Ali Laskri est l`invité de la chaîne 2 de la radio nationale le

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Ali Laskri est l`invité de la chaîne 2 de la radio nationale le
FFS-APN:Evaluation critique
du rapport annuel 2011 de la
banque d’Algérie
Front des Forces Socialistes
Groupe parlementaire
Alger, APN le 29 octobre 2012
Evaluation critique du rapport annuel 2011 de la banque
d’Algérie par les députés FFS, Thamila Moussaoui et Nassim
Sadeg
Monsieur le Gouverneur,
La lecture de votre rapport annuel sur l’évolution économique
et monétaire pour l’année 2011 suscite beaucoup de questions
et d’interrogations. Ce dernier nous
laisse plutôt perplexes
et frustrés, ce que nous ne manquerons pas de détailler en ce
qui suit.
Nous limiterons notre intervention à soulever des aspects
précis relatifs à des
missions précises de la Banque
d’Algérie telles
que formulées
sur la
Loi Monnaie et
Crédit, notamment dans ses articles 35 et 36.
Nous focaliserons notre interventions plus précisément sur :
1 – l’inflation et l’évolution des prix en Algérie ;
2 – le taux de change du dinar: son évolution et son mode de
détermination ;
3 – et la politique de change affichée, de la convertibilité
du dinar et du/des marché(s) de la devise.
Auparavant, permettez moi, Monsieur le Gouverneur, de soulever
quelques observations de forme de votre rapport :
a)
Autant la qualité du papier utilisé est de rang
supérieur, autant sa reliure est de piètre qualité car dès
l’ouverture du document les feuilles se détachent, ce qui en
fait un rapport à manipulation très difficile.
b)
Si nous passons
au corps du texte, je vous avoue
Monsieur le Gouverneur, que pour comprendre et en retenir
quelques choses, il faut revenir à chaque paragraphe plusieurs
fois, tant le style est lourd et complexe, surtout que chaque
page est inondée d’environ 50 nombres
en chiffres
représentant des années, des taux en pourcentages, des indices
et des montants en dinars ou en dollars.
c)
Quelques fois, dans le même paragraphe, nous rencontrons
une chose et son contraire, à l’instar du 3eme paragraphe de
la page 37, qui commence ainsi :
«
La tendance baissière des cours mondiaux des produits
agricoles, entamée au premier trimestre 2011, s’est
poursuivie ;…. »
Ce paragraphe se termine par la phrase : « Cette hausse des
cours moyens des produits agricoles s’est traduite par la
forte progression annuelle de l’indice des valeurs unitaires
des biens alimentaires importés, estimée à 37,9% celui des
autres biens de consommation n’ayant enregistré qu’une légère
hausse de 1,1% »
Du début à la fin de votre rapport, nous retrouvons le même
style déroutant, qui au lieu de nous renseigner et nous
éclairer, nous frustre et nous complexe comme si nous ne
savons plus lire un rapport économique.
d)
Un dernier point sur la forme du rapport, en y
recherchant des données structurées sous forme de tableau,
notamment la situation monétaire, nous trouvons que le
sommaire des tableaux en page 173 indique la page 166 pour la
situation monétaire. Le tableau recherché se trouve en fait en
page 136et en page 184 !
Souvent nous sommes restés sur notre faim car nous ne trouvons
pas ce que nous recherchons ; par exemple des graphiques
significatifs sur l’évolution du taux d’inflation et du taux
de change du dinar, alors qu’il est affiché de beaux
graphiques en fromage, en bâtons et en surfaces hachurées pour
des sujets qui ne sont plus d’actualité tel que la dette
extérieure.
1 –L’inflation et l’évolution des prix
Il y a lieu de précisé de prime abord que la détermination du
taux d’inflation et du ressort exclusif de l’ONS, Pour la
Banque d’Algérie, le taux d’inflation doit rester une donnée
externe sinon exogène, à utiliser telle quelle. Il nous semble
lire dans votre texte comme si la Banque d’Algérie détermine
on propre d’inflation !
En page 38, vous avez occulté l’une des causes principales de
l’inflation, qu’est l’inflation importée ou plutôt la hausse
des prix à l’importation ; il ne s’agit pas seulement de la
hausse des prix des produits importés dans leur pays d’origine
mais surtout du prix de ces produits rendus en Algérie et en
dinars algériens ; c’est là que réside la cause principale de
l’inflation en Algérie, du moins durant ces trois dernières
années.
Suivant les statistiques douanières algériennes 70 à 75% des
besoins des ménages et des entreprises proviennent de
l’étranger, donc importés. La hausse des prix des produits
entrant en Algérie est due à la hausse au prix de ces biens
dans leur pays d’origine, à la dévaluation du dinar, à la
hausse des couts d’approches et des commissions de changes des
banques intermédiaires. Cette hausse des prix des produits
rendus en Algérie conjuguée à une politique budgétaire
hasardeuse explique l’essentiel de l’inflation en Algérie de
2009 à 2012. Tandis que la hausse des salaires que vous mettez
en avant est très peu significative sur l’inflation, car cette
hausse des salaires vient seulement compenser une fraction des
pertes du pouvoir d’achat antérieures d’une part, d’autre part
cette hausse nominale de revenus ne vient pas se traduire en
demande de biens de consommation pour qu’elle ait un impact
significatif et immédiat sur les prix.
2 – Le
taux de change du dinar, son évolution et son mode de
détermination
En page 65, paragraphe IV.2 Marché interbancaire et taux de
change, vous reconnaissez explicitement que la Banque
d’Algérie est le seul offreur de devises sur ce marché et
que, suivant la Loi, toutes les recettes d’exportations de
produits d’hydrocarbures et des produits miniers sont
obligatoirement cédées à la Banque d’Algérie. Sachant que les
exportations hors hydrocarbures et produits miniers
représentent moins de 2% des recettes d’exportations, nous
voyons mal, comment dans de telles conditions il peut y avoir
un marché de change ou des mécanismes de marché de changes en
Algérie. Affirmer le contraire serait simplement une fausse
vérité, pour ne pas dire un mensonge.
A travers Internet, il est aisé de retrouver toutes les
statistiques des taux de changes des monnaies des pays du
Monde. Il ressort à travers ces statistiques du taux de change
du dinar que nous ne trouvons pas dans votre rapport que le
dinar a perdu entre 6 et 30% de sa valeur par rapport aux
devises étrangères comme indiqué dans le tableau ci-dessous :
Devises
Symboles nombre de dinars nécessaires pour 1 unité de la devise X
taux de
01/01/2009
26/10/2012
dépréciation
Dollar US
USD
69,55
79,38
14,12%
Euro
EUR
96,8
102,46
5,85%
Livre sterling
GBP
101,62
127,88
25,84%
Franc suisse
CHF
65,18
84,75
30,01%
Yen japonais
JPY
0,7674
0,9933
29,44%
DTS (fmi)
XDR
107,58
121,92
13,33%
Votre politique de détermination du taux de change que vous
appelez flottement dirigé, le flottement concerne les devises
étrangères entre-elles et le terme « dirigé » revient au dinar
algérien. Ce qui signifie pas moins que le taux du dinar
algérien est déterminé/fixé administrativement. Ce qui veut
dire aussi que le dinar algérien ne s’apprécie pas, il ne se
déprécie pas non plus , sur un marché de change qui n’existe
pas. Le taux de change du dinar est actuellement soit dévalué
ou réévalué par la Banque d’Algérie de façon unilatérale.
L’utilisation d’un panier de monnaies et la formule du fameux
indice du taux change effectif réel, qui n’est rien d’autre
qu’une moyenne des taux de change des monnaies pondérée une
première fois par rapport au différentiel d’inflation et une
seconde fois par rapport au poids de ses monnaies dans les
échanges extérieurs algériens. En poursuivant la politique
actuelle,
préconisée par le FMI, Vous maintenez
inéluctablement l’Algérie
dans une spirale inflationniste,
une fois cette dernière amorcée. En effet, si une première
dévaluation est appliquée, une inflation s’en suit fatalement.
Ce qui, à travers la formule utilisée, vous oblige de nouveau
à dévaluer afin d’atteindre votre objectif de stabilité du
taux de change effectif réel comme vous l’annoncer en
conclusion à la page 68 de votre rapport.
Ainsi si le taux d’inflation en Algérie en 2011 n’était que de
4.54%, en glissement annuel de septembre 2011 à septembre
2012, l’ONS annonce déjà un taux d’inflation de 7.9%. Il y a
lieu de s’attendre à des taux d’inflation encore plus élevés
dans les prochains mois
et à des dévaluations ou des
dépréciations (si vous préférer ce second terme) du dinar
Algérien encore plus importante en 2013.
3 – de la politique de change affichée, de la convertibilité
du dinar et du/des marché(s) de la devise.
Il est indéniable de constater qu’il n’y a qu’en l’Algérie
dans tout le Maghreb où la monnaie n’est pas convertible.
Dans le Monde, les plus grands pays communistes comme la Chine
et la Russie (ex : URSS) y ont installé une convertibilité
totale de leur monnaie. Ces derniers ont compris l’importance
de la convertibilité d’une monnaie dans la libération des
énergies des peuples dans leurs propres économies.
Il est vrai que dans les textes réglementaires de la Banque
d’Algérie la convertibilité courante du dinar est consacrée,
mais dans la pratique, ceci est loin d’être une réalité.
Beaucoup de services aux entreprises restent soumis à
autorisation, les transferts au titre du revenu du travail
comme du capital ne sont pas totalement libre. Il demeure
quasiment interdit aux algériens de voyage à l’étranger ou de
s’y faire soigner à partir de leurs économies durement gagnées
(c’est quoi 140euro/an pour voyager ou 100000 da pour s’y
faire soigner ! ).
L’économie algérienne est totalement bridée, notamment Les PME
pourvoyeuses d’emplois, totalement handicapées par une
réglementation inappropriée. L’algérien n’est pas digne de
confiance (crédit document comme seul mode de règlement), on
veut faire croire que les commerçants s’enrichissent sur le
dos des autres, que les devises du pays appartiennent à l’Etat
et les dinars sont des cacahouètes pour les singes que nous
sommes. Nous sommes maintenus dans des considérations
sociopolitiques du début du siècle dernier ; Il est utopique
que nous puissions sortir de la dépendance aux hydrocarbures
sans avoir au préalable instauré une convertibilité réelle du
dinar afin de libérer les initiatives pour le développement de
la PME/PMI.
Durant la période 1990-1992, lorsque monsieur M. Hamrouche
était premier Ministre et que monsieur R. Hadj Nacer était
Gouverneur de la Banque d’Algérie, il était question de passer
à la convertibilité du dinar dès que l’Algérie aura un niveau
de réserves change adéquat (pour rappel, le niveau des réserve
de changes était très inférieur au milliard de dollars Us,
alors que la dette extérieure était de l’ordre de 25 milliards
de dollars US) Qu’en est-il Aujourd’hui ? Nous cumulons des
ressources pour cumuler des ressources !
Si nous observons maintenant votre tableau N° 11 : Situation
monétaire, nous constatons que de 2007 à 2011, les avoirs
extérieurs nets (première ligne) équivalents à nos réserves de
changes placées, sont deux fois plus importantes que la
monnaie c’est-à-dire la circulation fiduciaire hors banques à
laquelle on ajoute les dépôts à vue auprès des banques, du
Trésor et du CCP !
Ce qui signifie qu’au cas où l’Algérie opte pour une
convertibilité totale du dinar, et que tous les algériens
demandent simultanément à convertir leurs avoirs en devises
étrangères,
au taux de change
actuel, les réserves de
changes du pays suffiront pour couvrir deux fois toute la
monnaie créée précédemment. Nous savons pertinemment que tous
les algériens ne demanderont pas tous à convertir leur avoir
en devises, car la plupart des algériens n’ont pas de pays de
rechange, ils auront toujours besoin de dinars pour leurs
transactions en Algérie. Ils se rendront très vite compte que
leurs avoirs/économies seront plus en sécurité dans leur
propre pays qu’ailleurs. De toute façon ceux qui voudraient
partir, rien ne les empêchera de partir s’ils ne sont pas déjà
partis, L’Etat et d’abord la Banque d’Algérie, devrait se
restreindre à encourager les algériens à travailler, à
s’enrichir honnêtement et à payer leur impôts régulièrement au
lieu de brandir tous azimuts des menaces répressives pour les
décourager et les surmener. Il faut arrêter de considérer que
tout algérien est fraudeur jusqu’à ce qu’il prouve son
innocence, la présomption d’innocence doit prévaloir en toute
circonstance. Le droit positif doit être privilégié en tout
lieu si l’on veut construire une Algérie sereine et prospère
pour la liberté et le bien-être des algériens. Je termine mon
exposé en donnant succintement
un point de vue sur la
cacophonie actuelles sur le marché noir des devises : Tous le
monde sait que la Nature a horreur du vide, comme les
algériens sont très ingénieux, ils trouveront toujours des
parades aux incohérences du système. Si demain il est instauré
une convertibilité réelle du dinar algérien, alors le marché
noir de la devise et l’économie informelle disparaîtront d’eux
mêmes. Lorsque l’algérien se sentira en sécurité chez lui en
Algérie, il s’y investira totalement et y placera certainement
toutes ses économies honnêtement gagnées.
Merci de Votre attention
Militants
défendez
votre
parti !
Arezki DERGUINI
Mardi 24 Juillet 2012
Beaucoup de voix se
lèvent pour faire
appel au président
pour gérer la crise
que
traverse
la
prétendue crise au
FFS. Prétendue, car
largement fabriquée,
contrôlée. Pour ma
part, je tends à
croire qu’Ait Ahmed
n’interviendra pas
maintenant, parce qu’il sait que fasse aux médias, dont les
injonctions le laisseront insensibles, il faut pouvoir peser,
et qu’il ne veut pas faire l’économie du travail de la société
sur elle-même. Travail qui fera la consistance de l’expérience
du parti. De plus, il n’a pas attendu la dernière minute pour
se préparer à la séparation avec son parti. Il a trop
longtemps entendu des amis du parti lui répéter qu’après lui
le FFS disparaîtrait. Je peux ajouter que dans la conjoncture
mondiale et régionale actuelle, il est fort possible qu’il
n’est plus besoin de son parti. Car dans l’opinion publique on
admet depuis longtemps qu’il faille distinguer entre le leader
et son parti. Les plus anciens militants ne font plus
allégeance qu’au maître et non à son instrument. Dans notre
régime que j’ai décrit un jour comme “nidham al mekhfi”, il
n’est pas difficile de se convaincre qu’il faille se méfier
davantage de ses amis que de ses ennemis. Ceux-là sont
découverts, gardent la distance ou respectent des règles, ces
autres cachent beaucoup de travestis en tout genre et usent de
toutes les ressources pour vous discréditer, vous éliminer.
Par son silence, ce qu’il m’est donné de comprendre, mais pas
seulement, c’est qu’un jour il ne pourra plus répondre,
intercéder et que ce sera aux militants de défendre leur parti
car ce sont eux bientôt qui le porteront seuls. Et
aujourd’hui, antichambre de demain, ce sont eux qui ont et
auront besoin de leur parti, devront apprendre à gérer et
régler leurs différends. Ceux qui se disputent aujourd’hui la
succession d’Ait Ahmed, veulent soit détruire le parti et ceux
là sont conséquents, soit hériter d’un appareil commode parce
que déjà là, pour réaliser leurs ambitions personnelles. Mais
ceux-là sont moins conséquents que les premiers car il leur
faut un appareil performant pour réaliser leurs objectifs, il
leur faut de vrais militants pour tirer une plus value de leur
militantisme. Les opportunistes existeront toujours, les
contrats resteront toujours imparfaits, il est illusoire de
penser les éradiquer. Les opportunistes ont donc besoin du
travail des vrais militants dont ils profitent, alors que ceux
qui veulent le détruire aspirent au contraire à les priver de
cette ressource indispensable. Aussi comprendront-ils
rapidement qu’il est de leur intérêt de sauvegarder le parti
et de le défendre de ceux qui le disputent au risque de
l’anéantir. S’il faut défendre le parti des opportunistes, et
particulièrement de ceux qui sont aveugles, ce sont donc de
ceux qui veulent le détruire qu’il faut en priorité le
défendre.
J’estime que le début de la fin “de la dernière dictature du
Maghreb”, commencera avec l’épreuve et le résultat des
élections présidentielles. Pensez-vous que le régime algérien
aurait pu faire ce qu’il a fait en 1998 dans le contexte
actuel ? Impossible. Mais lui a besoin de croire le contraire
et il a besoin d’en être conforté par la société. Voilà le
climat dans lequel nous devrions nous sentir, trouver notre
chemin afin que le dénouement ne soit pas semblable à celui de
la Syrie ou quelque chose de pas éloigné. Aussi un de ses
objectifs sera-t-il de détruire toutes les oppositions qui
peuvent menacer le consensus prégnant en son sein (“sans lui
point de salut”), et qui pourraient accroitre les dissensions
et les défections en son sein. Nous en appelons à la sagesse
afin que les présidentielles soient le moment du début d’une
véritable réconciliation. Je suis convaincu que le régime et
ses profiteurs n’auraient pu tenir s’il n’avait ses honnêtes
travailleurs. A mes yeux, ceux qui veulent détruire le parti
nous font miroiter l’image d’un pouvoir un. Mystification ! Je
peux aller jusqu’à dire, et je ne suis pas le seul, que tout
le monde en fait partie mais dans certaines proportions. Et
c’est pour cette raison que cela va changer et que le
changement pacifique est possible si la trame du pouvoir est
bien comprise.
Militants défendez votre parti, vos associations et rappelez
vous que nous sommes tous des mortels mais que des combats on
survécu aux hommes tant qu’ils n’avaient pas connu leur terme.
Abdelhamid MEHRI est parti sans pouvoir voir se lever le jour
d’une libération du pays de la dictature, fasse Dieu que
Hocine Ait Ahmed connaisse un autre destin !.
Rencontre
avec
coordinateurs
des
Béjaia.
les
CAS
à
Après l’installation des commissions administratives
fédérales, les sections du parti se mobilisent !
En prévision de la tenue des congrès de sections ,la
commission administrative fédérale de Béjaia a réuni les
coordinateurs de sections.
En présence de deux secrétaires nationaux du parti , Meziani
Brahim et Sadeg Nassim ainsi de deux députés Chabati Rachid et
Djenane Baya , la commission administrative fédérale de Béjaia
dirigée par le député Khaled Tazaghart a procédé à la
distribution des documents nécessaires au bon déroulement de
l’opération organique engagée depuis le 30 Juin passé au sein
du parti .
Les animateurs de cette rencontre sont longuement revenus sur
les objectifs politiques et organiques de ce processus qui
mènera le parti à aborder les échéances futures dans de les
meilleures conditions.
Notons que ce week end a vu l’installation de plusieurs
commissions administratives de sections à travers le
territoire national ..
Historique ! le FFS a réussi
le
pari
de
monter
une
fédération à Constantine.
Après avoir réussi à arracher un siège de députation à
Constantine à travers Melle Hamrouche Ouijdane, le parti vient
de réaliser un nouvel exploit qui consiste à y monter une
fédération. C’est le résultat logique d’un travail de fond ,
de sérieux et d’abnégation de toutes celles et ceux qui ont su
éxploité,au bon moment , l’élan de sympathie et de respect
manifesté par les Constantinois envers le parti durant les
élections législatives passées .
En présence du premier secrétaire national Ali Laskri , la
députée Hamrouche Ouijdane ainsi que nombreux cadres du parti
de l’EST, Ce congrès a vu l’élection du camarade BOUCHAFA
ABDELMALEK comme 1er secrétaire fédéral du FFS à Constantine.
L’effet marquant de cette rencontre aussi, c’est la présence
de deux militants de 1963,une présence qui a ému toute
l’assistance.le chemin qu’ils ont tracé va sans doute être
continué par cette nouvelle équipe qui vient d’être mise en
place .
.
Installation de
Bordj Bouarrérij
la
CAF
de
Les camarades BRAHIM MEZIANI secrétaire national ainsi que
Derguini Arezki député ont procédé à l’installation officielle
de la commission administrative fédérale à Borj Bou Arrérij et
ce en
présence des deux députés FFS de la Wilaya ,Abbas
Abdelhamid et Fatmi Sabira.
Lors de cette rencontre qui a drainé beaucoup de militantes et
militants , les conférenciers ont fait un
exposé sur la
situation politique dans le pays et ont expliqué la stratégie
de notre parti ,qui consiste à travailler en faveur de la
réhabilitation de la politique au sein de la société.Ils n’ont
pas oublié de signaler toute l’importance d’avoir eu deux
sièges de députés au sein de cette willaya qui demeure l’un
des fiefs historiques du parti dans le pays .
.