Un fond d`aide à l`emploi artistique en Finistère en 2017 ?

Transcription

Un fond d`aide à l`emploi artistique en Finistère en 2017 ?
Un fond d’aide à l’emploi
artistique en Finistère en 2017 ?
> Constats, attentes dans le Finistère
Les artistes ont besoin de lieux « intermédiaires » où se produire, tester leur
spectacle devant un public, sur scène. Ces lieux, souvent en difficulté face à aux
réglementations (décret de 98, nuisances sonores,…) et aux lourdeurs
administratives se découragent et privent ainsi un public et des artistes de lieux de
rencontre et d’expression artistique dans toute sa diversité.
Dans le cadre de la phase de concertation du SOLIMA Finistère les acteurs
culturels ont exprimés l’importance de la mise en place de ce dispositif en Finistère
> Le constat unanime de la réussite et de l’intérêt du dispositif testé dans les
Pays de la Loire à l’échelle régionale (cf. témoignage plénière Solima de Vianney
Marzin du Pôle) renforce la conviction de sa réussite.
> Objectifs d’MDF suite aux attentes exprimées par les acteurs du
SOLIMA 29:
Favoriser la mise en place du dispositif d’aide à l’emploi artistique dans les cafés
culturels du Finistère
Structurer ces lieux en collaboration avec le Collectif Culture Bar-Bars
Objectifs du dispositif

Consolider la démarche de professionnalisation des artistes via
l’aide à l’emploi artistique

Contribuer au développement de la création

Accroître l’accès d’un large public à une offre culturelle
diversifiée par une offre de proximité

Répondre au besoin de lieux de diffusion de proximité pour les
artistes de nos territoires.

Favoriser le respect de la législation, en faisant vivre des lieux
déjà existants, implantés à l’échelle locale, aussi bien dans des
zones rurales qu’urbaines.

Favoriser un réel développement économique en inscrivant le
dispositif dans la durée.
Nature du dispositif
> Qu’est-ce que le fonds d’aide à l’emploi artistique ?
Une aide à l’emploi des artistes dans les cafés-cultures en prenant en
charge financièrement une partie des coûts salariaux (artistes et
techniciens). La prise en charge est proportionnelle au nombre d’artistes
engagés.
> Qui en sont les bénéficiaires directs et indirects?
Les établissements privés détenteurs d’une licence de débit de boisson
et/ou de restaurant, relevant de la Convention collective des CHR,
disposant d’une jauge de moins de 200 places.
Et les artistes interprètes rémunérés
> Le Groupement d’Intérêt Public (GIP), structure juridique dédiée
accueille la participation financière des collectivités et structures
privées : http://gipcafescultures.fr/download/presentation-gip-cafescultures.pdf