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Pour choisir vos places, voir en page 4 La ettre E L'ODEON THEATRE DE L'EUROPE ers abonnés, ers complices, £ C'est avec deux ambitieux paris artistiques que nous inaugurons ensemble l'année 1996.Cette même année verra également-nôtre Théâtre changer de direction. Le Ministre de la Culture vient en effet d'annoncer la nomination de Georges Lavaudant à la succession de Lluis Pasqual. Au Petit Odéon, du 5 au 31 janvier, vous pourrez découvrir un spectacle de marionnettes réalisé à partir de l'oeuvre du surréaliste russe Daniil Harms : J'ai gêné et je gênerai mis en scène par Emilie Valantin. Ce spectacle a été un des grands événements du dernier Festival d'Avignon. Dans la grande salle, du 10 janvier au 18 février, Stéphane Braunschweig, après s'être confronté brillamment depuis quelques années, à Sophocle, Tchékhov, Shakespeare et Kleist, mettra en scène Franziska de Frank Wedekind, sublime relecture du mythe de Faust conjugué au féminin. Tous les jeudis soirs après les représentations de Franziska sera organisé au foyer du public un spectacle-cabaret (voir Odéon pratique). FRANZISKA DE FRANK WEDEKIND Du 10 janvier au 18 février Mise en scène et SCENOGRAPHIE Stéphane Braunschweig Musique originale Gualtiero Dazzi Olivier Cruveiller, Jean-Marc Eder, Philippe Girard, Florence Hebbelynck, Evelyne Istria, Flore Lefebvre des Noëttes, Véronique Lemaire, Ariane Moret, Nicolas Pirson, Daniel Znyk PERCUSSIONS, COR Didier Casamitjana VIOLONCELLE Lisa Erbès ACCORDÉON Sylvie Magand PRODUCTION Centre Dramatique N a t i o n a I/O r I é a n s - Lo i r e t-C e n t r e, Odéon-Théâtre de l'Europe, Théâtre National de la Communauté française de BelgiqueBruxelles. Le texte de Franziska est disponible aux éditions Théâtrales. L'ensemble de l'équipe de l'Odéon-Théâtre de l'Europe s'associe à moi pour vous souhaiter un joyeux Noël et une excellente année 1996, que nous partagerons ensemble. Loïc Le Gac Responsable des relations avec le public J'AI GENE ET JE GENERAI DE DANIIL HARMS Du 5 janvier au 31 janvier mm gag >3 pnn ■ A VOTRE SERVICE Abonnements individuels et Cartes Complice : Isabelle Fassio - 44.41.36.38 Abonnements collectivités et Cartes Complice Groupe : Isabelle Perrin - 44.41.36.37 Abonnements Teatrio et groupes scolaires : Patricia Calloc'h - 44.41.36.39 Location tout public : 44.41.36.36 Odéon Théâtre de l'Europe La lettre de l'Odéon 1, place Paul Claudel 75006 Paris MISE EN SCÈNE : Emilie Valantin MUSIQUE : Serge Besset CHOIX, MONTAGE DES TEXTES, MANIPULATION DES MARIONNETTES ET interprétation : Emilie Valantin et Jean Sclavis PRODUCTION Théâtre du Fust (Drôme), Villa Gillet Unité de Recherches Contemporaines (Lyon). Spectacle créé en octobre 94 à la Villa Gillet à Lyon Odéon Pratique La presse A propos de J'ai gêné et je gênerai Emilie Valantin a su parfaitement restituer les saveurs méchantes et farfelues de Daniil Harms. Les voix sont peut-être un peu froides, récitantes, impersonnelles. En même temps, à l'évidence, cela contribue à l'effroi grinçant, à l'étrangeté, de cette humanité bassement soumise et inféodée au pire, comme ces rats kafkaïens qui envahissent la scène à la fin. Il fallait évitertoute chaleur, toute intimité, pour préserver l'absurde et le risible, pour ne pas trahir le nihilisme de l'impénétrable Daniil Harms. Beau travail ! Frédéric Ferney - Le Figaro - 22/07/95 Daniil Harms (né en 1 905 à Saint-Pétersbourg, mort en détention psychiatrique en 1 942) est n'en doutons pas, un drôle de pistolet braqué sur le monde; Un froid misanthrope devant qui rien ni personne, institutions ou individu, ne peut trouver grâce. Dans J'ai gêné et je gênerai, il est figure couchée, grandeur nature. Autour de lui s'agitent des poupées détaillé réduite donnant la comédie de ses humeurs bilieuses. Un ingénieux système rotatif du cadre permet de voyager entre haut et bas. Le tout témoigne d'un grand goût et d'un sens de la perfection des pratiques artisanales (conception du lieu scénique et décoration de Nicolas Valantin, construction de Luc Lallier) qui ne laisse rien à désirer. Franchement ça fait du bien. Jean-Pierre Leonardini - L'humanité - 21/07/95 Daniil Harms, volant au secours des critiques, a écrit: «Dire que ce qui est mauvais est bien, c'est mieux que dire que ce qui est bien est mauvais, et c'est pourquoi je dis que Chostakovitch est carrément génial.» Disons donc, en échange, que le spectacle d'Emilie Valantin est un complet enchantement. Michel Cournot - Le Monde - 21/07/95 Fêtée aujourd'hui en Avignon, Emilie Valantin est enfin reconnue pour ce qu'elle est: une grande dame de théâtre, pas prête à lâcher ce qu'elle nomme son « devoir d'impertinence ». Libération - 18/07/95 ■ Soirée Cabaret Durant les représentations de Franziska , des soirées-cabaret, seront organisées tous les jeudi soirs après les représentations les 11, 18 et 25 janvier, et les 1er, 8 et 15 février. Leur durée sera d'une heure environ. Ces soirées seront animées par les comédiens du spectacle, ainsi qu'un pianiste et une chanteuse. Elles sont mises en scène par Eloi Recoing. L'entrée est gratuite. Il est obligatoire de réserver au 44.41.36.38. Durant ces soirées qui auront lieu au foyer du public, le bar sera ouvert. ■ Réservation Petit Odéon. En raison de la faible jauge de la salle du Petit Odéon et afin de pallier les éventuels désistements, nous ne prenons pour la petite salle que des réservations téléphoniques. Il vous suffit, cinq minutes avant le spectacle, d'echanger vos contremarques au contrôle. I Franziska "Et ma mélancolie, se changera-t-elle en gaieté ?» Si l'on met à part L'Eveil du printemps et Lulu (le mythe incarné par Louise Brooks et l'opéra de Berg ayant d'ailleurs un peu éclipsé la pièce d'origine), le théâtre de Frank Wedekind reste en France peu connu : une oeuvre placée tout entière, de gré ou de force, sous le signe du combat - combat contre la censure, et à travers elle contre la société de son époque. Parce qu'il ne voulut faire aucune concession à cette société-là, pas même celle de se taire, et que l'espoir d'un monde meilleur ne quitta peut-être jamais tout à fait celui que Brecht considérait aux côtés de Tolstoï et Strindberg comme l'un des "grands éducateurs de l'Europe nouvelle", Wedekind dut souvent s'avancer masqué, truffant son écriture de messages en forme d'énigmes ou d'allusions parfois difficiles à déchiffrer. Franziska n'échappe pas à la règle, y ajoutant même un subtil jeu de références et citations, où le Faust de Goethe se retrouve comme paraphrasé au féminin, où drame naturaliste, cabaret et mystère médiéval surgissent comme autant de stations d'un parcours chaotique et fascinant, où la vie enfin de l'auteur, se glissant par tous les interstices, semble alimenter le feu d'une autobiographie mégalomaniaque et dérisoire. Véritable forge théâtrale, Franziska finit pourtant par consumer toutes ses références, car la flamme visiblement importe plus que ce qu'elle brûle : car la vie, chez Wedekind, ne fait jamais l'économie de la mort, ni l'amour l'économie du désir. Et pour cela il y a un prix à payer, celui de ne jamais venir à bout de ses propres contradictions, quelque chose comme une damnation moderne. Stéphane Braunschweig S Une lucidité d'aveugle Un spectacle à l'image du poète maudit qui l'a inspiré : intéressant, dérisoire et absurde, plein d'humour, et... joliment bien manipulé. La Marseillaise - 1 8/07/95 Dans Franziska la thématique de Goethe est bien sûr parodiée, mais au fond j'ai retrouvé chez Wedekind l'essentiel de ce qui m'intéresse dans Faust, ces questions pour nous fondamentales : comment sortir de l'ennui, comment sortir du vide, comment retourner au monde, comment appréhender la réalité dans sa globalité. Quand je parle d'ennui, il faut prendre le mot dans son acception la plus large : il ne s'agit pas du fait de s'ennuyer, mais de celui ne de pas voir à long terme, de pas savoir sur quelles bases on pourrait fonder .../... une nouvelle société. L'ennui, si on veut, c'est le vide idéologique, le vide de pensée - tout ce qui fait qu'on peut assister à la fois à une victoire éclatante du cynisme et à un retour écrasant de la sentimentalité - ces deux pôles entre lesquels nous vivons et contre lesquels il faut se battre tous les jours; ces deux rapports à la réalité qui se renforcent l'un l'autre alors qu'ils croient se combattre, et qui ne sont que le recto et le verso de la même situation. Ce qui m'intéresse, dans le pacte que conclut Faust avec le diable, c'est son ambiguïté, c'est le fait qu'il s'y trouve quelque chose de très positif : pour Faust - et pour Franziska aussi bien - il s'agit de sortir de sa chambre, de cette chambre qu'est le Moi, d'échapper à la mélancolie en brisant le miroir narcissique. "Enfin, du réel ! " s'écrie Franziska quand Veit Kunz fait irruption chez elle. Le problème, c'est que cette percée est illusoire. On croit ouvrir une fenêtre sur le réel, et on se retrouve encore devant un miroir - devant le reflet de son propre vide. Toutes ces problématiques sont dans Wedekind, et peut-être d'une manière plus moderne - plus chaotique - que chez Goethe (...) Ce qui frappe d'abord dans la pièce c'est la diversité des matériaux stylistiques. D'un tableau à l'autre l'écriture semble épouser des styles très différents : ça commence à la manière d'un drame psychologique à la Ibsen, voire à la Strindberg ; l'épisode de la taverne propose une sorte de réalisme, au point que la scène de genre semble prendre le pas sur la narration ; le drame sacré que fait jouer le duc peut être une référence au théâtre médiéval mais aussi une parodie des goûts moyenâgeux du symbolisme. Le mélange des genres est permanent. Au milieu de ce déploiement de styles, il y a quand même un fil conducteur, l'histoire de Veit Kunz et de Franziska. Leurs scènes donnent son architecture au spectacle, elles permettent d'introduire à chaque fois une distance par rapport au type de théâtre dans lequel on est. Car malgré des contrastes stylistiques énormes, la pièce parle toujours de la même chose : de Wedekind lui même. (...) A travers toute cette folie de théâtre, c'est ce côté inéluctablement autobiographique de la pièce qui me la rend si touchante, sa lucidité d'aveugle. Stéphane Braunschweig extraits de propos recueillis par Anne-Françoise Benhamou, pendant les répétitions de Franziska , novembre 1995. ■J'ai gêné et je gênerai UN SPECTACLE DE MARIONNETTES Mettre en scène quelques aspects d'une pensée contemporaine à découvrir, et croiser son étonnante malice avec celle de la marionnette n'est peut-être pas une gageure... Commencée en 1992 avec " la disparition de Pline " sur les textes du philosophe contemporain français Clément Rosset, l'expérience se poursuit avec l'oeuvre de l'écrivain russe Daniil Harms. La marionnette se met alors au service d'un humour de survie qui lui permet cette fois de donner la mesure dans l'âpreté et l'absurde. «J'ai gêné et je gênerai [...] dit Mychine, et il restera étendu par terre». On peut considérer cette affirmation comme la devise prophétique de Daniil Harms qui effectivement, renonça à se lever pour changer le cours des choses... mais dont l'entreprise posthume de déranger, au passé et au futur, mérite d'être reprise et mise en relief ! Sans céder à la tentation d'endosser la prostration de Harms (bien que l'agitation qui camoufle l'inertie collective nous insupporte aussi), nous retrousserons les manches pour répercuter les chocs des poings sur les gueules, les édaboussures de soupe, le claquement des portes et des dentiers, la caresse sur les bas de soie ... Pour faire coexiter Harms et les élucubrations sans abuser du dédoublement comédien/marionnette, nous l'avons enfermé dans un lourd cadre constructiviste: là tantôt dominant, tantôt dominé par ses personnages, il dispose de trappes et de fenêtres pour les faire surgir ou pour s'en débarrasser... Harms affine le dosage de l'absurde en écrivant des scènes très construites et des textes théoriques qui recoupent son journal. Le désespoir distille alors une parole authentiquement pernicieuse. Emilie Valantin ■ Débats et Rencontres Entrée libre. • Autour de Gilles Deleuze lundi 22 janvier 20h30 "Peut-être ne peut-on poser la question "Qu'est-ce que la philosophie?" que tard, quand vient la vieillesse, et l'heure de parler concrètement... Auparavant on la posait, on ne cessait pas de la poser, mais c'était trop indirect ou oblique, trop artificiel, trop abstrait, et on l'exposait, on la dominait en passant, plus qu'on était happé par elle. On n'était pas assez sobre. On avait trop envie de faire de la philosophie, on ne se demandait pas ce qu'elle était, sauf par exercice de style; on n'avait pas atteint à ce point le non-style où l'on peut dire enfin: mais qu'est ce que c'était tout ce que j'ai fait toute ma vie? Il y a des cas où la vieillesse donne non pas une éternelle jeunesse, mais au moins une souveraine liberté, une nécessité pure où l'on jouit d'un moment de grâce entre la vie et la mort..." Gilles Deleuze • Penser le politique - Autour de Claude Lefort lundi 12 février 20h30 "La pensée du politique excède le cadre de toute doctrine ou de toute théorie. Par l'écriture elle soutient la tension qui l'habite, elle se soumet à l'exigence de prendre en charge les questions qui sont au coeur de tout établissement humain et l'exigence de faire face à ce qui advient. Aussi le lecteur ne peut-il seulement chercher à comprendre ce que le penseur écrivain a voulu dire, il lui faut encore entendre ce qui le fait parler. Ecrire à l'épreuve du Politique , Claude Lefort. Jeudi 1 er février (15h) Le second service de Béatrice Houplain Mercredi 7 février ( 15h) L'odeur du noir de Jean-René Lemoine Dirigée par Jean-René Lemoine Avec Anémone Jeudi 8 février (15h) Les trois nuits de l'arbre de Alain Gunther Dirigée par Patrick Haggiag Jeudi 15 février (15h) Le phénix de Marina Tsvetaeva Avec Lluis Pasqual Cycle Nouvelles Traductions Mardi 20 février Histoire de Gottfried von Berlichingen de Goethe Mercredi 21 février Oedipe Roi de Sophocle Jeudi 22 février Piétons de Cécile Cotté Vendredi 23 février L'attente de Rémo Binosi # Métiers du théâtre L'Odéon - Théâtre de l'Europe, souhaitant répondre à la curiosité croissante des jeunes pour la pratique théâtrale, organise le mercredi 17 janvier de 14h à 16h, dans la grande salle, une rencontre intitulée, UN SPECTACLE, DES METIERS, UNE EQUIPE RACONTE.... Conférencedébat avec l'équipe artistique du spectacle Franziska et l'Odéon. Nous vous invitons à réserver vos places au 44.41.36.39. ■ Brèves • Textes dits au Petit Odéon (suite) Entrée libre. Lundi 1 1 janvier (15h) C'était vers la fin de l'automne de Jean-Louis Bourdon dirigée par Jean Benguigui Avec Stella Sarfaty Lundi 22 janvier ( 15h) Textes de Gilles Deleuze Jeudi 25 janvier (15h) Nombres réels de Rafaël Dumett dirigée par Rafaël Dumett • Rencontres autour du spectacle Dimanche 14 janvier, après la représentation : Entre sorcières et madones : visions expressionistes sur le féminin. Conférence-débat avec Stéphane Braunschweig, Georges Bloess, Jean-Louis Besson, Philippe Ivernel, Jean-Michel Palmier, Eloi Recoing. Dimanche 21 janvier, après la représentation : Rencontre avec le metteur en scène, Stéphane Braunschweig. N° d'abonné : CALENDRIER ou N° de Carte Odéon : Bulletin de réservation ou N° de Carte Complice : Nom : Prénom : FRANZISKA Si vous avez une Carte Odéon ou un abonnement : ne remplissez pas ce bulletin ; il vous suffit de nous retourner vos contremarques. Si vous avez une Carte Complice, vous ou la personne qui vous accompagne bénéficiez du tarif préférentiel de : □ 1ère série :130F □ 2ème série : 100 F Je désire réserver □ 3ème série : 60 F place à Date choisie : F= F Date de repli : Si vous avez une Carte Complice Jeune, vous bénéficiez du tarif préférentiel de : 30 F, quelque soit la série, dans la limite des places disponibles. Je désire réserver place à 30 F = Date choisie : Date de repli : Je désire réserver □ 2ème série :110F (130ff places à Date choisie : F Date de repli : J'AI GÊNÉ ET JE GÊNERAI (spectacle en placement libre) Si vous avez une Carte Odéon : ne remplissez pas ce bulletin, il vous suffit de nous téléphoner au minimum 15 jours avant la date choisie Je désire réserver places à 70 F = Date choisie : Ci-joint un chèque* de votre adresse FEVRIER Je L Franziska Franziska Ve 2 Franziska Sa 3 Franziska Di 19h30 20h30 20h30 15h00 ■ A VENIR Le Roi Lear de William Shakespeare, mis en scène par Georges lavaudant. Du 20 mars au 12 mai. Au Petit Odéon : Chambre obscure, de Vladimir Nabokov, mis en scène par Anton Kouznetzov. Du 1 er avril au 4 mai. □ 3ème série : 60 F OOff' F = 20h30 19h30 20h30 20h30 15h00 20h30 20h30 19h30 20h30 20h30 15h00 20h30 20h30 19h30 20h30 20h30 15h00 20h30 20h30 J'ai gêné et je gênerai du 5 janvier au 31 janvier. Relâche le jeudi. Tous les jours 18h30. F Pour vos amis : si vous êtes abonné ou détenteur d'une Carte Odéon, vous pouvez faire bénéficier vos amis du tarif réduit pour Franziska. □ 1 we série :150F £L70fT JANVIER Franziska Me 10 Franziska Je 11 Franziska Ve 12 Franziska Sa 13 Di 14 Franziska Ma 16 Franziska Franziska Me 17 Franziska Je 1£ Franziska Ve 19 Sa 20 Franziska Franziska Di 21 Franziska Ma 23 Me 24 Franziska Franziska Je 25 Ve 26 Franziska Franziska Sa 27 Franziska Di 28 Ma 30 Franziska Franziska Me 31 F Date de repli : F et une enveloppe timbrée à *à l'ordre du Théâtre National de l'Odéon X