akiko - Davy Brun

Transcription

akiko - Davy Brun
ANDO DANSE COMPAGNIE SAISON 2014/2015
AKIKO l’amoureuse
Editions Picquier Jeunesse
Pièce pour 4 danseurs
Chorégraphie Davy Brun en
collaboration artistique avec Antoine Guilloppé
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Partenaires institutionnels: Ville de Lyon, Région Rhône-Alpes!
Partenaires culturelles: Scène nationale Les Gémeaux de Sceaux, Théâtre du Vellein Villefontaine,La Rampe à Echirolles, l’Opéra Théâtre de Saint Etienne, le Très Tôt Théâtre de Quimper,!
Festival Puy de Mômes Cournon d’Auvergne , le Centre National de la Danse de Lyon
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Antoine Guilloppé
« La réalisation d'un spectacle vivant inspirée d’une œuvre écrite et dessinée est le
fantasme de tout auteur. La rencontre avec Davy Brun est donc la première étape d’un
travail artistique qui verra l’accomplissement de ce fantasme. Je suis ravi que son choix se
soit porté sur « Akiko l’amoureuse » car cette histoire, qui est de papier, va prendre
corps et entrer en mouvement. La passerelle entre ces deux arts existe, nous nous y
sommes rencontrés. »
Davy Brun
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« La découverte du travail d’Antoine Guilloppé, m'a tout de suite amené à me projeter
dans la réalisation d'une pièce jeune public. Cette envie était présente en moi depuis
longtemps. Le travail d’Antoine, centré sur les ombres et les lumières allant jusqu'à la
disparition des textes pour laisser la place entière de la narration à l'illustration, m’a de
suite inspiré, et plus particulièrement le personnage de Akiko. »
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Il y a dans cette pièce une rencontre entre deux auteurs qui souhaitent créer une réelle
collaboration de travail et d’échange artistique. L'idée est de proposer un spectacle aux
enfants à forte valeur esthétique, en utilisant le travail d'auteur illustrateur d’Antoine
Guilloppé et l'écriture chorégraphique de Davy Brun. Il s’agit de donner à voir un
spectacle de danse où l’émotion et le récit passent par le langage corporel et le visuel.
Antoine Guilloppé
Antoine Guilloppé est né à Chambéry. Après des études de dessin à l'école Emile Cohl de Lyon, il se dirige vers
l'illustration jeunesse. Il vit actuellement à Montrouge dans la région parisienne.
Il a illustré de nombreuses couvertures de romans pour les éditions Thierry Magnier, Philippe Picquier, Rageot...
Il a publié plusieurs albums jeunesse en tant qu'auteur-dessinateur, parmi lesquels Akiko la curieuse, Akiko la rêveuse et
Akiko l’amoureuse (Ed. Philippe Picquier), Prédateurs (Thierry Magnier) ou encore Loup Noir et Grand blanc (Ed.
Casterman). Il collabore également avec des auteurs comme Béatrice Fontanel sur l’album Grand corbeau (Ed. Sarbacane)
ou encore Ghislaine Roman sur l’album Un jour, deux ours… (Ed. Milan).
Il reçoit le Prix "L'Écailler du livre" 2012/ le Prix "La nuit du livre" 2011 catégorie album jeunesse/ le Prix de l'album
jeunesse 2008 de la Foire du livre de Brives/ le Prix des jeunes lecteurs - Calenzana 2011/ le Prix "Écolire 2011-2012"
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Davy Brun
Les huit années passées au Ballet de l’Opéra de Lyon puis les trois au Grand Théâtre de Genève, lui ont permis de
découvrir de multiples gestuelles. Son travail avec les chorégraphes contemporains tels Mats Ek, Trisha Brown, Georges
Balanchine, Jiri Kylian, William Forsythe, Maguy Marin, Mathilde Monnier et bien d’autres, l’ont orienté vers un désir fort de
vivre ses propres expériences au travers de ses chorégraphies. L’envie de créer lui est venue comme une nécessité de
régurgiter toutes ces expériences et ce vécu pour comprendre ce qui le caractérise aujourd’hui et ce qui l’a construit.
Que faire de tout cela? Qu’a-t’il gardé de la danse classique, de la danse contemporaine? Une esthétique, un mouvement,
une pensée.
Sa recherche chorégraphique empreinte de ces multiples rencontres, vise à construire une danse qui lui permet d’utiliser
toutes les richesses des différentes formes de danse que son vécu lui a permis de découvrir. Ce retour au mouvement
s’exprime dans la construction de son travail ; la mémoire du corps permet l’écriture de sa danse. Son travail
chorégraphique s’oriente vers une danse pensée, écrite, vecteur d’émotions.
Ses pièces comme Christoffa, A Contre Danse, Concursus ( lauréat du concours (Re)connaissance 2011), Ando, Curse,
Nosotros, Soldaten, l’Oiseau de Feu traduisent cette écriture chorégraphique.
EQUIPE ARTISTIQUE
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Scénographie: Bruno De Lavenère
Après une formation en architecture à Toulouse et à Montréal, il obtient en 2000 un diplôme de scénographie à l’ENSATT (Ecole Nationale Supérieure des Arts et Techniques du
Spectacle). Pendant neuf ans, il a été assistant et collaborateur de Rudy Sabounghi sur une trentaine de scénographies d’opéra, de théâtre et de danse. Il crée ses propres scénographies et
costumes. Il travaille ainsi avec les metteurs en scène Jerzy Klesyk, Jean Lacornerie, Richard Brunel, Jean-Louis Grinda ou les chorégraphes Laurent Pichaud, Rémy Héritier, Isira Makuloluwe,
Michel Kelemenis, Lucinda Childs, Eric Oberdorff…Il conçoit régulièrement les scénographies de la Compagnie Chant de balles (Vincent de Lavenère). Les dernières créations sont No
place like home pour le Ballet de Genève dans une chorégraphie d’Isira Makuloluwe, Lady in the dark avec les Opéras de Lyon et de Rennes (nominé pour les Molières 2009 dans la
catégorie théâtre musical) et Le Tribun au théâtre de l’Athénée mis en scène de Jean Lacornerie. Il a créé les costumes de La Colonie pénitentiaire pour l’Opéra de Lyon dans une mise en
scène de Richard Brunel. En octobre 2009, il signera la scénographie de Cendrillon chorégraphié par Michel Kelemenis à l’Opéra de Genève ainsi que Songs from before de Lucinda Childs
pour le Ballet de Rhin à l’Opéra de Strasbourg puis au Théâtre de la Ville de Paris (octobre 2009 et avril 2010). Pour 2010, il prépare la scénographie de L’homme de la Mancha, mis en
scène par Jean-Louis Grinda pour les Opéras de Toulouse et de Monte-Carlo (décembre 2010). Il signera aussi la scénographie des Vertiges de l’immobilité d’Eric Oberdorff pour le Ballet
de Marseille à l’Opéra de Marseille (avril 2010).
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Costumes: Philippe Combeau
Tout d’abord danseur, puis créateur de costumes, Philippe Combeau est depuis de nombreuses années totalement passionné par le monde de la danse. Il débute au Conservatoire de
Limoges à 19 ans puis intègre le Centre National de Danse Contemporaine à Anqers. En 1990, il intègre la cie Bagouet pour la création So schnell. De 1992 à 1995, il participe aux créations
de Michel Kelemenis :Cités citées (1992), Clins de lune (1993), Mouvements (1994) et aux reprises de Répertorio et de Image (1995). Dès 1993, parallèlement à sa carrière de danseur, il crée
les costumes pour Clins de lune et Image de Michel Kelemenis et travaille pour Andy de Groat. En 1996, il décide de faire une formation de styliste, modéliste, haute couture au centre
Suzanne B. à Marseille et se consacre exclusivement à la création de costumes pour la danse, du dessin à la réalisation. Une étroite collaboration avec le CNSMD de Lyon lui permet de recréer les costumes de Who cares, Allegro Brillante, Apollon Musagète , Divertimento n° 15 de Georges Balanchine,
Fandango d’Antony Tudor, Christopher Wheeldon, Robert North, Davy Brun, Waldemar Bartkowski, Olivia Grandville, Agnès Nolténius, Cyril Viallon, Olivier Chanut, Fréderic Cellé, JeanClaude Galotta... Il est invité par de nombreuses compagnies : Opéra ballet de Nice pour Blanc pur, Ballet du Rhin l’Ombre des jumeaux, l’Opéra Ballet de Hanoi Roméo et Juliette, au Bolchoï
de Minsk au Belarus le songe d’une nuit d’été, l’Université Nationale Coréenne des Arts de Séoul, Ballet de Lorraine le sacre du printemps, Staatsoper de Vienne Moka, et tout dernièrement
Casse–Noisette, et TATTOO pour le Ballet national de Marseille.
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Création lumière: David Debrinay
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Création musicale: Julien Tarride
David Debrinay devient éclairagiste à 22 ans après avoir suivi des études d’histoire tout en étant assistant lumière. Il crée ainsi les lumières de la première trilogie d’Emmanuel Meirieu Les
Chimères Amères au Théâtre de la Croix-Rousse à Lyon en mai 2000. Ces dernières années, il a principalement travaillé en théâtre avec Richard Brunel, Laurent Brethome, Johanny Bert,
Yannick Jaulin, Eric Massé, Hervé Dartiguelongue, Philippe Faure, Pascal Mengelle ou encore Christian Duchange. Diverses collaborations l’ont amené en Allemagne avec Nathalie Veuillet
(Die Raüber, Playing Schiller) lors du Schillertage de Mannheim et au Luxembourg avec Sophie Langevin (Histoires de Famille, La nuit juste avant les fôrets). Il travaille également dans le
domaine du cirque contemporain. Il a notamment collaboration avec Olivier Antoine à Bruxelles (Affabulation) et signe les éclairages du Cirque Hirsute (Bal Caustique, Toccata). Il vient à
l'opéra en 2006 avec une lecture-spectacle de Richard Brunel sur les compositeurs d’opéra du XXème siècle pour le Festival de la Correspondance de Grignan, puis en 2007 avec Pelléas
et Mélisande mis en scène par Eric Massé pour l’Orchestre National de Lyon. Plus récemment il a créé les lumières de L’Infedelta Delusa de Haydn pour le Festival d’art lyrique d’Aix-enProvence (édition 2008) et de In the penal colony de Phillip Glas à l’Opéra de Lyon (2009) tous deux mis en scène par Richard Brunel. Au printemps 2010 il a collaboré avec Richard Mitou
sur Amahl et les visiteurs du soir de Gian Carlo Menotti à l’Opéra de Montpellier et avec Jean Lacornerie sur Kaléïdoscope II à l’Opéra de Lyon. Il vient de réaliser les lumières de Farnace
de Vivaldi mis en scène par Lucinda Childs à l’Opéra National du Rhin. En parallèle du spectacle vivant, il s’intéresse à l’architecture et à la muséographie. Il a mis en lumière l’exposition
photographique Mediterranide à Palerme, le Musée Archéologique de Saint Romain en Gal (Nuit des musées 2007), l’exposition « Museolab III » (Projet Erasme) ou plus récemment un
jardin dans le cadre du Jardin des Cimes (Plateau d’Assy). Il vient de réaliser le design lumineux d’un centre de kinésithérapie sur Paris et collabore avec le Centre Erasme pour le projet du
Musée des Confluences de Lyon. Il est intervenant en dramaturgie de la lumière à l’INSA de Lyon.
Né en 1979 Julien Tarride vit et travaille à Lyon. Issu d’une formation musicale classique, il s’est orienté vers le jazz puis la composition éléctro- acoustique au Conservatoire de Lyon.
Parallèlement à ses études musicales, il entre à l’Ecole des Beaux-arts de Lyon pour un cursus de 5 années où il obtient le Prix Linossier (Prix d’Arts plastiques de la ville de Lyon), avant
d’effectuer un post-diplôme au Studio National des Arts Contemporains du Fresnoy à Tourcoing où il obtiendra le Premier Prix.
Julien Tarride poursuit depuis des années une réflexion sur l’opéra. Son travail montre de manière ouverte comment la technologie et l’idée de la technologie influent sur l’écriture. Il
questionne la transversalité des langages issus des nouvelles technologies et leurs utilisations sur scène, à travers la scénographie sonore, l’utilisation de la vidéo et la composition musicale.
Julien Tarride compose aujourd’hui un opéra technologique intitulé Je chante le corps électrique et travaille comme compositeur et scénographe depuis 2003 pour le chorégraphe Andonis
Foniadakis pour les pièces Glory, Psyche, Lost Paradise, Roméo & Juliette,Veil of Stars, All things are quite silent, Imannence,The Rite of Spring, Palpable, Mistify, Apospasmata,When the doves cry. Il a
composé aussi les musiques de pièces chorégraphiques d’autres chorégraphes comme: Danse concertante de Benjamin Millepied, Contre danse de Davy Brun
PRESSE
« Il n’est pas facile de se dégager des modules du langage international des chorégraphes
héritiers de la lignée Kylián-Ek-Forsythe, en évitant tout ce qui est déjà connu et confirmé.
Mais Davy Brun semble être sur la bonne voie, en montrant qu’il est toujours possible de
créer des oeuvres de “danse-danse”. »
Elisa Guzzo Vaccarino - Ballet2000 - mai 2012
« Une paix intense doublée d'un mystère ouaté se dégage de ces superbes pages mates,
épaisses, découpées en dentelles, blanches d'un côté, noires de l'autre, au plus près du grain
de peau des animaux d'Afrique. Les bêtes frissonnent, suspendent leur souffle, se tapissent
dans les herbes, par la magie des perforations et des superpositions de papier. Quelles ondes
captent-elles pour tomber en arrêt de la sorte, dans un état de contemplation craintive et
sereine à la fois ? Celles du jeune Issa, guerrier flottant, en route vers l'amour.Auteur aux
mains d'argent, roi des enluminures au scalpel, Antoine Guilloppé n'a pas son pareil pour
lacérer des images dont il révèle le derme profond, tranquille, intouchable. Un album
somptueux, avec lequel il prolonge le miracle du précédent,Pleine Lune, autre ballet de
créatures tremblantes, fruit d'un découpage de maître. »
Marine Landrot - Télérama n° 3221- Le 08/10/2011
CONTACTS
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