UNEAP_dossiercomplementaire_fevrier2014
Transcription
UNEAP_dossiercomplementaire_fevrier2014
DOSSIER COMPLEMENTAIRE AP ARCHITECTURE & PAYSAGE N°001 / février 2014 Un condensé d’informations sur l’enseignement, la vie étudiante des écoles d’architecture et de paysage Ce dossier complémentaire au journal AP - Architecture & Paysage , n° 001 de février 2014 apporte à toute personne qui le souhaite un plus informations complémentaires. En effet, ce dossier rassemble et cela de façon encore plus précise les différents sujets que nous vous avons apportés au travers de notre mensuel. Nous avons fait le choix de réaliser un dossier complémentaire composé de deux parcours différents, celui des étudiants élus, et celui des étudiants associatifs. _PARCOURS ÉTUDIANT ÉLU Qu’est ce que le processus de Bologne ? Compléments sur les nouvelles modalités de l’AERES par Mathilde Padilla _PARCOURS ÉTUDIANT ASSO Participer à l’organisation d’un workshop. par Mathieu Duval _DIRECTEUR DE REDACTION Julien Leroy _REDACTEUR EN CHEF Mathilde Padilla _GRAPHISME Julien Leroy _CONTRIBUTEUR Mathilde Padilla - ENSA Lyon Mathieu Duval - ENSA Lyon _Toutes ces informations sont données à titre indicatifs et sont non-exhaustives. _pour nous contacter // uneap c/o PDE 14 passage Dubail 75010 Paris // [email protected] -2- _PARCOURS ÉTUDIANT ÉLU Qu’est ce que le processus de Bologne ? Le processus de Bologne, signé en 1999, a pour but de créer un système de grades académiques facilement reconnaissables et comparables, à promouvoir la mobilité des étudiants, des enseignants et des chercheurs, à assurer la qualité de l’enseignement et à intégrer la dimension européenne dans l’enseignement supérieur. Pour mieux l’expliquer voici les infos du site europa.eu qui fait la synthèse de toutes les législations européennes : « La déclaration de Bologne s’articule autour de six actions: • un système de grades académiques facilement reconnaissables et comparables qui inclut l’introduction d’un supplément au diplôme commun afin d’améliorer la transparence; • un système fondé essentiellement sur deux cycles: un premier cycle utile pour le marché du travail d’une durée d’au moins trois ans et un deuxième cycle (maîtrise) qui exige l’achèvement du premier cycle; •un système d’accumulation et de transfert de crédits du type de l’ECTS utilisé dans le cadre des échanges Erasmus; • la mobilité des étudiants, des enseignants et des chercheurs: la suppression de tous les obstacles à la liberté de circulation; •la coopération en matière d’assurance de la qualité; • la dimension européenne dans l’enseignement supérieur: augmenter le nombre de modules, de matières d’enseignement et de filières dont le contenu, l’orientation ou l’organisation présente une dimension européenne. Ensuite, en 2001 le communiqué de Prague ajoute des actions au processus : -l’éducation et la formation tout au long de la vie, un élément essentiel de l’espace européen de l’enseignement supérieur pour renforcer la compétitivité économique; • l’implication des établissements d’enseignement supérieur et des étudiants: les ministres soulignent l’importance de l’implication des universités, des autres établissements d’enseignement supérieur et des étudiants pour créer un espace européen de l’enseignement supérieur constructif; • la promotion de l’attractivité de l’espace européen de l’enseignement supérieur parmi les étudiants en Europe et dans d’autres parties du monde. En 2003 nouveaux ajouts communiqué de Berlin : avec le Lors de la conférence de Berlin en 2003, les ministres chargés de l’enseignement supérieur ont adopté un communiqué qui intègre les études doctorales et les synergies entre l’espace européen de l’enseignement supérieur et l’espace européen de la recherche dans le processus de Bologne. Les ministres soulignent l’importance de la recherche, de la formation à la recherche et de la promotion de l’interdisciplinarité pour maintenir et améliorer la qualité de l’enseignement supérieur et renforcer sa compétitivité. Ils appellent à une mobilité accrue au niveau doctoral et postdoctoral et encouragent les établissements concernés à accroître leur coopération dans les domaines des études doctorales et de la formation des jeunes chercheurs. Puis c’est en 2005 avec le communiqué de Bergen qu’il y a une vraie concrétisation des objectifs : On constate la réalisation de progrès significatifs concernant les objectifs du processus de Bologne. Les ministres souhaitaient réaliser des avancées dans les domaines suivants à l’horizon 2007: • la mise en œuvre des références et des lignes d’orientation pour la garantie de la qualité, comme le propose le rapport de l’ENQA (le réseau européen des agences d’assurance de la qualité); • la mise en œuvre des cadres nationaux de qualifications; • la délivrance et la reconnaissance des diplômes conjoints, y compris au niveau doctoral; • la création d’opportunités pour des parcours flexibles de formation dans l’enseignement supérieur, y compris l’existence des dispositions pour la validation des acquis. En 2007 avec le communiqué de Londres on entre vers l’espace européen de l’enseignement supérieur: une réponse aux défis de la mondialisation : Entre 2005 et 2007, des progrès significatifs ont été accomplis en faveur de l’espace européen de l’enseignement supérieur. Néanmoins, de nombreux défis restent à relever. Les actions devaient alors se concentrer sur: -3- • la promotion de la mobilité des étudiants et du personnel et l’élaboration de mesures destinées à évaluer cette mobilité; • l’évaluation de l’efficacité des stratégies nationales relatives à la dimension sociale dans l’enseignement; • la définition d’indicateurs et de données destinées à mesurer les progrès relatifs à la mobilité et à la dimension sociale; • l’examen des moyens à mettre en œuvre pour améliorer les capacités d’intégration sur le marché du travail en rapport avec le système de diplômes en trois cycles et l’éducation et la formation tout au long de la vie; • l’amélioration de la diffusion des informations sur l’espace européen de l’enseignement supérieur et de sa reconnaissance dans le monde; • le suivi des progrès réalisés vers l’espace européen de l’enseignement supérieur et l’élaboration d’une méthode d’analyse qualitative dans ce domaine. Communiqué de Leuven/Louvain-la-Neuve des 28 et 29 avril 2009 : Le processus de Bologne 2020, L’espace européen de l’enseignement supérieur dans la nouvelle décennie : Ce communiqué note que des progrès ont été réalisés en ce qui concerne le processus de Bologne et que l’espace européen de l’enseignement supérieur s’est bien développé depuis la déclaration de Bologne de 1999. Cependant, certains objectifs doivent encore être concrétisés et appliqués aux niveaux européen, national et institutionnel. Par conséquent, le communiqué note que le processus de Bologne devrait se poursuivre au-delà de 2010 et fixe les priorités suivantes pour la nouvelle décennie: • garantir l’égalité des chances dans l’accès à un enseignement de qualité – la participation à l’enseignement supérieur devrait être élargie; en particulier les étudiants des groupes sous-représentés devraient bénéficier des conditions nécessaires à leur participation; • augmenter la participation à l’éducation et la formation tout au long de la vie – l’accessibilité, la qualité et la transparence des informations sur l’éducation et la formation tout au long de la vie doivent être assurées. Les politiques connexes devraient être mises en œuvre en parallèle des cadres de certification nationaux et des partenariats entre tous les intervenants; • promouvoir les capacités d’intégration sur le marché du travail – les parties prenantes devraient coopérer pour améliorer les qualifications initiales et renouveler la main d’œuvre qualifiée et pour améliorer l’offre, l’accessibilité et la qualité des conseils en matière de carrière et d’emploi. En outre, les placements professionnels inclus dans les programmes d’études et l’apprentissage en milieu de travail devraient être encouragés; • définir des résultats d’apprentissage et des missions d’enseignement centrés sur l’étudiant qui devraient prévoir la création de points de référence internationaux pour différentes matières et améliorer la qualité de l’enseignement dans les programmes d’étude; • associer enseignement, recherche et innovation – l’acquisition des compétences de recherche devrait être améliorée, la recherche devrait être mieux intégrée dans les programmes de doctorat et les perspectives de carrière des chercheurs en début de carrière devraient être promues; • ouvrir les établissements d’enseignement supérieur à la scène internationale – les institutions européennes devraient internationaliser davantage leurs activités et collaborer à l’échelle mondiale; • augmenter les possibilités de mobilité et la qualité des programmes de mobilité – d’ici 2020, 20 % des diplômés devraient avoir passé une période d’étude ou de formation à l’étranger; • améliorer la collecte de données – les données devraient être collectées pour contrôler et évaluer les progrès réalisés dans la concrétisation des objectifs du processus de Bologne; • créer des outils multidimensionnels assurant la transparence – pour acquérir des informations détaillées sur les établissements d’enseignement supérieur et leurs programmes, des outils assurant la transparence devraient être développés avec la contribution des parties prenantes. Ces outils devraient être basés sur des données comparables et des indicateurs spécifiques et intégrer les principes de garantie de la qualité et de reconnaissance du processus de Bologne; • garantir le financement – de nouvelles solutions de financement diverses devraient être identifiées en complément des financements publics. Déclaration de Budapest-Vienne du 12 mars 2010 sur l’espace européen de l’enseignement supérieur Cette déclaration a marqué la fin de la première décennie du processus de Bologne et a institué officiellement l’espace européen de l’enseignement supérieur, tel qu’envisagé dans la déclaration de Bologne de 1999. Avec cette déclaration, les ministres: • ont accueilli le Kazakhstan, qui est le 47e pays participant de l’espace européen de l’enseignement supérieur; • ont souligné la nature spécifique du processus de Bologne, à savoir un partenariat unique entre les pouvoirs publics, les établissements d’enseignement supérieur, les étudiants et le personnel, et les employeurs, les agences de garantie de la qualité, les organisations internationales et les institutions européennes; • ont souligné que le processus de Bologne et l’espace européen de l’enseignement supérieur qui en a résulté sont des exemples sans précédent d’une coopération régionale transfrontalière dans le domaine de l’enseignement supérieur, qu’ils ont suscité un intérêt considérable dans d’autres parties du monde et qu’ils ont assuré plus de visibilité à l’enseignement supérieur européen à l’échelle mondiale. Les ministres ont également déclaré qu’ils envisagent d’intensifier le dialogue et la coopération politiques avec leurs partenaires dans le monde entier; • ont reconnu les conclusions de différents rapports, qui indiquent que certaines lignes d’action du processus de Bologne ont été appliquées à différents degrés et que les protestations récentes dans certains pays ont démontré que les objectifs et les réformes de Bologne n’avaient pas été correctement mis en œuvre et expliqués. Les ministres ont promis d’écouter les critiques émises par le personnel et les étudiants; • ont renouvelé leur engagement en faveur de la mise en œuvre complète et appropriée des objectifs convenus et de l’agenda prévu pour la prochaine décennie par le communiqué de Leuven/Louvain-la-Neuve. Par ailleurs, les ministres ont mis en lumière les questions suivantes: • la liberté académique et l’autonomie et la responsabilité des établissements d’enseignement supérieur en tant que principes de l’espace européen de l’enseignement supérieur; • le rôle clé de la communauté universitaire – directeurs, enseignants, chercheurs, personnel administratif et étudiants – pour faire de l’espace européen de l’enseignement supérieur une réalité; • l’enseignement supérieur en tant que responsabilité publique: les établissements d’enseignement supérieur devraient bénéficier des ressources nécessaires dans un cadre établi et supervisé par les pouvoirs publics; -4- • la nécessité de renforcer les efforts en ce qui concerne la dimension sociale pour garantir l’égalité des chances dans l’accès à un enseignement de qualité, en accordant une attention particulière aux groupes sous-représentés. » Les pays signataires du processus de Bologne de 1999 sont raappellons le : L’Allemagne, l’Autriche, la Belgique, la République Tchèque, la Bulgarie, l’Espagne, l’Estonie, le Danemark, la France, la Finlande, la Hongrie, la Grèce, l’Irlande, l’Islande, l’Italie, la Lettonie, la Lituanie, le Luxembourg, Malte, la Norvège, les PaysBas,la Pologne, le Portugal, la Roumanie, le Royaume-Uni, la Slovaquie, la Slovénie, la Suède, la Suisse. Compléments sur les nouvelles modalités de l’AERES Suite aux changements actuels dans son organisation, l’Agence d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur devient le Haut Conseil d’Evaluation de la Recherche et de l’Enseignement Supérieur HCERES. Grande nouveauté dans l ‘évaluation : les écoles doivent remplir un document d’autoévaluation qu’elles envoient ensuite au HCERES. Ils le lisent puis viennent dans les écoles avec leurs experts pour y rencontrer ses usagers. L’HCERES va ensuite donner un avis et une note qu’il transmet à la DGESIP (Direction Générale pour l’Enseignement Supérieur et l’Insertion Professionnelle). Celle-ci n’accrédite pas seule les écoles d’architecture et de paysage qui dépendent aussi du Ministère de la Culture, donc celui-ci aura son mot à dire. Nous remercions Claudia Enreich, Directrice des Etudes et des Formations de l’Ecole Nationale Supérieure d’Architecture de Lyon pour ces nouvelles informations ! Attention : les modalités étant toujours en phase de réforme, elles peuvent avoir à nouveau changer par rapport à ce qui est écrit dans l’article. Merci de votre compréhension. Les écoles d’architecture sont concernées par les évaluations de formations valant grade de Licence/Master. Attention, les évaluations se font par vagues, en ce moment c’est la vague A qui est dans l’urgence de l’évaluation (voir site AERES). Les vagues ayant été évaluées avant les changements l’ont été selon les anciennes modalités. Il faut que tout soit prêt pour une accréditation en 2016 car l’ancienne habilitation de la vague A ne sera plus valable au delà. Les accréditations et habilitations se traduisent par des décrets puisque seule la loi peut officiellement autoriser une école à délivrer des diplômes d’état. L’HMONP échappe à l’évaluation de l’HCERES. Peut-être car c’est un DSA qui ne fait pas partie des autres grandes universités donc l’HMONP n’est évaluée que par le Ministère de la Culture. L’évaluation des établissements, formations et recherches devient de plus en plus sérieuse mais toujours dans le but de donner de plus en plus d’autonomie aux écoles. Avec ce type d’évaluation l’HCERES se fait une meilleure idée du fonctionnement des écoles qu’il évalue. Pour la vague A, les dossiers d’autoévaluation sur les établissements et la recherche sont à rendre en octobre 2014. Pour ce qui est de la formation c’est encore flou : soit octobre 2014 également, soit février 2015. -5- _PARCOURS ÉTUDIANT ASSO Participer à l’organisation d’un workshop. Quoi de mieux que d’interroger des étudiants pour connaitre leurs impressions, leur ressenti et pourquoi pas connaitre des informations pouvant aider, donner envie de participer à l’organisation d’un workshop. Trois étudiant ont accepté de répondre à nos questions, voici leur profil. PC Paul Chantereau est architecte formé par l’ENSA Paris-Belleville, qui a participé en 2013 au Festivals Bellastock (sous l’Association Bellastock) CD Charles Denonfoux est étudiant en L1 à l’ENSA Lyon, respo workshop à l’Esquisse, qui organise des «workshop minute» intra école MD Marion Delcros est étudiante en M1 à l’ENSA Lyon, qui participe également à l’organisation des workshops de l’association l’Esquisse INTERVIEW avec des étudiants impliqués dans l’organisation de workshop tout autour du monde Qu’est ce qui vous a donné envie de participer à l’organisation d’un workshop ? Amener des étudiants et jeunes professionnels à expérimenter la construction à l’échelle 1:1. Continuer d’apprendre par l’expérimentation. PC CD L’envie de participer à la vie de l’école et des associations étudiantes qui s’y rattachent. MD Je suis la présidente de l’association qui l’organise. Quelles sont les principales difficultés que vous avez rencontré lors de la préparation ? PC Des difficultés logistiques et budgétaires sont les principales rencontrées lors de l’organisation de workshop. Obtenir certaines autorisations peut parfois également être compliqué. Ne pas oublier la question des assurances... Les principales difficultés liées à l’organisation de workshops m’ont semblées être celles concernant l’estimation des quantités de matériaux nécessaires à sa réalisation. MD Trouver l’argent pour les lots gagnants, trouver un sujet de workshop sympa. CD Comment avez vous vécu le déroulement du workshop, en tant qu’organisateur ? PC Très bien, sauf qu’on ne voit pas grand chose de ce qu’il se passe car l’on court partout. Mais le sourire des gens à la sortie vous prouve que vous ne l’avez pas fait pour rien! Le plus chiant, c’est le rangement... Faites gaffe à le préparer comme un projet en soi! (enfin, ça dépend de ce que vous mobiliser comme matériel...) CD Lors du déroulement, il s’agit d’assurer la coordination (ou au moins la liaison) entre les personnes qui s’occupent des stocks de matériaux, les participants, le respect du temps imparti. Il s’agit d’une tâche relativement prenante, mais néanmoins valorisante. MD Bien. largement sur mon co-organisateur) car c’est l’occasion d’apprendre à préparer un projet en équipe, de fédérer des élèves autour d’un même but, et de participer à la vie associative de l’école. (Par ailleurs, à la fin des réunions, il y a des bonbons, argument non négligeable !) MD Oui, même si parfois j’aimerai être des participants ! Participez vous cette année à nouveau à l’organisation d’un workshop ? Si oui lequel ? Et quelles informations pourriez vous nous révéler quand à son déroulement ? Festival Bellastock «Waterworld» (France + Chine), Summer Bellastock «Pimp my Descartes» (Marne-la-Vallée), Masterclass «Guinguette 1910» (Ile-SaintDenis). Voire plus si affinités... PC Au final, qu’est ce que tout cela vous a apporté, tant sur le plan de la gestion et de l’organisation que sur le plan humain ? CD PC On apprend à monter un projet, à gérer workshop art toy, des art toy sont mis a la disposition des gens pendant une à deux semaines pour etre customisé, puis les étudiants votent lors d’une soirée pour celui qu’ils preferent... des équipes, à offrir de soi pour que des gens apprennent. On apprend à gérer un budget, un planning, des mouvements logistiques, à contacter des entreprises, etc... Bref on apprend clairement à entrer dans ce qui commence à ressembler à la vie professionnelle. CD Je ne peux pas dire que je sois un modèle d’organisation, cependant, le fait de participer à l’organisation des workshops permet d’envisager avec plus de précision le temps et les moyens nécessaires pour réaliser une maquette, préparer un goûter improvisé ou trouver des cadeaux d’anniversaires à la dernière minute : il faut réfléchir vite. MD Cela m’a appris gérer de l’évenementiel, trouver une bonne date ou les gens sont dispo et travailler avec des partenaires (BDE archi lyon). Cela vous a-t-il plu de participer à l’organisation d’un workshop ? Pourquoi ? PC Oui. Et on continuera autant que possible! Ca me plait pour ce que ça m’apporte, autant que pour ce que ça apporte à ceux qui y participent. J’ai apprécié de participer à ces workshops (quoiqu’en me reposant assez CD -6- D’autres workshop «minute» vont continuer à prendre place tout au long de l’année ! MD Oui, nous aimerions mettre en place un DOSSIER COMPLEMENTAIRE AP ARCHITECTURE & PAYSAGE N°001 / février 2014 uneap c/o PDE 14 passage Dubail 75010 Paris // [email protected]