Quand les sportifs butent sur leurs croyances - CROS Provence

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Quand les sportifs butent sur leurs croyances - CROS Provence
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18 novembre 2009
Merci à Sandrine Aubert
A la vue du titre de cette note, certains penseront
vraisemblablement : « remercier Sandrine Aubert, mais
pourquoi ? Elle a fini 33e ! ». Rassurez-vous, il ne sera
pas question du résultat de sa course ici, même si ses
déclarations dans les journaux paraissent indissociables
de ce slalom manqué. Mes remerciements vont à sa
sincérité et à l’honnêteté dont elle a fait preuve lors de
ses témoignages du week-end dernier.
Lorsque les gens me demandent, au gré de mes rencontres, quelle est mon activité et
que je réponds « intervenante en préparation psychologique et mentale des sportifs de
haut niveau », deux sentiments les dominent :
- la curiosité, ce qui donne lieu à un enchaînement de questions : « ça consiste en
quoi ? » ; « Comment travaillez-vous ? » ; « Avec qui ? »…
- la surprise, toujours assortie de la même remarque : « mais ils ont besoin de ça les
sportifs ? »
Quant à moi, je demeure toujours étonnée face à leur étonnement ! Ce besoin
rassurant de voir les athlètes de haut niveau comme des Dieux, nous en parlions
dans une précédente note, fait oublier la plupart du temps qu’ils n’en sont pas moins
humains. Le problème de la perception du sportif de haut niveau comme un Dieu,
réside dans ce que cela induit majoritairement sur les types de déclarations faites par
les athlètes à la presse. Souvent, les lecteurs les trouvent lisses, dénuées d’épaisseur,
banales…
Mais nous en sommes les premiers responsables. Quel Dieu se permettrait-il de
témoigner de ses faiblesses, de ses peurs ? Les révélations les plus « chocs » des
sportifs de haut niveau se font la plupart du temps au terme de leur carrière, n’y
voyez-vous pas là un lien ?
Les déclarations pouvant être apparentées à des faiblesses ne sont donc pas si
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fréquentes. Voilà pourquoi nous souhaitons remercier Sandrine Aubert, non pas que
nous en voulions à ceux qui se taisent (je suis la première à leur conseiller), mais parce
que ces aveux sont difficiles et rares. Veille de compétition, elle déclare : « Même si
j’ai passé un cap mental et technique avec mes deux victoires, je me demande si ça va
aller. Il y a des questions, beaucoup de doutes, de peurs » (L’Equipe, Samedi 14
Novembre 2009, p.13).
Si certains joueurs des sports les plus médiatisés osaient faire ce genre de déclarations
veille de match, je me demande ce que cela provoquerait… Plus de bruit que pour le
ski, j’en ai peur ! Il faut bien que le manque cruel d’éclairage médiatique sur certaines
pratiques, procure aux sportifs concernés, quelques avantages ! Le lendemain, après
son slalom, elle confie avoir été « submergée par le stress » (…) et avoir eu « le
ventre serré, les jambes qui tremblaient ». Elle ajoute : « Ça ne pouvait pas aller plus
mal …» (L’Equipe, Dimanche 15 Novembre 2009, p.9).
Sandrine Aubert n’est pas la première à se livrer à ce genre d’aveux mais, encore une
fois, ils sont peu fréquents. Alors, merci à elle de laisser entrevoir les émotions
négatives et leurs conséquences chez certains sportifs de haut niveau car bien
évidemment tous ne sont pas dans ce cas. En ce qui concerne Sandrine Aubert, j’ai le
sentiment que la situation telle qu’elle l’a vécue ce WE a des liens avec un autre
aspect souligné lors de son témoignage : « J’ai toujours du mal à prendre mes
marques en début de saison (…). Je réagis toujours mal à la mise en route. Je n’arrive
pas à m’exprimer ».
Ceci ressemble fort à une croyance limitante. Je ne permets pas de l’affirmer, je n’ai
pas le plaisir de connaître Sandrine Aubert, mais cela y ressemble. Prenez le temps de
relire sa dernière phrase et les mots qu’elle a choisis : « J’ai toujours du mal » et « Je
réagis toujours mal ». Pourquoi en aurait-il été autrement avec une telle conviction ?
« L’homme semble être la seule créature qui puisse, en parlant, se créer des difficultés
qui, autrement, n’existeraient pas » (Wendell Johnson, cité par Tenenbaum, 207,
p.70).
La question des croyances est aujourd’hui bien connue des intervenants en préparation
psychologique et mentale, le monde du sport en étant dévoré. Depuis l’enfance, nos
croyances se tissent, nous structurent, se renforcent et contribuent à créer notre identité
profonde. Nous avons besoin d’elles pour protéger la cohérence interne de notre vision
du monde.
Seulement, il arrive que notre histoire de vie, le contexte, nous accompagnent dans la
prise de conscience de la nécessité de désactiver certaines croyances pouvant
s’avérer limitantes pour notre progression. Thierry Henry a livré quelques beaux
témoignages à ce propos : « J’avais encore cette mentalité de la cité. J’aimais tripoter
le ballon, faire des petits trucs techniques. C’étaient les bourrins qui mettaient le pied.
Pas ceux qui savaient jouer… C’était ça l’idée que j’avais du football : ceux qui sont
bons tripotent la balle, les mauvais mettent des coups. Le Championnat d’Angleterre
m’a fait énormément de bien, car il m’a appris que ça ne se passait pas comme ça. Tu
peux être n’importe qui ici, si tu ne sais pas t’imposer physiquement, tu ne peux pas
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t’exprimer » (L’Equipe Magazine, 7/02/04, p.34).
Sous-estimer les croyances propres à chacun de nous, sportifs ou non sportifs, serait
une erreur tant elles ont des liens importants avec la confiance, l’atteinte des objectifs
fixés ou encore les stratégies d’ajustement utilisées face au stress (coping). Pour cette
raison, la connaissance de nos croyances positives et négatives semble importante.
Leur identification n’est pas le plus facile, les croyances limitantes offrant quelques
résistances. Cependant seule la conscience de leur existence permet à l’individu de
s’adonner à leur déconstruction en vue de les reconstruire autrement (Le Foll, Rascle,
Coulomb-Cabagno, 2005 ; Target, 2003). Tout n’étant qu’une question
d’interprétation, à nous de modifier ces barrières en vue de transformer des freins en
atouts. T. Henry en a vraisemblablement désactivé un certain nombre : « Je dois être
meilleur de la tête. Je n’ai pas encore le geste d’un Madar sur les coups de tête. Lui,
c’était des véritables frappes de la tête. Moi, si le ballon n’a pas d’énergie en
arrivant, il reste collé sur mon front, au mieux, il part à un mètre… C’est encore une
connerie de quand j’étais petit : c’étaient les bourrins qui jouaient de la tête. Moi,
fallait me jouer dans les pieds » (L’Equipe Magazine, 7/02/04, p.37). Comptons sur
lui pour nous montrer une nouvelle fois, ce soir, que la croyance qu’il avait tissée
durant de longues années, est bel et bien enterrée…
Le Foll, D., Rascle, O. & Coulomb-Cabagno, G. (2005). “Un exemple d’intervention
sur les croyances : les programmes de réattribution”. In Croyances et performance
sportive, sous la direction d’Olivier Rascle et Philippe Sarrazin. Paris : Revue EPS.
Target, C. (2003). Manuel de préparation mentale. Paris : Chiron.
Tenenbaum, S. (2007). Nos paysages intérieurs. Ces idées qui nous façonnent. Paris :
InterEditions Dunod.
18 novembre 2009 Publié | Lien permanent | Alerter
Commentaires
1. Encore un article fort bien écrit tant au niveau du style qu’au niveau du fond car
il nous permet de prendre conscience qu’en effet le sportif reste humain avec ses
peurs et ses faiblesses. Cela m’évoque mes années de compétition en équitation
où la plupart de mes coéquipiers taisaient leurs peurs face aux obstacles de cross
qui semblaient dangereux. Lorsque j’osais dire à mon coach “cet obstacle je ne le
sens pas, mon cheval n’est pas prêt pour ça, la pente est très raide et j’ai la
trouille” on me faisait bien comprendre que ce genre de réflexion n’avait pas lieu
d’être… Par convention on ne dit pas ça avant de partir sur un tour. Pourtant si
davantage de cavaliers en parlaient, il y aurait surement moins de chutes dues au
stress que l’obstacle représente et donc au mauvais abord de celui-ci. On devrait
pouvoir travailler sur ce genre d’appréhension afin d’éviter de partir avec des
idées négatives qui, comme vous le dites, auront dès lors davantage de chances
de se réaliser.
Encore merci pour cette note qui je l’espère en éclairera certains.
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Un réel plaisir de vous lire.
A très vite.
Rédigé par : Mélanie | le 18 novembre 2009 à 17:43 | Alerter
2. En effet il est capital de prendre conscience que “le sportif reste humain avec ses
peurs et ses faiblesses”. Bel exemple de déclinaison innovante dans le story
telling. Si Beuve-Méry continue à lire son journal - on le lui souhaite, il doit
probablement apprécier ces caquetages de techniciens et de spécialistes
béhavioristes. On peut s’appeler Traverse et ne nous asséner que de navrantes
litanies de toutes les icônes sans intérêt.
Rédigé par : Arsene Malappris | le 18 novembre 2009 à 18:56 | Alerter
3. et bien ca c est de l info …..je suis tellement heureux de voir que le monde mets
ce genre de futilités en une de son titre numerique ……pathetique ……mais il y
a pire ……le sentiment d inutilité que doit eprouver son auteur quand elle prend
du recul sur sa profession
Rédigé par : mgdtc | le 18 novembre 2009 à 20:14 | Alerter
4. est ce que vous vous rendez compte des termes que vous utilisez madame
traverse : “Le problème de la perception du sportif de haut niveau comme un
Dieu, ….
le besoin rassurant de voir les athlètes de haut niveau comme des Dieux, nous en
parlions dans une précédente note, fait oublier la plupart du temps qu’ils n’en
sont pas moins humains. ”
je m excuse mais mettre en parallele les sportif et dieu ( quel qu il soit ) !!je
trouve cela un peu aberrant !
ce ne sont que des etres humains qui s amusent et empochent des sommes
innavouables , pour certain, en passant !
mettons plutot les grands chercheurs, medecins chirurgiens …..qui sauvent autrui
par leurs savoir leurs techniques sur un piédestal de grace !
Rédigé par : romain | le 18 novembre 2009 à 20:24 | Alerter
5. @romain : je tenais à vous préciser que vous avez effectué une mauvaise
interprétation des propos de Mlle TRAVERSE qui ne compare pas les sportifs de
haut niveau à des Dieux mais explique qu’il s’agit de la perception que NOUS en
avons, nous qui sommes devant notre écran ou qui assistons à des compétions
sportives.
@mgdtc : si pour vous il s’agit de futilités, bon nombre de gens ne sont pas
familiarisés avec ce genre de problématiques. Remettez-vous en question le fait
que la psychologie soit une science? ou bien le fait qu’elle ne mérite pas d’être
étudiée? c’est davantage cet esprit réducteur qui est pathétique et inutile car ne
permet même pas le débat.
Rédigé par : Mélanie | le 18 novembre 2009 à 21:32 | Alerter
6. Bravo pour ce blog. Je trouve passionnant le sujet de la psychologie dans le
sport. Les articles sont bien écrits et très intéressants. Certains lecteurs devraient
s’abstenir de commenter au lieu de critiquer, ils n’ont rien compris.
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Rédigé par : guyomep | le 18 novembre 2009 à 21:35 | Alerter
7. Savez-vous comment Thierry Henri s’est guéri de ses croyances ? A-t-il eu
affaire lui aussi à un préparateur mental ?
Je pense que beaucoup de personnes ont des capacités d’adaptation remarquables
face aux situations difficiles, mais je suis sure aussi que d’autres sont obligés
d’être accompagnés pour être performants dans sa vie professionnelle ou
sportive. Le préparateur mental est primordial, comme l’est un psychologue avec
les enfants en difficulté.
Rédigé par : am.duru | le 18 novembre 2009 à 22:28 | Alerter
8. Bonjour et merci pour ces articles riches qui mettent en lumière l’autre partie de
l’iceberg, celle que l’on ne voit pas; lorsque l’on regarde un sportif lors des
compétitions, on ne soupçonne pas que les heures précédant le match ou le
meeting, ces heures ou il faut combattre le stress, évacuer les doutes, chasser les
croyances négatives qui peuvent vous faire déjouer et passer a coté de la
performance.Le fait de travailler avec un préparateur mental permet d’établir un
protocole d’avant compétition, d’avoir un “discours intérieur positif”, une
attitude qui engendre la confiance; la performance ça se prépare, et il n’y a pas
que l’aspect physique dans le sport, il faut etre capable d’effectuer une approche
globale!
Je suis sportif professionnel depuis 15 ans, et j’ai pu bénéficier de l’aide d’un
préparateur mental que tard dans mon parcours, bien sur il est évident que pour
jouer au plus haut niveau dans la durée, il faut disposer de qualités mentales
indéniables, encore faut il les organiser. Aujourd’hui, j’aborde la compétition
avec confort et j’accède plus régulièrement a la zone de performance.
Donc MERCI pour vos compétences .
Rédigé par : Ron | le 18 novembre 2009 à 23:03 | Alerter
9. bonjour et merci pour ces articles qui nous fait comprendre qu’un champion sa se
construit et qu’avant tout un champion est un être humain. au diable ceux qui
critiquent pour ne rien dire, si cette critique était constructible, elle amorcerait un
débat mais le débat vient de mme traverse. félicitations mme traverse
Rédigé par : lesoiseaux | le 18 novembre 2009 à 23:15 | Alerter
10. Quel article interessant Cecile !
vous nous parlez entre-autre de croyances positives et surtout négatives, qui
peuvent trainer dans nos têtes à des moments crutiaux de notre vie;
je peux peut-etre faire un parallele avec toutes les “idees reçues”, les shémas de
vie ou de famille , non “déactivés” qui se répercutent mème au fils des
générations…Je veux dire que l’impregnation est telle que parfois on ne la décèle
pas, on n’en a pas toujours conscience ;le toujours indestructible!
votre écriture me fait souvent résonnance pour ma part.
Je regrette certains propos à votre égard ,Cecile : ce blog existe pour emettre des
avis, pourquoi un tel venin de la part de certains lecteurs ?
Vos explications, vos références bibliographiques enrichissent la trame du sujet:
comment ne pas y voir ainsi l’essentiel, et comment faire de tels raccourcis pour
certains?
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Bref!
A bientot Cecile;
Rédigé par : brigitte BARNAUD | le 18 novembre 2009 à 23:33 | Alerter
11. Bonsoir,
Je suis toujours très étonnée, de voir que nous avons tous lu le même article, et
que nous l’interpretons de façons différentes. Nous parlons tous la même langue,
comment se fait-il que certains comprennent tout à l’envers. Ne vous arretez pas
sur ce genre de commentaires, et continuez à nous écrire de beaux articles, qui
nous éclairent sur pleins de pans de la psychologie sportive, et qui nous servent
pour notre propre sport,qu’il soit individuel ou collectif, même au niveau
amateur, J’ai fait lire cet article à ma fille, qui fait de l’équitation, et qui a aussi
lu le commentaire de “Mélanie”, elle s’est reconnue dans vos propos et dans
ceux de Mélanie.
Merci
Rédigé par : joss | le 18 novembre 2009 à 23:41 | Alerter
12. Bonjour,
Merci pour cet article fort intéressant.
Si l’on ne voit pas les grands sportifs exprimer beaucoup de doutes, c’est peutêtre parce le sport de haut niveau exige de mettre, à un certain moment, ses
doutes de côté. Tout le monde doute, mais même moi, à mon petit niveau
amateur, je me suis déjà trouvé dans des situation d’avant match dans lesquelles
le doute survenait. Dans ce cas, si je n’arrive pas à reprendre confiance en moi,
me blinder, je suis mauvais (encore plus que d’habitude). Je peux donc
comprendre qu’à haut niveau, le doute, la peur ne soient pas trop exprimés car
sous leur forme irrationnelle et émotionnelle, ils sont complétement contreproductifs. Le doute rationnel qui suscite une préparation adaptée est constructif,
mais je comprends que le doute émotionnel ait le moins possible sa place dans la
tête des sportifs et donc, pas du tout dans leur discours publiques.
Santé,
A
Rédigé par : Azad | le 19 novembre 2009 à 06:15 | Alerter
13. première question à ce genre d’individus vide: si vous aimez si peu le sport et
leur auteurs, pourquoi lisez vous ce blog ????? que faites vous ici??? la critique
peut être constructive mais la MECHANCETE absolument pas!!! alors videz
votre venin ailleurs !
merci !
quand à vous Cécile continuez encore et n’oubliez jamais que vous êtes TRES
utile pour tous ces humains qui ont un vrai talent et qui ont vraiment besoin de
vous !
Rédigé par : rue des anges | le 19 novembre 2009 à 09:22 | Alerter
14. aux tailleurs de ce blog,
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j’organise un repas mercredi soir, si vous êtes libres je me ferais un plaisir de
vous accueillir pour que vous me parliez de votre passion. Allez Cécile, vaut
mieux en rire ; On en tient enfin quelques uns.
Rédigé par : Lolo | le 19 novembre 2009 à 22:37 | Alerter
15. je ne comprends ceux qui critiquent ces articles…. pourquoi associez vous
toujours les sujets des articles sur les sportifs de cecile avec l argent qu’il
gagne… je ne vois pas le rapport… si vous ne comprenez pas posez des
questions a cecile qu’elles vous repondent ou si vous ne voyez pas d’interet a ce
blog, allez voir d’autres blogs… mais arretez … un peu… et laissez aux
interessés le plaisir de dialoguer tranquillement… perso je trouve ce blog tres
instructif. continuez Cecile
Rédigé par : monsieur, | le 19 novembre 2009 à 23:19 | Alerter
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