Procès-verbal
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UNITE FORUM CONSULTATIF ET COOPERATION SCIENTIFIQUE Parme, le 7 février 2014 EFSA/AF/M/2014/490/PUB/FINAL Procès-verbal final CINQUANTIÈME RÉUNION DU FORUM CONSULTATIF PARME, ITALIE, 5 DÉCEMBRE 2013 Présidence: Bernhard Url, directeur exécutif faisant fonction de l'EFSA MEMBRES DU FORUM CONSULTATIF Autriche Roland Grossgut Italie Giancarlo Belluzzi Belgique Benoît Horion Lettonie Aivars Bērziņš Bulgarie Boiko Likov Lituanie Zenonas Stanevicius Croatie Andrea GrossBoskovic Luxembourg Nathalie Welschbillig Chypre Popi Kanari Malte Ingrid Busuttil République tchèque Jitka Götzová Pays-Bas Hubert Noteborn Danemark Anders Permin Norvège Lars E. Hanssen Estonie Martin Minjajev Pologne Jacek Postupolski Finlande Matti Aho Portugal Maria Graça Mariano France Rozenn Saunier Roumanie Nicusor Ciocanea Allemagne Reiner Wittkowski Slovénie Urška Blaznik Hongrie Maria Szeitzné Szabó Espagne Ana Canals Caballero Irlande Raymond Ellard Suède Leif Busk Royaume-Uni Alisdair Wotherspoon Monténégro Nedeljko Latinovic Commission européenne Jeannie Vergnettes OBSERVATEURS Ancienne Svetlana Tomeska République Mickova yougoslave de Macédoine Serbie Vera Katić Suisse Michael Beer Autorité européenne de sécurité des aliments, Via Carlo Magno 1 A, I-43126 Parme, Italie (+39) 0521 036 111 • Fax: (+39) 0521 036 110 • www.efsa.europa.eu ORATEURS INVITES Commission européenne Maria Kammenou REPRESENTANTS DE L'AUTORITE EUROPEENNE DE SECURITE DES ALIMENTS Diane Benford*- point 6.3 de l'ordre du jour Jeffrey Moon Per Bergman Olaf Mosbach-Schulz – point 6.1 de l'ordre du jour Stef Bronzwaer Saadia Noorani Hubert Deluyker Joe Perry, président du groupe scientifique GMO – point 5 de l'ordre du jour Mary Gilsenan – point 6.4 de l'ordre du jour Elizabeth Waigmann – point 5 de l'ordre du jour Marta Hugas Liisa Valsta – point 6.5 de l'ordre du jour Juliane Kleiner Alessia Vecchio – point 6.2 de l'ordre du jour (* = par téléphone) 1. ACCUEIL DES PARTICIPANTS ET OUVERTURE DE LA REUNION Bernard Url souhaite la bienvenue aux membres, observateurs et participants externes de la 50e réunion du forum consultatif (FC). Le forum souhaite également la bienvenue à Maria Kammenou de la DG Recherche qui présentera le point 7.1 et à Nicusor Ciocanea représentant la Roumanie qui participe, pour la première fois, à la réunion du FC. Des excuses ont été reçues de la part des représentants de la Grèce, de l'Islande et de la Turquie. Une minute de silence est observée en mémoire de M. Luvi Rusu, membre du forum consultatif pour la Roumanie, malheureusement décédé le 18 octobre. 2. ADOPTION DE L'ORDRE DU JOUR Le président informe les membres que le mandat révisé relatif à sept des réseaux scientifiques de l'EFSA sera traité au point «Divers». Les membres sont invités à proposer tout autre point supplémentaire pour examen au point «Divers». Les points suivants sont soulevés: Chypre: résultats de l'étude sur l'authenticité des boissons alcoolisées; Norvège: annonce concernant un rapport de la Norvège sur l'analyse des bénéfices-risques liés à l'allaitement; Bulgarie: variole ovine; 2 / 18 France: déclaration concernant une base de données sur les nanoparticules et programme de travail de l'ANSES en 2014. L'ordre du jour est adopté avec les ajouts susmentionnés. 3. QUESTIONS SOULEVEES Les membres reçoivent une liste de points d'action de la dernière réunion du forum consultatif et aucune autre question n'est soulevée. 4. DISCUSSION STRATEGIQUE SUR LES TRAVAUX DE L'EFSA AVEC LES ÉTATS MEMBRES 4.1. Examen de la coopération scientifique Stef Bronzwear expose le projet de document relatif au renforcement de la coopération scientifique et présente une série de recommandations proposées par le groupe de discussion sur le renforcement de la coopération scientifique entre les États membres. Selon le président, au cours de ces dix dernières années, la coopération scientifique s’est améliorée, mais des progrès restent à faire en matière de partage des programmes de travail et des données. Il invite les membres à fournir leurs commentaires sur ce document et, en particulier, à se concentrer sur les recommandations. Les membres ont formulé les commentaires suivants: Recommandation 1: la France suggère que le forum consultatif établisse une liste de priorités commune. Recommandation 4: le Danemark s'inquiète de la charge de travail qui pèse sur les points de contact et explique combien il est difficile d'obtenir des ressources nationales pour soutenir l'expansion du rôle des points de contact dans la coordination des réseaux scientifiques. La Suède admet que sans soutien financier supplémentaire au réseau des points de contact, il sera impossible de satisfaire à cette recommandation. Recommandation 5: la Finlande reconnaît qu'il est important d'être informés sur la politique d'«entrepôt» de données et de définir clairement l'accès des États membres aux données. Commentaires généraux: o l'Autriche indique que la CE doit accorder une plus grande attention aux organismes d'évaluation des risques au niveau national ainsi qu'à l'harmonisation entre les différents réseaux scientifiques de l'EFSA. o La Commission se félicite de la présentation de l'EFSA, notamment de la précision concernant la décision de mandater une évaluation externe sur le programme de subventions et de marchés publics. La Commission laisse entendre qu'il serait opportun d'expliquer les objectifs des différents instruments et leur interconnexion. o Le Royaume-Uni souligne que le document reste muet sur le partage des preuves, un autre moyen efficace pour favoriser la coopération scientifique. 3 / 18 o La France demande que le forum soit informé sur le programme pluriannuel de coopération internationale. L'Allemagne demande des informations sur la politique d'«entrepôt» de données de l'EFSA. Le forum est informé que, lors de la prochaine réunion, il sera discuté des projets de règles d'accès aux données et de la stratégie concernant la collecte des données. Le président rappelle aux membres que le soutien financier octroyé par l'EFSA n'entendait pas financer entièrement les tâches des points de contact, mais qu'il devait constituer un apport dans le cadre de la coopération scientifique. Les États membres sont censés partager cette contribution financière pour soutenir les travaux du point de contact national. L'Allemagne informe le forum, qu'il ressort des conclusions d'une analyse menée sur le travail du point de contact en Allemagne que la contribution de l'EFSA représente moins de 50 % du financement requis pour assurer le travail du point de contact. La Lettonie souligne qu'en l'absence de base juridique claire, il est difficile de faire accepter le financement au niveau national. La Suède propose de rédiger un document afin d'examiner le financement national destiné au réseau des points de contact. Le Danemark suggère que l'EFSA exerce davantage de pression sur les États membres pour qu'ils octroient le financement du réseau des points de contact. Le président explique que le règlement fondateur de l'EFSA ne fait aucune mention explicite des points de contact et ne prévoit donc pas de soutien financier en faveur du réseau des points de contact. L'EFSA a travaillé avec la Commission afin de clarifier cette question et d'examiner les formes de soutien envisageables pour stimuler le soutien national. Les membres sont informés qu'après la prise en compte de leurs commentaires, un document révisé sera présenté lors de la prochaine réunion en mars 2014. Action n° 1: commentaires écrits sur le document à transmettre par les membres pour le 31 janvier 2014. 4.2. Amélioration des réseaux de coopération L'Italie, l'Espagne et la France présentent leurs expériences en matière de coordination des réseaux au niveau national et proposent des recommandations pour améliorer les réseaux scientifiques. Le président remercie les membres pour leur présentation et informe le forum que l'EFSA tient à renforcer le rôle de coordination des points de contact. Il est observé que, s'agissant des réseaux scientifiques, l'une des difficultés réside dans les différences de mandats, certains relevant directement de la législation verticale. Le président propose d'étudier la possibilité de rééquilibrer le financement par le biais du programme de subventions et de marchés publics, afin d'apporter un soutien financier supplémentaire au réseau des points de contact. L'Autriche partage ce point de vue et observe qu'une partie des financements actuels des marchés servent davantage à soutenir les travaux de l'EFSA qu'à favoriser la coopération scientifique. Il serait bon de disposer d'un financement supplémentaire destiné au réseau des points de contact pour renforcer les réseaux scientifiques dans les États membres, à l'instar des réseaux scientifiques de l'EFSA. La Norvège observe que l'EFSA doit considérer tout financement supplémentaire en faveur du réseau des points de contact comme un investissement dans la coopération scientifique. 4 / 18 La Belgique approuve les recommandations 1 et 5 et demande comment s'assurer que les représentants des réseaux collaborent avec d'autres experts de réseaux ou des experts externes. L'Espagne cite en exemple le réseau national espagnol concernant le réseau d'échange sur les risques émergents (EREN) qui suscite un vif intérêt de la part d'experts externes. Il est convenu que les membres partagent toutes les orientations nationales mises en place à l'intention des membres de réseaux. Action n° 2: Invitation des membres à partager toutes les orientations nationales mises en place à l'intention des représentants participant à des réseaux. Les membres doivent envoyer les nominations aux réseaux à l'unité AFSCO. 4.3. Discussion à l’occasion de la réunion anniversaire de la 50e rencontre du forum consultatif Juliane Kleiner présente la séance des discussions en petits groupes en donnant un aperçu du contexte et des discussions du conseil d'administration ainsi que des attentes de cette séance. La séance plénière est levée pour permettre aux membres de participer à de petits groupes de discussion, l'objectif étant de réfléchir aux moyens d'action des États membres pour contribuer à l'établissement d'un programme commun d'évaluation des risques de l'UE. Chaque groupe rend compte en séance des principaux points de leur discussion. Une synthèse des retours d'informations figure à l'annexe A. 5. COOPERATION ET FEEDBACK: GROUPE SCIENTIFIQUE ET RESEAU GMO Le président souhaite la bienvenue à Elizabeth Waigmann, chef de l'unité GMO et à Joe Perry, président du groupe scientifique GMO. Joe donne un aperçu du programme de travail actuel et futur du groupe scientifique et Elizabeth présente aux membres les faits marquants relatifs au travail du réseau GMO. La Suède demande si le groupe scientifique a éprouvé des difficultés à recruter des membres, vu le vif intérêt des médias pour les OGM. Elizabeth explique que le groupe scientifique se conforme à la procédure complexe des déclarations d'intérêts susceptible d'exclure certains experts; elle n'est toutefois pas à même d'évaluer dans quelle mesure l'attention soutenue des médias et l'intérêt public pour les OGM ont affecté le recrutement des membres. La Lituanie demande si le groupe scientifique s'est prononcé sur l'innocuité de la viande provenant d'animaux nourris avec des aliments génétiquement modifiés. Joe explique que les avis du groupe scientifique abordent directement la question de savoir si la viande provenant d'animaux nourris avec des aliments génétiquement modifiés est propre à la consommation humaine. L'Irlande note l'adoption, cette année, d'un nombre relativement limité d'avis, et demande, vu le nombre d'avis en cours, combien de temps il faudra au groupe scientifique pour les adopter. Elizabeth explique que l'EFSA a initialement demandé, de manière répétée, des explications aux demandeurs lorsque les explications initiales étaient incomplètes, d'où un retard dans la procédure d'évaluation des risques. Soucieux d'accélérer la procédure, le groupe scientifique ne réitère plus la même question si le 5 / 18 demandeur n'y a pas répondu de manière exhaustive dans une première phase. Il est observé que cela pourrait se traduire par des lacunes eu moment de rendre l'avis final. 6. MISE A JOUR ET AUTRES QUESTIONS SOULEVEES PAR L'EFSA ET LES MEMBRES 6.1. ÉTATS Hépatite A - activités de traçage Olaf Mosbach-Schulz de l'unité Assistance à l'évaluation scientifique (SAS) fait le point sur les activités de traçage de l'hépatite A à la suite d'une épidémie en Italie, début 2013. La Commission a demandé à l'EFSA de fournir son assistance scientifique en menant une analyse approfondie sur le lien avec la source alimentaire suspectée et de fournir son assistance technique en menant une analyse de traçage en amont et en aval des lots incriminés. Un rapport scientifique sur le traçage des produits alimentaires doit être publié en mars 2014 et un article scientifique sur l'application de la nouvelle méthodologie de traçage doit être soumis à une revue scientifique à des fins de publication. Le Danemark demande si d'autres activités sont programmées en parallèle pour protéger les consommateurs, comme une vaccination de masse, par exemple. Il est observé que l'EFSA apporte son soutien à la CE, qui joue un rôle prépondérant en la matière et partage avec les États membres la responsabilité décisionnelle en matière de gestion des risques. Olaf explique que le conseil prodigué actuellement par les États membres aux consommateurs est de cuire les baies surgelées. 6.2. Information sur les propositions d’échange de personnel à court terme Le président souhaite la bienvenue à Alessia Vecchio, chef de l'unité Gestion du capital humain et des connaissances. Alessia fait le point sur les propositions relatives à un programme d'échange de personnel entre l'EFSA et les États membres, qui sera mis à l'essai en 2014. Il est souligné que le programme sera limité à une période maximale de trois mois et qu’il sera ouvert aux scientifiques d'organisations publiques. Les membres sont invités à contacter les unités de l'EFSA afin de discuter d'éventuelles propositions de projet avant de soumettre une demande. La France fait remarquer que, sur la base de son expérience d'un programme d'échange de personnel avec le BfR en Allemagne et le DTU au Danemark, le personnel avait besoin d’être encouragé à saisir ces opportunités. La République tchèque demande s'il est possible de recourir au budget des points de contact pour financer les scientifiques participant au programme. Il est précisé que le financement par le biais du budget des points de contact est exclu pendant la phase pilote. Action n° 3: Invitation des membres à soumettre au secrétariat du FC leurs propositions de projet en vue de l'échange de personnel, pour mars 2014. 6.3. Rapport d'avancement sur l'acrylamide Diane Benford, présidente du groupe scientifique sur les contaminants (CONTAM), fait le point sur l'avis concernant l'acrylamide depuis la dernière réunion. Les membres sont 6 / 18 informés que le groupe de travail sur l'acrylamide et le groupe scientifique CONTAM ambitionnent de finaliser l'avis le plus rapidement possible. L'objectif actuel est de soumettre le projet d'avis approuvé par le groupe scientifique CONTAM pour consultation publique deux mois plus tôt que prévu, compte tenu des inquiétudes exprimées par les membres du FC. Le Danemark se réjouit de ce nouveau calendrier. Lors de la réunion précédente, la Suède a demandé à l'EFSA de prendre en considération l'impact des valeurs indicatives récemment actualisées par la CE. Le groupe scientifique a décidé de ne pas prendre ces valeurs en considération dans l'évaluation des risques actuelle, étant donné qu'elles ne relèvent pas de leur mandat ni de leur champ d'activité. Il est convenu que la Suède remette un document au secrétariat sur les valeurs indicatives et l'évaluation de l'exposition pour examen ultérieur. Il est noté que les Pays-Bas conduisent également une évaluation des risques associés à l'acrylamide et tâcheront de faire coïncider la publication de leur avis avec celle de l'avis de l'EFSA. Le président rappelle au forum l'importance d'éviter les divergences d'opinion comme précisé dans le règlement fondateur, et l'obligation qui incombe aux États membres de coopérer lorsque des points de vue divergents sont mis au jour. Action n° 4: Remise au secrétariat, par la Suède, d’un document sur les valeurs indicatives et l'évaluation de l'exposition. Fourniture, par les Pays-Bas, des coordonnées pour l'évaluation des risques liés à l'acrylamide. 6.4. Information sur les activités du réseau en matière de collecte des données Mary Gilsenan, chef de l'unité Surveillance alimentaire et chimique fait le point sur les activités des réseaux responsables des données sur la présence de substances chimiques et des données sur la consommation alimentaire. Le mandat révisé est présenté aux membres pour commentaires et accord. La Suède note que la présentation ne souligne aucune difficulté et demande si l'on peut partir du principe que le secrétariat s'estime satisfait des réseaux. La France observe que la fréquence des réunions par année est insuffisante et que davantage d'interactions entre les membres sont nécessaires tout au long de l'année. La Belgique est du même avis et estime que davantage de réunions sont nécessaires tout au long de l'année. Malte, en tant que membre des deux réseaux, témoigne de la difficulté à collecter des données émanant d'organisations nationales. Il est suggéré d'augmenter la fréquence des réunions et il est proposé au secrétariat d'envisager la possibilité de réunions téléphoniques et/ou de vidéoconférences. Mary reconnaît le besoin d'organiser plus de réunions et propose que le secrétariat envisage éventuellement une téléconférence, en plus de la réunion physique une fois par an. La Belgique fait remarquer que le fait de disposer d'un point national unique signifiera que toutes les données ne seront pas saisies, et que certaines données risquent, dès lors, d’être omises. Les Pays-Bas observent que, selon le mandat, le gestionnaire des données constitue un point de référence, mais dans certains États membres le point de référence n'est pas forcément le gestionnaire de données. L'Autriche est d'accord avec la remarque des PaysBas. 7 / 18 L'Autriche fait remarquer que les membres des réseaux sont censés être expérimentés en gestion des données et que, lors de l’élaboration de nouveaux systèmes de collecte, il convient d'examiner la faisabilité de la mise en œuvre au niveau national. Le Danemark observe que, les membres des réseaux étant des bénévoles, il convient de s'assurer de la qualité des données fournies. La Commission demande si le mandat couvrira la collecte de matériaux en contact avec des denrées alimentaires. Il est expliqué que le champ d'application couvre les matériaux en contact avec des denrées alimentaires. Le président demande aux membres d'envoyer leurs éventuels commentaires supplémentaires au secrétariat du FC pour le 20 décembre. Action n° 5: envoi, par les membres, de commentaires éventuels sur le mandat des réseaux scientifiques, pour le 20 décembre. 6.5. Information sur le programme «EU menu» Liisa Valsta de l'unité Surveillance alimentaire et chimique présente les faits marquants concernant le projet «EU menu». Elle souligne que l'EFSA a élaboré un document d'orientation sur les principes généraux pour la collecte des données de consommation alimentaire nationales en 2009 et que plusieurs projets-pilotes ont été achevés en 2012/2013. Une actualisation du document d'orientation est prévue en 2014. L'Espagne informe le forum qu'elle a préparé des orientations pour les régions autonomes espagnoles sur la base des orientations de l'EFSA. Elle fait observer que la mise en œuvre du système FOODEX 2 requiert des ressources importantes. La Suède demande au secrétariat s'il souhaite faire passer un message aux États membres sur l'ordre de grandeur des ressources à investir dans ce domaine. Liisa explique qu'en 2009, il avait été envisagé d'élaborer une méthodologie utilisable dans chaque pays. Toutefois, le groupe de travail «EU menu» et le réseau sur la consommation alimentaire travaillent actuellement à la définition de critères minimums pour la méthodologie, notamment le logiciel de collecte des données à utiliser pour l'harmonisation de la collecte des données. Les ressources nécessaires dépendent très fortement de la situation des pays. 7. PLANIFICATION 7.1. Développement dans le cadre du programme-cadre Horizon 2020 Maria Kammenou de la DG Recherche présente les faits marquants à propos du programme-cadre Horizon 2020, en mettant l'accent sur les projets liés au défi de société SC2. Horizon 2020 est le plus vaste programme pour la recherche et l'innovation de l'UE, doté d'un budget de 77 milliards d'euros, sur sept ans (2014-2020), calculés en prix courants, dont 3,8 milliards alloués au SC2. Le 11 décembre 2013 verra le lancement des premiers appels. Le Danemark indique que l'un des objectifs d'Horizon 2020 est de collaborer avec les entreprises, notamment les petites et moyennes entreprises (PME), ce qui peut s'avérer problématique pour l'EFSA. 8 / 18 Le président demande quelle est la part du financement prévu par l’industrie. Maria explique qu'il existe un instrument spécifique pour encourager les PME à s'impliquer davantage dans la recherche, étant donné qu'elles sont majoritaires dans l'UE. Le Royaume-Uni se réjouit de la reprise des propositions émanant du FC dans la section SC2 du programme, en particulier l'appel sur les pathogènes, et en félicite la Commission. Le Royaume-Uni note une augmentation du budget global par rapport au 7e programme-cadre, et demande si une comparaison a été établie au niveau de la sécurité alimentaire. Maria explique que le programme de travail dans le cadre du SC2 est centré sur la sûreté alimentaire, ce qui englobe la sécurité alimentaire. Les membres sont informés que le programme de travail 2015 est encore en cours de finalisation et qu'il est encore possible de soumettre des commentaires. Les membres sont invités à envoyer leurs commentaires éventuels directement à Maria. Maria remercie le forum pour sa précieuse contribution eu égard aux propositions pour le programme et convient de tenir le forum informé de toute évolution. Action n° 6: envoi, par les membres, d’éventuels commentaires, directement à Maria Kammenou, DG RTD. Transmission, par la DG TRD, des chiffres concernant le taux du budget consacré à la sécurité alimentaire. 7.2. Thèmes stratégiques pour 2014 Juliane Kleiner présente les grandes lignes des thèmes stratégiques pour 2014. Les membres sont invités à faire part des autres thèmes qu’ils souhaiteraient voir traités en 2014. Les suggestions suivantes sont formulées: Le Danemark propose que les défis liés à la collaboration avec le secteur en tant que composante d'Horizon 2020 soient repris comme thème de discussion lors de la réunion de mars 2014. L'Espagne propose de présenter, lors d'une prochaine réunion, le rapport des chefs d'agence, intitulé «Sharing Protocols, Experiences and Knowledge on Management and Communication during Food Crisis». La France propose de discuter le mandat du groupe de travail Nutrivigilance, lors de la réunion de mars 2014. La France estime qu'il est souhaitable de discuter du programme de subventions et de marchés publics, lors d'une réunion préalable. Juliane explique qu'un examen externe du programme de subventions et de marchés publics est prévu à partir de janvier 2014, et que juin 2014 est la première date envisageable pour des discussions au FC. Action n° 7: collecte des suggestions de thèmes pour les prochaines réunions, par le secrétariat. 7.3. Examen de la base de données des experts Jeff Moon présente les résultats préliminaires de l'enquête concernant la base de données d'experts scientifiques (EDB) menée dans le cadre de l'examen quinquennal. Les 9 / 18 membres sont informés qu'un rapport sur les conclusions de l'examen sera présenté lors de la réunion de mars 2014. 8. DIVERS 8.1. Résultats de l'enquête sur les boissons alcoolisées Chypre présente les résultats d'une enquête sur l'authentification des boissons alcoolisées. L'Irlande remercie Chypre pour sa présentation et se dit surprise des conclusions de l'enquête qui ne révèlent qu'un nombre limité de contrefaçons de boissons alcoolisées. L'Irlande informe le forum qu'une contrefaçon de vodka a été vendue en Irlande et se réjouit de tout soutien des États membres dans le sens de l'élaboration d'une base de données sur les boissons et les aliments contrefaits. 8.2. Programme de travail 2014 La France présente brièvement les principaux domaines de travail de l'ANSES en 2014 et informe le forum de l'existence d'un nouveau portail sur la déclaration des nanoparticules. La France accepte de diffuser l'adresse web de ce portail. Il est noté que le partage des informations sur les programmes de travail/des activités s'est révélé problématique pour diverses raisons. Il est noté que la présentation des priorités de travail est utile, car elle permet d'identifier les domaines dans lesquels une coopération entre États membres est envisageable et il est convenu que tous les États membres présentent les grandes lignes de leurs priorités de travail pour 2014. Action n° 8: transmission au secrétariat, par tous les États membres, de leurs priorités de travail pour 2014, pour le 31 janvier 2014. 8.3. Rapport de la Norvège La Norvège annonce la publication, le 12 décembre, d'un rapport sur l'analyse des risques et avantages liés à l'allaitement, établi par le comité scientifique norvégien sur la sécurité alimentaire. 8.4. Variole ovine en Bulgarie Faute de temps, ce point supplémentaire n'est pas abordé. Il est convenu de distribuer la présentation aux membres. 8.5. Mandat révisé des réseaux scientifiques Les membres sont invités à remettre leurs éventuels commentaires écrits concernant le mandat révisé de sept des réseaux de l'EFSA, pour le 20 décembre, au secrétariat. 9. CLOTURE DE LA SEANCE Le président lève la séance et remercie les membres, les observateurs et les participants externes pour leur participation. 10 / 18 La prochaine réunion se déroulera en mars 2014, en Grèce. 11 / 18 SYNTHESE DES POINTS D'ACTION Numéro Points Question/Thème 4.1 Document de Action consultation sur n° 1 l'amélioration de la coopération scientifique 4.2 Orientations Action nationales pour les n° 2 membres de réseaux 6.2 Action Programme n° 3 d'échange de personnel Action n° 4 Action n° 5 6.3 Acylamide 6.4 + Divers Commentaires écrits sur le document de consultation à transmettre par les membres pour le 31 janvier 2014 Invitation des membres à partager toutes les orientations nationales mises en place à l'intention des représentants participant à des réseaux. Invitation des membres à soumettre au secrétariat du FC leurs propositions de projet en vue de l'échange de personnel, pour mars 2014. Remise au secrétariat, par la Suède, d’un document sur les valeurs indicatives et l'évaluation de l'exposition. Fourniture, par les Pays-Bas, des coordonnées pour l'évaluation des risques liés à l'acrylamide. Envoi, par les membres, de commentaires éventuels sur le Mandat des réseaux mandat des réseaux scientifiques, pour le 20 décembre. scientifiques Envoi, par les membres, d’éventuels commentaires, directement à Maria Kammenou, DG RTD. 7.1 Action n° 6 Action Horizon 2020 Transmission, par la DG TRD, des chiffres concernant le taux du budget consacré à la sécurité alimentaire. Collecte des suggestions de thèmes pour les prochaines réunions, par le secrétariat. Action n° 7 7.2 Thèmes stratégiques 2014 Action n° 8 Divers Priorités de Transmission au secrétariat, par tous les États membres, travail/programmes de leurs priorités de travail pour 2014, pour le de travail/activités 31 janvier 2014. pour 2014 12 / 18 Annexe A Retour d'informations des petits groupes de discussion du forum consultatif sur le programme d'évaluation des risques de l'UE Le forum consultatif a été divisé en quatre groupes pour débattre de la question Comment élaborer un programme d'évaluation des risques de l'UE? Chaque groupe a été invité à traiter les points suivants: 1. Identifiez les formes de coopération qui ont bien fonctionné jusqu'à présent. 2. Quels sont les domaines à renforcer en vue d'activités de collaboration? 3. Quels sont les moyens de stimuler davantage la collaboration entre l'EFSA et les États membres, et la collaboration des États membres entre eux? 4. Donnez des exemples de thèmes et d'activités spécifiques qui peuvent être développés en vue d’activités de collaboration. Le rapporteur de chaque groupe répercute les informations en séance plénière sur les principaux points débattus. Groupe 1 Facilitateur: Stef Bronzwaer Rapporteur: Hubert Noteborn --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------1. Identifiez les formes de coopération qui ont bien fonctionné jusqu'à présent. l'efficacité du réseau des points de contact est avérée. Le réseau continue de stimuler l'échange multilatéral; l'almanach de l'UE était une bonne initiative. Davantage d'initiatives sous la coordination d'un ou de plusieurs États membres sont souhaitables; les outils de coopération scientifique (par exemple, IEP) ont bien fonctionné. Ils méritent d'être maintenus et améliorés; les initiatives de formation en matière d'évaluation des risques, notamment la formation BTSF, sont très appréciées et contribuent au renforcement des compétences. Il serait opportun d'accroître l'offre de formation de type université d'été, à l'instar de la BfR-Summer School; l'approche «former le formateur» et les approches de formation au niveau régional sont prometteuses et méritent d'être approfondies, notamment les opportunités de financement. 2. Quels sont les domaines à renforcer en vue d'activités de collaboration? le domaine de la collecte des données (par exemple, FOODEX, SSD), poursuivre les efforts d'harmonisation; le concept «One Health»; renforcer encore la coopération avec les agences européennes; 13 / 18 le partage de modèles variés d'approches probabilistes (par exemple, exposition, BMD, faibles doses, effets cumulés) doit être davantage exploré et mis en œuvre, et, le cas échéant, harmonisé. 3. Quels sont les moyens de stimuler davantage la collaboration entre l'EFSA et les États membres, et la collaboration des États membres entre eux? rechercher d'autres mécanismes de financement au sein de l'Europe (par exemple, DG AGRI, SANCO, RTD et DEVCO); identifier les opportunités de financement dans la recherche appliquée pour stimuler l'évaluation des risques dans le domaine de la sécurité alimentaire, et si elles n'existent pas, exiger qu'elles soient instaurées; poursuivre et renforcer les efforts pour éviter le travail en double et utiliser le travail réalisé au niveau national, et, le cas échéant, intensifier et améliorer la coopération internationale entre les États membres; diffuser dès que possible l'information sur les activités et les thèmes traités par les États membres (sans nécessairement entrer dans le détail, regrouper par thèmes par le biais du site web de l'EFSA ou du travail en réseau des points de contact). 4. Donnez des exemples de thèmes et d'activités spécifiques qui peuvent être développés en vue d’activités de collaboration. Activités spécifiques: collecte des données; données sur la consommation alimentaire (base de données); formation sur l'évaluation des risques; rôle de plate-forme à jouer par l'EFSA pour des conférences spécifiques (comme le 10e anniversaire); organisation d'ateliers sur des thèmes spécifiques; mandats des États membres à l'EFSA; demandes ad hoc pour couvrir des besoins en données (financement par des subventions); classement des risques et définition des priorités (sur la base de la charge de morbidité); établissement de profils de risque (à l'instar du nouveau profil de risque sous la forme d'un graphique du BfR) Thèmes spécifiques: perturbateurs endocriniens, nutrivigilance, édulcorants, boissons énergisantes, produits issus du chanvre, charge de morbidité des produits chimiques, séquençage de génomes complets, toxicogénomique seuils des allergènes. 14 / 18 Groupe 2 Facilitatrice: Marta Hugas Rapporteur: Leif Busk -------------------------------------------------------------------------------------------------------------------1. Identifiez les formes de coopération qui ont bien fonctionné jusqu'à présent. le forum consultatif, en tant que plate-forme de discussion, est un succès; la participation d'experts nationaux à des groupes scientifiques, groupes de travail et réseaux, s'est révélée très utile et a stimulé le renforcement des capacités grâce aux compétences scientifiques accrues; la valeur des entretiens individuels, des contacts personnels et du développement des relations est inestimable. 2. Quels sont les domaines à renforcer en vue d'activités de collaboration? • • • • • • soutenir les États membres qui créent ou restructurent les organismes responsables de la sécurité alimentaire afin de faciliter le travail conformément aux principes de l'analyse des risques; établir des programmes de parrainage pour les nouveaux responsables de l'évaluation des risques des États membres; l'EFSA doit s'engager activement à discuter avec les gestionnaires de risques des moyens de renforcer la coopération scientifique (par exemple, par le biais du forum des chefs d'agence); augmenter la part du parrainage dans les subventions et les marchés publics; s'attaquer au problème du manque de ressources administratives dans les États membres; encourager la coopération régionale (également en tant que composante d'une collaboration plus vaste à l'échelle de l'UE). 3. Quels sont les moyens de stimuler davantage la collaboration entre l'EFSA et les États membres, et la collaboration des États membres entre eux? • • • • l'EFSA doit être encouragé davantage à participer aux réunions scientifiques nationales, afin d'accroître sa visibilité et ainsi, de stimuler les scientifiques à participer à la collaboration; l'EFSA doit analyser les méthodes d'évaluation des risques des États membres et prévoir des orientations quant aux meilleures pratiques; tirer davantage parti des outils existants; déployer des efforts pour partager et discuter des plans/programmes de travail. 4. Donnez des exemples de thèmes et d'activités qui peuvent être développés en vue d’activités de collaboration. • Mettre l'accent sur le classement et la définition des risques s'agissant des facteurs de collaboration qui influencent le plus la charge de morbidité. 15 / 18 Groupe 3 Facilitatrice: Juliane Kleiner Rapporteur: Raymond Ellard --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------1. Identifiez les formes de coopération qui ont bien fonctionné jusqu'à présent. Point non expressément traité par le groupe. 2. Quels sont les domaines à renforcer en vue d'activités de collaboration? • • • • • • • le financement de la recherche; la coopération avec d'autres organismes chargés de la nutrition (par exemple, l'IARC); la définition de projets de recherche et l'engagement dans des projets avec des partenaires dans le cadre de demandes de cofinancement (par exemple, financement au titre de l'Horizon 2020); l'utilisation du travail réalisé par les agences d'évaluation des risques; la répartition du travail: réserver aux agences nationales chargées de l'évaluation des risques la tâche d’évaluer les risques dans certains domaines (par exemple, la Norvège s'occupe du poisson), réserver à l'EFSA le travail sur les «preuves» et l'examen collégial pour permettre l'adaptation; la définition de stratégies en matière de normes dans le travail d'évaluation des risques; la promotion de la fusion des demandes. 3. Quels sont les moyens de stimuler davantage la collaboration entre l'EFSA et les États membres, et la collaboration des États membres entre eux? • • • • • ISO accomplit un travail important; envisager d'incorporer les méthodologies d'évaluation des risques de l'EFSA aux normes ISO; publier bien à l'avance les programmes d'activités pour éviter le travail en double; assurer l'évaluation des risques de base (identification et caractérisation des dangers), ce qui permettrait aux autres États membres ou à l'EFSA d'évaluer l'exposition (et la caractérisation du risque) pour mener à bien l'évaluation des risques; développer une nouvelle stratégie en matière de coopération; renforcer la capacité d'évaluation des risques des États membres. 4. Donnez des exemples de thèmes et d'activités qui peuvent être développées en vue d’activités de collaboration. nouveaux outils pour l'évaluation des risques toxicologiques; les nanoparticules ayant une activité biologique; évaluations globales des risques (sans se concentrer sur des questions particulières, mais en incluant des études bénéfices-risques et coûts-bénéfices, et des études relevant des sciences sociales, étudier les questions sous l'angle de l'impact potentiel de devoir choisir d'autres aliments); matériaux en contact avec des denrées alimentaires; séquençage de génomes complets, 16 / 18 compléments alimentaires - effets préjudiciables (approche harmonisée à l'évaluation des ingrédients botaniques); fromage au lait (brebis) cru; allergènes - limites des actions et seuils; données d'exposition relatives aux enfants et aux adolescents. Groupe 4 Facilitateur: Per Bergman Rapporteur: Alisdair Wotherspoon --------------------------------------------------------------------------------------------------------------------1. Identifiez les formes de coopération qui ont bien fonctionné jusqu'ici. • • • la création du réseau des points de contact; la stratégie de coopération et de mise en réseaux et la déclaration d'intention de 2006, perçues comme un développement clé; les réseaux scientifiques de l'EFSA constituent un mécanisme utile - miser sur un processus d'amélioration continue - mieux pensé, plus facile. 2. Quels sont les domaines à renforcer en vue d'activités de collaboration? 3. Quels sont les moyens de stimuler davantage la collaboration entre l'EFSA et les États membres, et la collaboration des États membres entre eux? 4. Donnez des exemples de thèmes et d'activités qui peuvent être développées en vue d’activités de collaboration. • • • • • Lors de la définition des priorités - penser au-delà des priorités inspirées de l'EFSA - exploiter une communication plus large des priorités nationales afin d'identifier les synergies - pour une interaction entre l'EFSA et les États membres, mais aussi entre États membres; renforcer la communication entre le FC et les points de contact, d'une part, et les comités scientifiques et les groupes scientifiques, d'autre part pourrait être bénéfique; trouver un moyen simple de partager les priorités - les programmes détaillés ne sont pas toujours disponibles, mais les priorités de haut niveau sont généralement connues. Reconnaître les difficultés potentielles dans certains domaines en raison de la complexité des responsabilités au niveau national. L'instrument que représente le réseau des points de contact dans la recherche d'informations sur des questions peut s'avérer utile en l'occurrence - permettre aux membres du FC de partager des priorités particulières afin de déterminer qui peut apporter son soutien ou souhaite collaborer; travailler davantage sur la connexion nationale des compétences clés afin de contribuer aux discussions au niveau stratégique - favorisé par des responsabilités plus claires dans le mandat des membres de réseaux pour assurer la liaison dans l'État d'origine - rôle de facilitateur des points de contact. Peut-être besoin de renforcer quantitativement/qualitativement la formation des membres des réseaux afin d'intégrer leur approche de travail - ils pourraient éventuellement jouer le rôle de formateurs une fois rentrés chez eux; le taux de rotation des représentants des réseaux et d'autres représentants soulève la question de la continuité de l'approche - idéalement, il faut identifier les membres des réseaux qui peuvent y rester durant une période prolongée et également organiser la transmission (départ-arrivée) en cas de remplacement; 17 / 18 • • • disposer de réseaux limités dans le temps sur des thèmes spécifiques - le cas échéant, de sorte que leur débat vienne, par exemple, alimenter le débat des groupes scientifiques avant l'adoption des avis. Cela pourrait également être utile en cas de problèmes importants liés à la perception des risques qu'il faudrait peut-être prendre en compte dans un contexte plus large lors de l'évaluation des risques; en cas de recours accru aux des points de contact, il convient de clarifier la nature des tâches à accomplir et de prendre en compte l'impact financier. Un domaine envisageable est la coordination de la communauté scientifique au niveau national - peut-être sur des questions spécifiques revêtant une importance nationale à incorporer dans les activités de l'EFSA (ou celles entre les États membres) et, en particulier, si cela est compatible avec les tâches des réseaux et d'autres priorités définies, par exemple, par le biais du FC; une intensification et une amélioration de la coopération internationale sont cruciales afin de tirer davantage parti des ressources/de l'intelligence. Ce sont souvent les mêmes ressources de compétences qui sont sollicitées. 18 / 18