3e Etage Désordres+ informations sur le programme et coupures de
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3e Etage Désordres+ informations sur le programme et coupures de
Désordres 3e étage (avril 2013) LE GROUPE : 3e étage, Solistes et danseurs de l’Opéra de Paris Aussi doués qu'irrévérencieux, ces artistes qu'on peut voir au Palais Garnier dans les plus grands rôles des ballets classiques et les chefs d'œuvre de la danse contemporaine, se produisent dans cette formation à leur propre titre, avec l'aimable autorisation de Brigitte Lefèvre, directrice de la danse de l'Opéra de Paris. Sous la direction de Samuel Murez, 3e étage donne des programmes qui leur ressemblent : du répertoire classique aux créations déjantées comme "Épiphénomènes", ils présentent un mélange distinctif d'excellence et d'humour, de virtuosité et d'autodérision, qui est devenu leur marque de fabrique. LE PROGRAMME : Durée : 1h45 dont 15 minutes d’entracte Interprétation : 11 Solistes et danseurs de l’Opéra de Paris Chorégraphies de : Ben van Cauwenbergh Samuel Murez Raul Zeummes Musiques de : Ludwig van Beethoven Johannes Brahms après Niccolo Paganini Jacques Brel / Jean Corti Franz Liszt d’après Giacomo Meyerbeer The Misters Siegfried de Turckheim T.A. Vitali Thom Willems Andrea Turra d’après Franz Liszt 3e étage réinterprète à sa manière la forme du gala, à travers une succession de courtes pièces, souvent virtuoses, intégrées dans une mise en scène imaginative qui fait de l'ensemble un spectacle à part entière, portant pleinement la marque de son créateur, Samuel Murez. Des thèmes se nouent, des motifs se créent, des personnages reviennent. Pour un peu, on pourrait croire que l'on assiste, non plus à un gala, mais à un ballet d'un nouveau genre – quelque part entre danse, cinéma, mime et théâtre. Dans ce programme en clair-obscur, mêlant reprises et créations, on la retrouve intacte, toujours au bord du déséquilibre, confrontée à de nouveaux enjeux. Entre débauche virtuose et explosion théâtrale, « Désordres » se déploie dans un jeu permanent entre sérieux et humour, convention et transgression, ordre et folie. LA PRESSE : « 3e Etage […] marque un nouveau pas dans l’évolution du ballet, projetant une forme artistique vieille de plusieurs siècles en plein XXIème siècle. Appelons ça le Ballet 2.0.[...] Ce qu’a créé Murez est frais et pourtant intemporel, sérieux et décalé, plein d'autodérision sans perdre ni émotion ni cohérence. Son approche du ballet (et de la danse contemporaine) est à l’opposé des froufrous ; elle est magistrale, athlétique, agile et souple avec des transitions fluides et un humour corporel subtil. […] Loufoque et pourtant à couper le souffle […] Le charme de la compagnie prend source dans son équilibre humoristique, sa générosité et son incroyable maîtrise de la danse. » Tresca Weinstein, Albany Times Union « Les descendants suprêmes de la lignée classique déploient leur virtuosité avec un élan stupéfiant et un parfait naturel […] un génie insouciant […] La scène brille avec l’autorité inimitable d’un entraînement classique du plus haut niveau […] une danse d’une sponanéité captivante […] Une beauté surhumaine […] Une soirée hors-norme » Janine Parker, the Boston Globe « Une aventure terpsychoréenne pleine de surprises et de plaisirs, sans parler de danse d'un niveau hors-du-commun, d'inventivité chorégraphique, de jeux de lumière et de paysages sonores évocateurs, et d'un art de la mise en scène ensorcelant. [… ]La soirée est un recueil varié et délectable de styles et de créativité chorégraphique. […]Les danseurs sont tellement bons : forts, précis, charismatiques et pétris de technique.» Bess Hochstein, Rural Intelligence « Le public était déchaîné […] A mesure qu’on avançait dans le programme, celui-ci passait du sublime à l’absurde, et de l’absurde au sublime. […] Une expérience extraordinaire.» Charles Guiliano, Bershire Fine Arts « Tous les critiques semblent unanimes [...] Mieux, elles sont dythyrambiques ! Humour, créativité, sens de l'improvisation,» Guy Rullière, Le Dauphiné Libéré « Un petit bijou d'humour et d'inventivité... magnifique de maîtrise... un pur moment d'enchantement. » Annie Lebrun, La Voix du Nord