (LUC MEAILLE)
jeune peut découvrir les codes
de l’entreprise et s’y adapter. Il a
le droit à l’erreur, bien plus qu’à
30 ans. Raison pour laquelle il
est important pour lui de prendre cette expérience au sérieux
et de s’appliquer à la tâche.
Un petit boulot lui offre aussi
l’opportunité de développer du
savoir-vivre entre professionnels.
Enfin, c’est un moyen d’arriver
dans un réseau et d’y nouer des
relations. Le jeune se familiarise
alors avec ce monde de l’entreprise.» Il peut aussi y gagner
de la confiance en soi par le fait
de collaborer avec des adultes.
Un atout pour le CV
Nul doute, un petit job est
profitable pour l’avenir professionnel de l’adolescent qui peut
demander à son ou ses em-
Formation
«Ce concours ne doit pas être
pris à la légère»
LIRE EN PAGE ....................................................... 14
ployeur(s), un certificat ou une
attestation de travail. Cédric
Wyss directeur adjoint de Swissnova, également conseiller à la
Cité des métiers et de la formation, précise: «Un adolescent qui
a régulièrement travaillé gagnera
en assurance lors d’un entretien
d’embauche pour un premier
emploi. Malgré son jeune âge,
il aura un vécu professionnel
qu’il pourra raconter dans son
CV et lors d’un entretien.»
Bien plus, son expérience
accumulée pendant sa scolarité
ne manquera pas d’influencer
l’employeur. «Ce jeune candidat
lui apparaîtra comme sérieux,
responsable
et
digne
de
confiance», assure Cédric Wyss.
Petits jobs, grandes expériences
Vous avez entre 15 et
18 ans? Rendez-vous à la Cité
des métiers et de la formation
qui a ouvert ses portes hier à
Palexpo. Jusqu’au 29 novembre,
l’Office cantonal de l’emploi
vous attend sur son stand «Cité
de l’emploi». Des professionnels
de la réinsertion vous expliqueront pourquoi il est important
de réussir ses premières expériences professionnelles. Un
atelier de sensibilisation sur
ce thème vous est réservé!
➜ Pour en savoir plus:
www.ge.ch/emploi-recherche
«Assumez vos responsabilités!
Prenez des initiatives! Faites
avancer les choses!» Certes…
Mais avez-vous le droit de le
faire à votre manière?
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9h - 18h • vendredi 27 9h - 21h
mardi 24
9h - 18h
mercredi 25 9h - 21h • samedi 28
9h - 18h • dimanche 29 9h - 17h
jeudi 26
• entrée libre •
197
OFFRES
La chronique
Jérôme Boujol
formateur, coach
et consultant
[email protected]
C’est l’histoire d’une femme,
cadre dans une entreprise connue en terres vaudoise et genevoise. Des années durant, elle se
conforme à la stratégie, à l’organisation que sa société lui impose. Vient le jour où, en panne
de perspectives, elle décide de
changer d’air. Et signe auprès
d’un autre employeur.
C’est alors que survient l’accident. Juste avant de démarrer
dans ses nouvelles fonctions
(aux responsabilités élargies, relativement aux précédentes), elle
se fracture les deux jambes. Quatre mois durant, elle sera tenue
éloignée du monde professionnel. Un arrêt de travail qui, vous
le verrez, ne sera pas sans effet…
Au terme de sa convalescence,
notre héroïne prend ses quartiers chez son nouvel employeur.
Elle s’y sent immédiatement à
l’étroit: «Respecter les contraintes posées par mon environnement m’insupporte!», confiet-elle. «Je ressens le besoin irrésistible de m’en affranchir… Pour
construire quelque chose à
moi.»
«Intrapreneur ou entrepreneur, là est la question», aurait
chanté William Shakespeare (s’il
avait suivi sa vocation initiale).
L’intrapreneur se caractérise par
son goût de se développer à
l’intérieur d’une structure existante. Satisfait de contribuer à
l’amélioration de la stratégie, de
l’organisation, il aurait du mal à
les dessiner seul, par lui-même.
L’entrepreneur, lui, perçoit la
structure existante comme un
corset. Dont – consciemment ou
non – il rêve de s’émanciper.
Pour voler de ses propres ailes.
Pour écrire sa propre histoire.
Pour laisser sa propre empreinte. L’intrapreneur est heureux dans sa cage (dorée, parfois). L’entrepreneur finira par
reconnaître qu’il s’y morfond…
Zoom sur les métiers
de la vigne et du vin
Après le grand rassemblement de Palexpo, la Cité des
métiers et de la formation permanente reprend ses activités
de mise en valeur des filières de
formation avec, le mercredi 2
décembre de 14 h à 17 h, un
Zoom Métiers sur les métiers de
la vigne et du vin (entrée libre,
sans inscription).
Des professionnels, apprentis
et formateurs répondront aux
questions des personnes intéressées. Sur les stands, des démonstrations et des produits
permettront de se familiariser
avec des métiers à la fois proches de la terre et de la clien-
w w w.citedesmetiers.ch
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4’000
p lu s d e e s s u r
annonc bup.ch
w w w. j o
Intrapreneur ou entrepreneur?
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découvri r et choisi r
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tèle. À 14 h 30, présentation des
formations de caviste et de viticulteur par Agrilogie Marcelin,
l’école vaudoise spécialisée dans
les métiers du vin et la préparation de la maturité professionnelle en sciences naturelles.
L’école offre également la possibilité de préparer un CFC d’agriculteur avec une spécialisation
en viticulture. À 15 h, présentation de la filière d’ingénieur en
œnologie HES de l’école d’ingénieurs de Changins.
➜ Plus d’infos sur
http://www.citedesmetiers.ch/
geneve/Cybermag/L-Actu