Un peu plus sur : La Banque des Règlements

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Un peu plus sur : La Banque des Règlements
Un peu plus sur : La Banque
des Règlements Internationaux
Souvent sur le métier remettez votre
ouvrage ! On va répéter, repréciser,
compléter les infos qu’on donne sur cette
banque, vu qu’elle est au sommet de la
pyramide de la domination financière
mondiale.
Il faut que les lecteurs sachent pointer du doigt qui dirige
le monde, via la finance. Qui doit être empêché de nuire ? La
Banque des Règlements Internationaux et leurs banques
centrales.
La plupart des gens n’en ont jamais entendu parler, mais cette
banque située à Bâle contrôle secrètement toute la source
monétaire mondiale, et est en fait l’organisation qui est la
plus puissante au monde. Lui couper les ailes serait éliminer
la plus grande force des élites.
Elle est la banque centrale des banques centrales. Elle est
localisée à Bâle en Suisse et possède des succursales à Hong
Kong et à Mexico City. Ses membres ne sont pas élus et sont
exonérés de toute responsabilité, ayant une immunité totale
contre toute imposition que ce soit, ainsi que contre les lois
nationales. Elle n’est responsable devant aucun gouvernement.
Elle fut utilisée pour blanchir l’argent des nazis durant la
seconde guerre mondiale.
La BRI se compose de 60 banques centrales. La Banque des
Règlements Internationaux fut créée par l’élite mondialiste et
elle opère pour son bénéfice exclusif. Elle est la pierre
angulaire indiscutable et toute puissante du système
économique unique mondial émergeant au point qu’elle préfigure
un gouvernement mondial totalitaire. Il y a un pdf sur
l’Internet publié par la BRI elle-même.
A la table se tiennent les patrons des plus grosses banques
centrales mondiales, représentant des pays qui produisent
annuellement plus de 75 000 milliards de dollars en PIB, alors
que toute l’économie mondiale en produit 80 000 milliards.
Soit 95% du Produit Intérieur Brut mondial !
Institutions représentées à la BRI. Sont
Membres :
Argentina
Australia
Central Bank of Argentina
Reserve Bank of Australia
Australian Prudential Regulation Authority
Belgium
Brazil
National Bank of Belgium
Central Bank of Brazil
Canada
Bank of Canada
Office of the Superintendent of Financial Institutions
China
People’s Bank of China
China Banking Regulatory Commission
European Union
European Central Bank
European Central Bank Single Supervisory Mechanism
France
Bank of France
Prudential Supervision and Resolution Authority
Germany
Deutsche Bundesbank
Federal Financial Supervisory Authority (BaFin)
Hong Kong SAR
India
Hong Kong Monetary Authority
Reserve Bank of India
Indonesia
Bank Indonesia
Indonesia Financial Services Authority
Italy
Japan
Bank of Italy
Bank of Japan
Financial Services Agency
Korea
Bank of Korea
Financial Supervisory Service
Luxembourg
Mexico
Surveillance Commission for the Financial Sector
Bank of Mexico
Comisión Nacional Bancaria y de Valores
Netherlands
Netherlands Bank
Russia Central Bank of the Russian Federation
Saudi Arabia
Singapore
Saudi Arabian Monetary Agency
South Africa
Spain
Monetary Authority of Singapore
South African Reserve Bank
Bank of Spain
Sweden
Sveriges Riksbank
Finansinspektionen
Switzerland
Swiss National Bank
Swiss Financial Market Supervisory Authority FINMA
Turkey
Central Bank of the Republic of Turkey
Banking Regulation and Supervision Agency
United Kingdom
Bank of England
Prudential Regulation Authority
United States Board of Governors of the Federal Reserve System
Federal Reserve Bank of New York
Office of the Comptroller of the Currency
Federal Deposit Insurance Corporation
Au 31 décembre 2015, les membres du
conseil d’administration étaient les
suivants :
Allemagne Jens Weidmann, président
Inde Raghuram Rajan, vice-président
États-Unis Janet Yellen
Royaume-Uni Mark Carney
Mexique Agustín Carstens
Belgique Luc Coene
Royaume-Uni Jon Cunliffe
Europe Mario Draghi
États-Unis William C. Dudley
Suède Stefan Ingves
Suisse Thomas Jordan
Pays-Bas Klaas Knot
Japon Haruhiko Kuroda
France Anne Le Lorier
Italie Fabio Panetta
Canada Stephen Poloz
Belgique Jan Smets
Brésil Alexandre Tombini
France François Villeroy de Galhau
Italie Ignazio Visco
République populaire de Chine Zhou Xiaochuan
Vous remarquerez que la Chine y est. Autant pour les crédules
qui croient que la Chine va faire sécession ! C’est même Zhou
Xiaochuan qui a exigé le système SDR / DTS en 2009.
Les banquiers centraux qui se rassemblent lors de ces réunions
ne sont pas là seulement pour socialiser et discuter le bout
de gras. Aucun membre du personnel des banques n’est admis à
ces réunions et celles-ci s’effectuent dans une atmosphère de
secret absolu.
En substance, la destinée de l’économie mondiale est
exclusivement déterminée par un groupe de banquiers centraux,
non élus, non-représentatifs, au cours de réunions secrètes
dont personne n’entend jamais parler. Et bien sûr ils
jouissent d’une immunité totale.
L’élite croit que les “grandes décisions” sont bien trop
importantes pour être laissées aux gens, et en conséquence la
vaste majorité des “institutions internationales” qui ont été
établies par cette “élite” opèrent de manière totalement
indépendante du processus démocratique.
Carroll Quigley : citation d’un livre qu’il écrivit en 1966 et
dans lequel il parlait des grands plans que l’”élite” avait
pour la Banque des Règlements Internationaux : “Les puissances
du capitalisme financier avaient un but plus ambitieux, rien
de moins que de créer un système de contrôle financier
mondial, qui serait mis dans des mains privées et qui serait
capable de dominer le système politique de chaque nation ainsi
que l’économie mondiale dans son entièreté. Ce système devait
être contrôlé de manière féodale par les banques centrales
mondiales agissant de concert par le biais de réunions
secrètes fréquentes au cours lesquelles des accords seraient
établis pour y parvenir. Le summum de ce système serait la
Banque des Règlements Internationaux (BRI) de Bâle en Suisse,
une banque privée possédée et contrôlée par les banques
centrales mondiales, étant elles-mêmes des entreprises
privées.”
A cette époque, la BRI commençait seulement son rôle majeur
dans les affaires internationales. Mais au fil des ans, la BRI
devint de plus en plus importante. Ce qui suit est un extrait
d’un article de Ellen Brown : « Pendant des années la BRI tint
profil bas, opérant de derrière le rideau depuis un hôtel
abandonné. Ce fut là que des décisions importantes telles que
dévaluer ou réévaluer des monnaies furent prises, ou fixer le
prix de l’or, réguler les paradis fiscaux, augmenter ou
baisser les taux directeurs. En 1977, la BRI abandonna son
profil bas en échange d’un quartier général plus efficace.
Aujourd’hui la BRI a une immunité gouvernementale, ne paie
aucun impôt et possède sa propre force de police privée. Elle
est, comme l’avait prévu Mayer Rothschild, au dessus des
lois »
La BRI et les nazis
La guerre terminée, la banque continua à offrir ses services
financiers au IIIème Reich en exil. La majorité de l’or pillé
par la conquête nazie en Europe se retrouva dans les coffres
de la BRI, mettant ainsi à la disposition des nazis des fonds
qui auraient dû normalement être bloqués. Douze des quatorze
directeurs de la banque étaient, selon les affirmations du
Secrétaire au Trésor Américain Morgenthau, nazis ou aux ordres
des nazis.
Les Fonds américains et britanniques qui étaient destinés à
soutenir l’accession d’Hitler au pouvoir et à financer, par la
suite, sa machine de guerre, transitaient par la BRI.
La BRI, institution financière gérée et dirigée par des
britanniques fut le principal acteur financier de la machine
de guerre nazie. La BRI est l’organisme de coordination entre
les grandes banques centrales du monde. Malgré l’importance de
la BRI pour Hitler, la Grande-Bretagne ne s’opposa pas aux
activités de la banque, même après la décision britannique
d’entrer en guerre contre l’Allemagne.
Rôle de la BRI : La stabilité monétaire
et financière mondiale, faux-nez
La mission de la Banque pour les Règlements Internationaux
(BRI) est de servir les banques centrales dans leur recherche
de stabilité monétaire et financière, de développer la
coopération internationale dans ces domaines et d’agir comme
une banque pour les banques centrales
Comment donc la BRI parvient-elle à réaliser la “stabilité
monétaire et financière” ? Un article publié sur « Investor
Insight » (investorsinsight.com) décrit comment cela est
accompli. C’est fait par le contrôle des devises. Elle détient
actuellement 7% de toutes les devises du monde, dont l’unité
de mesure a été changée en Mars 2003 du Franc suisse or aux
Special Drawing Rights (SDR), une monnaie artificielle dont la
valeur est basée sur un panier de monnaies. Le Yuan chinois
entre dans le panier au 1er Octobre 2016.
La BRI contrôle tout l’or du monde
La banque contrôle également une énorme quantité d’or, qu’elle
à la fois stockée et prêtée, lui donnant un très bon levier
sur le prix des métaux et la puissance que cela apporte sur le
marché, car l’or demeure toujours la seule monnaie
universelle. Les réserves d’or de la BRI ont été listées dans
le dernier rapport en date (2005) à 712 tonnes. Quelle est la
quantité d’or en stock et la quantité prêtée ? Information non
divulguée.
En contrôlant les changes ainsi que l’or, la BRI peut
s’engager sur du long terme à déterminer les conditions
économiques de tout pays. Rappelez-vous que la prochaine fois
que Ben Bernanke (NdT : ex-patron de la Réserve Fédérale
américaine) ou le président de la BCE annoncent une hausse des
taux d’intérêt, vous pouvez parier que cela ne s’est pas fait
sans l’accord du bureau de la BRI.
Comment les banques agissent ?
Un article récent publié sur CNBC et intitulé: “Central Banks:
How They Are Ruling the Financial World” détaillait l’impact
énorme qu’ont eu les banques centrales sur le système
financier mondial en 2012.
En tout, 13 autres banques centrales dans le monde ont suivi
la Fed et ramené leur taux d’intérêt très proche de zéro dans
un effort de conserver les liquidités et de doper leurs
économies malades. Ces 14 économies représentent un incroyable
65 000 milliards de dollars en obligations de capitalisation
de marché et d’équités combinés d’après Bank of America
Merrill Lynch.
Plus loin dans le même article, l’auteur parle des sommes très
importantes d’argent que les banques centrales ont créé de
l’air du temps : “Quand vous additionnez toutes les banques
centrales du monde, cela représente 9000 milliards de
dollars”, dit Marc Doss, investisseur en chef pour la banque
privée de la Wells Fargo. “Cela revient à créer la seconde
plus grande économie mondiale de rien, de l’air du temps”.
De fait, la banque centrale est un fait économique par luimême, un empire représentant un marché de multi-trillions
dollars qui massage et manipule les marchés, qui répond au
doigt et à l’œil à la moindre nouvelle émanant des comités
décisionnaires de ces entités.
Qui est derrière la BRI ?
Les banques centrales du monde contrôlent l’argent, et qui
donc contrôle ces banques centrales : La Banque pour les
Règlements Internationaux.
La BRI, au-dessus des lois : Immunité totale
La Banque des Règlements Internationaux est au-dessus des
lois. De par les droits qui lui sont accordés par la grâce du
Conseil Fédéral Suisse, toutes les archives de la banque, tous
ses documents et “toute donnée médiatique” sont “inviolables
en tout lieu et en tout temps”. De plus, les employés et
officiers de la BRI “jouissent de l’immunité de toute
juridiction criminelle et administrative, dans la mesure où
cette immunité n’est pas levée de manière formelle et ce même
après qu’une personne ait cessé d’être officiellement employée
de la banque”. Finalement, aucune plainte contre la BRI ou ses
dépositaires ne peut être appliquée “sans l’accord préalable
de la banque.”
La BRI, chambre de compensation, et les
SDR / DTS issus par le FMI
Alors, quel est le futur pour la BRI ? : Beaucoup ont spéculé
que le but n’est éventuellement que d’obtenir une monnaie
mondiale unique, qui ne sera administrée que par une banque
centrale unique. La BRI utilise déjà les SDR, considérés comme
un précurseur de la monnaie unique à venir. La BRI a joué un
grand rôle dans l’adoption de l’euro et une intégration plus
avant des monnaies est certainement dans l’agenda des années à
venir. Il vient d’être décidé au cours du premier semestre de
2016 :
La BRI va désormais être officiellement à la tête des 60
banques centrales, alors qu’avant c’était caché et non
officiel.
La BRI va être la clearing house des SDR / DTS (la
chambre de compensation), sur le marché secondaire donc,
le FMI étant ceux qui les éditent au départ (marché
primaire)
On a donc un lien supplémentaire désormais, le lien BRI / FMI.
Au bout du compte, la façon dont vous ressentirez la BRI ne
sera que le reflet de ce que vous ressentirez pour une monnaie
unique. La banque fut un participant important de la création
de l’Euro comme la monnaie commune de l’Europe.
Mais si les Etats-Unis abandonnaient un jour le dollar, ceci
constituerait une gifle majeure à notre souveraineté
nationale. Les US garderont leur dollar mais pour le marché
intérieur (dollar onshore). Les réserves de change mondiale
seront en SDR / DTS, et les énormes paiements pour les
ressources (pétrole, etc.) se feront aussi en DTS / SDR.
Malheureusement, l’élite mondialiste est absolument obsédée
par l’idée d’une monnaie unique mondiale, un système
économique unique mondial et un gouvernement mondial le
régissant, le véritable Nouvel Ordre Mondial. Il sera là en
2030.
Algarath
Sources partielles : Michael Snyder (The Economic Collapse),

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