Chapitre 5 : la diversité des analyses en matière de développement

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Chapitre 5 : la diversité des analyses en matière de développement
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Chapitre 5 : la diversité des analyses en matière de
développement
Les approches orthodoxes
L'approche de Rostow
L'approche dualiste (W-A.Lew is)
Le cercle v icieux de la pauv reté
L'approche de Hirschmann
L'impact de ces théories
La pensée orthodoxe à partir des années 1980
Les approches hétérodoxes
Le courant structuraliste
École de la dépendance
L'approche néo-marxiste
La croissance démographique, cause ou conséquence du sous-dév eloppement ?
La diversité des situations constatées dans le Tiers Monde peut être reliée à la très grande diversité
de pensée en matière de développement. Un débat vif entre les courants qu'opposent les points de
vue idéologique et théoriques a influencé les politiques de développement.
De façon schématique, on peut distinguer trois types d'approche du développement :
Les approches orthodoxes qui refusent les analyses en terme de centre et de périphérie.
Les approches hétérodoxes du développement qui mettent en cause le système capitaliste
pour expliquer le sous-développement.
Une analyse qui met l'accent sur la croissance démographique comme cause et conséquence
du sous développement.
Les approches orthodoxes
L'approche de Rostow
Pour Rostow, le développement est un processus historique linéaire qui se déroule en passant par
cinq étapes consécutives :
Dans un premier temps, la société traditionnelle impose son conservatisme, stérilise l'initiative
individuelle et se contente d'une survie durement acquise.
L'étape des préconditions au décollage voit la création d'infrastructures, d'un appareil d'État et
l'apparition d'entrepreneurs.
L'étape de décollage survient alors, à condition toutefois que le taux d'investissement atteigne
au moins 10 % du revenu (ce que l'aide étrangère en complétant l'épargne domestique doit
permettre). A partir de là, le développement devient endogène, car, à ce taux d'investissement,
une croissance minimale est assurée qui permet la hausse rapide de l'épargne domestique,
laquelle garantit à son tour un investissement plus élevé.
" La marche vers la maturité" est la quatrième phase. Le taux d'investissement s'élève à 20 %
du revenu national; les progrès techniques se généralisent.
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L'ère de la consommation de masse est la phase ultime du développement.
Pour Rostow les pays ont suivi et suivent ce cheminement. Alors que les États Unis ont atteint la
cinquième phase vers 1920, la France et l'Allemagne à la veille des années 50, et le Japon vers
1955. Les pays du Tiers Monde seraient sur le chemin qui les mènera à cette phase.
Cette étude a eu une portée importante car elle mettait l'accent sur l'industrialisation, sur la relation
entre investissement en capital et croissance économique et sur le lien entre la croissance
économique et le développement général de la société. Elle regroupait bon nombre d'idées
politiques proposées dans les années 50 et 60.
Des critiques ont fait remarquer à l'époque que les pays du Tiers Monde se trouvent soumis à la
domination des pays développés ce qui n'était pas le cas de l'Europe lors de son décollage.
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L'approche dualiste (W-A. Lewis)
Ce courant met l'accent sur une caractéristique des pays en voie de développement : le dualisme
économique, technique et socioculturel. Dans ces pays coexistent un secteur capitaliste moderne et
un secteur traditionnel :
Le premier rassemble les filiales des grandes entreprises et les grandes plantations qui
emploient une main d'œuvre salariée, qui vendent des produits avec une marge bénéficiaire et
utilisent des techniques modernes;
Le second se compose d'entreprises individuelles ou familiales dans lesquelles la productivité
est extrèmement faible. Les travailleurs consomment la totalité de leur production. Les salaires
dans le salaire capitaliste sont légèrement supérieurs aux revenus de subsistance du secteur
traditionnel afin d'inciter une migration de la main d'œuvre. Le secteur capitaliste va peu à peu
se développer jusqu'à ce que la migration de la main- d'œuvre excédentaire du secteur
traditionnel soit achevée et les salaires vont alors augmenter.
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Le cercle vicieux de la pauvreté
Pour Lewis, le dualisme est une étape du développement. Pour d'autres comme Nurske, le dualisme
est un facteur de blocage. Les secteurs les moins dynamiques de l'économie freinent les secteurs qui
pourraient être potentiellement plus dynamiques, en raison de la faible taille du marché. Nurske met
ainsi en évidence ce qu'il appelle le cercle vicieux de la pauvreté.
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L'approche de Hirschmann
Hirschmann s'oppose à la vision du cercle vicieux, car il considère au contraire que le dualisme peut
être un facteur de développement puisque la création des déséquilibres est un moyen d'y parvenir.
Les secteurs actifs vont tirer les secteurs passifs. Il faut encourager les investissements dans les
branches dont les produits servent de moyens de production à d'autres ou dans celles dont les
moyens de production représentent des débouchés pour d'autres qui existent dans le pays.
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Impact de ces théories
La Banque Mondiale s'appuiera sur ces conclusions quand elle demandera aux gouvernements des
pays du Tiers Monde d'élaborer des plans nationaux avec des projets d'investissement comme
condition pour obtenir une aide.
La plupart de ces théories insistaient tant sur le rôle de l'industrialisation1 que bon nombre de pays du
tiers Monde font en faire leur priorité absolue, et s'en sont remis à l'idée que les "retombées" de cette
industrialisation bénéficieraient à tous et réduiraient la pauvreté.
Les analyses plus récentes accordent davantage d'attention au développement d'une agriculture plus
moderne.
A l'occasion de la crise des années 80, l'agriculture a joué un rôle modérateur, en augmentant
l'excédent commercial et en exerçant une pression à la baisse sur les prix alimentaires et l'inflation
tout en soutenant l'emploi dans les zones rurales.
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La pensée orthodoxe à partir des années 1980
A partir des années 80, la pensée orthodoxe impose comme dogme l'idée que le développement
passe par l'ouverture de l'économie.
Les pays en développement doivent se concentrer sur la production de produits primaires et de biens
à forte densité de main d'œuvre et les échanger contre des produits à forte intensité capitalistique.
Ces théories vont dominer l'orientation des politiques des organisations internationales : Banque
Mondiale et FMI. Elles vont inciter les pays du Tiers Monde à abandonner les stratégies
d'industrialisation par substitution en faveur d'une industrialisation orientée vers l'exportation de
produits pour lesquels le pays jouit d'avantages. Les organisations internationales préconisent
l'ouverture des frontières pour favoriser les exportations et les importations de machines, demiproduits et produits alimentaires moins coûteux que les productions nationales. Ce sont ces principes
qui seront imposés à l'Afrique subsaharienne dans les années 80, dans le cadre des plans
d'ajustement structurel.
Le modèle proposé est celui des "quatre dragons" qui sont censés avoir fondé leur réussite
uniquement sur le développement des exportations et le libre échange2.
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Les approches hétérodoxes
A l'inverse du courant orthodoxe, les auteurs insistent sur l'idée que l'on ne peut pas comprendre le
sous-développement sans prendre en compte sa relation avec le développement des pays
capitalistes industrialisés.
Il y a trois grands courants ou écoles :
Le courant structuraliste
L'école de la dépendance
Les néo-marxistes
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Le courant structuraliste
Ces idées se retrouvent dans les analyses d'un groupe d'auteurs réunis autour de la CEPAL
(Commission Economique pour l'Amérique Latine de l'ONU) :
Le développement autour de "pôles de croissance" perturbe les sociétés traditionnelles et
ruinent les petites entreprise artisanales.
Le CEPAL oppose les pays du centre où les structures de production sont homogènes(avec
des techniques modernes généralisées) et diversifiées (gamme de production étendue) aux
pays de la périphérie où les structures de production sont hétérogènes (secteur de production
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archaïque/secteur de production moderne) et spécialisées sur un petit nombre de produits
primaires. Cette hétérogénéité et spécialisation engendrent un chômage chronique, un déficit
extérieur récurrent et une détérioration des termes de l'échange3.
Pour échapper à cette situation, il faut favoriser une industrialisation soutenue par l'État à
travers une planification et une coordination des investissements. Le CEPAL estime en outre
qu'il faut protéger les industries nouvelles contre les importations4, car leur productivité est faible
au départ, et recourir à des processus d'intégration régionale, pour pallier l'étroitesse du
marché national.
Dans les années 60, cette stratégie semble bloquée; elle bute sur une augmentation des
importations des biens intermédiaires et d'équipement, la diversification de l'industrie ne
s'opérant pas bien, et sur l'étroitesse du marché national, la pauvreté ne reculant pas assez.
Le CEPAL met alors davantage l'accent sur la nécessité d'une réforme agraire et le partage
des revenus.
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École de la dépendance
Cette école va se développer d'abord en Amérique Latine contre les limites de la CEPAL et surtout
contre l'analyse de Rostow.
Cette école développée par Celso Furtado affirme que la stratégie d'industrialisation par
substitution aux importations loin de réduire la dépendance l'a aggravée. En effet cette stratégie
impose de taxer les biens de luxe afin de réserver les devises à l'achat de biens intermédiaires
et d'équipements nécessaire à l'industrie de substitution. Elle a finalement créé une incitation à
la fabrication de biens de luxe, vendables à des prix supérieurs à celui du marché et
l'investissement s'est tourné vers ces productions. Le problème surgit quand le marché se
sature; il faut accroître les disparités de revenus et favoriser les plus riches pour étendre le seul
marché des produits industriels réellement fabriqués nationalement5. L'accaparement des
revenus par une minorité riche posent par ailleurs des problèmes sociaux récurrents.
A.G. Franck va plus loin que C. Furtado. Pour lui, le développement de la périphérie est
contraire aux intérêts des groupes dominants des pays capitalistes développés. Ceux-ci
s'allient aux élites pré-capitalistes locales et aux grands propriétaires fonciers pour maintenir les
structures agraires traditionnelles qui permettent d'assurer une nourriture bon marché gage de
bas salaires. L'investissement étranger, l'aide, le commerce servent à extraire des surplus qui
est confisqué par le capital étranger ou gaspillé par les élites locales pour acheter des produits
de luxe. L'introduction du capitalisme dans ces économies conduit ainsi au "développement du
sous- développement".
A partir des années 90, la pensée "dépendantiste" va s'incarner dans la revendication d'un
nouvel ordre économique international :
droit de nationaliser l'exploitation des ressources naturelles
allégement sensible de la dette extérieure
assistance spéciale aux pays les plus pauvres
création de mécanismes (stocks régulateurs, fonds) destinés à la stabilisation des
recettes d'exportation.
Ces revendications vont déboucher sur les deux chocs pétroliers (création d'un pouvoir de cartel
sur le prix des matières premières) d'une part et donner naissance à des réformes
institutionnelles comme les accords de Lomé entre la CEE et les pays dits ACP (AfriqueCaraïbes- Pacifique) d'autre part.
A partir du début des années 80, avec la montée du surendettement, chaque PVD tend à se
retrouver seul face à ses créanciers et le "bloc Tiers Monde" s'effrite . Les remèdes du FMI
entraînent diminution du revenu, hausse des taux d'intérêt et inégalités sociales, dans le but de
restaurer les équilibres budgétaires et extérieur.
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L'approche néo-marxiste
Pour les marxistes orthodoxes, les principales causes du sous- développement résident dans la
structure interne des classes qui retardent ou bloque le développement. Pour eux le capitalisme peut
assurer un développement rapide des forces productives dans le tiers Monde, mais ce
développement ne bénéficie pas à la majorité de la population. Cette situation perpétue le sousdéveloppement pendant une longue période, d'autant plus que le secteur pré-capitaliste est un
obstacle au développement capitaliste, car les bas coûts salariaux y sont plus élevés qu'on pourrait le
penser de prime abord, en raison de la faible productivité.
Pour les auteurs marxistes contemporains, l'impérialisme se caractérise surtout par l'investissement
transnational omniprésent aujourd'hui. Cherchant une main-d'œuvre bon marché, ou de nouveaux
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débouchés, les grandes firmes diffusent les technologies et les modes de consommation du Nord,
réalisent plus du tiers du commerce mondial en leur sein, surexploitent une force de travail contrainte
de se vendre.
L'impérialisme devient, dans ces interprétations, l'exportation du capital productif, c'est à dire de la
technologie et du rapport salarial.
Récapitulatif des théories
Principaux auteurs pour chaque théorie
Il faut également souligner l'importance des réformes agraires qui ont eu lieu un peu partout dans le
monde au XXème siècle :
Le Mexique, de 1917 à 1982 : 100 millions d'hectares;
L'Inde, à partir de 1947, suivie par le Pakistan et le Sri-Lanka;
Cuba, à partir de 1959;
L'Algérie : l'état s'approprie 40 % des terres (les meilleures), mécanise, fournit les engrais et les
semences; mais n'a jamais assuré le 1/3 des besoins du pays, alors que les petits paysans (sur
ce qui restait) en assuraient 60%;
En Tanzanie, à partir de 1967, les terres sont étatisées et 90% des paysans regroupés en 7300
villages ou "ujaama" de 2000 habitants. Ce fut une catastrophe;
Le Pérou, en 1969; l'État gère les terres par des coopératives qu'il a créées; les semences
arrivent trop tard…
L'Ethiopie, en 1975, alloue 10 hectares par paysan : la production croit rapidement, mais
ensuite c'est la collectivisation,… et la famine en 1984-1985;
Quand les paysans sont propriétaires, ils n'ont pas les ressources suffisantes pour s'équiper.
N'ayant pas la maîtrise des marchés, trop lointains, ils s'endettent et sont obligés de revendre.
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La croissance démographique cause ou conséquence du sousdéveloppement ?
Il y a une corrélation entre le taux de fécondité, l'espérance de vie et le PIB. Les pays où la fécondité a
le plus baissé sont ceux où l'espérance de vie et le PIB ont connu la croissance la plus vive. Mais quel
rapport y a-t-il exactement entre ces deux phénomènes ?
Les pays les plus pauvres sont effectivement ceux où la fécondité est la plus élevée. Les familles ont
de nombreux enfants parce qu'elles sont pauvres. Elles compensent ainsi la mortalité infantile qu'il
faut contrer, car les enfants assumeront plus tard la charge de leurs parents âgés que ne protège
aucun système de protection sociale. De plus le coût des enfants est peu élevé car leur scolarité est
réduite, alors que leur travail est précieux, que ce soit pour les corvées de bois ou pour le salaire
d'appoint qu'ils apportent grâce a leur travail dans les ateliers artisanaux (usines de tapis par
exemple…) ou dans le secteur informel (vente de chewing-gum, de journaux, prostitution…)
Mais une fécondité élevée représente un frein au développement puisque les créations d'emploi sont
insuffisantes pour absorber le surcroît d'actifs qui en résulte. Le chômage élevé fait pression sur les
salaires et concourt à la pauvreté. A la campagne, le nombre de paysans sans terre augmente, ce qui
favorise l'exode rural incontrôlé et alimente le chômage urbain. Les investissements sanitaires
éducatifs et sociaux absorbent les maigres ressources de ces États qui ne peuvent aider au
financement des investissements productifs. L'UNICEF rend compte de cette situation parce qu'elle
appelle la spirale PPE : pauvreté, population, environnement.
Devant cette situation, la plupart des pays du Tiers Monde se sont lancés au cours des années 50 et
60, dans des politiques de limitation des naissances :
L'Inde a été pionnière dans ce domaine et a lancé une politique de stérilisation qui mal perçue a
entraîné la chute d'Indira Gandhi en 1977. L'indice de fécondité y a diminué même s'il reste
élevé.
Après avoir longuement refusé cette politique, la Chine a encouragé la politique de limitation
des naissances au début des années 1970. En 1979, les autorités imposent le mot d'ordre de
l'enfant unique, en accordant des avantages économiques et éducatifs, des aides au logement,
un contrôle strict des couples, et des pénalités pour ceux qui n'obéissent pas…6.La Chine a
réussi à faire tomber son indice de fécondité mais la croissance démographique reste élevée
en raison du grand nombre de femme en âge d'avoir des enfants.
En Amérique Latine, l'utilisation des méthodes contraceptives, largement répandues dans les
années 80 a permis de réduire l'indice de fécondité de façon appréciable.
Les programmes destinés à ralentir les naissances se sont révélés peu efficaces dans les pays
africains. Les programmes s'y heurtent à la situation économique, aux traditions culturelles et à
une organisation sociale enracinée.
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1 : Ce qui n'est pas faux ! Il y a une corrélation entre le degré d'industrialisation et le PNB par habitant
PNB par habitant Main d'œuvre industrielle
(en dollar)
en % de la population active
< 250
de 250 à 500
de 500 à 1 000
de 1 000 à 2 500
8%
11 %
17 %
22 %
2 : La réalité est évidemment plus complexe ! Le succès des "quatre dragons" tient très largement au fait qu'ils ont su protéger
leur agriculture, qu'ils ont donné une forte priorité à l'éducation et à la formation de la main d'œuvre ainsi qu'à la recherchedéveloppement. Ils ont par ailleurs bénéficiés d'importants investissements du Japon et des États Unis.
3 : Termes de l'échange : rapport de l'indice des prix des produits exportés à l'indice des prix des produits importés. Si le rapport
est supérieur à 100, cela signifie que les prix des produits que le pays vend à l'étranger augmente plus rapidement que le prix
des produits qu'il importe, c'est à dire que les termes de l'échange sont positifs.
4 : Maintenues trop longtemps, ces protections fonctionnent comme une rente de situation. Haussant le prix de vente national
des biens concernés très au- dessus du marché mondial, elles permettent aux firmes nationales de produire à coût élevé. Elles
freinent ainsi la recherche de compétitivité. Par ailleurs, elles attirent des firmes étrangères capables de dégager à l'abri de
cette protection, des surprofits importants.
5 : "Chaque foyer brésilien devrait désormais avoir sa troisième voiture" annonçait une publicité de 1960 !
6 : Les enfants uniques posent aujourd'hui un problème de société à la Chine : quels adultes vont devenir ces enfants ultra
choyés ?
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