یدقت هب م

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یدقت هب م
(M.A)
‫تقدیم به‪:‬‬
‫تقديم به پدرم كه خورشيدي شد و از روشنائيش جان گرفتم و لبريزم كرد از شوق‪،‬‬
‫اكنون حاصل دستان خسته اش رمز موفقيتم شد‪....‬‬
‫و مادرم كه عمري خستگي را به جان خريد تا اكنون توانست طعم خوش پيروزي را‬
‫به من بچشاند‪...‬‬
‫و همسرم كه در سايه همياري و همدلي او به اين منظور نائل آمدم ‪...‬‬
‫ماحصل آموخته هايم را تقديم مي كنم به تمام كساني كه مهر آسماني شان آرام بخش‬
‫آالم زميني ام است‪.‬‬
‫تشکر و قدردانی‬
‫حمد و سپاس بيکران پروردگار يکتا را كه ابتدا نعمت حيات و سپس توفيق گام نهادن در راه‬
‫كسب علم و معرفت را به من ارزاني داشت و در همه حال باران رحمت اليزال خويش را شامل‬
‫حالم نمود‪.‬‬
‫اكنون كه به ياري خداوند متعال اين ترجمه به پايان رسيده است بر خود واجب مي دانم تا از‬
‫زحمات بي دريغ تمامي كساني كه در اين راه يار و همراه من بوده اند تشکر و قدرداني نمايم‪.‬‬
‫استاد راهنماي ارجمندم "جناب آقاي دكتر زيار" كه با صبر و حوصله تمام‪ ،‬مرا در انجام اين امر‬
‫راهنمايي نمودند و مشکالت موجود را با نظرات دانشمندانه خود از پيش رويم برداشتند‪.‬‬
‫استاد مشاور بزرگوار "جناب آقاي دكتر مهدي حيدري" كه با نظرات ارزشمند خود مرا همراهي‬
‫نمودند‪.‬‬
‫فهرست‬
‫يك بار هم شده "سوسن"گوش بده‪......................................................................................‬فصل اول‬
‫مثال بازي ‪...............................................................................................................................‬فصل دوم‬
‫سوراخ لحاف‪........................................................................................................................‬فصل سوم‬
‫ها كردن ‪............................................................................................................................‬فصل چهارم‬
‫بسمه تعالي‬
‫تعهد نامه اصالت پايان نامه كارشناسي ارشد‬
‫اينجانب سمیه حاجیوند دانش آموخته مقطع كارشناسي ارشد ناپیوسته به شماره دانشجويي ‪80900899999‬در رشته‬
‫مترجمي زبان فرانسه كه در تاريخ ‪ 2001/90/09‬از پايان نامه خود تحت عنوان‪ :‬ترجمه فارسي به فرانسه مجموعه داستان‬
‫پیوسته "ها كردن " نوشته پیمان هوشمندزاده با كسب نمره ‪ 18‬و درجه بسیار خوب دفاع نموده ام بدينوسیله متعهد مي‬
‫شوم ‪:‬‬
‫‪ -2‬اين پايان نامه حاصل تحقیق و پژوهش انجام شده توسط اينجانب بوده و در مواردی كه از دستاوردهای علمي و‬
‫پژوهشي ديگران ( اعم از پايان نامه كتاب مقاله و ‪ )...‬استفاده نموده ام مطابق ضوابط و رويه های موجود نام‬
‫منبع مورد استفاده و ساير مشخصات آن را در فهرست ذكر و درج كرده ام‪.‬‬
‫‪ -1‬اين پايان نامه قبال" برای در يافت هیچ مدرک تحصیلي ( هم سطح پايین تر يا باالتر ) در ساير دانشگاهها و‬
‫موسسات اموزش عالي ارائه نشده است‪.‬‬
‫‪ -0‬چنانچه بعد از فراغت از تحصیل قصد استفاده و هر گونه بهره برداری اعم ار چاپ كتاب ثبت اختراع و‪ ...‬از اين‬
‫پايان نامه داشته باشم از حوزه معاونت پژوهشي واحد مجوزهای مربوطه را اخذ نمايم‪.‬‬
‫‪ -4‬چنانچه در هر مقطع زماني خالف موارد فوق ثابت شود عواقب ناشي از آن را بپذيرم و واحد دانشگاهي مجاز‬
‫است با اينجانب مطابق ضوابط و مقررات رفتار نموده و در صورت ابطال مدرک تحصیلي ام هیچگونه ادعايي‬
‫نخواهم داشت‪.‬‬
‫نام و نام خانوادگي‪:‬سمیه حاجیوند‬
‫تارخ و امضا ‪:‬‬
Écoute ne serait-ce qu’une fois la voix de Susan
Je prends la télécommande et je me prélasse, le dos tourné vers elle, sur le
fauteuil, comme si elle n’a aucune importance. Encore, c’est l’heure des
mouvements de « chat » ! Que les gens disent n’importe quoi, je m’en fous ;
mais à mon avis il n’y a aucune ressemblance. Peut-être ce n’est qu’un
allongement de bras, quelque chose comme délasser, cela n’est pas tellement
précis qu’elle le prétend elle-même.
À quoi ça sert que tu prends la télécommande le moment où il n’y a que le
silence ou bien parfois un bruit de trainement les pieds sur les céramiques? Du
chagrin, je rassemble toutes les télécommandes autour de moi, du
magnétophone qui ne vaut rien jusqu’au satellite qui vaut mieux que rien. Je
m’assois et je zappe sans cesse. Ce côté de télé, d’une part au lieu de la photo
de notre mariage, elle a mis la photo de cet indien poilu, d’autre côté l’ancien
et le nouveau numéro de la revue des femmes. Elle a coupé la voix de télé.
Cela ne va pas dire que regarder la télé sans aucune voix est mauvais, non ;
mais quand elle dure, quand elle le traine sans aucune raison, seulement pour
m’obstiner, donc cela m’agace. Donc c’est clair, toi aussi, tu ne te lèves pas et
tu restes bien sûr dans le fauteuil. C’est clair que non seulement tous les
meubles et toutes les chaises, mais aussi tous les murs des chambres sont
enlevés, toi encore, comme s’il n’a rien fait, tu te prélasse sur le fauteuil au
milieu de salle devant la télé, tu ne bouges pas !
Donc, elle répète sans cesse : « tu es comme un chat». Suppose-le, donc ça sert
à quoi ? On comprend certaines choses, on n’est pas idiot, alors, quoi qu’il
arrive on comprend. C’est toujours comme ça, elle s’occupe de ses affaires
quand regardant la télé, est-ce possible ? Ça ne dure pas, un jour ce sera mon
tour. Le temps de repos viendra, enfin il viendra. C’est bien le temps, je crois.
Et puis, on rompt le silence et ce maudit CD, ça commence à fonctionner. Un
drôle de mélodie chinoise ou japonaise pour prendre ses mots. Cela n’est pas
une seule mélodie, elles sont nombreuses ; mais toutes sont pareilles, on a
l’impression d’entendre toujours la même chose. Il y a juste au milieu des
mélodies un petit temps qui précède la mélodie suivante. En réalité, cela n’est
pas là une vraie mélodie du début jusqu’à la fin, quelqu’un gémit, rien que ça.
Exactement derrière moi, elle fait des exercices vêtue d’une blouse, d’un
pantalon avec des chaussures athlétiques blanches. Certains mouvements
calmes qui sont, selon elle, comme la nature. En apparence, mon zapping n’a
aucun effet sur son comportement, sinon jusqu’à maintenant elle déclenchera
déjà des vacarmes. Mais, la voix, en tout cas, pose des problèmes. On en a fait
la dispute. La voix trouble sa concentration. À part ça on dirait que sans les
hurlements de cette chinoise, faire les exercices ne serait pas possible. Au
début, j’étais sensible à ce chant-là, mais maintenant je m’y suis habitué. En
fait, je n’entends plus rien. J’ouvre une boite noire de 36% vol. Et je m’assois
et je zappe. De ce côté je regarde le foot, de l’autre aussi je zappe sans aucun
but, ça dépend des atours de son artiste. Une coupe de plus ou moins, c’est très
différent mais c’est plutôt le foot. Je ne manque qu’un match des équipes
anglaises. Cette année-ci, Manchester est le roi, avec ses deux remplaçants,
tout change. Mais ce soir, c’est un peu différent, il y a des blessés sur la ligne
offensive, mais au total c’est formidable. Il reste encore une demi-heure, le
match va bientôt commencer.
Je change.
Quelqu’un qui a des jumelles de chasse ayant une croix en son centre, observe
un type a l’air courtois. Il se perd dans la foule. Un autre s’est allongé sur le
toit d’un haut bâtiment. Insoucieux de se faire contaminer par le bitume, il n’y
accord aucune importance. Il transpire énormément et il cherche la femme avec
son arme munie de jumelles. Elle l’a bien visée. Mais, la pauvre femme, qui
n’est pas au courant, justement avant la décharge, entre dans le magasin. Il vise
la porte du magasin et il attend. À côté de lui-même Il met aussi une boite de
bière et il en boit de temps en temps. Il porte son imperméable noir, on ne sait
pourquoi par un temps si chaud il le porte? La femme achète des jouets dans le
magasin. Le singe qu’elle a choisi bat du tambour sans arrêt. L’homme change
de position. Il boit un peu. Il ajuste son arme en joue. Le vendeur s’occupe des
cadeaux. Il sourit. La porte de magasin et la croix. Un faut pas, il sera perdu
.c’est bien normal. Moi aussi, si je fais un faut pas se sera pire encore. Mais
non, maintenant il y a du gaz dans l’air. Bien sûr, si tout va bien, tout est
respecté, moi aussi je respecte ; sinon... Le temps de repos, je vais et je reviens
sans cesse. À plusieurs reprises, je mets la bouillotte sur le feu et je l’allume.je
l’étain et je le rallume. J’allume l’ordinateur et je mets fort le volume de hautparleurs, je reviens et je me prélasse sur le fauteuil et je zappe pour que
WINDOWS démarre. Le bruit du démarrage, c’est déjà beaucoup. Cinq
minutes plus tard, je reviens et je consulte mon Courriel. Le frou-frou du
MODEM se lève. Je surfais sans but sur le web faisant semblant du regarder.
Je change.
Je la connais très bien. Elle fait avancer ses affaires d’une manière sournoise.
Pas folle la guêpe. Elle cherche la petite bête. Elle est très rouée.
Sournoisement elle avance et à trappe ça proie. Elle me plait beaucoup. Mais,
c’est monotone. Je me rappelle très bien, c’était un choc. C’est tout. Ils en ont
fait tout un plat. Il est tombé des nuages. Son avocat, bien que rusé, n’a pas pu
rien faire. Le mec a perdu la tête. Il ne le mérite pas. Toute personne risque
parfois de rompre. Ça peut arriver à tout le monde. Moi je connais très bien
toutes ces grimaces, du Yoga à toutes les nouvelles bêtises ; le mouvement de
la feuille, le crabe, 8 parties de la soie ou des choses comme ça. C’était ma
faute à moi. C’est moi qui l’air introduite dans ces milieu-là. Elle était en train
d’écouter ses musiques quotidiennes et elle regardait des choses ordinaires.
J’étais tellement observé par ces histoires et j’en parlais tellement que les
nouveaux plus profonds, se recueillir sur soi-même, les cessions TM, les
musiques nobles etc., que je me penche de l’autre côté.
Je change.
Les femmes de nos jours sont bien meilleures que les anciennes. Du moins.
Elles dansent mieux. Par Dieu, il faut que j’aille au cours de danse seulement
pour en signe de protestation. Dommage, ce n’est pas possible. Il n’y a pas le
temps, la nuit tombe très tôt. Qu’est-ce que tu entends par temps, ce n’est que
des prétextes ? Aie les pieds sur terre.
Prétexte les frais de cours! Tes
fréquentation, ou encore, le dis des gens. Pour le dis des gens? C’est ridicule.
En tout cas, on s’en fout? On n’en a pas. Dans les meilleurs cas, en a-t-on le
moral? Pas du tout. Bien sûr que non. Si tu en a le moral, tu en a le courage ?
Ça, je ne crois pas.
Je change.
Les cheveux tressés. Comme ça ramassés et arrangés. Chaque natte sur une
épaule, le but de chacune noué avec une corde, l’une en orange et l’autre en
jaune. Un jour sur deux, elle lave sa blouse et son pantalon avec de l’eau froid.
Elle ne les lave pas avec d’autres vêtements de peur de ne pas faire confondre
leurs couleurs. En plus ils doivent sûrement sécher au soleil. Repassés et
arrangés, blancs comme la neige.
Il faut qu’elle tourne. Elle tourne. Elle ne me regarde pas. Moi non plus. Je ne
le fais pas. Maintenant je vois son profil. Elle passe devant la télé le visage
tourné vers le mur. Elle a mal fait le mouvement dit : « le tigre va à la
chasse ». Elle n’arrive pas à sauvegarder sa distance avec le plancher. Elle fait
de temps en temps des pauses. De toute façon, elle ne maîtrise pas bien ses
mouvements. Elle ne fiat pas tellement de flexibilité. N’allant pas très bien
d’un mouvement à l’autre, alors elle cherche à me changer. Elle a du mal à les
faire succéder.
Elle doit se tourner vers moi. Elle tourne. Dieu merci elle n’est devant la télé.
« Une forte respiration », correcte, « respiration et expiration », correcte.
Maintenant c’est le tour du mouvement dit : « un remue-ménage » … non,
cette fois, ce n’est toujours pas la bonne. Elle n’est pas bon apprenant. Elle
gaspille son energie. Qui sait, peut-être en changeant son prof, ça ira mieux.
Moi je ne dis mot. Si je le dis, elle s’obstine. Enfin elle comprendra. Mais à
quoi bon ? Tu peux toujours continuer à mal exécuter « un remue-ménage ».
Fais tellement de remue-ménage jusqu’ à ce que tu meures ! Moi, je ne fais
même une paupière. Comme ça, je fixe mon regard sur la télé et je ne bouge
même pas, cela signifie qu’on regarde le moment de crise du film et moi, je
suis absorbé par le film.
Je ne suis pas un homme de bien, d’accord ou peut-être je le suis devenu.
Suis-je de mauvaise humeur ? D’accord. Suis-je arrogant ? D’accord. J’ai un
comportement de chien? Pas du tout quand même je l’accepte. Mais tu as parlé
de l’energie, toi-même, tu n’as pas le droit d’en parler! Si je savais qui a appris
à ces gens-là de parler de l’énergie et de pratiquer « l’énergie thérapie »! C’est
la faute de ces pseudo-mystiques. Ils ont propage ces choses-là. Donc si tu
oses, parle-en, il y aura du vacarme. Pour qui on peut s’ouvrir le cœur? On ne
cause l’arrestation personne pour ces choses. Donc, si tu oses, parle-en, il y
aura du vacarme. Pour qui on peut s’ouvrir le cœur ? On ne peut pas embêter
personne. Surtout pour ces choses.
Je change.
Publicité, publicité, publicité, sans arrêt publicité.
Je me jure à Dieu. Elle le mérite. Elle ne le mérite pas ? Non, elle ne mérite
même pas la peine comme qu’on appuie sur le bouton ? Ensuite tant qu’elle
veut répéter sans cesse : « tu es comme un chat ». Donc « comme » c’est quoi,
je le suis exactement. Alors, ça sert à quoi ? C’est-à-dire c’est ma faute à moi ?
Oui je suis. Je suis tout ce que tu dis, mais cette situation nous coupe perdre
haleine. Elle est comme un cauchemar. Il nous semble facile. Tu ne dis qu’un
mot « l’energie », mais cette energie nous embête.
Bien sûr je préfère en retournant de mon travail que mon épouse se fasse
maquiller et qu’elle ouvre la porte joyeuse. On entend une mélodie joyeuse et
qu’on n’entend aucun mot à propos de l’energie positive, de l’hydrothérapie ou
du végétarisme. Mais pour même cette energie même, il est interdit de sonner à
la porte. C’est raisonnable ? Je jure mon dieu. Mais je le supporte.
J’arrive chez moi la nuit. Je fume la cigarette dans ma voiture. Récemment à
minuit je fume une cigarette, à force de l’odeur de bois d’aloès et près de la
fenêtre, mais comme d’habitude c’est juste avant mon arrivée.
Je gare ma voiture. Je ferme la porte du parking et j’attends que les fanaux
s’éteignent automatiquement. Je me jette dans la voiture. J’actionne le
démarreur et j’attends que la radio se mise à marcher. Une fois bien démarré, je
cherche une chanson de « Susan » et je l’écoute dès le début. J’allonge le siège
au point que je puisse voir
le dehors. En même temps que la chanson,
j’allume ma cigarette et je regarde fixement le mur en brique du parking. Je
fixe mon regard sur les fanaux du radio jusqu’ à la fin de la chanson et de la
cigarette. Je me mets en route et je prends l’ascenseur. Je regarde le miroir sans
cesse et je dis. J’arrive derrière la porte et je me dis encore : « soit positif. Soit
positif. »
Mais au même endroit, juste derrière de la porte, tout recommence. À peine la
porte ouverte, cette chinoise chante. Tu ouvres doucement la porte, dans un
endroit sombre tu vois quelqu’un assise tout droit, les pieds croisés, les yeux
fermés, et quand tu salues doucement, la personne bouge doucement la tête.
Elle a allumé toutes les bougies et la maison est pleine de la mauvaise odeur du
bois d’aloès.
Je supporte.
D’autre part, après ces grimaces, elle doit se reposer pendant 20 minutes et
après petit à petit c’est l’heure du dîner.
Je supporte.
La table est déjà servi : un peu du bourgeon de blé avec de la rhubarbe, une
soucoupe de datte, de la sauce préparée par son amie «chère Roya », des
tomates et du céleri coupé et du maïs. L’huile d’olive, un peu de jus de raisin
qui est acheté au magasin de l’association, un panier de fruits au fond de la
table et finalement deux verres de lait au miel. Sans façon, ce régime
végétarien nous rend sans doute stérile. Aucun de ces ingrédients n’est pas
bon. Pourtant je ne dis rien.je supporte.
Je supporte ; mais tout de suite je regarde un film héroïque et criminel, qu’il
soit positif ou négatif, que le diable les emporte ces films-là. Après à loisir elle
peut répéter sans cesse : « tu es comme un chat » ou « tu n’as pas honte »ou
elle peut dire tout ce qu’elle veut. Puisque qu’il faut embêter là l’autre, tu sais,
moi je ne le sais pas ?! Qu’est-ce que c’est la honte? Quand j’allume la télé, on
dirait qu’elle regarde sa rivale.
Elle a dit : « on doit changer la direction l’antenne. »
Je ne me soumis pas du tout.
- ce n’est pas bon.
Je ne l’ai pas écoutée.
- ne l’allume pas quand on a des invités.
Je n’y ai pas fait attention.
- tu as l’air d’être malade. Ô ! Mon vieux !
Je m’en fous.
Je change.
Quelqu’un commence à pousser des cris. Il dérange les meubles. Il les jette
par-ci, par-là, les casses. Sa femme s’est accouplé au coin de la chambre,
embrassant son enfant, elle tremble a cote de la télé. La télé, on passe la
publicité. Je pense que c’est la publicité d’un shampooing. L’enfant crie sans
arrêt. Enfin l’enfant pleure. C’est normal. Tous ont la même histoire. Ce type
est alcoolique et il en abouse, sa femme travaille dur. Le prof de l’enfant est
surement au courant. Puis c’est un coup de téléphone, la police arrive, l’hôpital
et la cours des désintoxications …. Voilà ce qui se passe dans les séries
télévisées tellement chère à la famille.
J’ai dit : « c’est mieux d’avoir un enfant. »
Elle a dit joyeusement : « Oui, je suis d’accord avec toi, mais tu n’es pas dans
une bonne situation. »
- Pourquoi ?
- Ces jours-ci tu as beaucoup de stress.
- Et alors ?
- Mais, tu risques de le transférer à l’enfant.
En effet, je n’ai pas beaucoup de problèmes avec ce stress. En tout cas, pour les
habitants de cette ville, il y a des malheurs. Sans le stress, ce n’est pas possible.
Jusqu’un certain point c’est normal. Si ça arrive, personne ne doit avoir
d’enfant. Dans cette ville, il y a beaucoup de gens qui font des enfants, ça ne
change rien. Personne n’y fait attention, mais si c’est notre cas, la situation
change. Le malheur vient du fait que ce n’est pas moi qui doit diagnostiquer de
stress on non. Sinon je m’en occupais au bout d’une manière ou d’une autre.
Pour certain temps j’ai fait ne pas avoir du stress. Parfois on s’entrainait
ensemble. J’ai mis des mois entiers mais aucun résultat. J’ai essayé une autre
solution.
- Tu sais nous nous sommes d’origine Kurde et Lore.
- Oui.
- Comme ça ce n’est pas bon pour nous.
- Comment ?
- La nouvelle court bientôt disant que nous ne pouvons pas avoir l’enfant
et pour le redresser, ce sera un travail d’Hercule.
- Je m’en fous moi.
- Si ça arrive, on en fera tout un plat.
Elle a foncé les sourcils et a dit : « le stress »
- Admettons qu’il y ait le stress, mais étant crudivores et végétariens, on
ne peut pas échapper au stress.
- « Le stress »
- Écoute ma chérie, mon père est le fils ainé de sa famille et moi aussi je
le suis, c’est-à-dire le petit-fils ainé de la famille, pauvres parents, ils se
rendent interroger.
- Le stress
- Mais en provinces, ces excuses ne sont pas acceptables.
- « Le stress »
- Et encore du stress ?
La semaine suivante, je ferai installe un système numérique, direction
d’Europe. Elle était en train de mourir du chagrin. Elle se bat de toute part. Elle
s’est mise à crier. Elle a insulté tout. Elle n’a rien épargné de ces insultes. En
commençant par la fête de mariage, de la cérémonie demande en mariage et les
fiançailles. Presque un quart d’heure après, elle est arrivée à la cérémonie de
mariage. A tête reposé, elle a insulté toutes les personnes de ma famille
d’arrivé à moi-même. Et moi, e ne faisais rien que zapper. Je ne l’ai regardé
même pas de peur qu’elle se mette en colère.
- Tu deviens fou.
- « Le stress »
- Tu es sot, aliéné.
- «Le stress. »
- Tu es comme un chat.
- « Le stress »
Elle a tellement parlé et moi je répondais en leitmotiv : « Le stress. »
Donc, qu’est-ce que je dois faire quand elle se comporte comme ça. On ne peut
pas obliger. Autant que j’essaie, autant je n’arrive rien. Elle s’obstine. Aussi
ces revues ne sont pas sans effet. Elle les a classés par ordre. À la sortie de
chaque numéro, on a des disputes. Qu’elle histoire nous avons eu avec le
dernier numéro. C’est à cause de ces bagatelles qu’elle se tourne, maintenant,
devant la télé. Croyez-moi, c’est à cause de ces choses-là qu’elle n’a aucune
concentration. Sinon elle doit changer juste maintenant mais elle ne le fait pas.
Je me rappelle bien, elle le sait bien. Mais pourquoi, elle ne maitrise pas ces
exercices ?pourquoi ces mouvements équilibres ne sont pas bons ? Elle boite
du pied gauche. Elle n’arrive pas à respecter le temps. Elle fait beaucoup de
faute. Elle doit faire des exerces, Je ne sais jusqu’à quand. Pourquoi elle ne se
dégage pas ? Il faut que je change. C’est bien le tems ça doit commencer. Peutêtre il a déjà commencé. Elle sait surement le programme des jeux. Sinon elle
ne le continuait pas comme ça. Alors, elle doit m’agacer d’une façon ou une
autre. On ne peut même regarder un programme comme tout le monde. C’est
toujours comme ca.ca m’étonne. Toujours la dispute, toujours du narcissisme.
Parfois on doit accepter certaines choses, on doit se montrer plus tolèrent. Ce
n’est pas la fin du monde. Ce n’est pas la mer à boire .écoute pour une seule
fois la voix du Susan, n’écoutant pas ce maudit CD et ne serait-ce qu’une fois !
Une fois pour toute deviens supporteur d’équipe Manchester, ne se reste
qu’une fois.
Je change.
Jouer pour ainsi dire
Admettons qu’au moment présent nous vivons le passé et que je ne sais pas
depuis quand ? Admettons que cette maison est la même maison et cette boite
vide, à laquelle j’ai beau penser je ne me souviens pas son contenu, c’est la
télé. Et cette canette de bière est la télécommande effritée dont j’ai collé toutes
les pièces. Je prends la télécommande et j’appuie sur le logo de la canette afin
d’allumer la boite.
J’attends pour qu’à paresse l’image de télé. Maintenant il devrait déjà
apparaître. Il faut que je baisse la voix.je le fais. La touche des chaines était à
côté de celle de volume.il devrait être ici, quelque part. J’appuie à plusieurs
reprises pour mettre la chaine 1. C’est le journal télévise que je n’aime pas.
Maintenant j’appuie sur une autre touche et je continue de zapper. Je
retournerai sur la chaine Sport, si je comprends avoir regardé toutes les
chaines. Je mets la voix plus en haut et je fais bien attention pour bien
apprendre ce qui se passe. Admettons qu’ je retourne et que je comprends, que
c’est un programme que je n’aime pas. Je dois réduire à zéro le volume. Si je
me rappelle bien, la touche se trouve presque en haut. Ici par exemple. J‘appuie
mon doigt sur la partie supérieur de la canette et soudain un silence de mort
s’impose.
Je me prélasse sur le sac de couchage comme sur le canapé placé devant la télé.
Je tire mon veston vers moi, je le froisse et le bourre sous la main. Admettons
c’est le même coussin que tu mettais toujours au coin du fauteuil. Mine de rien,
je mets, justement, le coude sur la serrure de fermeture éclair de mon veston. Je
regarde cet appartement vacant qui n’allume que la lumière des lampes de
ville, comme tout va bien, admettons c’est la même maison et je m’assois dans
la salle. Je suis assis dans le salon. Mais je tire la liste des achats dont audessous j’ajoute « la lampe » à tâtons.
Je dois me regarder de façon rétrospective .je prends la canette et je le fait.
J’attends et j’arrête, moi-même, sur une scène que je trouve convenable. Mais
je dois retourner en arrière, je suis les images pour trouver celles de la cuisine.
Je prends un morceau de viande sur la table. Ensuite le même morceau de
viande à la main, je vais à reculons jusqu’à la cuisine.la porte du frigo s’ouvre
avant que j’y arrive. En effet Je mets dans le frigo le même morceau de viande
que j’ai pris. Je ferme la porte et je retourne toujours à reculons dans la salle.

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