tempête sous un crâne - Archives

Transcription

tempête sous un crâne - Archives
SAISON 2012-2013
TEMPÊTE SOUS UN CRÂNE
© PIERRE DOLZANI
D’APRÈS LES MISÉRABLES DE VICTOR HUGO PAR LA COMPAGNIE AIR DE LUNE
MISE EN SCÈNE JEAN BELLORINI
« Quatre petites heures de plaisir inouï pour un texte dont Jean Bellorini et Camille de la Guillonnière
ont su extraire toute la saveur… C’est superbe et ça pétille d’intelligence. »
Les Trois Coups, octobre 2010
Avec
Mathieu Coblentz,
Karyll Elgrichi,
Camille de la Guillonnière,
Clara Mayer, Céline Ottria,
Geoffroy Rondeau et Hugo
Sablic
LE PROPOS
Voici l’histoire de Jean Valjean, Cosette, Gavroche… qui surgit sur scène dans un spectacle total mis en scène par Jean
Bellorini. Sept comédiens s’écoutent, se coupent la parole ou se mettent à scander, ensemble, les différents épisodes
des Misérables, comme on pourrait se mettre à chanter une chanson. Ces remarquables interprètes prennent en charge
toute la poésie de Victor Hugo, toute l’acuité de sa pensée politique.
« Hugo défend l’idée que seuls l’instruction, la justice sociale et l’humanisme empêcheront les “misérables” de devenir des “infâmes”, explique Jean Bellorini. Cette œuvre est un véritable plaidoyer pour le progrès social et la fraternité
humaine. » En mêlant théâtre et musique, en donnant corps à un univers scénique incarné, généreux, le fondateur de
la compagnie Air de Lune parvient à faire parvenir ce plaidoyer au plus grand nombre. Dans un esprit profondément
poétique et populaire.
À PROPOS DE TEMPÊTE SOUS UN CRÂNE
LE GRAND T
MARS LU 18 MA19 ME20 JE21
VE22
DI24
LU 25 MA26 20:00
20:00
20:00
20:00
20:00
15:00
20:00
13:30
Durée : 4h
Public : à partir de la 4e
Tarif : 9€ ou un pass-culture
Contacts pôle public & médiation
Manon Albert
[email protected]
02 28 24 28 08
Florence Danveau
[email protected]
02 28 24 28 16
« La construction du spectacle a été faite par étapes successives de coupures du texte original de Victor Hugo. Ici pas
de réécriture, mais une fidélité à l’auteur. Équilibre entre l’avancée active dans la progression du récit et le lyrisme de
l’écriture. Il ne s’agit surtout pas que notre adaptation soit un « digest ». Il est fondamental pour nous tout autant de garder le fil narratif de l’histoire que de garder la profusion lyrique et pathologique de certains moments de descriptions,
de logorrhées. C’est dans cet esprit que la musicalité du texte et sa rythmique ont jailli. Certains passages sont mis en
musique réellement à la manière de chansons, d’autres flirtent avec le « slam » ou le « rap ». […] Même s’il ne s’agit pas,
à l’origine, d’un spectacle jeune public, je sens qu’il est important de faire entendre ces valeurs au maximum d’individus
qui sont en train de se construire et d’évoluer dans notre monde. »
Jean Bellorini metteur en scène
LA PRESSE EN PARLE
« Le plus convaincant, dans cette adaptation des Misérables de Victor Hugo, […] tient à la rage qui l’anime. Rage de
toujours, certes, face à l’iniquité et au mensonge, mais surtout rage de ce temps, incarnée pour ce temps. Impossible de
se dire que les cinq comédiens et les deux musiciens ne nous parlent pas d’eux-mêmes. […] Alors longtemps après les
avoir quittés, on se rejoue dans sa tête, sans témoin, pour soi, la mort de Fantine et celle de Gavroche, les obsèques du
général Lamarck, les émeutes dans les rues de Paris, la fin de toutes choses et l’espoir qui gronde. Des jours durant, on
se rappelle ce théâtre habité par le vivant. » Télérama, octobre 2010
« Il fallait oser ! Adapter Les Misérables sur scène, avec juste deux interprètes pour la première partie et cinq pour la
seconde… Comment est-ce possible ? D’autant que ça dure quatre heures. C’est déjà long pour un spectacle, mais une
goutte d’eau chez Victor Hugo. […] Du Hugo dans toute son énormité ! […] Se niche derrière ce titre une mine d’inventions, une interprétation décapante de comédiens brillants et une mise en scène époustouflante. Oui, c’est là une véritable "tempête" ! »
Les Trois Coups, octobre 2010
LA COMPAGNIE AIR DE LUNE
La compagnie est née en 2001 de la collaboration de Marie Ballet et Jean Bellorini sur Inconnu à cette adresse de Kressmann Taylor. Cette rencontre définit la spécificité de la compagnie : une interrogation sur les rapports de la musique et
du théâtre. Fort de leur expérience, ils décident de créer une compagnie, laissant libre cours à leur désir de « raconter
des rêves ». En choisissant des « grands textes », il ne s’agit pas pour eux de s’égarer dans une relecture originale et
singulière, mais de montrer simplement que les auteurs franchissent allègrement les époques, tout en s’enrichissant
des défis et des interrogations qui rendent la création plus excitante.