Julien Duvivier entre Paris et Hollywood : le cheminement des images

Auteur : Christian Viviani
Présenté par:
Claudiane Labrosse
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Julien Duvivier : son expérience
Pépé le Moko (1937) versus Casablanca
(1942)
◦ Le lieu d’exil
◦ Le lieu du souvenir
◦ La transparence
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Réalisateur français
Grand succès:
◦ Un carnet de bal (1937)
◦ Pépé le Moko (1937)
◦ Toute la ville danse/The Great
Waltz (1938)
◦ Lydia (1941)
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Comment se démarque-t-il?
◦ « la production hollywoodienne (…) était venue le
chercher » (p. 122)
◦ The Great Waltz (1937)
◦ Son adaptation
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Il est engagé par MGM pour un seul film
Il a participé au tournage de Marie Antoinette
Retourne par la suite en France
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Trois films:
◦ Tales of Manhattan (Six destins, 1942)
◦ Flesh and Fantasy (Obsessions, 1943)
◦ L’imposteur (The Impostor, 1944)
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Réalisateur : Julien Duvivier
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Réalisateur : Michael Curtiz
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Exemples
◦ Pépé le Moko
◦ Casablanca
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Carte
Situé outremer
Labyrinthe, ruelles, surpopulation
Décor représente le chaos moral
Chaleur (soleil, sueur)
L’éventail
Endroit clos
Prison mentale
Impossible de s’échapper
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Chansons qui rappelle des souvenirs
◦ Pépé le Moko : « Où est-il mon moulin de la place
Blanche… ? »
◦ Casablanca : « As Time Goes By »
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Différences entre les deux scènes
◦ Personnage secondaire prend de l’ampleur alors
que le personnage principal est n’est pas au centre
de la mise en scène
◦ Personnage principal est au centre de la mise en
scène
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Extraits
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La transparence: « Simuler une scène
d’extérieur en faisant jouer un acteur face à
des plans projetés en arrière plan » (p. 131)
« maîtres cinématographique du clairobscur » (p. 131)
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Exemples
◦ Pépé le Moko
◦ Casablanca
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Ressemblance des films et des réalisateurs
La démarche ne change pas
« Il s’agit de créer des images et des sons et
de les mettre en relation rythmique pour
construire le film » (p. 133)