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Le livre des continuums
Origine philosophique de la dialectique des continuums
L'idée de ce traité sur les continuums a pour origine une dialectique très simple, qui a pour
fonctionnement sa thèse ( l'être ), son antithèse ( le néant ) et sa synthèse ( l'être et le
néant ), à savoir un continuum, le tout formant une nouvelle thèse, qui appelle elle-même
son antithèse ... le mouvement peut continuer, sans fin: il s'agit d'un fonctionnement
évolutif, d'une dialectique évolutive.
La thèse, l'être:
Le mode actuel de perception des phénomènes, la façon qu'on a de les déterminer et cela
afin de les rendre perceptibles et compréhensibles, a pour principe un mouvement de
contraction consistant à réduire peu à peu les phénomènes à eux-mêmes, c'est-à-dire, les
réduire à leurs formes conceptuelles originelles, primaires, un peu comme on purifierait l'or
pour arriver à une pépite pure, comme on enlèverait les épluchures d'un oignon pour
arriver au noyau. Dans ce cas de figure, le noyau est l'essence même du concept. Mais
tout le monde sait bien qu'un oignon ne donne pas de noyau, et qu'une fois qu'on à enlevé
la dernière épluchure, il ne reste plus rien.
Pour prendre l'exemple du concept de cercle, comment pourrait-on le décrire ? Comment
arriver au cercle pure, défait de toutes impuretés, comment pourrions nous arriver au
cercle parfait, comment serait-il possible - conceptuellement parlant - de définir l’idée du
cercle autrement que de supposer que celui-ci existe. On sera toujours obligé de passer
par d'autres concepts pour arriver finalement au premier, on sera immanquablement
obligé de parler d'espace, de lignes, ou de formes ou de je ne sais quoi encore. La seule
façon d'expliquer le concept de cercle par lui-même, serait de ne rien dire et de rester
muet, dans ce cas de figure, il n'y a évidement plus de cercle du tout.
Ce rêve d'arriver à l'essence des choses est bien sûr impossible car si un concept ne
devait se réduire qu'à lui même, dans sa forme parfaite donc, il deviendrait alors
inaccessible aux autres concepts, car lié à plus rien, et par cela même, s'effondrerait.
La réduction phénoménologie est une limite vers laquelle on peut tendre, mais jamais
arriver. On ne peut arriver au fameux noyau ou cristal du phénomène réduit à sa seule
essence, il s'agit là d'un rêve impossible. La réduction phénoménologique décrit par le
Philosophe Husserl est une limite, pas un état accessible, il n’existe donc pas dans la
nature de cercle parfait. Le cercle reste une idée mathématique, il existe en temps que
devenir, il est là pour transformer la nature et la matière et leurs donner le gout de ce
qu’est le rond.
L'antithèse, le néant:
Nous pourrions nous amuser à imaginer la limite inverse à celle de la réduction
phénoménologique, nous pourrions l'appeler l'expansion phénoménologique, le
mouvement inverse de la contraction, de la réduction: Au lieu d'enlever des épluchures, on
en rajoute, jusqu'à la limite - elle aussi impossible - où l'oignon serait tellement grand, qu'il
ne ressemblerait plus en rien à un oignon, et ne serait donc plus oignon.
Pour être moins métaphorique, nous dirons qu'au lieu de réduire le phénomène à luimême, on l'élargit aux autres phénomènes.
Pour ce qui est de notre cercle, la réduction phénoménologique tendrait à arriver à cette
limite impossible du cercle parfait. Dans l'expansion phénoménologique, on tendrait vers
la limite inverse, à savoir arriver vers le cercle le moins parfait. En étant moins cercle,
celui-ci devient plus semblable aux autres phénomènes qui eux ne sont pas des
cercles. Le concept s’étend, se disperse et se dilue à tout ce qui n’est pas lui même
Par exemple, en s'allongeant, notre cercle devient plus proche du concept d'ovale, en
devenant plus anguleux il s'approche alors de celui du carré ...etc.
On passe d'un mouvement centripète à un mouvement centrifuge, d'un principe
corpusculaire à un principe rayonnant ( pour employer des termes de physique ). Dans sa
forme corpusculaire, le concept se concentre sur lui-même, dans sa forme rayonnante, il
se disperse et s’introduit vers tout ce qui n'est pas lui-même.
La synthèse, l'être et le néant:
Amusons-nous et lions ces deux principes:
Ces deux limites impossibles forment comme les pôles d'un continuum.
Nous avons d'une part la limite impossible du concept dans sa forme réductive et d'autre
part la limite impossible de ce même concept dans sa forme expansionniste. Ces deux
limites à travers le continuum forment un univers, dans lequel est contenu tout ce qui a
attrait de près ou de loin au concept en question.
Pour l'exemple de notre cercle, nous avons d'une part la limite impossible du cercle parfait
et d'autre part la limite impossible du cercle le moins parfait, ces deux limites forment un
continuum dans lequel est contenu tout ce qui dans l'univers se rapproche de près ou de
loin au concept en question, cela va du cercle le moins parfait vers le cercle le plus
parfait.
Nous arrivons à une nouvelle formulation du principe même de concept:
Un concept se définit par le continuum qui s'étend entre deux limites, la première limite est
celle du concept dans sa forme la plus réduite à elle-même, la deuxième limite est celle de
ce même concept dans sa forme la plus éloignée à elle-même. Cet ensemble contient
tous les phénomènes de l'univers se trouvant entre ces deux limites et ayant rapport avec
le concept en question.
La relation qui lie ces deux limites est une relation d'absence. A titre d'exemple:
Est absence de cercle tout ce qui ne correspond pas à cette limite du cercle parfait, de la
même manière, est cercle tout ce qui correspond à l'absence de ce qui n'est pas cercle.
Nous employons ici la notion d'absence, car le cercle parfait n'est pas le contraire du
cercle le plus imparfait, nous parlons seulement de limites, l'un n'excluant pas l'autre et
chacun contenant un peu de l'autre. Pour cette raison, nous employons ce concept
d'absence, qui paraît le mieux adapté à cette situation.
Nous pouvons même ajouter, pour clore ce chapitre que les deux limites de ce continuum,
l'une étant l'absence de l'autre sont reliées toutes les deux par le principe d'incertitude. En
effet, plus on connaît l'une, et l'une étant l'absence de l'autre, moins au final on connaît
l'autre, c'est d'une logique enfantine.
L'intérêt de cette vision des choses est simple. Avant, un concept ne se définissait que par
lui-même, c'était une vision que l'on pourrait nommer égocentrée, pauvre. Maintenant, un
concept - et à travers la notion de continuum - se définie aussi par rapport à tous les
autres phénomènes de l'univers, cela l'enrichit de façon extraordinaire. De cette manière,
chaque phénomène, chaque continuum devient un univers à part entière.
Le monde phénoménologique devient un immense océan rempli de continuums de toutes
sortes, les uns imbriqués dans les autres, tel un véritable magma. A travers cette notion de
continuum, chaque phénomène - bien qu'indépendant et propre - est lié à toutes choses
en soit de l'univers. Il n'y a plus de phénomènes seuls, isolés, non-interdépendantes. A
titre d'exemple, même un morceau de météorite, un caillou perdu dans le fin fond du
cosmos reste lié à toutes choses en soit.
La nouvelle thèse:
La synthèse, à savoir " l'être et le néant " forme notre continuum, lui-même formant une
nouvelle thèse, un nouvel " être " qui lui-même appelle son antithèse, puis une nouvelle
synthèse, à savoir une nouvelle génération de continuum.
Chaque génération de continuums contient le savoir, la mémoire, le capital, l'expérience
du continuum précédent, il s'agit d'une dialectique évolutive.
Continuum, le moteur universel
Est considéré comme continuum, tout phénomène en soit, avec pour chacun ses deux
pôles, ses deux limites, l'une étant l'absence de l'autre. Entre ces deux limites, nous avons
en gravitation tous les éléments de l'univers, avec ce qui se rapproche le plus ou le moins
de la notion du phénomène en question.
Par exemple, si nous prenons le continuum du nombre 1, nous avons d'une part comme
première limite du continuum, le même nombre 1, et l'autre limite, ce qui a le moins à voir
avec le nombre 1. Entre les deux limites de 1 et absence de 1, nous avons tous les
éléments de l'univers qui gravitent entre ces deux pôles. Le tout formant donc le
continuum 1 / absence de 1.
Ainsi, chaque phénomène, chaque chose en soit, à travers ce rapport d'un phénomène et
son absence contient chacun tous les éléments de l'univers.
Comme exemple, nous pourrions prendre le modèle du photon:
Le photon comme tout le monde le sait est une quantité d'énergie, une particule d'énergie.
Ce quantum, au gré de sa fréquence interne varie dans sa fonction ondulatoire et
corpusculaire. Dans sa forme propre, réduite à elle-même, corpusculaire donc, le photon
est une quantité d'énergie qui ne délivre aucune énergie. Dans sa forme ondulatoire, dans
sa forme d'absence, il est alors relié à tout ce qui n'est pas lui, c'est à dire à tous les
éléments de l'univers, alors il rayonne et donne son énergie.
Quel que soit le phénomène que l'on puisse nommer, décrire ou imaginer, celui ci
fonctionnera sur ce mode. Si je dis " quantum d'énergie ", il y aura d'une part le photon, et
d'autre part le rayonnement photonique délivrant son énergie aux autres éléments de
l'univers.
Si j'énonce le nombre 1 , il y a d'une part ce nombre 1, c'est à dire l'ensemble de tout ce
qui est unique et qui peut ce compter une fois, et puis l'absence de 1, à savoir tout ce qui
gravite de près ou de loin de cette notion de nombre 1.
Ce continuum est en mouvement, il a une vitesse, c'est un univers à part entière, à
chaque instant, il oscille entre ses deux limites, l'une le nombre 1, et l'autre l'absence de 1.
Le mouvement ne s'arrête jamais, pour cette raison nous parlons de moteur, à chaque
instant, il définit tout ce qui a rapport avec 1 et son absence.
Nous avons pris l'exemple de photon, qui est le moteur le plus simple, il va de soit qu'il en
existe d'autres, plus sophistiqués, plus élaborés.
Faisons rêver notre continuum:
Dans les sciences naturelles, et pour les domaines touchant à " la cellule ", nous avons la
méiose, c'est à dire le processus de division, de dédoublement du matériel génétique,
pour arriver à une autre cellule identique à la première.
Pour ce qui est de notre continuum, il s'agit du même phénomène, nous ne l'appellerons
pas méiose mais rêve. Il ne s'agit alors pas de dédoublement de matériel génétique mais
phénoménologique.
Si nous reprenons notre nombre 1, celui-ci génère automatiquement son absence, à
savoir l'absence de 1, ces deux limites formant le continuum ( 1 / absence de 1).
Par le fait même de donner vie à ce continuum, nous générons alors aussi son absence,
qui est ( absence de continuum ( 1 / absence de 1 )), Ces deux limites forment alors un
autre continuum qui est ( continuum ( 1 / absence de 1 ) / absence de continuum ( 1 /
absence de 1 ).
Nous avons ainsi un continuum en deux dimensions.
Nous pourrions continuer le rêve, en effet, notre dernier continuum à deux dimensions, et
par le fait même de l'avoir nommé et de lui avoir donné vie engendre son absence, nous
avons alors un autre continuum, celui-ci en trois dimensions.
Nous avons pris l'exemple avec le nombre 1, nous pourrions bien évidement prendre
comme base d'autres phénomènes. De façon plus générale encore, tout phénomène suit
ce processus, que l'on pourrait appeler processus d'évolution, au sens phénoménologique
bien sûr.
Modélisation et mécanique d'un continuum
A toute action ou force est lié une réaction ou contre force, c'est un principe de base de la
physique, qui régit l'univers.
L'idée de cette mécanique des continuums, est d'appliquer ce principe à tous phénomènes
en soit.
Ainsi, dés qu'apparait un phénomène, apparait aussi son absence, les deux formants ce
que l'on pourrait appeler deux forces égales mais de sens contraire, la somme des deux
étant nulle, le tout formant donc un continuum.
Définissons mécaniquement un continuum au sens phénoménologique: { P , ~ P , P /~ P }
P est le phénomène, que nous nommerons le " potentiel ", ~ P est l'absence de ce
phénomène que nous nommerons la " réalisation ", et ( P /~ P ) est le rapport de l'un avec
l'autre, à savoir le potentiel de réalisation.
Nous pourrons appeler la partie qui correspond à P le ventricule gauche, et la partie qui
correspond à ~ P le ventricule droit.
Dans son état stable, P = ~ P, le potentiel de réalisation est égal à 1, soit un potentiel de
réalisation à son point d'équilibre.
L'énoncé de la mécanique des continuums est simple:
A chaque fois qu'une action ou une force s'opère dans le ventricule gauche, une même
contre-action ou contre-force de sens contraire s'opère aussi dans le ventricule droit, ce
qui s'ensuit d'un mouvement de " transfert phénoménologique ", ou courant, ou migration
d'un ventricule vers l'autre.
Dans ce cas de figure, le continuum est instable, il est en mouvement, avec comme
potentiel de réalisation le rapport P / ~ P, le mouvement s'arrêtera quand P sera de
nouveau égal à ~ P.
Un continuum est en phase d’expansion quand le Potentiel P est prédominant sur la
réalisation ~ P, quand P > ~ P, le continuum est en phase de contraction quand la
réalisation ~ P est prédominante sur le potentiel P, quand P > ~ P.
Si par exemple nous définissons dans le ventricule gauche " multiplier par deux ", dans le
ventricule droit nous auront l'opération " diviser par deux ", le couple des deux étant nul.
D'une manière générale, toute action, mouvement, construction, suggestion, toute création
s'opérant dans l'un des ventricules, aura pour réaction l'absence de cette même action,
mouvement, construction, suggestion et création dans l'autre ventricule.
Le mouvement s'opèrera dans la rééquilibration du continuum, ce qui aura été apporté au
premier ventricule et enlevé à l'autre, sera transféré de l'un à l'autre jusqu'à ce que " les
niveaux " soit équilibrés. Nous pourrions appeler cela la migration phénoménologique ou
le courant phénoménologique
La modélisation de ce système est extrêmement simple, nous pourrions prendre deux
bacs d'eau reliés l'un à l'autre, si j'enlève l'un pour mettre dans l'autre, l'eau s'écoulera du
bac en " excès " jusqu'au bac en " défaut ", jusqu'à ce que les deux niveaux soit égaux.
Allons sur la plage et creusons le sable. Nous aurons donc un trou et une motte, il faudra
peu de temps pour que les éléments naturels, le vent aidant, bouche le trou et efface la
motte.
Là est l'idée du continuum, et du fonctionnement de tous les phénomènes, nous pourrions
appeler ce principe l'inconscient du monde ou de l'univers, l’inconscient d’un phénomène,
à savoir que si un effet est appliqué à un phénomène, la destiné sera le déroulement du
contre effet.
La meilleure description que nous pourrions trouver pour la modélisation de notre
continuum est le phénomène météorologique " el Niño ".
( Informations copiées du site internet " Wikipedia ", rubrique phénomène el Niño )
Historique:
Scientifique britannique et chef du service météorologique indien, Sir Gilbert Walker fut
affecté en 1920 en Inde, afin de trouver un moyen de prévoir la mousson asiatique. Brillant
scientifique, il s'attela à la tâche avec détermination. Il se mit en contact avec des
scientifiques sud-américains qui lui fournissaient le résultat de leurs études sur les effets
locaux d'El Niño. En étudiant ces données climatiques et atmosphériques et celle qu'il
avait à sa disposition, il parvint à établir, en 1923, une corrélation temporelle entre les
relevés barométriques à l'ouest et à l'est du Pacifique sud. En effet, il se rendit compte que
la pression augmentait à l'ouest quand elle diminuait à l'est (phénomène El Niño), et
inversement. Du fait de cette situation d'équilibre et de balance, il nomma ce phénomène
Southern Oscillation (oscillation australe en français). Axant ses recherches sur
l'oscillation australe, Sir Walker réussit à déterminer, toujours en 1923, un index auquel il
donna son nom. Ce dernier aurait pour fonction de mesurer l'écart de pression entre l'est
et l'ouest de l'océan Pacifique. Quand l'indice, et donc l'écart, augmentait, la pression était
élevée à l'est du Pacifique, et les alizés étaient plus forts. Lorsque l'indice était plutôt bas,
les alizés étaient moins puissants, entraînant des hivers plutôt doux dans le Canada et
l'Amérique occidentale. Le tout est accompagné par des sécheresses en Australie, en
Indonésie, en Inde et certains secteurs africains. L'un de ses collègues l'attaqua à ce sujet
dans une revue scientifique, trouvant « parfaitement ridicule l'idée que des conditions
climatiques de régions du globe aussi distantes l'une de l'autre puissent être liées entre
elles de la sorte ». Ce à quoi Sir Walker répliqua qu'une explication plus précise devait
exister, mais qu'elle « exigerait vraisemblablement une connaissance des structures du
vent à des niveaux autres que le sol ». Cela impliquait des notions et des moyens
d'observation inconnus à l'époque mais les méthodes de recherche actuelles ont
effectivement confirmé la théorie de l'index de pression Walker.
Description du phénomène:
Le premier signe d’apparition d'El Niño est un renforcement considérable des alizés du
sud-est. Ils entraînent une accumulation d’eaux chaudes dans le Pacifique Ouest, faisant
monter le niveau de la mer sur les côtes australiennes, et un abaissement relatif des celles
le long de la côte sud-américaine. Mais dès que les vents du sud faiblissent, les eaux «
chaudes » du Pacifique Ouest envahissent celles du Pacifique Est. C’est alors le début du
phénomène El Niño. Ce dernier est donc relié à un affaiblissement temporaire, et très
prononcé, de l’anticyclone présent au milieu du Pacifique (Anticyclone de l'île de Pâques),
ce qui diminue la force des alizés du sud-est. Le reflux en masse de l’eau chaude
accumulée dans la partie occidentale du Pacifique Sud vers l'est agit selon le principe d'un
effet de seiche.
La durée d'El Niño est en général d’environ 18 mois. Ce délai passé, les eaux froides se
propagent vers l’ouest. C’est alors la fin du phénomène qui peut être suivi de son inverse
La Niña. Une corrélation est remarquable entre les pressions atmosphériques de l’est et
de l’ouest du Pacifique. Quand elles augmentent à l’ouest, elles diminuent à l’est, et
inversement. Ce phénomène accélère les vents de surface d’est en ouest, du Pérou
jusqu’en Indonésie ou les diminue en période El Niño.
Lorsque les alizés s’affaiblissent et régressent vers l’est pendant les premiers stades d’un
évènement El Niño, la remontée d'eau des profondeurs se ralentit et l’océan se réchauffe.
Ceci égalise la température entre le centre et l'est du Pacifique et coupe la circulation de
Walker vers l'ouest. L’air humide à la surface de l’océan se réchauffe également
permettant la génération de fortes pluies lorsque la ZCIT se déplace vers l'est. Cette
modification des températures de surface océanique est donc responsable du
déplacement vers l’est du maximum de pluie sur le Pacifique central. Les ajustements
atmosphériques associés correspondent à une baisse de pression dans le Pacifique
central et oriental et à une augmentation de pression dans le Pacifique Ouest (Indonésie
et Australie), propice à un plus grand retrait des alizés.
Les modèles les plus connus de continuum passent d'abord par le continuum espace /
temps de la physique, nous pourrions aussi énoncer celui qui concerne la psychologie, à
savoir le continuum conscient / inconscient émis par Freud, nous avons aussi celui du
corps / esprit qui intéressa tant le philosophe Descartes, la liste pourrait être longue.
Relation entre " le potentiel " , " la réalisation " et " le potentiel de réalisation ":
- Dans le cas d'un continuum simple:
P est le phénomène, le " potentiel ", ~ P est l'absence de ce phénomène, la
" réalisation ", et ( P /~ P ) est le rapport de l'un avec l'autre, à savoir le potentiel de
réalisation.
La relation qui unit cette trilogie est la suivante: P = ( ~ P ) X ( P /~ P ) , soit le potenliel est
égal à la réalisation fois le potentiel de réalisation.
- Dans le cas d'un continuum " A " incluant un continuum " B ":
La relation qui unit le potentiel ( PA ) et la réalisation ( ~ PA ) du continuum " A " au
potentiel de réalisation du continuum " B " ( PB / ~ PB ) est la suivante:
PA = ( ~ PA ) X ( PB /~ PB )² , soit le potentiel du continuum " A " est égal à la
réalisation du continuum " A " fois le carré du potentiel de réalisation du continuum " B ".
- Dans le cas d'un continuum " A " incluant un continuum " B ", lui même incluant un
continuum " C ":
La relation qui unit le potentiel ( PA ) et la réalisation ( ~ PA ) du continuum " A " au
potentiel de réalisation du continuum " C " ( PC / ~ PC ) est la suivante:
PA = ( ~ PA ) X ( PC /~ PC )³ , soit le potentiel du continuum " A " est égal à la
réalisation du continuum " A ", fois le cube du potentiel de réalisation du continuum " C".
- Nous pourrions continuer avec un continuum " A " incluant un continuum " B ", lui même
incluant un continuum " C ", qui inclurait lui aussi un continuum " D ", et nous tomberions
sur la formule avec un " fois la puissance quatre " du potentiel de réalisation du continuum
" D ".
Fonction d'expansion et de régression:
Le potentiel de réalisation d'un continuum n'est jamais stable, il est de façon permanente
en croissance ou décroissance, Le potentiel de réalisation n'est donc jamais linéaire, il
augmente ou diminue.
Lorsque ce potentiel de réalisation est croissant, le continuum est dans sa phase
d'expansion, le facteur d'expansion correspondant alors au facteur de croissance du
potentiel de réalisation.
Lorsque le potentiel de réalisation du continuum diminue, le continuum est alors dans sa
phase de régression, de la même manière, le facteur de régression correspond au facteur
de décroissance du potentiel de réalisation.
Ce facteur de croissance ou de décroissance, lié avec la fonction de réalisation du
continuum donne la pesanteur de ce même continuum.
Notion de Temps:
Nous annonçons dans ce paragraphe que la notion de temps correspond à la différence
de deux potentiels de réalisation.
Pour ce cas de figure, il nous faut donc aussi annoncer que cela est possible uniquement
que si nous avons au minimum deux continuums.
Si nous nommons PR1 le potentiel de réalisation du premier continuum et PR2 le potentiel
de réalisation du second, le temps qui liera ses deux continuums sera PR1 - PR2.
Le temps est donc la différence, le lien entre deux potentiels de réalisation.
Notion d'espace:
Nous avons annoncé le phénomène de temps, comme tout bon phénomène qui se
respecte, il lui advient son absence, à savoir l'espace, les deux formant donc aussi un
continuum, avec comme potentiel de réalisation la vitesse.
L'espace correspond alors à la formule: 1 / ( PR1 - PR2 ), il est l'absence de lien entre
deux potentiels de réalisation.
Le temps et l'espace sont donc reliés ensemble par leur rapport, à savoir la vitesse.
Interaction entre deux continuums:
Soit Pa, ~ Pa et ( Pa / ~ Pa ), respectivement " le potentiel" , " la réalisation " et " le
potentiel de réalisation " du continuum " A .
Soit aussi Pb, ~ Pb et ( Pb / ~ Pb ), respectivement " le potentiel " , " la réalisation "et " le
potentiel de réalisation " du continuum " B.
L'interaction, la force qui lie ces deux continuums s'exprime de la façon suivante:
F ( la force d'interaction ) = ( ~ Pa ) X ( ~ Pb ) X (( Pa / ~ Pa ) - ( Pb / ~ Pb ))², soit la force
d'interaction est égale à " la réalisation " du premier continuum, fois " la réalisation " du
second, fois le carré de la différence des deux " potentiel de réalisation ".
Modélisation mathématique d'un continuum
.
1 - Modèle mathématique d'un continuum:
Tout commence par ce qui n'est pas, à savoir le néant, le zéro.
La primitive du néant, de zéro est une quantité " a ".
Le phénomène " a " appelle son absence, soit " ~ a ", que nous nommerons " b ", les deux
formant donc un continuum.
En terme mathématique, le continuum { a , b , a/b } s'écrit primitive de " a ", soit ax + b
On peut voir qu'à travers la variable " x ", le continuum peut prendre toutes les valeurs
possibles, nous retombons alors sur l'énoncé du continuum dont nous parlions dans le
paragraphe philosophique d'un continuum, à savoir qu' un concept navigue à travers tous
les éléments de l'univers ( la variable " x " peut prendre toute valeur en soit ) définis entre
les deux limites de ce même continuum, entre le phénomène et l'absence de ce
phénomène.
On peut aussi voir que le potentiel de réalisation du continuum défini par le rapport a/b
correspond à la solution de l'équation ax + b = 0, le potentiel de réalisation d'un continuum
est donc aussi sa propre solution.
2 - Figuration d'un continuum avec la théorie des ensembles:
Dans un continuum, l'un des ventricules est toujours prédominant sur l'autre, l'un dirige,
contrôle, domine l'autre. De la même manière qu'en génétique, il y a un gène dominant et
l'autre récessif.
Si nous devions figurer cela avec des ensembles et des éléments, le ventricule dominant
est celui qui forme l'enveloppe de l'ensemble, l'autre ventricule dominé est l'élément inclue
dans cet ensemble.
Un continuum peut donc être figuré par un ensemble contenant son élément.
Pour reprendre nos deux variables " a " et " b ", et cela à travers le continuum ax + b ,
nous avons donc l'ensemble " a " contenant l'élément " b", toutes les possibilités de ce
continuum s'expriment à travers la variable " x ", et cela en fonction du potentiel de
réalisation du continuum défini par le rapport a/b
3 - Retour au modèle mathématique d'un continuum:
Nous pourrions faire la primitive du continuum ax + b, et nous tomberions alors sur le
continuum ax²/2 + bx + c.
Nous avons toujours notre continuum { a , b , a/b } ; sachant que l'élément " b " est aussi
un ensemble contenant l'élément " c ", { b , c , b/c } qui forme aussi un continuum.
Nous avons donc deux continuums entrelacés et interdépendant l'un avec l'autre, soit
l'ensemble " a " contenant l'élément " b ", lui-même ensemble " b " contenant l'élément " c
".
Pour ce qui est de ce continuum à deux dimensions, nous avons toujours notre potentiel
de réalisation, soit a/b, représenté par ses deux solutions S1 et S2, nous avons S1 + S2 =
a/b.
Nous pourrions encore faire la primitive de ax²/2 + bx + c et arriverions à: ax³ /
6 + bx²/2 + cx + d , nous ne referons pas la démonstration, nous dirons juste que nous
tomberions sur les 3 solutions en rapport avec le potentiel de réalisation, soit S1 + S2 +S3
= a/b
Principe de fusion et de fission d'un continuum
Principe de fission:
Pour cet exemple, nous prendrons un continuum qui contient un autre continuum, soit un
ensemble " B ", contenant un élément {A} qui est lui même un continuum " A ".
Pour ce cas de figure, la modélisation du phénomène est une décroissance du potentiel
de réalisation du continuum " B " ( PRB ).
Si le potentiel de réalisation du continuum " B ", à savoir PRB, se rapproche jusqu'à
devenir égal au potentiel de réalisation du continuum " A " ( PRA) , de la même manière
qu'en mathématique avec la fonction de dérivée, et lorsque ( Delta t ) tend vers zéro, nous
obtenons alors la " dérivée " de ce continuum.
Soit, PRB en décroissance, si ( PRB - PRA ) tend vers zéro, alors nous obtenons la
dérivée du continuum en question.
Le résultat sera que notre continuum " A " se divisera en deux, fissionnera, pour donner
deux continuums distincts.
Si nous étions par exemple dans un continuum de seconde génération type binaire, à
savoir ax² + bx + c, la dérivé de cette fonction est donc 2ax + b.
Nous avons donc deux nouveaux continuums, avec comme potentiel de réalisation: a / 2b
Principe de fusion:
Pour cet exemple, nous prendrons un continuum qui contient un autre continuum, soit un
ensemble " B ", contenant un élément {A} qui est lui même un continuum " A ".
Dans ce cas de figure, la modélisation du phénomène est une croissance du potentiel de
réalisation du continuum " A " ( PRA ).
Si le potentiel de réalisation du continuum " A " ( PRA ), se rapproche jusqu'à devenir égal
au potentiel de réalisation du continuum " B " ( PRB ),de la même manière qu'en
mathématique avec la fonction de primitive, et lorsque 1 / ( Delta t ) tend vers l'infini, nous
obtenons la " primitive " de ce continuum.
Avec PRA en croissance, si 1 / ( PRB - PRA ) tend vers l'infini, alors nous obtenons la
primitive du continuum en question.
Le résultat sera un pliage de l'univers en question, le continuum " A " fusionnera avec un
autre continuum de type " A ", pour entrer dans une dimension supérieure.
Si nous étions par exemple dans un continuum de seconde génération type binaire, à
savoir ax² + bx + c, la primitive de cette fonction est donc
ax³ / 6 + bx²/2 + cx + d.
Ce qui revient à dire que tous les éléments du continuum " B ", à savoir les éléments de
type " A " ont fusionné, et montent d'un cran sur l'échelle des dimensions, et qu'une porte
c'est ouverte générant l'intrusion du continuum " B " dans une dimension supérieure.
Notion de dimension et de pliage de l'univers:
Sur l'échelle des dimensions, nous avons au début le zéro, le néant.
Nous avons ensuite une primitive du néant, à savoir une quantité " a " de potentiel.
La primitive de " a " est le continuum de première génération, à une dimension, que nous
nommerons monoaire, à savoir ax + b .
Le second barreau de l'échelle est un continuum de seconde génération, en deux
dimensions, type binaire, à savoir la primitive de ax + b, soitax²/2 + bx + c .
Nous avons ensuite le troisième barreau, le continuum de troisième génération, en trois
dimensions, que nous nommerons trinitaire, à savoir la primitive de ax²/2 + bx + c,
soit ax³ / 6 + bx²/2 + cx + d .
Il va de soi que le nombre de barreaux est sans fin, et que nous avons des continuums de
génération 4 , 5 , 6 ...etc.
Lorsque l'on passe de la première génération à la seconde, soit une primitive du
continuum ax + b, on tombe donc sur le continuum ax²/2 + bx + c .
A quoi correspond le " /2 " attaché à la variable " a ": Comme nous l'avons vu dans le
principe de fusion, lors de l'opération de primitive du continuum de première génération
vers la seconde, les éléments de type " A " fusionnent entre eux et par deux. Si nous
avions dans le continuum " B " cent éléments de type " A ", au final nous en aurons que
cinquante ( soit deux fois moins ), en précisant bien qu'il ne s'agira plus de continuum de
première génération de type ax + b, mais de seconde génération de type ax²/2 + bx + c.
Ce phénomène est le pliage de l'univers en question, le nombre de plis correspondant au
niveau de dimension en question.
Si l'on passe d'une première dimension à une seconde, les éléments fusionneront par
deux, il y aura alors un pliage en deux. Si l'on passe d'une seconde dimension vers la
troisième, il y aura de nouveau un pliage, les éléments fusionneront par trois, avec un
pliage en trois...etc
Nous avons vu le pliage lorsque s'opère une opération de primitive, ou de fusion, de la
même manière, avec l'opération inverse de dérivée, à savoir de fission, nous avons alors
un dépliage de notre univers, en deux, en trois, selon le passage des niveaux d'une
dimension à l'autre.
Notion de dimension et de temps, dialectique pure:
Comme nous l'avons vu, le temps est une différence de potentiel de réalisation.
Pour cette raison, la notion de temps n'est perceptible que d'une dimension à l'autre.
Dans un continuum de première génération, le temps n'existe pas. Il commence à pointer
son nez que dans un continuum de seconde génération incluant un continuum de
première génération, à savoir un continuum, un ensemble " B ", contenant un
élément {A} qui est lui même un continuum " A ".
Le temps se définit comme nous avons vu avec la différence: t = PRB - PRA
Si nous prenons l'exemple de la matière, qui se définit à travers d'un univers en troisième
dimension, le temps ne peut donc ce concevoir qu'à travers une dimension supérieure, à
savoir une quatrième dimension dans laquelle serait inclue ce même univers de la
matière.
Il s'agirait d'un continuum de quatrième génération, incluant l'univers de la troisième, le
temps correspondant étant la différence entre les deux potentiels de réalisation de chacun
d'eux.
Faisons un peu de dialectique pure:
Par le fait d'imaginer cette quatrième dimension, et de lui donner vie, pour que celle ci soit
viable avec des créatures vivant elles-mêmes dans l'espace et dans le temps, on est alors
obligé d'imaginer encore une autre dimension, la cinquième.
C'est ce que nous pourrons appeler le principe de réalité, où les phénomènes
apparaissent comme des bulles, et une fois arrivée à leur seuil de maturité, la bulle éclate,
s'ouvre alors une porte vers la dimension supérieure.
A travers ce schéma, venons en à la théorie actuelle de l'Univers et du Big-bang:
Cette théorie est belle, sûrement très proche de la réalité, mais elle a cependant un petit
hic: par le fait même d'annoncer un big-bang, avec un point de départ, et un déroulement
dans le temps et l'espace, cela implique automatiquement, que ce même univers soit
inclut dans un autre.
Le temps et l'espace ne sauraient exister dans un univers propre, pour cela, ils doivent
être inclus dans un autre univers d'une génération supérieure ...le temps et l'espace
n'existant que dans une différence de potentiel de réalisation !
L'univers tel que nous le définissons actuellement, et dans ce cas de figure, serait alors un
sous-ensemble d'un univers encore plus grand.
D'une manière générale, un univers, une dimension, un phénomène ne peut être entrevu
que dans un univers plus grand qui le contient, dans une dimension d'un niveau
supérieure qui la contienne.
En terme mathématique, nous pourrions énoncer qu'un ensemble est toujours le sous
ensemble d'un autre ensemble.
Dans l'univers quantique, à savoir de l'infiniment petit, il en va de même.
Tout comme un ensemble est toujours le sous ensemble d'un autre ensemble, l'élément
d'un ensemble est lui même un continuum, à savoir un ensemble contenant lui même un
autre élément, et ainsi de suite, toujours à travers de la dialectique et du jeu de
construction des continuums.
Pour chaque phénomène, pour chaque continuum, il y a donc toujours un plus grand et un
plus petit.
Sur notre point de référence terrestre, il y a donc l'infiniment grand qui est l'univers en
général, et l'infiniment petit qui est le monde atomique.
Mais si nous prenions par exemple comme point de référence le monde atomique, lui
aussi aurait alors son infiniment petit, à savoir une espèce d'atome dans l'atome.
Idem pour l'univers, si nous le prenons comme référence, il y aurait donc un plus grand
que lui, il ne serait alors " qu'un bout de plancton dans un autre océan ".
La variable qui apparait:
Lors d'une opération de primitive, et si nous prenons l'exemple de la primitive de "a", nous
avons alors la proposition ax + b
A quoi correspond la variable " b " qui apparait ?
Si nous revenons au premier paragraphe de ce traité ( Origine philosophique de la
dialectique des continuums ), nous avons pu voir le déroulement de la dialectique des
continuums, avec la thèse, l'antithèse et la synthèse, cette dernière étant alors un
continuum et aussi une nouvelle thèse.
Il en va de même pour notre opération de primitive, lorsque intervient celle-ci nous créons
alors un continuum, à savoir une synthèse qui est elle-même une nouvelle thèse, à savoir
le potentiel d'un futur continuum, et cela dans le déroulement dont nous avons déjà parlé.
Cette nouvelle thèse est cette variable " b " qui apparait.
Définition de ce qu'est un univers:
Il faut commencer par dire qu'il n'y a pas un univers mais des univers, pour ne pas dire
une infinité d'univers, il y a autant d'univers que de créatures et de phénomènes dans la
création, sachant que la création est elle-même un univers parmi d'autres.
- Chaque phénomène, continuum, est son propre univers, relié à tous les autres par la
fameuse fonction d'absence.
Cette fonction d'absence, à chaque instant, relie chaque phénomène à tous les autres
phénomènes de l'univers, c'est ce que l'on pourrait appeler l'harmonisation de la nature,
où chaque phénomène contient potentiellement la connaissance des autres.
- Un continuum est lui même inclue dans un autre continuum, ce qui fait qu'il y a toujours
plus grand que lui. Un continuum inclue aussi d'autres continuums, ce qui fait qu'il y a
aussi toujours plus petit que lui. Cela fait que chaque continuum se trouve au milieu, entre
un infiniment grand et un infiniment petit.
- Un univers est destiné à naître et à disparaître, il passe et se dilue dans un continuum de
dimension inférieure ou accède à un continuum d'une dimension supérieure.
- La naissance puis la réalisation d'un univers, d'un phénomène, passe par les différentes
étapes qui sont citées dans le paragraphe suivant " l'arbre de la matière ".
La notion d'univers telle que nous la véhiculons dans notre monde contemporain ne décrit
rien plus qu'un rouage mais pas la mécanique complète de ce qu’est l'univers, car il n'y a
pas un univers mais une infinité d'univers.
La vision d'un univers correspond donc au point de vue de l'utilisateur, à savoir d'un
phénomène au regard d'un autre ou d'autres phénomènes.
Il n'y a pas une vision de l'univers, mais autant de visions qu'il y a de phénomènes, et qui
sont chacune des univers à part entière.
Du point de vue de chaque utilisateur, sa vision de l'univers est vraie, elle devient
incertaine dés qu'elle est confrontée à d'autres. Une vision étant vrai, et toutes étant vraies
individuellement, l'une ne prévaut pas sur l'autre.
A titre d'exemple, la vision scientifique de l'univers a fait ses preuves, mais toutes les
autres visions valent autant, à savoir des certitudes autres que celle de la science. Tous
les points de vues sont donc toujours bons à prendre, qu’ils viennent du plus fort ou du
plus insignifiant.
L'arbre de la matière:
L'arbre de la matière est le modèle d'évolution calqué sur notre mécanique des
continuums, et appliqué à la matière, avec son cheminement d'étape en étape, d'une
génération à l'autre, le tout formant comme un arbre avec ses ramifications.
Chaque étape, chaque génération correspond à un mode de fonctionnement que nous
nommons moteur. Une génération mène à l'autre, comme une branche mène à d'autres
ramifications. Ce modèle est universel dans le sens où on peut le rencontrer dans toute
chose, dans tous les phénomènes que l'on peut rencontrer.
L'arbre de la matière prend ses racines dans le néant, nous avons donc au début de tout,
le néant. Avant chaque phénomène nouveau, il n’y a donc rien, rien par rapport au fait que
le phénomène n’existe pas encore.
La définition Mathématique de cet état est le zéro, ou l'ensemble vide.
Apparaît un phénomène, il n’est que pur énergie, potentiel. L'absence de néant sera donc
l'énergie, une quantité d'énergie, un quantum que l'on pourra nommer "a".
Toujours en mathématique, la primitive de zéro est une quantité " a".
L’énergie appel son absence, un trou d’énergie. Les deux, l’énergie et le trou d’énergie
pourront eux même former un continuum, notre premier moteur.
Moteur de génération 1 - type monoaire ou photonique:
Nous sommes dans le monde monoaire, dans un univers en une dimension, où les choses
fonctionnent par " un ", à savoir un balancement, une oscillation entre le 1 et le 0, entre ce
qui est et ce qui n'est pas.
Le concept de Fond/Forme: Une forme apparait comme forme toujours sur un fond et le
fond est appelé par Husserl (philosophe de la phénoménologie ) le potentiel de la forme
car quand l'attention se porte sur le fond alors c'est la forme qui devient fond pour le fond
devenu forme, la forme devient potentiel du fond.
Le photon à travers la fonction de Fond / Forme:
Le photon peut donc prendre deux états, d'une part sa forme de potentiel, à savoir une
quantité d'énergie ( " a " ), et d'autre part sa forme de réalisation, à savoir sa forme en
absence d'énergie ou trou d'énergie ( neutrino que l'on nommera " n "), on passe d'un
balancement de l'un à l'autre car chaque fois que l'un apparait ( potentiel de la forme ), la
forme devient fond et le fond devient forme. Il s'agit de la fonction onde / corpuscule du
photon.
Le photon se décrit ainsi par les trois éléments suivants: {a} , {n} et {a / n} , l'élément {a /
n } étant alors la fonction du photon, à savoir le potentiel de réalisation du continuum, la
fonction onde / corpuscule.
En terme mathématique, le photon est une primitive de l'énergie, soit primitive de " a ": ax
+ n.
" n " est donc le neutrino, ce qui revient à dire que le modèle du photon contient un
neutrino, un trou d’énergie.
Le quantum " a " se disperse dans toutes les valeurs contenues potentiellement dans la
variable " x ", ce qui revient à dire que l'énergie " a " peut se diffuser dans tous les autres
éléments de l'univers " x ".
Nous arrivons alors à notre rayon lumineux, ou à la migration de l'énergie à travers celui
ci.
Un rayon lumineux est une bijection entre une particule d'énergie avec un autre
phénomène, c'est de l'énergie qui migre.
Moteur de génération 2 - type binaire ou électronique:
Nous sommes dans le monde binaire, dans un univers en deux dimensions, ou les choses
fonctionnent par deux, c'est le monde électronique, où tout n'est que 1 ou 0, -1 ou 0, les
choses sont ou ne sont pas.
Nous avons notre photon, son absence est l'absence de photon, le moteur est donc le
continuum photon / absence de photon, à savoir l'électron ou le positon, qui sont en fait de
l'énergie polarisée.
Les derniers travaux dans le domaine des particules élémentaires ont montré que si l'on
faisait se rencontrer deux rayons gamma de polarisation inverse, la désintégration génère
un électron.
Si nous prenons la primitive du continuum photon ( ax + b ), nous tombons sur ax²/2 + bx
+ c.
Nous pouvons déjà nous rendre compte, et cela à travers le " bx + c ", qu'un électron
inclue un photon:
Pour en revenir aux mathématiques, nous avons l'ensemble " a " soit l'électron, qui inclue
l'élément {b}, l'élément {b} étant lui même un continuum " b ", soit le photon, contenant luimême l'élément {c}, à savoir le neutrino.
Pour résumé, le modèle de l'électron contient un photon qui contient lui même un neutrino.
Pourquoi le " divisé par deux " : Le continuum se plie en deux, les photons se lient chacun
avec un autre en binôme pour former un électron, au final, nous avons donc deux fois
moins d'élément.
Si on remplace x par e ( énergie ), on trouve donc la formule de l'énergie mécanique de
l'électron, à savoir - e²/2.
Le continuum électronique se décrit comme suit :
Le photon = { {a} , {n} , { a / n } } et l’absence de photon, à un savoir une lumière de
polarisation inverse = - { {a} , {n} , { a / n } }.
Le continuum électronique est donc un moteur qui a comme modélisation:
{ { {a} , {n} , { a / n } } , - { {a} , {n} , { a / n } } , { {a} , {n} , { a / n } } / - { {a} , {n} , { a / n } } }
Moteur de génération 3 - type trinitaire ou atomique:
Nous sommes dans le monde trinitaire, dans un univers en trois dimensions, où les
choses fonctionnent par trois, c'est le monde de la trilogie, celui des couleurs.
De l'électron naît l'absence d'électron, soit le positon, du continuum des deux, et à travers
une nouvelle génération de continuum, et un pliage de l’univers en 3, naît le proton avec
ses 3 pairs de quark et d'antiquark.
De la même manière qu’en désintégrant deux rayons gammas de polarité inverse on
obtient un électron, si l’on faisait se désintégrer 3 électrons ensemble, on obtiendrait un
proton.
Dans le cadre du moteur binaire, le continuum s'était plié en deux, maintenant, il se plie de
nouveau en 3, les électrons se lient chacun avec deux autres en trinôme pour former
3 paires de quarks et d'antiquark, à savoir au final un proton.
Le proton marche avec ses trois paires de quark et d'antiquark. Les quarks sont définis
chacun par une couleur, un quark étant aussi l'absence des 2 autres.
Si nous prenons la primitive du continuum électronique ( ax²/2 + bx + c ), nous tombons
sur ax³ / 6 + bx²/2 + cx + d.
Nous avons donc 2 X 3 = 6 fois moins d'éléments qu’au départ, d’où le " divisé par 6 ".
Nous pouvons aussi nous rendre compte, à travers le " bx²/2 + cx + d ", qu'un proton
inclue un électron, un photon et un neutrino:
Pour en revenir aux mathématiques, nous avons l'ensemble " a " soit le proton, qui inclue
l'élément {b}, l'élément {b} étant lui même un continuum " b ", soit l'électron, contenant luimême l'élément {c}, l'élément {c} étant lui même un continuum " c ", soit le photon,
contenant lui-même l'élément {d} à savoir le neutrino.
Pour résumé, le modèle du proton contient 3 paires de quarks et d'antiquark, un électron
qui contient lui même un photon, ce dernier incluant aussi un neutrino.
Nous ne feront pas l'exposé à nouveau de la formule complète du proton, cependant, le
cheminement est le même que pour les moteurs de génération 1 ou 2.
Moteur de génération 4 - type quadritaire ou humain:
Nous sommes dans le monde quadritaire, dans un univers en quatre dimensions, ou les
choses fonctionnent par quatre, nous sommes arrivés à destination, à savoir sur notre
monde avec ses quatre principes, l'eau, l'air, la terre et le feu.
La primitive de ax³ / 6 est
/ 24.
Pourquoi le " divisé par 24" : dans un premier temps, dans le cadre du moteur binaire, le
continuum s'était plié en deux, ensuite, il se plie de nouveau en 3, les électrons se lient
chacun avec deux autres en trinôme pour former 3 quarks, à savoir un proton, enfin le
continuum protonique se plie en quatre, chaque proton se lie chacun avec trois autres en
quadri nôme pour former des atomes allant de l'hydrogène jusqu'à l'Ununoctium ( dernier
élément 118 de la table périodique des éléments ). Cela génère un continuum de
quatrième génération, avec quatre principes que nous pourrons nommer " le feu ", " la
terre ", " l'air " et " l'eau " , au final, nous avons donc 2 X 3 X 4 = 24 fois moins d'éléments.
Nous avons notre proton, la matière, et bien entendu, son absence, que certain appellent
l'antimatière, le tout formant un nouveau type de continuum sur un modèle quadritaire,
avec son fonctionnement par quatre. Nous ne nous attarderons pas trop sur ce modèle,
l'unique chose est que nous aurons quatre principes de base que l'on pourra appeler " le
feu ", " la terre ", " l'air " et " l'eau ", dont les combinaisons sont propres et propices au
monde organique, puis cellulaire, végétal, animal et enfin à l'homme. Pour ce type de
moteur, voir ce qui ce dit dans toutes les bibliothèques que l'on peut trouver dans ce vaste
monde, car il s'agit de la nature puis de l'homme, le moteur quadritaire est le modèle avec
comme finalité l'homme.
Juste à titre de correspondance, si l'on prend comme modèle le corps humain, nous avons
nos quatre principes, correspondant à quatre sous moteur qui sont respectivement le
cœur pour le feu, les poumons pour l'air, l'estomac - intestin pour la terre et les reins pour
l'eau.
Nous pourrions dire ainsi qu'au-dessus de l'atome, au-dessus de la matière, au-dessus du
modèle trinitaire vient le modèle naturel ( la nature au sens végétal et animal ) avec à son
sommet le modèle humain, à savoir le modèle quadritaire.
Lumière, porte et mur de la réalité
Le temps, différence de potentiel de réalisation entre deux continuums. L'absence de
temps, l'espace. Le tout formant le continuum espace / temps.
Le rapport entre le temps et l'espace donne la vitesse, celle de la lumière intrinsèque à ce
continuum espace / temps, relation entre deux continuums.
La vitesse du continuum espace / temps, à savoir le rapport entre le temps et l'espace est
constamment en situation de croissance ou de décroissance. Dans le premier cas, nous
avons une génération de lumière, dans le second cas, nous avons le contraire de la
lumière, à savoir de l'obscurité. Quand le rapport du temps avec l'espace est en situation
de décroissance, nous avons en sorte une dépression de lumière, à savoir une génération
d'obscurité, un trou d'énergie, une absorption d'énergie.
La question serait maintenant de savoir si un continuum contenue dans un autre
continuum peut aller au delà de la vitesse de la lumière, dépasser le mur de l'espace /
temps. En fait, la question ne se pose pas car au fur et à mesure que le potentiel de
réalisation du continuum contenue augmente et s'approche de celui du continuum
contenant, la vitesse de la lumière intrinsèque à l'espace/ temps des deux continuums
diminue jusqu'à devenir nulle.
Comme nous l'avons vu dans " le principe de fusion ", quand le potentiel de réalisation du
continuum contenue devient égal à celui contenant, on passe alors d'une dimension à une
autre, à savoir que l'univers se plie, le continuum contenue entre alors dans la dimension
supérieure, il n'y a plus de différence de potentiel de réalisation, le temps s'arrête, l'espace
disparaît, une porte s'ouvre.
En reprenant le cas d'un continuum " A " incluant un continuum " B ":
Par les relations que le temps se définie entre la différence ( PRB - PRA ), que PRB =
( PRA )², et PRA = ( PA / ~ PA ), on peut voir que cette opération de fusion est possible
seulement si ~ PA tend vers l'infini, à savoir la réalisation du continuum " A " tend vers
l'infini.
Le passage d'une dimension à une autre se fait via l'ouverture d'une porte, à savoir quand
la réalisation du continuum contenue devient infinie.
Par ailleurs, et toujours dans cette perspective de ~ PA qui tend vers l'infini, si nous
reprenons l'interaction qui lie deux continuums, soit:
F ( la force d'interaction ) = ( ~ Pa ) X ( ~ Pb ) X (( Pa / ~ Pa ) - ( Pb / ~ Pb ))²
On se rend compte que la force d'interaction entre les deux continuums devient elle aussi
infinie, ce qui peut ce traduite par ce qu'on pourrait appeler une explosion, un " boum ", un
" bang ".
Le passage d'une dimension à une autre passe par un phénomène explosif, un peu
comme l'avion à réaction passant le mur du son, l'air explose, c'est le " bang".
Si nous nommons " réalité " la relation spatio- temporelle, et " mur " la densité de cette
réalité, lors d'une telle expérience, nous passons donc le mur de la réalité, nous le
traversons pour arriver dans une autre réalité, là est l'idée des portes.
Ce moment de franchissement ou la porte s'ouvre, où PRB - PRA = 0, est un moment où
tous les compteurs sont à zéro, le temps n'existe plus, idem pour l'espace, tout devient
transparent, c'est le point de non-gravitation.
Moment de non gravitation
Imaginez une partie de pêche, où le but serait d'attraper le poisson " moment de non
gravitation ". Celui-ci est difficile à capturer car il sort de temps en temps de l'océan, tel un
poisson volant pour retomber ensuite dans son magma liquide.
Quel serait l'intérêt d'une telle pêche ? Tout simplement de garder ce moment de non
gravitation et de le faire perdurer dans le temps. Nous aurions alors un phénomène
transparent, vierge de toute interaction avec aucun autre phénomène, flottant là dans
l'éther.
Nous avons émis l'idée dans le paragraphe précédent que lors d'une expérience de "
fusion ", une porte s'ouvrait, et notre continuum entrait dans une autre dimension. Le but
du jeu pour attraper notre poisson, serait d’arriver au moment de non-gravitation ( le
poisson saute hors de l’eau ), alors une porte s'ouvre. Dans un même temps, créer la
situation d’une autre porte de polarité inverse s’ouvrant elle aussi ( le filet pour attraper le
poisson ). Le poisson tombe dans le filet, les deux portes s’enlacent l’une et l’autre, se
mordant la queue mutuellement, l’une ne pouvant sortir de l’autre. Nous aurions alors une
porte entrelacée dans une autre, la première menant à la seconde et vis versa, le moment
de non gravitation serait comme attrapé et ne pourrait plus sortir de lui même.
Comment arriver à une telle capture: la chose est simple, une porte qui s'ouvre est un
potentiel, il ne reste plus qu'à lui trouver une réalisation, les deux formeront un continuum,
le continuum ( porte / absence de porte ). Nous aurions alors un continuum type monoaire,
photonique.
Voici le déroulement de la capture: l'opération consisterait, pour un phénomène en
question, pour un continuum, de lui faire passer la porte de la fusion, et dans le même
moment, lui adjoindre un autre phénomène égal à lui-même mais ce second entrant dans
une porte de fission. Pour que la capture réussisse, il faut que les deux portes s'ouvrent
en même temps, alors, elles s'enlacent l'une l'autre et ne peuvent plus se défaire, tel deux
serpents se mordant l'un à l'autre la queue, c'est un moteur qui démarre.
Nous aurions un phénomène lié à aucune gravitation, en état d'apesanteur absolue, lié à
aucune interaction. Il flotterait dans l'espace.
Dans sa situation de continuum monoaire, ce continuum est figé, c'est à dire qu'il ne peut
pas se déplacer, car il est en une dimension, c'est comme un point dans l'espace.
Pour qu'il entre en mouvement, il lui faut une autre dimension, le faire entrer dans une
perspective de moteur binaire, électronique.
Nous avons donc notre continuum ( porte / absence de porte ), qui s'érige alors comme
potentiel, il s'agit de lui adjoindre son mauvais génie, à savoir sa réalisation, l'absence de (
porte / absence de porte ). Nous avons nos deux continuums de non gravitation polarisés
de façon inverse, il s'agit donc de les faire fusionner pour obtenir le continuum
( ( porte / ~ porte ) / ~ ( porte / ~ porte ) ). Ce dernier est donc un continuum type binaire,
en deux dimensions, il a donc la possibilité de se déplacer.
La capture du moment de non gravitation est une prolongation de la mécanique des porte,
avec comme figure une porte entrelacée avec une autre porte. Toujours au travers de ce
moment de non gravitation, où tous les compteurs sont à zéro, tous les tours de magie
sont possibles. Un autre cas de figure des dispositions des portes s’offre à nous : une
porte s’ouvrant sur l’ouverture d’une autre porte, nous sommes alors dans une situation de
voyage dans le non-temps et le non-espace, une porte s’ouvre, il y a voyage, puis une
autre porte s’ouvre et le voyage se termine, nous avons voyagé dans le non-temps et le
non-espace. Un troisième cas de figure s’offre encore, c’est celui d’une porte empêchant
la fermeture d’une autre porte, et produisant de la non- matière. Cette théorie des portes
sera ouverte et décrite plus précisément et plus avant dans un autre traité, pour
aujourd’hui, nous ne resterons là.

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