DOCUMENT - Chambre d`agriculture de l`Indre

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DOCUMENT - Chambre d`agriculture de l`Indre
Parmi les élevages enquêtés, les trois quarts déclarent
qu'ils auront toujours des chèvres en 2012.
17 % des éleveurs ne se prononcent pas sur l'avenir de
l'atelier caprin sur leur exploitation. Ils gèrent des exploitations de taille plutôt importante avec en moyenne 130
chèvres sur 100 hectares. La moitié de ces éleveurs sont
en système "caprins et cultures de vente", et la moitié
d'entre eux sont des fromagers.
Remarque : Enquête réalisée avant la hausse du prix des
céréales.
Un élevage sur 3 envisage d'augmenter
la taille de son cheptel
60 % des élevages enquêtés envisagent de maintenir la
taille de leur troupeau dans les 5 ans à venir. Ces éleveurs
âgés aujourd'hui de 41 ans en moyenne, élèvent 132
chèvres. La moitié d'entre eux sont des éleveurs laitiers,
l'autre moitié des fromagers.
Un tiers des élevages envisagent une augmentation de
cheptel. Aujourd'hui, ils sont déjà un peu plus grands
(163 chèvres en moyenne sur 86 hectares) que les précédents et les éleveurs un peu plus jeunes. Ce sont plutôt
des éleveurs laitiers spécialisés.
Les quelques éleveurs (7 %) qui envisagent une diminution de la taille de leur cheptel sont majoritairement des
fromagers.
Embauche ou installation
dans un quart des élevages
Concernant l'évolution de la main d'oeuvre à 5 ans, 15
éleveurs (147 réponses) envisagent une diminution de
main d'oeuvre. 17 éleveurs prévoient une installation sur
l'exploitation et 19 une embauche.
D O C U M E N T
Avenir incertain de l'atelier caprin
dans 1 élevage sur 5
47 % des éleveurs enquêtés viennent de l’Indre et Loire. Suivent ensuite l’Indre (26 %), le Cher (17 %), le
Loir et Cher (6 %) et le Loiret (4 %).
Dans la plupart de ces élevages, cette augmentation
de main d'oeuvre va de pair avec une augmentation du
nombre de chèvres.
La moitié des exploitations caprines ont le statut
d’exploitation individuelle.
En plus de la main d’œuvre
familiale (1,5 UMO), elles
emploient en moyenne un
salarié à quart temps pour
exploiter 61 ha. 27 ha de cette
surface sont consacrés à l’alimentation des animaux et en
particulier des 126 chèvres.
Les 2/3 de ces exploitations
livrent leur lait en laiterie.
CENTRE
D'après ces enquêtes, l'avenir de la production fromagère est incertain. Ce constat avait déjà été fait lors de la
première enquête menée en 2000. Il semble donc urgent de mener des actions pour enrayer ce déclin. La hausse
du prix des céréales et des matières premières fragilise l'ensemble des élevages surtout s'ils sont spécialisés.
Ce contexte rend plus incertain le maintien de l'atelier caprin dans les exploitations avec cultures de vente.
6
Les travaux conduits dans le cadre des réseaux d’élevages «ROSACE» sont réalisés par les Chambres d’Agriculture de l’Indre,
du Loir et Cher et du Cher et les Contrôles Laitiers de l’Indre et Loire et du Loiret.
Ils sont coordonnés par la Chambre Régionale d’Agriculture du Centre en collaboration avec l’Institut de l’Elevage.
Ils bénéficient du concours du GIE Lait-Viande Centre et du soutien financier du Compte d'Affectation Spéciale
pour le Développement Agricole et Rural géré par le Ministère de l'Agriculture et de la Pêche,
de l’Office de l’Elevage et du FEOGA.
Enquête réalisée en 2007 - Mise en page : Valérie LOCHON - Mars 2008
STATUT
Individuel
GAEC
EARL
Autre
Ensemble
Nombre d’éleveurs
141
61
78
12
309
Moyenne UMO familiale
1,5
2,7
2
2
1,9
Moyenne UMO salariée
0,2
0,4
0,6
0,7
0,4
Moyenne SAU
61
143
102
88
89
Nombre d’élevages
laitiers (1)
93
47
41
6
187
Nombre d’élevages
fromagers (1)
59
24
36
6
125
Nombre d’élevages en vente
Les GAEC représentent 20%
15
7
17
3
42
à l’affineur (1)
des exploitations. Le plus jeuMoyenne nombre de chèvres
126
171
158
131
147
ne associé des GAEC est âgé
de 36 ans. La main d’œuvre
(1) certains élevages peuvent être comptabilisés plusieurs fois
familiale s’élève à 2.7 UMO
pour exploiter des surfaces
plus grandes (143 ha) avec plus de chèvres (171). Les 3/4 de ces exploitations sont laitières.
L’âge moyen des éleveurs est de 42 ans
CHAMBRES
D’AGRICULTURE
COORDINATION REGIONALE
Nicole BOSSIS - Institut de l'Elevage 05.49.44.74.94.
50 % d’exploitations individuelles
Enfin, les EARL représentent 27 % des exploitations. Elles emploient 2 UMO familiales et 0,6 UMO salariée.
Elles ont des dimensions intermédiaires entre les deux autres types d’exploitations caprines.
Ont participé à la rédaction de ce document :
ANIMATION DEPARTEMENTALE
Florence PIEDHAULT - Chambre d'Agriculture de l'Indre 02.54.61.61.31.
Benoît FOISNON - Chambre d'Agriculture du Loir et Cher 02.54.55.20.00.
Vincent LICTEVOUT - Touraine Avenir Lait 02.47.48.37.55.
Karine LAZARD - Chambre d'Agriculture du Cher 02.48.23.04.00.
Aline CARTASSO - AOC Valençay 02.54.00.13.98.
Jean-Yves LHERIAU - CAIAC 02.38.67.20.68.
Cécile NAVELET - ARDEPAL 05.55.10 37 90
Cette enquête a été réalisée par les techniciens
hniciens des Contrôles Laitiers de la région, l’AOC Valençay
et l’EDE d’Indre et Loire dans 309 exploitations, soit dans près de 30 % des élevages de la région.
Celles-ci détiennent 34 600 chèvres et produisent 27,7 millions de litres de lait, soit 42 % de la production régionale.
CENTRE
CENTRE
Deux tiers ont plus de 50 ans.
Les jeunes exploitants (moins
de 35 ans, 29 % des enquêtés),
sont plus souvent en GAEC (44 %
d’entre eux). Ils exploitent de plus
grandes surfaces, en moyenne
100 ha.
La situation des fromagers est
un peu inquiétante. En effet,
63 % de ces éleveurs ont plus de
50 ans et ils sont à peine plus d'un
tiers à avoir moins de 40 ans.
Parmi les moins de 35 ans, un
seul éleveur est strictement fromager.
1 chevrier sur 2 est spécialisé
Positionnement des éleveurs enquêtés selon la typologie ROSACE
•
47 % des éleveurs sont spécialisés : Ces exploitations sont de taille modeste 40 ha de SAU dont 26 ha de SFP et
138 chèvres de moyenne. Les 2/3 des exploitations sont en individuel et un quart des chefs d’exploitation sont seuls
sur la ferme. Si elles détiennent un peu moins de chèvres que les autres, c’est qu’elles englobent le plus souvent les
exploitations fromagères. Ce sont ces éleveurs qui désaisonnent le plus lorsqu’ils sont laitiers : 68% de leur mises
bas adultes ont lieu avant le 30 novembre. Dans un contexte de prix des matières premières élevés, ces exploitations
spécialisées sont fragilisées.
•
42 % des éleveurs sont aussi des céréaliers : ils exploitent 130 ha. Ces éleveurs sont majoritairement livreurs de lait.
Avec 100 ha de grandes cultures, l’évolution de ce système, et donc l’avenir de l’atelier caprin peuvent être influencés
par toute modification du prix des marchés, de la PAC et de la main d’œuvre.
Caprins et bovins
lait
Caprins et bovins
viande (1)
Caprins et
grandes cultures (2)
Caprins
spécialisés
Nombre d’éleveurs
12
19
125
138
Moyenne UMO familiale
2,9
2,1
2,1
1,6
Moyenne d'âge
39
38
41
41
Moyenne SAU
118
155
130
40
Moyenne SFP
77
105
30
26
Moyenne nombre de chèvres
149
149
151
138
Moyenne lait par chèvre (kg)
933
772
867
829
(1) au moins 30 UGB bovins viande
(2) au moins 40 ha de cultures de vente et 50 % de la SAU en cultures de vente
•
6 % des éleveurs sont aussi éleveurs de bovins viande avec 83 bovins : ce sont eux qui détiennent les plus grandes
surfaces, 155 ha en moyenne, dont les 2/3 en fourrages, pour les animaux dont 149 chèvres en moyenne.
•
5 % de bovins lait avec 52 vaches en moyenne. Avec une main d'œuvre importante, près de 3 UMO familiales, ils exploitent 118 ha de SAU dont la majorité est consacrée à l'alimentation des troupeaux. Ils sont presque exclusivement
laitiers.
•
54 % des éleveurs enquêtés sont livreurs de lait
37 % des éleveurs transforment la totalité de leur lait
•
En deuxième position arrive le système spécialisé
fromager (21 %) : Sur des petites surfaces (32 ha)
dont la moitié en fourrages, 1,8 UMO familiale et 0,6
salarié élèvent 111 chèvres. Dans le Loiret et le Loir et
Cher, ce sont les systèmes les plus présents.
•
21 % des exploitations de la région, sont en système "grandes cultures, laitier". Sur 127 ha en
moyenne, 2 UMO familiales et 0,1 salarié élèvent 159
chèvres.
•
La combinaison "grandes cultures, fromager " représente 19 % des exploitations de la région. Ces
exploitations ont 138 ha et transforment le lait de
145 chèvres. Ce sont les plus grandes consommatrices de main d'œuvre salariée : 1 UMO. La moitié de
ces exploitations sont en Indre et Loire.
309 éleveurs
2
167 éleveurs
laitiers
15 éleveurs
en vente à l'affineur
127 éleveurs
fromagers
54 %
5%
41 %
1,81 UMO
dont 0,13 UMO salariée
1,88 UMO
dont 0,06 UMO salariée
2,78 UMO
dont 0,78 UMO salariée
94 ha SAU
41 ha SFP
161 chèvres
73 ha SAU
27 ha SFP
141 chèvres
85 ha SAU
27 ha SFP
127 chèvres
• 3 d'entre eux vendent une
partie de leur production
en direct (2 % du volume
produit)
• 28 d'entre eux livrent une
partie de leur lait à la laiterie
(51 % du volume produit)
La combinaison "type de produit" et "système" la
plus fréquente de la région est "spécialisé, laitier" :
23 % des éleveurs sont dans ce cas. Sur une superficie de 45 ha dont 31 ha de surface fourragère, 1,4
UMO familiale élève 164 chèvres. Ce système est le
premier système dans l'Indre et l'Indre et Loire.
•
Les éleveurs qui ont aussi des bovins viande, (5 %)
sont tous laitiers. Ils cultivent 155 ha dont les deux
tiers en fourrages, pour nourrir 153 chèvres et 65 vaches allaitantes. Ces élevages sont dans le Berry.
•
Enfin, 4 % des exploitations, sont en système "bovins lait, laitier", sur 131 ha dont
85 de fourrages. C'est dans ces exploitations
que l'on retrouve le plus de main d'œuvre :
3,1 UMO familiales et 0,3 salarié élèvent 169 chèvres
à côté de 55 vaches laitières.
• 30 vendent une partie de
leur production à un affineur
(44 % du volume produit)
5
2 fois plus d’éleveurs au vert ! (sur 171 élevages)
•
Les systèmes alimentaires dominants sont ceux basés sur «foin de légumineuses» et sur «foin de graminées».
Ces deux systèmes alimentaires sont présents dans près de la moitié des élevages, sauf dans le Cher où 32% des
troupeaux ont une alimentation basée sur l’affourragement en vert ou le pâturage. Ces 2 systèmes alimentaires sont
présents dans des troupeaux plus petits (121 chèvres en moyenne). Au contraire, le système enrubanné se retrouve
dans les plus grands troupeaux (210 chèvres en moyenne).
Systèmes alimentaires 2007
Ensilage de maïs
Foin + déshydratés (1)
Foin de graminées
Foin de légumineuses
Foin de graminées et de légumineuses
Vert/pâturage
Enrubannage
(1) au moins 110 kg de déshydratés par chèvre par an
Toujours en recherche du système idéal, trois quart
des éleveurs ont changé au moins une fois de système alimentaire en 6 ans. Les changements observés concernent tous les systèmes et sont très divers.
Seul l’ensilage de maïs est une option qui n’a pas été
retenue compte tenu sans doute des conditions de
production des AOC.
A échantillon constant, tous les éleveurs en système
«foin + déshydratés», ont changé de système et ont
mis en place des systèmes plus fourragers. Le découplage des aides, le coût de la ration, les conditions
de production des AOC, la santé du troupeau... sont
les principaux facteurs expliquant cette évolution.
•
Le système «foin + déshydratés » est en recul. Il s’était beaucoup développé sur la décennie 90 pour la régularité
de la ration qu’il procure, la simplification du travail liée à l’alimentation mais aussi pour la surface fourragère libérée
pour mettre en place plus de cultures primées.
•
80 % des éleveurs autoconsomment leurs céréales.
•
1 éleveur sur 2 utilise des déshydratés, en moyenne 385 g par jour par chèvre.
•
24 % des troupeaux pâturent : seulement un quart sortent aussi les chevrettes. 4% supplémentaires projettent le
pâturage. Ces élevages sont peu différents des autres en terme de structure, ils détiennent des troupeaux équivalents en nombre de chèvres : 135 contre 142 chèvres pour les autres. Par contre, la SFP consacrée aux caprins est
plus importante dans ces élevages : 5,7 chèvres par ha, contre 7,6 pour les autres élevages ; ils désaisonnenent moins
leurs mises bas. En terme de production laitière, les performances sont voisines : 808 kg de lait pour les éleveurs qui
pâturent contre 854 pour les autres.
Systèmes alimentaires 2000
L’agrobiologie est peu présente dans l’élevage
caprin de la région voire régresse depuis 2000 :
Ensilage de maïs
2 % des élevages sont en bio, en conversion
Ensilage de maïs et d’herbe
ou en projet, contre 6 % il y a 7 ans.
•
Foin de graminées
•
1 264 g de concentrés au pic de lactation :
Foin de légumineuses
c’est ce que reçoivent en moyenne, les chèvres
Foin de graminées et de légumineuses
des élevages enquêtés. Le système alimentaire
Vert
Enrubannage
le moins consommateur de concentrés est
celui basé sur l’ensilage de maïs, avec 981 g
au pic de lactation, puis vient le pâturage/vert
avec 1 152 g. A contrario, c’est en «foin + déshydratés» que les éleveurs apportent le plus de concentrés aux chèvres, en moyenne 1 355 g, auxquels il faut ajouter
500 g de déshydratés par jour.
Même rapportés à la production par chèvre, les systèmes les plus fourragers sont les moins consommateurs de
concentrés : c’est le système «ensilage de maïs» le plus efficace, puis les systèmes «vert/pâturage» et «foin de légumineuses». Ceux qui demandent
Performances et complémentation par système alimentaire
une complémentation plus imLait par
Quantité de
Quantité de
portante, sont les systèmes
Systèmes
Nombre
chèvre concentrés en g/jour déshydratés en g/jour
«foin+déshydratés» et «foin
alimentaires
d’élevages
(kg)
au pic de lactation
au pic de lactation
de graminées».
40 % des éleveurs distribuent
des graines de tournesol ou
songent à le faire.
10 % des enquêtés utilisent
des tourteaux fermiers de
colza ou de tournesol.
4
Foin de graminées
Foin de légumineuses
Foin de graminées
et légumineuses
Foin et déshydratés *
Pâturage ou
affouragement en vert
Enrubannage
Ensilage de maïs
37
39
787
909
1 306
1 308
255
166
23
884
1 293
174
21
842
1 350
499
36
821
1 152
150
7
8
872
930
1 328
981
136
50
* au moins 110 kg par an
Des choix techniques portés sur la génétique et le désaisonnement de la production
(150 réponses concernant les élevages au Contrôle Laitier)
53 % des éleveurs inséminent : ces élevages ont en
moyenne 97 kg de lait en plus par chèvre, avec plus de
TB (+ 0,6 point) mais surtout plus de TP : + 0,9 pt.
•
34 % sont adhérents à Caprigène (près de 50 % dans
l’Indre et Loire et le Loiret).
1 élevage sur 2 fait de l’insémination artificielle. Parmi
ces éleveurs, deux tiers sont adhérents à Caprigène.
1 élevage sur 2 a des mises bas avant le 30 novembre. Pour
30% d’entre eux, cette pratique concerne 100 % des mises
bas (c’est surtout le cas dans le Cher, l’Indre et le Loiret).
47 % des élevages font du désaisonnement lumineux,
ce sont essentiellement des élevages de l’Indre et du
Cher. 1/4 utilisent en plus la mélatonine sur une partie
du troupeau.
845 kg de lait par chèvre, c’est la moyenne des
230 éleveurs pour lesquels on dispose de l’information. Pour les seuls adhérents au contrôle
laitier enquêtés, la moyenne s’élève à 862 kg/ch
avec des taux de 35,9 g/kg et 31,9 g/kg.
La progression depuis l’enquête de 2000, montre ainsi
une augmentation de 44 kg de lait, 1,2 g/kg de TB et
autant de TP. Sur la même période, les élevages se sont
agrandis de 28 chèvres, pour atteindre près de 150 chèvres par troupeau.
Près d’un quart des troupeaux montre une performance
inférieure à 750 kg de lait par chèvre et par an, ce qui est
souvent pénalisant dans les conditions moyennes d’élevage de la région. Un autre quart des élevages est à plus
de 950 kg/ch.
Caractéristiques par département
Cher
Indre
Indre et
Loire
Loir et
Cher
Loiret
Région
Centre
Nombre d’éleveurs
52
82
145
19
11
309
Nombre d’UMO familiale
1,9
1,8
2
1,6
2,1
1,9
Moyenne UMO salariée
0,4
0,3
0,4
0,9
0,1
0,4
Moyenne SAU
108
87
89
55
79
89
Moyenne SFP
47
35
31
28
44
35
Nombre d’élevages laitiers (1)
30
57
95
8
6
196
Nombre d’élevages fromagers (1)
20
28
67
11
4
130
Nombre d’élevages en vente à l’affineur (1)
12
10
18
2
2
43
Moyenne nombre de chèvres
148
136
156
142
143
147
Moyenne lait par chèvre (kg)
789
828
869
877
948
845
Moyenne TB (g/kg)
36,1
36,3
35,9
35,8
34,6
35,9
Moyenne TP (g/kg)
31,4
31,4
32,4
32,0
31,8
31,9
(1) certains élevages peuvent être comptabilisés plusieurs fois
Concernant la distribution des concentrés, deux tiers
des élevages ne sont pas mécanisés, ils détiennent
130 chèvres en moyenne. 7 % sont équipés pour distribuer en salle de traite et 17 % disposent de distributeurs
automatiques de concentrés, fixes ou mobiles.
Près de 15 % des éleveurs sont équipés de déposes pour
20 griffes en moyenne, 9 % prévoient de s’équiper.
Parmi les éleveurs enquêtés, 6 pratiquent la monotraite
sur une partie plus ou moins longue de la lactation et 15
l’envisagent.
Des projets sont en cours dans 12 % des élevages.
3