ALPINE RENAULT A110 ou Berlinette
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ALPINE RENAULT A110 ou Berlinette
COMMUNIQUÉ PRESSE www.evla.fr ALPINE RENAULT A110 ou Berlinette Le conducteur de rallye Jean Rédélé construisit la première Alpine en 1955 dans les locaux des agents de paris-Renault Ets.Escoffier. C’était un petit coupé basé sur le moteur arrière Renault 4CV. La A108 de 1957, fabriquée à Dieppe sur la côte ouest française, était dérivée de Renault Dauphine, tandis que la A110 de 1963, bien que conçue sur un concept identique, était équipé d’un moteur quatre cylindres disponible en plusieurs lises au point, qui tenait ses origines du 8 major, du 8 Gordini, du 16 et du 16, TS. Bien que la Société des Automobiles comptât pendant des années sur la compagnie à propriété d’Etat Renault (avec le plein consentement de son Président, Pierre Dreyfus). Renault en pris complètement le contrôle en 1974. La A110 (aussi connue sous le nom de Berlinette) était une machine de base sans raffinement, légèrement déguisée en voiture de course, mais un travail infini de détail fit de la légère 1600 SX un véhicule raffiné en 1977, au moment où cessa la production et une généralisation après sa première apparition.Toutes les A108/A110 avaient un châssis à poutre centrale tubulaire, une carrosserie de plastique ajustée, une suspension indépendante ( au début, à l’avant et par la suite sur toute la ligne) à bras triangulaires et ressort hélicoïdaux plus une barre antiroulis à l’avant et à l’arrière , et à partir de 1973, des essieux oscillants avec barres de réactions et ressorts à lames. On y incorpora à partir de 1966, une boite à 5 vitesses. Aux cours des années à moteur à tige de culbuteurs de différentes cylindrées (jusqu’à 1600CC) furent installées. Le devant de la voiture ne contenait pas, comme on aurait pu le penser, un coffre à bagages, mais un réservoir à essence, une batterie, un pneu de secours et un radiateur qui servait à compenser le poids du moteur arrière extrêmement saillant. Le mauvais carrossage évident des roues arrières neutralisait la tendance au survirage de l’Alpine. Il aidait également à compenser la fâcheuse habitude de l’essieu oscillant qui avait tendance à faire soulever une roue dans les virages à haute vitesse. En fait, pour provoquer du survirage, il fallait rouler très vite. Les conducteurs de course de rallye aimaient conduire de cette façon spectaculaire. Les plus puissantes variations du moteur dans le coupé de 700 kg ne donnaient une bonne performance qu’à l’extrémité supérieure de l’étendue du régime. Au dessous du mi-régime, elles refusaient de prendre proprement la vitesse. On devait être assez agile pour entrer dans la petite voiture haute de 1130mm. La carrosserie en fibre de verre, aussi disponible pendant un certain temps en cabriolet quatre place, dégageait une odeur douceâtre qui n’était pas du goût de tous, ce qui n’était aussi le cas du prix, en particulier en comparaison avec les modèles Porsche et Alfa Roméo. En 1966, auto motor und sport résuma ainsi : »En achetant une Alpine, on fait l’acquisition de pas mal de performances, mais sans la voiture qui va normalement… »Mais ceci ne dissuada point les 7176 acheteurs entre 1957 et 1977. CARACTÉRISTIQUE DE L’ALPINE Categorie GT Chassis poutre Carrosserie polyester Moteur Gordini 4 cylindres Cylindrée 1600 cc Puissance 160 ch Alimentation 2 carbus Weber Boîte Renault 5V Freins 4 disques acier Pneus Dunlop Racing Poids 750 kg A 110 1600