Bu-s.. - Toulouse.fr

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DE ITOUIOUSE
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, Du an 40 te. -Six m
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TOULOUSE LVILLtE)
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OLPARTEM?LNTS
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Administration, Rédaction
Tm1..n,.i. sa w
I4 ter
26 te,
n'avait as ssz com té.
q cellessitounation
La
intérieureil est toujours
la méme le, journaux continuent
80LIELI8 POLITIQUE
leurs niera polcrniques an sujet de.
ça ndidatures acte Hé e,s ou non par
La sr t na t ron[ h l omangse de I A le gouvermement et des actes du
gleterre et de l'A ulriehr, continue b minisbsre, en ce qui concerne la rèPire fort iocerlaioe. Chez ans voisin
Plemeumfion du colportage -la du'
Ontnmment, il ne se passe goure d
rée des délais Laissés para loi pour
loi r oie il ne soit quasboir de la
1a tons neolion des électeurs. Sur ors
traite de tel on tel minislea : on d4
'n- divers sui ors les opinions saut aussi di:
mont essore arme fois celle de lord Vergmdes que possl ble, et es D'est pas
muip
l'erreur d'aniourd'hui peut être la v
contre l'iulerprétalion donnée par Id
cité de demom.
Unes u
setQsmeot à gauche que l'ou proteste
mnrv,lle inlrrpellatine
adressée au gonvernnmont anglais pat
goulet tiennent aux textes légg`aux.
Pour ce qui est du colportagd
J, p roc
radota cul le 4ofeil avait l'in
la Chambl e dw i ow i une s a aqdLesté ; le N n2eur Lil . isal lait da
des affaires d Osent, on icmbto du méme anjo md hui ; quant
I. au délai
Parlement a demandé au cabinet u'i maximum, après lequel
Ghala a o
était vrai quo l'Angleterre et la Prvun dissoute doit éti'é sempleeée, tee
ce se
entendues en vue divergences ne sont pas mains Bran
doue action mari0mo eornmfino e
des. Nous n'entrerons pas dies le
Osent. Sir Staf'ord Northeote p réé détail des opinions émises pour eP
pondu qu auemr accord tee' cette fia.p contre, ce n'est ppas ici le lieu : mais
litre ri av fit nu heu, pas plus avec on remarquera de quelle importance.
l'ancien cahiuet fraeiç s
u'aven Iq rat pour le législateur l'adoptiou1
oirvemr mi sujet d'op tons évena d'un texte délai absolument précie
luettes sur les cctes de 7 urgnJe.
qui coupe court atonies les inturpelCette réponse colin oosrt aux rations, et dise bien ce qu'il vent;
bruits répandus b ce aujey par la
t resac allemamio, qui o IoaJaura la
Les nouvelles do l'extérieur ne
.ont
vellodo d I ire araire 1 1 possib
fi té, de l'inter venlion de la I canne, en
Orient
Nen, il faut q i on co fit ve1_n,1
(
la ri
n tin vit r d1 a 1 s d!mq
:onsit o. estlal, et le ne pl élira g
i Anglelei re i an nav ie n un haJ
t Ilon, ni un homino, r an
FII
est p s .n sitraale.
u umoui .
sus
Centime
1
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ses o pl
intérvts
is pour le plue gl a d pi.>flt
j ne nauon qui l'a I 1 i e rsei
'
fer
l y a sept inc. sans
domrent ailennildstris a I précis sur les
opé ,lions maire: la sacs ton
(voient Irise roncestéation ro Buf
aria envo ont au la non wd. ea u d c
1,11 bers clin
n .fil
barque les
dé la camF i ne col hem tel
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d-j8 i ublectrC pliacip, 1 lut la ohn:
n d s Il a'k .ne s.u lagncllc ee dru
pull les p e1 9 col Ici d tir née com
-
lo I u pr?
rades ia
l
g rad dtr i c o la sen
1
n coneom s mlora l.
I tsonne ; ce D ot j es sC llont fe'nQnefûril advenu si l'An,,w nées à forcer le passage des Rniknns
mPon
eût fait à celte é rogne la niuglièmo a n col de 'l'ch,pka ; la
de se_s ellbrls aelucls, non rontc dont noua par lions, il y s'a.,
pas pour arrêter 1. guerre, mais pour laps jours.
rb uloc, Irs
rigueurs dun 0.nervi victmmux I Peut-être r n serait-elle pas à chele
rloélier
alI SIS 1'ÉL GRAPHIE
PRIVÉE
pour la t ube dtlh
canon
as'
ou rla, qti alto hésita à enheprondrlo
Paris, Il juillet:
sente eo ce rnomemt,
renseigmmooolssuh,
Le
Cinés
Neua
dément le bruit qui
l,1' rorrespondunt du Da:iy Neu'n
aller!
cdel,te
SOCIÉTÉ
rai d'Arras :sut. Chabert et fluide.
ourd'fi i :m, ou sujet ' u il a luafeurs
fors traité, .Ia siluaton ldo parli orléo-
onde ; Il. Deschereusu, éuldiant, et M.
Casher, rédacteur de m Marseillaise, à
200 francs. N. Cnlladon , P
ro
Propriétaire
de
M. le baron de Vallier, armoire eu.seiller de préfecture, est nommé membre du conseil lie préfecture du département de l'lléraulr, n remplacement
de M. de Labuethe, démissiunsiiee.
M. Céuoux-Moreau, docteur en droit,
est nommé membre du conseil de préfecture
fil. de t'Aveyro
eu remplacemmnt
de
Peyronn.d, flan acceptant.
place honorable qui lui appartient dans
le cousit des idées et des compétitions
do narrent.
Iihalib, ambassadeur de Turquie
rEn réalité, continuent les Uébala
parties en rangé la semaine prochaine
parmi les partis que lu coalition nous
il irait rasera à Caestantinople quelque, montre
_Intimesplus ou moine inféodés à des
naines.
ovarchiques, l'ancien parti'
de la beauehe d'Orléans est le sent, s'il
eut bien y ,eg rder, qui in perte.
Londres, 12 juillet.
avec lui aucune chaise de ce rgenre e4
e11Asses fins :.cannas
qui ri ait à oompler qu'avec, ses prinei9
M. ;lénkina annouoe ge'll q uestion. pes. Il est, presque) plus que le parti
ra le. gouvernemeot demain ou lundi républicain Irel méme, le parti 'lb la lib 1, parlementmre, parc qu'à alter
aials copie dese la proclamation do c
I,b 't I s crise davpnmge II I i laid
ux Bulgmrit déposé,,
le b
li, sncuhcc de sus peéleronces r et s'il e:t oral que l'a riel iisfratron m
vite casse ait rendu obligatoire l'usage listes...
de la laugne Basse en Bulgarie. Si cela
d
1
`
inflation
lire, °
La dernière partis des renseigne.
mmlfs I.ou sis pi le pournal anglais
La baraque d'Angleterre a réduit
L
ne tic ticpashies-bien Gva; le rastii; si
le grand dire doit Pire u Andrinople
dans un mois, Ijue fera l'arméti russe
1
PO.l t jeu mors d'août ot de. scptembre'I Au surplus, la marche on
avant pourrait Ptre singulièrement raImnia si , comme l'assure le TIllacx,
A la suite d'ana enquéte talle par le
i mmce que les Russes ont blé chassés
de 1 1-ml. Les commandants de Sistuva
U
d'pbehe de Berln dément la noulle que le prioce de L'ismaek-accompa-
et 'firno va
gncnuf 1 empereur Guillaume dans finileevvo suret empan ne d'Amnch ,.
U
la
l
l
g mine Ilassunuaure
gc
T gukoso0
I
banc
Spintuéus .....,.....
gles
sié,
ssauts de Bayagld IL délivré la
e
passeront co Juglueur.
legs à des établissements do bien,
faisoule, et sur l'acraptation pat la
Allie
Vide dit legs à elle fait par M11° Cglé
I
Le Conseil nomme ensmte les membres de la ey, et lion de révmsion des
listes do jury, et
au.
,site Iineufbséane,
3 010, 70 05. - 5
voyer ta
Oie,
servii.esz
ché faible.
loi de gouiupuru.
nécéeslaire
Sur le rapport de 11 Ilur,
guerre vient dn-
Le. linistla de la
106 85, - Egyptienne, 207 50. - Mar-
suivante,
circui. ir
stative
uter)er,t du opnrseonel duos Irs
administratifs do l'année.
flou des condamnations prononcées au
pi ft f
S
à..
Mon ohm géncial,
Madrid, l2 juilldt,
de 1,0 bans sur la ligne
dos bunlevards ; ces bancs seront établis
dans trois sem aines environ
Sur le rapport de Ni. mcard, le Con-
t
1
n a,
une bataille aurait donc 6
1 ¢,n h)6
fin le flanc 4auche de l'année 1 us c
sur
verra Lien
L'émotion produit, g.rlal lac
1
Le Français dit que la comité causer'
aura' t le E
i sent
t gr.rvdu.
f avancé la té, 1
td
acrctés.
à des eé
de r vernir ana
députation de l'opposition. t
Paris,
-lait ta *a..
l1
Le Jnarnal Officiel ne public rien
d'importout dans sa punie officielle.
La Cassette des Tribunaux réplique au
mémoire et à la consultation du comité
judiciaire
la g:mche slle dit que le
a
t un lactum pal f q
1
dg
I t lls.
s l Inspü alma des pas
c allocations, pour le d de su. b 1lsatron, du grade de sous-bnmoliant, .
,o
La Gacetm itif dn rougi amant les 0 ,papa-gomevts de la eonsult,dion et l't quI
nmr
Sur la proposition de M. le Maire, le
Conseil décide que la somme de 176,000
le
Madame, dép.,
1
,jour le désir que les éleofums aime lieu
I plutôt possible'
fit pas examiné la
On assure que les conseeestenre M luesuon av
ndr, vers la frontière avait été ion
assez da. calme. Clic
opposeront à la
ajun [e que toute la usa dpiudo
p
i réduit
Ion inévitable. Lu lait pa raissaif d'an- jarein
pr ce Napoléon ui a signé le marmites' à savoir si les 2U 'ours do ér
mut plus snrprennnt ue lus débuts
eleot
1
de
aond te des gauches al a aidamre de M. lai de
doivent ëtro compris dons le déla campagne avaient été oxtrémoméeas
purar.
gl gésnéral. Bonaparte, président du Conseil
lai d, troois
ismpréci se ajoutés 11 délai ; lo
heureux, et sue la connaissance
loi parait
se et forme lle
depuis
faite du pays, dt les BUSe9 opéraient
18112: l'a électeurs sont oui oues
pour la troisiéme fois, d'apréS le tnépelés à voter 20 jours adnés la connôBilan de ta banque, - Augmentation : rationune plan général, semblaient les met.
Ire à l'abri de toute erreur ou faute do Portafeville, 13 millions 1 j. ; trésor, 1
Ilion I,4. - Diminution Cacamsse,
stratégie. Les opinions émises à cet
juilleprélim,iLa phase des dist etfis
égard ont été nornbrouses et variées ; 3b m1 artic 1 e mreulahon, 5 millions
114; particuliers, 40 mfllious.
Haires, dit le Saisit, est d os e. Tel cet
on journal de Berlin, j'ofvicieuse Poat,
do miens notre se timent
en fournit une nouvelle: l'évamietion
Le gérant du Radical a été cond
débat électoral reosi ira sans donde l'Arménie a eu lien sur l'ordre né par déflait pour la publication d'uisunee te,Le
mais IL en ultra sur fin autre terrien
formol du Czar. Pourquoi 4 C'est oo lettre
se du maréchal
dm Mal- et d'autres conditions.
ijtio ne dit pas l'organe allemand. Il Maho, à quatre moise de prison et 1,000
Nous avons dit tout re
était cule
d'amende.
faut, sans doute, en revenir à l'insufde dire.
qu'il
Le Bien public, qui n allégué sa bonne
ahuris
p
lisaneerdes
effectifs fendues miémédiaOn connaît outre politique dans le
blé a sorte de l hosldili. dus éoûu- foi pour la pubbclGml de cette ]allie a préent outre foi, notre os péraocc dons
condamné suulemenl à 50U francs l'avenir.
en cassiennes, et Paul étr a:i été
d
nude.
Auiourd'hm le maréchal
ba Ans lat tlmrl I.n pi d
Au mnul'
t
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E : i',
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raina ,,1
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tainCSiljfllc ah ',i Vi I {iq
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Ic;n
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'fit r'_nuc I ,.<
quelles circonstances celle marcha l'a-
candidaturet'du
Paf
fausse
1
1
de [,ai
1875.
ucle 40 de la loi
du,
tant de l'acquisition de la
a'Ayguesvives, süuée rue du
Poids-ae-l'lluile, sera payée eu cinq
mités.
Sac le rapport de hl. Calvel, taie
ne de 8,414 l'rar.cs cal votée pour
payer
les dég,ts ansés l l'écjairagc
men seront, à l'avcuir, eonipa:des de
fiml. M.
r
a, d
ta
dmi
sec
l'
I
I-
t
'
s su.
Ni. Esgnié présenta lin rapport suc 1,
demanda d'indemnité l'armée par le
r Cnilfe au sujet notamment de l'or
cnpation de sac terrain par la camp..
gnie des pontonniers ; mais la situation
vint changé depuis l'inuoduction de
le renvoi à l'admm shation est
l's
p
é.
t
1
la
prise
l
1.
d
Madame, 8 lu matin, 12 1''
li
Le train rapide e 1é par
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
les
camps
gnies du P1idi et de Pal is-Lyon-Méditurranée, antre Berdenan et ttneunille, sera
mis en circulation le IS juillet
au départ de Bordeaux et le 1 f au départ de Marseille.
C
co tiendra une voiture Iliiéceasitel'
trajet complet sans
train
saut le
da teannbaedement ea cours de roule,
Ni. Caches, sous'abat de musique au
126 régiment de ligne, détaché pesai.
oiremeot pour crgauiscr la musique
du 143 régiment, rejoint sen régiment.
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23',2 nuageuNNG tr,i'aib
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tés S. 747,4
7b M. 740,0
fbsm, 7.47
19 8 t
L I,SE
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1
11
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746,1
25',6
id.
4h s-1745,0
2,,-,3
i
J'.
INNO
ISSO iilsell,i
centigrade;
2711
Minim. de la nuit suivante } 18 1
Quantité de pluie tombée dans
la
journée du I I : 2--2 ; dans la nuit du
Il an 12 :
Pansé.
Orage dans rapt èsanÈdi do 11.
DEPA!1'1'EMENTS
n.
11-A
Ilaela'eanesn.
[loden, Il juillet.
l' ..or arrélé de M. le ministre des li-
La préfet de 4 Iluuln-C,arolsrlee
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Par -décret du 7 juillet, M. Fatal,,
ancirn avoué, licencie
fia droit, a éb qo
, j ge de paix du
canton l'Cslira (A y n) a iempiaPIa.
de
a Item réaruoe un caractère in-
leldit paf ses stututa,
date du 6jmllet ccarnet. PI
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u.p 1. I
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v r. 15e Ir., pçra mises
In plate d i Csp ofe, et
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envie da. Peegsè,,
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lin guerre,
6 20,
3 15 son.
Carcassonne, are, 8 20 matin, l'
30, 3 25 soir'
Voiel le texte de l'aeeété cmmeruant
le, erclc.
P
Lener,il A. Ltasnseur.
allée
to,;té't ii été. at
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Promenade,
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Saint
lC'hel, e 11 cté fermés par ordre do l'auhé
u
l
matit. 6 2.
h.,i2
Couffouslens-Leuc, s
fi 10, 3 4 oir.
Un ter le place da CapLots, 5, et le
1
xé' ulr nu des dispositions qui
B ecesez, etc.
Le i
Vorseille, 7 tu, 11 37
S .!I soir.
Tbermomdt e
pril
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F "'a' 7 40, 11 48 natta, b
soir.
Maziman du 11.......
Çi
a Icor
-
,
dép., 731, 11 40 motio, 1 hlCépie,
2 .1 soir.
ILS.
La séance eslllevéo.
d,
rs da.iJ' u 1ilmi';:i't mi
d d la
c
Limoux, dép., 7 20, 1 2,5 matte, 3 30.
2 20 soir.
M. Coui
t
i
Trains se eappcenhant de Carcassonne.
cran de bienfaisance communiqué par
\
fautL'a-,
mi, pt i
'
li
1.
le
ceptation par las hospices d'un legs fait
par m. l'abbé Laudes.
Le Conseileu et un avis favorable
le compte o I et administratif du bu-
E. fia, je
mur, question qui
inc 'cté 1 a_a e de ilivcrs uùé
]
nd :
1
i..
OBSgRYATIONS ME'l'EOBOLUOIQily
Maire
inkcstrctia
I
0, 8 ., -
Cépie, dép., 10 10 manu. 1
1 41 soir.
Limon., 511., ie 20 matin,
8 45, 1 50 soir.
rapport
de M. Gaillard, le
Ii
suis favoraLin à l'ac-
le
Conseil émet
l Slri.igyendseis.
clni Irs
8
M Féau{rire, sous-chef de mtsl1. an
''7 régiment de ligne, est tourné chef
de musique du1113° régiment.
la
tenir.
.1 latendnnl militaire ;
lance militaire,
ci
27,
4
dernière inondaa déclaré s'abs-
publie au gaz par
13 mars
ea milre d d, le 10 l d d.e
nier, par modihcar on a ma cru haire
précités dn O loals, qu'en ce qui wm.
corne l'udmissinn dons le Iirsonnel de
l'iutmidunee, las commissroys
luss.
p
.0 al
Couéolens'truc, dép, 7
4 20, 8 1, 1 18 suir.
Vermeille, dép., ti 52 matin,
8 9 1 Y5
Pumas dr 10 f mutin i 6
1 33 soir. p
'
t
J'ai
edoj t
36 matin, . 0, 7 51,
1 10 soir.
.
caltés que écu
lus sn,ms an la cana dtslo
sot à I nplomn qu expume c, aq e
1
9 n. 25 M. matin
bans
p ei court
d fl
t l'appl al'
,il
ers de liste la e, des d positions
Cette mesure
traiter
fion du plan général d'ulignemeny sur
les bases des praoés-verbaux
d'eslilna-
écalant les grandes
es d'automne, i si quel
que ma rcirculaire dn I1 niai derme,',
(Efat-majae général, 3° bureau).
Je profite da la présente es lnuniealiop pour .o
l'aire connaltre
termes a'unen décision présidenliellevdu
24 avril 1877, les candidats admis au
liure auxiliaire dans I. cops de l'intendance militaire seront n attendant
le vote d'une loi sur l'administraticn,
connu "ssionnés soua ]e titr¢ . oflioicen
r de réserve (ou lie l'armé, territoriale)
. nUacbés au service de l'ipt
a,
de sage échéant aujourd'hui
sera prolong.
l'admsieei vtion à
avec divers propriétaires pour l'I'eué sidon de parcelles véeesemr
à 'oaé,n-
s
e s pratiques par ds singea le
mal Poursuivi., pour injures conta la, Cectir'soMnis
il reste
quo le
Skmiptchina et le Cabinet ; ils ne Pou-,
stage n'est obligatoire, et dans la limite
vent donc pas étre réélus.
de vingt-huit jours seulement, quo pmm
lin nombmux partisans de la mine-ité les affleura de réserva qui appartiennent
and d
unis qu'ils r
d ait
x
Ia`cas; durs cols u quatre Louis
la retr:nte des Russes en Asic a éle L'avait eera terminé.
vivo. Ou s'est demandé par suite de
lao
seil autofise
serai obligé d'e railler à ce q lits soiegt
mi à m1 m¢ de développe r leurs Gon-
Belgrade, 12 juillet.
démissionnaires'
.tpronrlt
I
M.
té pass avec mnacc et
l'éétohltablissement
, ayant puer oblat Li suc u
l li et
I
Paria.
députés
Ilac.
de M. Iluc, m l l leu l
routes
I
approuve 1
Pour rater suite
eimuiaire dd e
mars dernier, j'ai L'honneur de vous
Le dlinislre des ,,aires éleangéree,
puer dans
la soirée pour lordeaux et
le estcn l
pour l'ééu-
vole le crédit
Versa lles, le 21 juin 1977.
L'état
} es à l'examen
de touron, dr, dures s eondidats aax eco-
Paris, 12 Juin. 10 Ii, 45 soir,
out été
U.
.Cas affaires sert r.
57 21 à .° ..
CHRONIQUE LOCALE
ae- oarécn.
1,,aleaied :
1i-s'a
Bo
Busse, qui était braqué dopais
1
B. rad, Si inonda etlsl
Trains s'éloignant de Carcassonne
Careuasanne, dép.
3 85, 7 .o, 1 h. s9o
Z`
ndivers
Ars à émettre s r
ar
23 jours. Bayamd est en rames.
à partir de cette
conséquence,
'more
Offre du Air.., \'erdale de vendre à la
Ville ,a e de la accunée fiar l'école
m q'ois ale de la Croix l eeceplaaciiepmla
Jj
eiuerlé dd Paris do 12 icillel1877
13 juillet, U h. n'afin,
Abdul Iloriln Pacha a rein l'ordre dot
Paris, 12 juillet, 0 h. soir.
marche,à la rcneontre des üusvis
On
q ue Ir vo yag e pré sli cr u el
eu lieu à la fin do mois ; le maréchal
L'organe do la l,iul assure que, conIbrmémafit a ses instructions, te géré visiterait les établissements militaires
et on lad ma c s s t o. i i fit t de Bourges.
,u u
date, I:i marri e des trains sur la ligne de
Carcassonne à Limoux sera la sel
Nonlet.
i
pure invention .
sera. fiéramn
eu marche à partie do 15 juillet 1877 ;
Bu-s..
L
Le "nue' a ratura
consul anglais de Galatz; les prétendues
atrocités turduea de Malchin ont Llé ce-
nvà2 heures 30 du soir, s tant mis
et adapté.
I
I
rf
'is
dis
rebat de la précédente,
c
t
Mule, Introduit ensnrle'pl.sieues
r s, parme ierquelis on cemargae
M
entenede
prendre Panensive ; la Russie lui eau.
soilloi-ait de rester or la défensive.
p
M.
Trente-as
à
sonne
rs Limoux à I heure dn
allie, 'a ire de Limoux vers Caroaasnu-
Acquisition pour l'exécolian du plan
général dallgneesent de la maison du
hier
dii Trébiaon li a reçu ne, lettre 'p . bau Gcgate, trais -celles, gr'il a poussé'
M1tonfela,
située cul des
connaissance juaqù à Pr.siree du
ovhrmant les atrocités des Busses
en Mis, mais le gouvernement n'a aunaie port de Sébasloppt, ensuite qu'il est
le
des cahiers des charges pour
moyen de conlydler leur autbeuli- allé à Eupeloda.
renouvellement du bail à ferme des
Los navires Terra pendant le bom- droits de plats.
cité.
M. Beak dément l'apparition du. do bardement d'Eupatoeia ont capturé uo
Iuveutaire à dresser de la collection
h.Aimest Russe ehuegL de sel, malgré donnée à le Ville par
y! 1 Globe
ara es Irlande.
lo daeteur
l'es
0n usure que la Roumanie hésite
slidl a 1 honneur d informer le public que
deux nouveaux
v trains, partant ['an de
.
't
compta à 2010.
Création de deux uoaeu,sn trains de
Carcassonne d Limoux.
Cars as
adresser quelquesexemplaicru desPeugrammes des co fia ssances à exiger
Roi, la princesse des Asturies, les des candides aux
emplois administrauw14
wi
n
da
la
déuiisejeu
do
lord
Belft
minisnms
le la justice et des travaux
fournit en outre les
fiisd'oelar, ée fonctionnaires de résero sdeld-DerLy.
publics
sont
partis
ce
matin
pour
les
vents :'Le 11° 01.1 il corpssons le ami tLe Trruea dit que Abdul-hmim a reçu
ve et de L'armée derrimriale,
je vous
Aster ira et la Galicie.
prie les donner des instructions pour
mandement duazarcw itch, doit
l'ordre, péremptoire de marcher à la cruque es commven,e s d'exameu applrcerner Roustnhouk et im faire le siée
des Russes ; les Taros se eonceugnent xdu'sivemeet, à .sale do en,
Se. Le géséra] Zimmonnann, iu{ Imnt à Iha-d, id, Srlronnlla, Eslsidjuma.
Vienne, 12 juillet.
septembre prochain. ces progralanxs,
Le nfneaing Post an noire que le Czar
opère deus la Dobroudja, s'npproc l i,'
Le Correspondance politique dément
gai sont insérés au Journal iniliEaire o(de SilisU'ic pour en faire
le a acclame aax Busses d'évacuer l'A,. que la Roumanie doive prendre l'offen
ficQe
ménie.
sive et déclare qti elle restera sur lutté:
siégé, On croit que le grand-duc Ni.and auxbelli ...ires et defil Par.
fensive.
colassera dans fin mois à Amhium
ries fiérecu%
d'administration de réserve et de lv
de;lai, Ituaees ont assit de momlrr
'e territoriale déjà nommés, se vous
Paris, 112 juillet, 1 II. soir.
pour slrvancee aussi loin, avant d 'o-
voir 1115 le go odrilatbre, Le rami,
mmit générai est 1100 la guerre serf
ferminéu au e'On1mo11telncul d'ooto-
Ligne de Cmrwssouue à Limuà:
La Compagnie des chemins de fer du
éarlo
dément tatégoeigo met lest la canonnade des fartceesses d'Eupmotourné à boulin,.
bruits de la demissiou de lard Dineadiï.,
t -lit
U
télégramme offrmel de mardi,
fia reR fie mbr.
cotre sel
'édiles du Il juillet 1877.
Une dépée he du commas Tant de la
traira auz promesses formelles du tzar
et constituent une grave violation à la Ootte de la mer Noire a
s'est pprnchè d i fiche a ptil
p blique,
ue des forts de Sehasfapel ale'
foisf Bourké dit que le ton 1 Aog aie
Art. 2. - M. le -.laissais central
de police artchargé de l'exécution de
présent arrélé.
CONSEIL MUNICIPAL DE TOCLOUSE
Canstautinople, 12 juillet.
c ou-
es
Article
Le Cercle da Peagg ès,
établi à Toulouse, place du Capitole, 8,
se
immédiatement fermé.
Par décret du 12 juillet :
piste qui, dit-il, n existe Ides, et auquel il assure, suas fin autre vain, la
1
HAVAS. LAFFITErtOr r
Arr,.
P
Le Journal des Débats revient onccre
olle ont été condamnés à flou Irs d'a
t. 16 o ornement a t
p t. t'r contre celle
GÉNÉ RALE use ANNONCES
TOULOUSE : R. Akoce-Lorraine, 40. - PARIS, Place de la Bourse, S.
Il
ni""
les f ces rosses dans l'inlé
ys Ccpeudanl le plan
car du I
LES ANNONCES SONT REÇUES
RUE SAINT-ROME, 42
j
tQUtOUSer 13 Juillet
lleaconsfield. (l'est 1r@a'blini,
Vendredi, 13 Juillet là"
cementde
Lamelice.
- Par décret du 9 juillet, M. Dvlérrs,
a1l l
(AV.v
.
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00 U00 bon!Gies on avait
,a
'cuel il la Danube.
Ions mmistroa se vont ( r i
répondre
q ,e cette affaire reg: h u le comman-
me d
On nous écrit d
[lelo'.nee 11
juil,
Ic4
à
liait Aoir, tU, vers 7 Itenres,
ne bat.
mit m générale et sonnait le tocsin pou
r daoranur un incendie aux portes de
1FJeaom,ca, dans
métairie modèle de
Irillenita, appermnnat
à Ni. Justin Danla
"
dant en chef, à qai le Sultan a font de
entre adressé, une dépêohe, lui demande.
des explicatim,s.
Voici, à peu deehais, prés, ]es ter.
n'I II de la répohse que lui a envoyée Ad-
qu'à
volts lieurs las aimons La eut las les
prairies, llLI, P
t an son gxml
heu s qui
raient , rves su le feu as , t
ointe la ait. L'écurie de M. Daoj'y
enl'enno t oijuurs quaranlo tètes de bt.
tes :u cornes, toutes Je pures
les
émaux qui sortent de ces éil oies out
nue gr'nnde repu"lion ; on parle d'une
gemme quantit0 de fourrages brùlés ;
henreusemevt qu'on n'a pas eu d'accidents dur personnes à déplorer.
La puL'Ils et, Ileuranline a tait son devoir, et
a f'acilité, par sou euocours actif, l'muare des pompiers ac,ouens au premier
appel,
Une grande partie des immeubles in.
ceodiés sont convins par une aasu.
vines.
On croit que ce sont des enfants qui,
en jouant avec dos allumettes,
iraient
mis te lieu; dans tous les cas, la malveatlance est complètement étrangère à
iiatTe.
ce
- Les cdntars s.,nt sont à peu près
abattues, et l'un peul alfirmor hamemeet, sana dite taxé de pessimisme,
su supplie Votre Majesté de ne pp
I uses abattre pue le passage des RRss
IL Si n'a ; ; t évele
lmont cet eo ns
impa.taeee. Je supplm Votre Molesté de
me laisser o :nier
plan, et de
défendre d'entraver mes opératious. .
e Ilan, liés.mécnutent cette céponse a demandé à Abdni-erim par
expKosé
velte dépécbe ua
de sou
plan AJduhl[n5nl a prié, alors le Sul-
tan de loi accorder une mottante eomlete, on sinon de le faire remplacer,
.N-dessus, ALdul-Il;unid a témoigne le
JQ sir de se rendra eo persanno aa quar-
lier général d'Abdul-Kerim pour ezam,
ter aon plan.
. Sur ces entrefaites, Iledil' Pacha a
prié le Salles de no point quitter la
apicole, de l'envoyer loi-uuGnieauprès
d'AbdnbKérim et d'aRenm'e la reput let
de son rapport.
. Les antres 1nistres, eoehanlé3 de
déborraswrr de ItedillPacha, me e
"
pni
n laps Ae temps tri:s-Cour[, eet
appuyb sa proposition, Apré.. avoir Ion g-
temps hésité, le sultan y :t c nsentt
. llu eunséynence, Redit Pacha s'rsl
qu'elles .sont manraise.s. Les plaines em- emcalqué hier poco Ym'n. Jans le yacht
plumront celte a
cotes ux,
impérial Izzeddu,, n 'o npagniegde Nact, taisant le vieil union',U c'est n
eiy rachat 'et de MehemcJ Pocha, le
vais signe ; Deaucoup de coteaux feront premier aide de, camp du Sultan.
1. sourde oreille, car eux aussi n'ont
. Redit est chargé d'examiner le plan
été frappés liai la tourmente générale. d'Abdul-Kerim etd'y inleoituire les rnodile cmoolis dur grandes et petites pro- Ifcttons qu'il pontant jugea nécessaire,'
priété qui obtiendront ù peine deux et Namik parles, eoldnt plein d'expérience,
trois pour n,, des métairies qui au-
onh à peine lent se meuves "est
mLa
1ols
nignu
bien
promet colore; mais flou
nous
Espérons, malgré
plaines, i1 y a
mois,
trots
riaient aussi!
soucela.
La paille, par exemple, sera bonne
e sens qu'il y aura des herbes rot
Ikes, et sit y en a beaucoup.
P,-S. - ,)'arrive de voir le
terrible
sinistre.; tout est embrasé.
Les gens qui gbraieul ceLm belle fer
mi, n'étaient pas
assurés; ils perdent
tout ce qu'ils possédaient.
ÉTRANGER
apparemment envoyé pour aider
Iledil, mais en réalité parcs quo. tient
' l'éloigner pendant quelque temps de
est
. Mehemed Pacha, le premier aide
de camp du Snltno, est exee ei sst nenl
jevc, C'est u Oiqqui
lta nmui le des ye
crois,
leur
ut
et
éte,
en
Il a es y...
beaucoup
-ère'
je de cmuinoce.
otodéle tait
tout
et
ter
pu dont uR
ce.
Pendant t'absevice de Itedif Pacha,
Maltmond.Damai doit le remplacer an
à
négllgen o de
rla
Do,ly
laissé
ràce
FnikaPuche ,u
à
emtpper par ton ci
Jus détournés de
Ka nkilies: v rs Itayaziul.
Un, dépéche od'essée ail Ti.,, du
amp Je Kirk fitma', â te date du G
juillet, dit que Rlou hier.Pacha a son
quartier-général a Une faible distance
Jo Kar sntrc lui rit Kues, il s'y a plus
do Russes.
bue capitaines M'Cslmoet et 'Pa ner out
pi
promenant h cheval,
uneéul friu se,
clon
Lc muuchir Mnsms.Partis
pris le
a
andemenl te Kars,vec3
ah batul-
de eamp.g.e, et an
lonsm5lmtteries
,,g,
(Coreesponduvee parhee<tière
nspondanl du
gén', al 'lergonnsog,
:1
l'aile gauclie
r&0
Rde
l'avis, 1l juillet 1877,
le n'ai pas voula, haire, ne l'aire
clin d'un bruit fart répauiu dots rnris
' t lequel le gouvernement avait ré-
lue
Coumri (Atexandeopol(, levant ainsi effecrivement te siège.
vante :
a été profondément pei-
Il Le Sultan
emblable, en effet, car ou tia,su
qu'elle n'o .aucun fondement, Toit a
qui on raconte, et ce qu'on imprime sur
la dot: des élections est pur, frntmsie,
tenezle peur certain. ]lien n'est a..
cure décidé au tant au
u
e idée m'aide, on
garde presque
la
secrète. Dans l'intimité même des miallait capable de
n affirmer avec quelque certitude.
II entre dans tes plans de campagne
des chefs le l'aucienor majorité d'oppo
t
rr duos l'a
triees nombre de cuocurrents aux dératés de ]a droits redevenus candidats.
quelque inttuenee
figaro'
losirent
destitués
dans
oues anciens
arrondissements. On compte ainsi dérouterles électeurs,
déterminer
né eu appri oint que Ion Russe s avatout
et
Pluilletos du JOURNAL DR TOULOUSE
de mettre In
Du 13 Juillet 1877
un
N. al/
H. Gourdon de Genouillae
l'exngéealion de
sa colère, "outrait qu'il avait basais de
se rappeler sans cesse ehn'll osait surpris la comtoise en flagrant délit de
Pauvre maréchal 1
tromperie pour "croire coupable, et,
fréquemment qu'il
était insensible aux protestatuoos d'iui1 so répétait
ne et
si
auz
seines,
c'est «ou
fond de son âme il savait bien qu'on ne
résiste pas aux larmes de la femme
il aime, ait-elle cent fuis coupable,
LUI.
et, s'il l'avait vue annelant la moindre
repentir ou invoquant sou pardon, eu
levant sur lui ses beaux yeux en pleurs,
i était-i1 Pas à craindre que toutes ses
belles résolutions ne se fussentLI fondues
comma tond la neige sous les
reniers
rayons du soleil y
Q,
qu'il eu soit,
soit premier soin,
l'hôtellerie de
dès qu'il lut installé
1. commandoeie de Sainl-51arc, fut de
Ie, mu en de savoir ce
advenu
à În
oomtesse
lémeFil attendant qu'il l'ait trouvé, etourd e ' tout
nous lot
dee eb:lteau d'Amboisni encore
essus dessone par suite de l'arrcetattmi de son gouverneur.
Préquel, l'homme da confiance du
sous
maréchal, avait été, ou le sait, chargé
aux sous.préfets.
Cependant, cous prétexte quiet ma.
fière de capacité électorale, les exceptions sont oiaeotiellernent de droit étroit,
le comité d
polies e été brillé
par M. L I
idiote de NI. Clochât.,
et par M. tenait, ancien directeur au
ministère
de la justice sous M. Martel,
à prépar
saltation dans ce
nu, Anne do n cette pièoe, les ai
cuter au plus vile l'ordre quil avait
reçiy mais
ouce cela
il
fallait cencon-
tree le chevalier, et ce n'était pas chose
savait que le maréchal
ne plaisantait pas avec l'observation de
la cousigee mili"me et que de plus il
e don lait qu'il était son naval auprès de
ta,irune comtesse, et ries deux
salivaient pour qu'il prit toutes les prés
coulions q ;e commandait la prudence,
Ieoaqu il vendrait , le air, trouver
Louise, ainsi qu'il l'avait rait en appee*,et le retour de mari,claal.
tort
usité à cet époque qu'il pouvait litre à
peu près sac le braver impunément les
regards indiscrets ; la robe du pèlerin
C'était à l'oside d'un
et la capeline passaient partout, et ont ne
se fut avisé de faire lever sur eapuclmn
à ua prétendu revenant des saints liens,
qui avait fait la venu de eacbee son image, pours'assurer an
que sons la grossière
cncbait pas na brilrobe de bure, ne
lant uniforme militaire ou un costume
quelconque.
L'habit ne fait pas le moine, disait
l'ancien proverbe, mais il transformait
souvent nn séducteur ou nn malfaiteur,
Ics deux se ressemblent fort, en
et bunnéte personne devant laquelle
-dense
l'a
pome.laite "abaissaient et les huis s'ou.
'r'ient.
hune c R"it en pèlerin que le nde-
nesse s'était introduit à Amboise le soir
ou le maréchal le surprit c avers, nt
dans le jardin avec Louise de Savoir, et
A mi iso
le brave Prégunt, qni
actes n'odt
t,i-
hlase. L e 5 lit latssu bloc à 69,90 a été
entraîné un instant à 09,55, rands quo
le 5 010 rétrogradait ' 106,50. Les ConsoGdAs dememaut calmes, la premier,
cote les a apportés sans changement Les
eaucttes générales ont pris 5,500 te. de
3010 et 13,000, des 010. Le 5 010 itaest
lien a été entrafné à 68,10, puis
tions peudumes cetative.cet au traité
langueur et qu'il sorht du moindre ra
de eanuneroe. Il 'u Cfit de faire remarquer que la traité de commerce franco.
conter, pour accentuer sa faiblesse.
que l'heure de l'entrée en aléas des
anglais ne p-EIne
pareutles délviliif qu'après
,atilcotiun
Chambres et qu'il
ny a pan persil en la demeure retour
1, ilcien traité est toujours C rigueur.
se
Du reste, les négociutiovs e poursuiamant français que du gouveeonglasis qu'elles se produisent.
On a remar ué que M. ringarde de
c
Leffemlerg ne figurait pue daasle
der-
nier mouvement judiasiare et ou n'est
REVUE DES JOURNAUX
Ir signal de voar tous à la fuis de, liait
quartsenr tribord. Dans l'exécution de
t lieu
d
t
c 'île mmum ce
7 t. Itt .A et
. erre Iv I!é[. t
Il,en ne
saurait élue plus fouenle sou tee sa, sils
convicon, si elle devait s
que culte
n aviner. En constatant l'effet, nous
e chercherons pas la cause. Nous nous
1
t
fit
l'cperan dur premier decca ttass
o5, ouverture assez c n'udé IIeC dans
Je lano du second, Le command, Il de la
bornerons à dire qu'il doit y en avoir
M Fallu detIn Btuatire,
nr, uste""ce
tellement cette m nire de pro-
une,
est tenps. Le ter, ,on déjà reperdu peut
être sise sent reg Igné. M s é I g ut, do
mem veut que toue I e, 1
Lee eu neurs répaodmes dans le mo t
de la spéculation, ee d'zpres Iooouellos
l'Autriche et l'Angleterre se préparaient
intervenir militairement doua les al-
n s, les machinas 'tapées, l'amiral fit
,:dans
tee conseils 'la gouvernrme"
à 100,82 (baisse 5 cent.. AprJs pourle, le 5 o10 s'est négame a 106,87.
l'entrée de Tonton, en colonnes par d:
efet, croit
a
de SI, de
forces angbo-outrichsicnnea soit venue al
nul ne saurait dire si cette heure or.
proche. La vérité est que la a éculapion se trouve atteinte d'une eclaine
o meiot
remarquer des signes
les
sntvu
été meilleure qu'au début. Le 5 010 clérata. à 69,90, sans relogement ; le 5 010
Quelques journaux prétendent que le
gouvernemev[ serait .Inquiet . da peu
d'empressement que mettrait le gonver.
acte, nt anglais à terminer les négocia-
objections test bien pistil do côté du
mpt^me
ys,
L
parole a
ro.parce que
Il
céder "acvueda peu
i'nires turques, ont pesé principalement
eue les cours, bien que toutes hiles in
ssent
formations les plus autorisées
d'accord pour infirmer les bruits que
je signale. 11 n'est point vrai, en effet,
vent régulièrement et s'il se produit des
l'a
et
revenu à Lie 25. La 6n do la Rourse a
sous-préfets feront donc lote dans leurs
anciens
arrondissement aux députés
rvatcurs, C'est maintenant à coaxci d'aviser afin d'éclairer par aa
les électeurs sur l'illégalité de cettemanceuvre,
avoson
fl pousser les sienz et Il i,igea
ra la rade d'Ryyêres' dont il tétait
étai'n' de 12 milles. 11 fa[ ae,,ev. heureux
Radiur,
pour 1 échouer a la plage de
aveo1le caractère
cause
C'est celte
Fomelon.
que nous voudrions
,
ie disparaître. Il
parti conservateur se groupent
il autour
urgent
de lut avec diseisioo, il IL
qnc lui-méme ICUr donne 1'ezemplu des
déterminations promptes et des résolu-
tions viriles. .
Le Journal des Délais, répondant an
dit qu'il est plus facile de
constater l'union parfaite du parti réFraoraae
publicain et de s'en effrayer que de l'imiter. Nous sommes unis non-seulement
acore nous mais avec l'opinion. .Aussi
n'avons. nous pas besoin d'alter sens disp'ttee dans les antichambres minialé-
relles nue lettre de change à tirer sur
le sulteoge universel. Elles seront protestées, vas lettres impuissantes I Le
vo 1. deusu ocuns énce, parle qu'il sait
bien qu'an ne dispose pas de lui avec des
La solde le public à ne pas
s'inquiétoc de la formation do comité
de
dur jurisconsultes
passa
s, la gauche. . Les
tours de
dit-il, sent familtiers aux légistes, l'indignation feinte,
hétorique appropriée ii
l'auditoire. U'tbord les las admmastratires qui il s'agit d'appliqure ne sont pas
eut à ta
toujours claires et c'est
brome roi à les ;uterpeétne. Siu les radis
et toute sue
préfets d'aventure, full est son maure
et le votre, qu'il le restera, et que le
dernier mot sera toujours le sien. s
La Dépublique Peonpaiae aovstate que
dès à présent . Par l'inélnet, ble, effet
de pacte spontané du 1G mai,, le r p 'dent de Iys0épubliq le se prseo{e ré,
,ont le pays comme e chef d'uni parti,
auras en quelque
saut passés
chose, ce n'est pas dans la respect des
que celui-ci a refusé préférant conter.
lois. Sous tous les g000ernemeuts ils
es Inaction,, de procureur général à
ont vécu dans l'opposition, et se saut
tonte leur vie évertués
à tourner las
en sortir et reprendre eue
lois. Leur adresse en ce genre est sutfnsamment tatoue. Leurs avis ne trous
tionnel, qu'il ne le pourrait pas. Il liant
que le ternir, combnt soit livré, Quelle
.u sen l'issue 1 Peut-étre le cabinet du
16 mai commence-t-il à la prévoir ; il
ne reste goère, à cet égard, d'rllustuns
Paris.
juges do paix, publié ce mati. au jeurcomporte
ood offitaed
siz révocations
dont deux de suppléants et deux démisa...a.
L vit de l' affi
publie aujeurd'hui
soit de
e de la Rein, Blotti
le récit
rhe par la Tiuécie et
filUtour
te
de la pra-
aller,
rà Toute.. . Il fa ut, dit. il en, tern 1, tenir grand compte à l'amiesl
lauuégui herrp de l'habileté avec laqueli
le il a su mmutmuvrer son escadre tbmuler l'expérience des capitaines, et diaction des états-majors et des
riger
ii attend pas, en eDel, quo
de candidat admis. Cette façon de procéder emplette qu'on ne revienne sans
esse sue les réI.1tutx acquis, par suite
de rre.muaotdations ou d'informations
n uv lles
La droite regitimistu va pouvoir dooler
la mesure de toutes sas visées, Sou bu-
taire.
reau
t neoa0é.
a
L'Union
électoral
et la Gazette de France ans nactt re i-1
est Composé le Ni. liolh-Ilernarrl , prési
dent, de MM. de la M...... ye, de Larey,
de Rivière et de Rosamel, vice-présiRobert de Mou,
denls et de
Ce bans. vt devenir le contre
d'action de tons les comités légitimistes
M.
.t réunira . tous les resnrignemeots et
les ressources nécessaires, oùn
toutes
de donner ma efficace appui aux ovulaités blaire,
crois
le
a
soutient
Le Moniteur universel
l'Empire n'est ni une monarchie ni une
république. .Système amphibie, dit-il, il
prétend aire l'uns ou l'autre. Ilérédité
et élection p_^,
'ouatuent mutuellement. Le
par sa démarche de
urne de
Frosdborlf, a supprimé la dualité dans
la monarchie. Il n'y a plus qu'une seule
royauté, la royauté nationale. Monarcliielibérale ou rbpubligne aumritaire,
voilà les deux termes du problème dont
la France vu préparer pour 1880 la aura-
plus son travail relatif au oandidaturcs ulltraelles, On sait que déjà plucommumcnton
' n'a préfets uni reh'n
sait
bleront pas la conscience publique.
ici, qu'il
n'est point exact qil un comité électoral
devoir ajouter,
lie..
. Ni révolution, ai réaction, ai radica-
lisme ai dictature, voilà ce que
oul
des Fran asi
majorité
pe à ses dpeltr que la vrai piaillés
po..
me
le peul sa s. idc
le :sites àin ol ide
ur
lacs avent
la
base
ceell
n de Les
celles
es dur '"m
tes à payer, aussi ne
1848 et et la Commune que celles do
de Sodée ne sont pue Dieu
àlexegne
mersioub
bliées..
le Maréchal nia jamais cessé de
placer et de fonder su confaane^ dans lais
avait aucune nouvelle
chal, auquel il
satbsfaisaute à donne.. lorsqui aa m
ment de s'engager sous la votre d'entrée il se trouva en face de celui qu'il
cherchait.
Le chevalier de Vautours" était au
fort beau cavalier de vingt cinq à vingthuit ans, bleu fait de sa personne, et
doué de taus les av.m"gcs physiques
qui plaisent aux fermes, et,
en
Luise le Savoie
'efut
préféré à lierre
Itobaa, duel loi, rimpomte-sept
hivers ne pouvaient guère lutter
contre les avantages d'un tel adversaire,
de
fol l'rappf: de l'air de trachen-
quillité
et de parfaite quiétude de
"""go"
-
senpçoonuit avec sise.
varier, qu'il
n
ch94ean scous
s'è re introduit sua
dégninement gneleouqua et
chaut pour n'elre vit de personne, c et
revécu de son tnilorqu'il
me et ayant dans ses allures toutes
d'on hounme parappurenees
las
failement Imueeux et satisfait d¢ nui'
méme.
Prégent marcha droit à lui,
- Messurr, lui dit-il sur le sabmol, jr
- lit
at ne troumu talla turco de sou homme commençait à croire qu'il alrait de
la peine à remplir son mandat avant
vous
que le soir fut venu.
daigneusement:
EL
p omis.
onrgnai,
L'il vus plaît 1 lui
demaud. le ohnvaliar en la t,isauL dé-
.test pas coure e, mais la lutte esteo-
eug'gée ; M. de Mac-Mahon voudrait
Il-lie
supé-
indépenJan4, purement constitu-
à personne, sauf peut-être à M. de MacSiahon lui.même. Mais quel que soit le
chef
dénoûment, M. de Rlac-llahon,
fidèle,qu'il
ne séparera pas ana sort de Parréunit h cette
ée
heure autour
ehambrc de chauffe, le bdtmrnt a. [ait.
bientôt l'eau s'eleva dans l'intéreur du
navire jusqu'à t0 centimètres au-dessola
dpont supérieur, le nsivrau venant, à
l'extérieur, d'un tolu jusqu'à la p:ulte
,supérieure
des sabords de l'autre jusNE leur
milieu.
qu'à
uiherry 'ait
le vice-amiral
re près du navire
mouiller avec
échoué.
l'escadee
De son cédé, le mi't'a de la "arsi-
ne, averti par le télégraphe prescrivait
Toulon c' t'nur"r à cet
an préfet
officier général,
tous Isa secours dont le
gênée
des osap.,[ pouvait disposer. A l'aide
Ilfurent emphandners de l'rscsdre
quihoucha .,ce
d'abord, on
soin toutes les ouveelneet, écubiers, sarote
bords, dallais, ete. Quant à la
ployés tout
hoquets
d'eau pratiquée
par l'éperrougde la TAétia
ainsi lue
l e val
u tour de
plusieurs membres, é[aien4 basses ou
projetés ait dehors, lesmémos Scaphandriers, dirlglS' par M. Py, lieutenant de
tan de te Reine.Blanche, et par le
maître col"t du lticketieu, puis secondés,
Le Temps constate
que
le ministère
sent impuissant à dominer les parlie,à
o leur faire accepter ses décisions,
et surtout à contenir les prétentions et
les impatiences bonapartistes. Cette impuissance , dit-il, sera d'uutnnt pins ma-
nifeste gv'ou pprochera davantage du
moment où il amodia enfin so ésuaInc
a adopter une liste de candidats ota.
ciels et à la l'aire oouuailee. Sic reslo.
L.situ alors, de l'union conservatrice, de
la p mien su r laquelle est basée tout,
ministérielle, et dont on
pda politique
peut dieu qu'elle il'. pas eu un seul joli
tamponnèrent les divers tenus avec des
verdures, clonèrent pue frlaieise rn laine
appliui tonie J'étendu. de 10 p,
des paillent
quèrent sur cette frise. 'olé
"cités réglementaires niainlf;ireaI celuiavec des bouts de bordage ail
dessus et solidement cloués, cu néRpar
rent sur le tout nn prélart.
Ce travail, exécuté à une assez g'..profondeur a ts l'eau, était terniné le 6 nu matin Depuis l'avant-teille,
je
pompes vmme, de Toulon et
tes
L'Union suppose que
les
chefs du
parti radical ne se borneront pas uni-
nvoove une Chambre
ou
épubLcaine. Le danger cet social,
dit-
tItI. de Four ton et Drouet, deux Lamonde pour rompra les rots qui nous en
es d'énergique caractère et dont l'in- ,soir
Lclligonce uL pare de tout, préoccupa- lacent Plaine à Uil, que le ministère
à la hauteur de sa triche qui granGion de parti t Ces deus hommes Lit
toua las jeurs I .
avec une punseinco cortununimtivo d'accent montré la llépublique actuelle ou- ditLe Français désirerait que laorHApuéa''bai
Iode, même aPré. le 16 m' i, à tous lea que lui dise c meot le
de
citoyens qui ont le souci du salut so- a1.c-Riahon ara rfoncé d'abdiquer but
cial..
gré mal gré 1. présidence de la Répitbilan après les elactons. .Voilà, dit-il,
fait
préoccupe
d'an
se
Le Soleil
'cave symptôme Paction'. Suivant lui 1, sérieux et le curieux ; tout le reste
dans ton premiers jours qui ont suit, le ."st qui indignation essuunlée et menace
décrut de Essentiel, dit il, . le gouver- puérile. ,
lu
s, et dés.
anr,aient à opérer avec s
s'élevais rapïdeir le n
ü ai,
.,et-dessus de l'eau. Le G, les char.
scolonnes par des .res-boutants,
'lies
.:t tout,' crainte de oonvelle immersion
unit dès jure disparu. Coke à er travail ineenSany à la bonne entente des
noyons employés, à la direction intelli'ente donnés à tous les efforts par le
tmW:snl en cite(, ce même jour, la
Iteine-liJancAc, remorquée par le Deeuér
t s'aidant de s propre machine, cea-
,rait eu rade de Toulon sous l'escorte du
reste do l'escadre et le 7 elle était mise
u bassin.
On
er pouvait trop dggrand
.11
lue prem'enatideavecasles
- M. foi
I
avoua que la
messire,
commission s'est
pas
des plus agréa-
bles.
- A. fait ! que me isolat.vous y pxrIet vite, je .'ai pas de temps à perdre,
je suis attendu.
Cela est regrettable, messire, reprit Prégent, mais il feuilla que sous
Voua laissiea attendre.
- Qu'est-ce à dire, maftro piègent,
vous railler.vous de mai t
El le jeune homme parta la main à
son épée.
Comme istout le monde à oi de se il
sait Prégent et l'emploi de c.
rancequ;ilil remplissait auprès de
réchal, et savait que, lorgon le rami.
lier de Pierre de Robe. était repéché
vers quelqu'un, détail d'ordinaire pour
Ne tmmmentet
pas
Ou lit dans le Journal officiel:
. Le 5 juillet dernier ,s dans l'après-
midi, l'escadre étant sou voit on devant
gueur le maréchal gouverneur des ch:1leaux d'Amboise et de Chiton,
- Et cet ordre, vous Peina Y
Le voici.
Prégent tira de aa pollue le
sites
Tint un parlant, Prégent avait jeté
un regard en arrière et avait put s'assurer que les glas qui devaient au hein lui préter main jette n'étaient pas
ble.
-Un défunt,.
primer un mouvement de surprise. Toimois' ce ne fut qu'on éclair-
-Voyer. ua peu quelle est la date de
ce parchemin.
- Riais sella
se demanda .s'il perdait l'esprit.
dit-il impnliesté,
- Voyons,
1'ordro est tannai. il faut obéir : élesvous oui ou non disposé à me nui-
,ceP
tions
de
Vous
ordre
maître
agis-
Pr'.
d'user de
- le serais ,n
la force pour vous y contraindre, mais
pour la dernière fois, a nom du roi,
je vous somme de remettre vote
épée
désespoir
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
pour
la
dernière
fois,
je
refuse.
- \'n
su d messire, reprit Prégin t eu
que
tentant un dernier effort, songea
lni-
meue ce parchemin qui me donne pontvoir absolu sur vous eL que je s'ai quà
signe pour qua tous les homl'armes qui saut ici me prêtent
faire IL
mes
ger En vertu d'un ordre de monsei-
toute nature dee é,a par
de ii. tembre
rdogesdernie to R n'y a
eu q u un seul u besr u dont Ils ap
èes ', ureusemen4 at r
Incnces ont ouées
tenir
i fsnl-tl
a
ent attén
l'81jre depuis le. mois
1577E
jns'qû à ces
grand r copte à l'amiral I: il
de l'habileté avec laq uelle il
u
niberry
a su ma-
unenvrer son eean e, stimuler l'expér.c.des capitaios et diriger nslrucLion des états.majors
et pelle des équib
pages, .
TRIBUNAUX
- Il s'agit
main-forte,
taux en écritu-
re publique, et l'accusé cet une femme-
alar o Pe'ehrsou
Iii
1um4
est mariée à Paris le
dentier à la mairie du a sol-
-- Faites-le donc, répondit le cllesalier.
Prégal l élait à hall de patience : il se
tour,, sers les deux hommes qui l'sc.
tmpagnaient et qui an tenaient eespeotueusement à l'écart, n,ai ea mime
hmps te chevalier de Vandenesse fit
volte-"co t rentra dans l'ittlbrieur du
chdtean. Prégent se fin opposé à oc qu'Il
nr4t, mais en le voyant au traire se
des gardes, il se
diriger vers la salle
e, enchanté de ce
de le s
qu'au lien de cher ,ber à s'enfuir il se
au milieu de
rendait ainsi de
taie qui ne pouvaient manquer de le
h
Le chevalier ouvrit la porte et, s'air res
ont au lieutenant des esleadiols de :sers
cm,ooe. u - etL-il, as ur .vous de
S'a
et il munira Prêgent
eut hum me;
- qui, au mépris de la volonté de Sa
de
élajestc Il ai quo a retire le gouverne.
d'Amboise o munseigncar le maré-
chal da Cils, accusé dit crime de haute
trahison, prétend, an nom d'un soi-disant ordre de maréchal, arrêter lo capi-
taine des gardes du chdteau de Chi-
Encore
nou seigneur le maréchal a signé
s'écria-t-il.
sorte,
lequel y lut Prégena,
qui commençait à troever que aon prisonnier faisait bain des façons pour m
rendre,
Et
Quant à Vandenesse, il n'avait pu ré-
de quel
Ira
Prégral' dit-il, cet ordre
un défaut qui l'empêche d'être vala-
loin.
- Et en 'tutu
de 1.
sez-vous
le
simple manant.
unirégent
retarda son interlocuteur et
u
. Pré
par-
par le ma,éclml et
présenta au chevalier, qui y jeta
chemin
votre épée,
messire, cela est inutile, ou plutôt vous
alleu me la rendre, car malgré tout le
egret que j'éprouve de priver do sa liberté un brave gentilhomme tel que
vous, je suis obligé, pour obéir on. ordies que j'ai mies, de vous déclarer
qu'au acte du roi vous thon nton pri-
s
er à
rsrx aa éclnnax r,un
l'd'un f; cs amantes
mes-
fdchaux
lui apporter quelque
n
s
. Il faut remarquer cependant que mal;ré les sorties continuelles et les évolu-
la . lieue.Blanche .
Justement, aujourd'hui M. lenoué.
officier
,lot de
Gié, te peut taire appréhender vii
des arunéss du roi, ni méme
sage
àm
la gravité
aà
u
,oie,, des rvLS qui, autrefois, beent généralement presqu'auonne
onLane.
Broglie,
fonde impression dans le pays. Cette im
rands
L'abordage de 1. . 11501" . et de
gique de M. de Fourrou, Il'élogaesné
.,;â ,.t produit nue heureuse et Pr.,
par dos carrées aus, com
na
-'es jour et unit
,artenant aux dilléreals
nent avait évidemment gagné du ter-
le duc de
les
man.-
pompes à incendie de l'eeoadre,
perun, s
journal
di, cL, malgré co qu'en dit
otlcieux, il faut plus qu'an coup de
persuasive de A1.
pr s.raidi,
arrivés de Toulon,
l'ouverture à l'intérieur unec'l des plan-
ont tairas dans lents iuupuehonts discours
rain deux l'opinion publique, La parole
autorisée de NI. Paris, le langage éner-
heures
partir de gnalru
par les sept ouvriers
,entiers de la Reine-Dlaneôe bouchèrent
de son drapeau.
gnenent à nous
modérés de tocs les partis
.d'autre part, dit-il, quelles déelarnlions
le
voyant, on s'expliquait facilement que
-
bornuaos
présidence.
boisson cr,..dans la ville, oh il .'avait
pu recueillir ucun renseignement de
nature à l'aider dans sa tâche, il ceveuait Isba pn.a.d ou chtte.a, redoutont d'être vu ou rencontré parla maré-
pnvlsrlio ei
iis qui il esk maintenant
dle des ohaoger. I: heure des élections
réelle existence P n
Le Constitutionnel affirme de nouveau
que
le partis _,col n s . . Situa lion
la
net oh, la mer
livré, à se sujet, h bien des commaatairesJe cois s v sir d'une peésidevit de
chambre à laocoar d'appel avent été of(erGeà M. Imgarde de Leftemberg, mais
Au reste, le principal était justement
d'empéuher le rendez.vous du soir ; il
ait pour cola de surveiller les avezs du cbàtean et surtout ta poterne
qui donnait accès sur la petite cou
Ides communs; aussi après avoir,
gré toute son habileté accoutumée, fait
d'exé-
coure d'hier, mats ltv lrausactboos
moilins
d'urne tendance ' la
1
de Vandenesse
chevalier
uétait
Il
d'Anguu-
administrés que six mais apres la cessation de leurs fouettons et par vote d'analogie cette disposition est applicable
ajt été constitué sous les auspices de la
dans l'impossibilité désormais de co
linner ses assiduités .,,près de Lou se
facile ; celui-ci
BALLOTS D Li REINE
.t
s génét qu ils oui
diviser leurs nu
second tour de
de Savoie, et soc intention était
LES
[
lu lista des eaIididaLS soit complète. Les
iustenshione sont données aux préfets,
u Inc et à mesure de la proclamation
de M11, Ricard, de Mseeere et Jule,
Simon, que l'on suppose a 'air cnsurvé
dépêcha soi-
et
m'informer
ieusement
Lemu
3
avant de donnai' un avis, secours bien
que la nonv,llo air, parut teés-invraisemhiahle. Elle émit plus qu'invrai-
des sous-préfet, aujourd'hui
Le SJandmrd a re u la
p ol t
dl
si
sida de faire Il' elrcions le 5 soit. J'ai
l'armé ces concurrente
ItlitIF-PACIIA
I
cnndi-
I
des candidatures qu'ils devront appuyer,
air ère
n laissant, e
M. de Fourtou
ries qii il a été admis
j'Il, an
iatres, peraonne ne
bahtlors an
do "l'a places et ils val
transports tontes leurs grosses pères
d'artillerie à R irik 1) ce, or la route de
nunrds
datr ee d
raux d u
at
I
cité adressés à l'amiral par quelques
journaux à la suite de cet accident,
t
r , lis luanEn ce mati to
a nlinnent
tienne dans
duos une indiltéComplche. Cepend:un, on n'ignora
pusqui,
le gouveruemen4:tctise de plus
c
P.
Selon ,me dépéche ea dote du 9. du
on
ait qua le
to
gAinsi tombent les eepeoehesd'iocepa-
LES IIOSTILITLS EN ASIE
Tin,
,c
la loi él
l'abordasel
ministère de la guerre. .
Cspmadent d'El,,... La du
Y'dlrbp-aph,
Fàilc.pacha aurait
ncl e des lins
r 'aile
neUdt la actnre aux republieal.5. Mats
Le mouvement dans le personnel des
résolution,
b
t l'issue f vo ble résulte'
de 1 impression pied sine par le
pt ntmat i , yen u_
faut
Constantinople.
. Namyck appartient au vieux parti
arc, et, quoique fanatique, il est lion'
mêle et loyal. Il est également doué
d'un grand courage et de beaucoup de
d
La Bourse s'est maintenue dans telj davantage sots
pas
sefulri tin
ton.
Piègent était resté bouche béante, se
demandant ce que tout cela voulait
dire
En n clin-d'ceil il fut entouré et gardé
à vue.
Vandenesse sûr désormais de un plus
étre inquiété par lui, reprit tranquille'
ment son chemin et s'en alla vaquer à
ses affaires.
(A continuer).
clin semenl sous lo nom do sa sueur
l
pensé. Ce
L, y
end mt il a cru
elle avais des alsa u peut- d asnusiss
écarter I pl ono de L peint,
!
son état avina ayant déjà subi une o n
u
t La Loura abois,, la rien de
damntlson à dis ans de travaux forces deux
travaux
degrés et condamne M'ge 20 ans
patte infanticide, nue auras à emq ans I de
forces,
n é prias
pane
,c
escroquerie et en don-
pour faux,
Fait. Disers
La petite ville de SoinbGermail lest
Mlle Vieillie, V... I
été
nronnée
L'attentiua s'était particuliéremeut purtée sur elle parce, qui elle était erphelina son père l'ut écrasé sous une v -
mari qui doit on ôtre respoessbie.
Le matérlimoin,rracontaVLes
:1islide
les p eminaiu
end-
tirre, et sa aère, il y a x mois,
final et seseillusiai s
tic personne la reçut chez colle st
rélint
$is feront, 'a
soiss
lé alors à la préfecture de
pulser pour la réclamer, et là j'ai appris
yuan ma lemme usait élis aux galères
pour int:mlicide et qu'elle émit sous le
coup d'un mandat d'arrêt, à raison
d'une condamnation à 20 ans, prnuon.
née par la cour, d'assises de l'Yonne.
Vous jugez, M. le président de l'émotion
que cela mie causée.
- Si
été indigneint
mise gcnel-
avez
v
(rampé, vous sparaisse) y avoir
i' complaisance. Eslimez.vans heureux
pus
r
été impliqué dans la
poursuite.
Une femme Afericl, qui avait consenti à jouer à la m ie le rôle de aère
de la mariée, ne a répond pas à l'appel
de son nain ; elle a envoya ait certificat
de maladie.
Sa maladie, dit AL le président, s
plique par l'appréhension qu'éprouvecrue femme à paraître devant la jestics après le vêle équivoque qu'elle u
joué dans
Marie t'er'hernnur est condamnée à 20
Innées de travaux forcés. La Cour dé.
clare qm- cet, pli
nn efondra avec
veille de'assisev
l'Lussemmont par
la Cuise
-
de
sainte
du Var'
e
g
"in:kl
avait
dr' Cari
hl;i,né unrprojel te la municipalité C.
luette tenva'il
i
constrnctian d'un
la
à
ve LhécLre sur la glus
'
de Cannas.
qui
La
belle p.
lettre dans Il-
le Ai, Il lette s'adressait, dans les Ler-
cs J'aillrnrs
les
plus modérés,
a1tministratnlrs et brillants
étésnn
mets
de
a
de Cannes
l'appelication
donaé.eàr ua loin sur le -[Partait . L'imJamnés àt1Où frais sud'amende.été conCOUII D'ASSISES DE
LA DORDOGNE
--Il an -lors ,il
tel dramaturges ont chargé leur mrnoire de
criminelles et d'emomisoanements mystérieux. Csecre avait
n volume 'de s faire un par-
trait plus honorable do père :gon lai
reprochait ses ]dches complaisances ; aa
plaignait sa faiblesse e4 sel eveuglemeot.
llaremet les cours d'assises cet à
juger des pères assez monstrueux poco'
rter eux.mènes ta main sur loura es-
fu
ta.
11 ége 6fait -il cnllinstmsr aisé de Dranlôme. 11 s'était marié tués.jeune et avait
eu de sa première femme deux enfants,
garçon de cinq mua et ee petite
fille encore au berceau, A la suite d'une
longue maladie, dont l'accusé n'a pu
indiquer la nature, Mine 51égi' était
note. Son mari avait nlunitoslé u
soulagement profond et éé.tait empresser de convoler ia de nouvelles oponSailles.
Le souvenir de sa première femme
était odieux
l'accusé. 11 n en parlait
qiuémoire
en termes amers et ;poursuivait su
jusque daqnsuilesi;ru lenfes'mtsLLiquenil
'
,Qeanda
et
tropvoit eus d'ellessait-i
em
, di
I.
la seconda s'enoaie, r. n'hta5L pus une, stature assez bmP.
ait, intelligonee ;,a,,,, éclairée
e
r
protéger coutre ces selimcut,
odieux : elle .tees encourageait plutôt
rat se plaignait a tout
art de la mal-
propreté de la petite folle,
0. avait li nuancé par l'abaudonuerr
a
ici ne
cam.
femme de
s'était décidé
à la are
était
I
Ire
e
blé,
oewrpoee ALne Mégis
.eg
nsison.lLe père
résolu à s'au défaire : q
t le
la
Procédé le plus cruel, r
, I le moins
mpromottant peut.être. Il lui lit avaler
de la mort-aux-ram. La petite fille] mourat dans des douleurs atroces.
Piège n,lit imaginé un système assez
Planait' pour siunaeenler aux yen.
t, de
la justice1' et de lu sc ence. . J'ai ouva.
contrant ms petite qui s mais des
allumettes, vins-il dire Ilypoeri temeslt
u médecin. Voulez-vous nie dorer
ordonnance ? - Mais il faut vupa-
ravant que examine cette enlaut, Oh I monsieur, c'est inutile. L'enfant
n'a pa. voua et il s' IL pus findisposé.
Faire agi médecin .an visita "tardive,
le I
tir d'une ordonnance Itachée à
sa bonne foi, tel était le but tde l'sel
casé.
Le rôle de 1s, m ràtro dans cote et.
faire été plus lt tai Ou pnnvait
se
u
er qu'une n'en4 point blé quérir
dees
a,-
s
-
on pouvait condamner s, complicité tari te;
ou pouvait relever contre
elle des propos coaprometnnts. Mail un
ait pas de preuve directe,
n Fan dernière
question pou voit se liemère de Atêgo avait été
idiote, et le médecin de la famille
r, L a
déclarait que l'scellé n'avait pas toujours pleine possession aie lui-même. Mais
la démarche artificte... qu'il avait faite
aa dernier moment ne t(mo gnm6.elle
pas dans la mr,onstance, ,Lu il ,,fat pletnoment responsable de ses actes?
la
considéra comme sa propre enfant. Mlle
Victorias V... était fiancée, les baies
étaient publiés et le mariage devait être
célèbre le 1h de ce mois...
A la suite d'ane scène de Jalousie lui
ont lieu ,tans an ménage de hs ville
saillis d'rxplionlions, et de lS,
cnuns, un apprit tout à ou p que
Virl tnrine V,,, était la
vitrasse Il
i
muni. On aurait meula douter;
plusieurs lettres,
mais
dont quelques-anes
s, étaient ans preuve ac ca blate
n
de l'inconduite de cette jeune fille.
Dans font ante,.. las, le silence aurait
eée,set une explicatlion devenait rlnécestaire.
Le soie, elle était précisément elles
son futur. Aux premiàres paroles écllan'
gîtes, elle s'échappa et alla directement
hea sa bienfaitrice ; m s au lien de
l'accueil maternel auquel elle était habituée, elle reçu brusquement ['affront le
plus sanglant.
tille partit, puis enta vouint raveuir
et essaya de gagner la chambre que sa
Protectrice lui a .it réservée,
mates la
maison était fermée. Dès ce moment, en
ne la revit plus,..
Dimanche dernier
corps fut Innové daine
eulement,
et
son
sur Il
enterré
ia Seine,
de Jazinrs
territoire
fut
cette commune mémo.
Cette pauvre tille, slaate le Jassnal
Sninr-Germain, e telle la seule et l'apique coupable ?Les lettres m
an.s
p4eas
f ussoèeschen elles ne mndraienl.elles
à prouver qu'elle a plutôt été victime?
lettres mettent à jour les sue-
Ces
aces brutales doit elle a été l'objet,
les ordres quelle a e écalés contre son
gré, les exigences auxquelles elle n'a pu
se soustraire.
N'avait.elle dore pas un sentiment-de
pudeur, puisqu'elle s'est sentis indigne
du choix qui on a fait d'elle comme ,a.
aille Y - Mais la contrainte et la mec, étaient là qui loi .et formé la barelle, - et l'ordre lui u été rejoint de
ne pas refuser...
- se
On a beancuup médit des maa:1tres et
iris tonale. Je e° is lo ijoms enchanté
'
le peu-
fiait. ..a
In
Pain la curie se histoire du
cap-
colonel
Chah cet racontée par Patate. Le emmé
Alfred Loichnt avait quitté le village dis
Dizot, dans le Doubs, où il était né, pour
la loi sur le ,orvet, militai'
et il n'y était pas revenu prêt sa
satisfaire à
Illibération, L'année dernière, désirant
se marier, ce jeans homme alla chercher
ses papiers eu pays afin de renouer
avec sana aaciee camarades,
soin ded
beesoin
met
Loichnt n'avait
de son acte de naissance pour contracter mariage, attend'.
qu'il était .net
Toulon, où
pan
1871, au bagne de
subissait eue condamna-
far
l'ate
en demandant que
forçat incsnnn qui avait traîné son nom
pendant des aeées sur les barns des
s d'assises et dans I,,s maisons cen-
tua des
e, face,,.-
épouvantable et il fallut pour le cliente,
que l'employé de la mairie allât lui
ehereherle registre
g
les
lette lois il n'y
actes de datés.
plus à douter :
t
Loie
Alfred
hnt ,,ait
,,ait parfaitement
crut dans la nomenclature funèbre, e et
cela
en vertu d'un acte de réels dressé
an
bague
de Toulon ara transcrit sur les
registres de a ommune natale, , c i les 1'ormatitéa exigées par les règlevments.
aut
- Je les ai perdus au jeu t Un ami
Le tribunal civil de Toulon
fait
droit à nette juste requête. 11
a ordonné
rées
cuit_
nête homme,
- Dans la journée d'hier, un sieur
Engane C,.., :lgé de 29 ans, employé à
l'Imprimerie Natinele, domicilié rue
0,,, loup f, éhmt allé rue Tournel'ort,
chez sa femme, de laquelle il st sépaa Lronvé dans la chambre de celleci deux,jeunes gens d, 17 et 18 ans,
dont l'atitndc le mit deus nie forte eulère, S'armant d'une ara fan qai il prit
m meuble, le sieur C... s'est mis b
frapper à tour de bras sur les deux jeu-
z grièvmnnt
blessés par les éclats do verre.
L'un d'eu, a en l'ancre de la main
gauche coupée; l'autre a reçu au visage des contusions tués-sérieuses. Des
agents, attirés par les cris 'les victimes
t par le bruit de la lute, t emmené
eu com-
ci
missariat de police. Après lev canslala.
fions nécessaires, la femme C.,. a été re-
lâchée et le sieur C.,. maintenu en état
d'arrestation. Quant aux deux blessés,
ils ont reçu les prnmters sains dans une
pharmacie et ont ensuite été reconduits
gistral
- Le Fiyura signale une nouvelle attaque nocturne.
M. Gustave Laval, demeurant passage
Tocanier, no 23, passait la .rit dernière
sur le boulevard Matas pour rentrer à
sou domicile,
individu, déboo.
chant justement
du passage, lui demanlorsqu'on
de quelle heure il était,
habitudes
rôdeurs de nuit parisiens ;
laisser
des
nssi,
sans
le quidam s'appracbrr de.trop
près
- Dons heures du matin, lui répond--il.
L'homme fit nn pas eu avant. M. La-
attirée en .vont, deux aulres individus
le saisirent par derrière et, comme il an
débattait désespérément, l'un d'eux le
frappa d'un coup de couteau à laencuisse.
Puis ils partirent eu lai emportt sis
porte-monnaie .-tenant
129
francs.
Ce n'est qu'une heure après qu'il e été
trouvé par les gardiens de la paix, qui
l'ont porté an poste comtat, et de là b
l'hôpital Saiut-Aatnine. Sou état est très.
grave.
e et
viW si bleu
qui Voulaient
p
t presque aussi ite
a
le neveu,.. Dans la diplomatie !
- Rem !.,. ju crois que lu le mo-
ques de moi.-. Voyons lors histoire, Mais
elle
n'est pas bonne,
tu atome
i
rien t
- C'est entendu, mon oncle, Vous
pouvez payer d'avance.
L'oncle alla à
n
eorétaire,
de banque et la posa
sur la table, près de lui.
!
elle net mauvaise, je les garde. Va !
; si
Il ny avait une fois un oncle excellent, mais ou peu avare, - comme
comme vous.,.
- HéQui ! fi t l'oncle,
-
charmant, -
avait un neveu
comme moi, - mais nn peu
quia,..
- Comme toi, dit l'oncle, Ton histoire efplalt. Cmtiuue.
-
Cet oncle et ait trés-riche, mais
d'urne avarice telle que jamais son pai
re neveu n'avait vu la couleur de ses
dons : tout su plus en avait-il reçu une
timbale ait un em,,vert, Injecte de son
entrée dans cette vallée de larmes. En
vingt-cinq ans, c'était peu, ¢t nmee neveu rêvait ans moyens d'en obtenir davantage. Il envoyait du gibier dea cigares, la Renoue d'a Deux-monde,,
l'oncle mangeait l'un, fumait les antres,
upait la troisième, remeiaiy et ne
donnait rie... Le neveu t as, ses pré.
espérant nneexplication; peine pardbe ! l'oncle ne semblait pas seulement s'en apercevoir. Do reste, oncle
aimable, jovial, faisant homo chère, lié.
bergeant au besoin non neveu tout le long
de l'année, mais ne lui donnant pas un
rang lard.
Il
t raison, interrompit le per.
mier oncle ; comme ça, son ne en l'amusait toute l'année pour rien. J'esauieai de es système. Conti,meavait.
- Mais cet anale
an défaut, le
plus grand de tons... 11 émit... comment exprimer cela 1 d'eu oncle sans
lui manquer de rnpect 1I1 élai4 un peu.,
il
était absolument stupide.
- Tu n'y vos pas de main morte,
quand tu habilles les oncles !
- C'est que, voyez-vous, mon oncle,
celui-là n'était pus lu oncle ardi, vu qu'il était extraordinairement
bIte... sa bêtise émit connue à ,mijote-
te sertiea à la ronde et tl n'y avait pas
propriétaire dans le voisinage qui es
lui cul jasé quelque ton,. Mais notre
tomme était excellent' de sorte qu'il un
Il
Laichot reçoit le méme accueil an,ilIsge, un le regards comme nn revenant,
conduite, son livret parfaitement en ce-
- C'est un oncle comme ça qu'il Vaurait fallu, peiu ?
- Je perdrais top au change! répondit le neveu de l'air le plus aima-
neq on Anne fsta Ip
e,traordinaire qu Ce c fut
as mort, et mort forçat. e ne fat au'- près de Ligues re-
cherchas, des démerdes sans tin, des
aeées tort à fait déssnérxntes que l'inpue la qui se trouvait ne pas avoir, de
fiarturné
la loi,
loi, le droit de n'é.tre pas mort,
put obtenir la clef de l'éutgmeOn sait, dit le Figaro, qu'Alfred
Loichnt avait été soldat. Or, pendent
qu'il ss trouvait en garnison à toi oein,
ua malfow, resté inconnu Irai v la,
une nuit, sa montre, sonqu'a
argent, sa halte et taus Ica papiers
avait avec
Irai, soit comme militaire, soit eumnne
'enr horloger. Le voleur,s'salait sans
qu'a. pua retrouver sa trace, et, tort
bloc, as de pouvoir se refaire un état
civil et ou canine judiciaire vraismnbla.
III, il arbora carrément
le nom de Loichnt. Il s'en vil à Marseille, ail la polie, lui mt
n t ôt ,:l a
main .. ollel, à raison
' e
""'lot l'ou
d'uinebies
méfaits divees, acte qae vol?,
eu d
mde confiance
rouemurs pece
rratgorie.
nltreerrogé
Notree balcon, immq
elle son irlen
lité, ue broncha pie. D déduira quil se
mail Alfred Laichot, montra ses
papiers et compm ut devant la cor d';s
ae des Dooches
J n --Rhone, qui lui infli-
gea aix anodes Je eé.lusion, sons le lauz
om qu'il avait pris, Os, le dirige:, sur
la nmison ,calculs de N l ncundaLmrad
d
à,
a
ou,
boutasde des années, la
,,fiou, st os doit
ile'lapso
lh
an,
sn
délaear,almt et
d aller fie
e
es colonies pénitentiaires,
1
en
d
,chan
1
bI
Un riche seigneur russe s ennuyait
des ses terres;
pendant, comma la
plupart des propriétaires campagnI
aimait mieux s'ennuyer ,1,,,.,'r,',,',
de s'amuser votre part. Oie eûl.il pis, dis
este, trouver une cuisine aussi puefaite,
des firails aussi s: oureux, de la crème
aussi franche, et, en toute saison, la liberté d'agir o sa guise.
Mais, précisément parce qu'il était le
maître dura lai, il ne délestait pas u
pan de coatrnverse, et, par dessus tant,
il aimait les histoires.
Il )es aimait tant, yu'il sérail fait raconter te
qu'il y
Idoles
au monde, : il eu savait de russes, bien
entendu, de finnoises, de toungouses,
de chinoises, d'américaines, d'indoues...
je ne parle pas des anecdotes françaises,
celles-là sont les plus nombreuses, et,
il fout bien l'avouer, souvent les meilleures.
Uut jour qu'il s'ennnyail, comme à
l'ordinaire, il vit arriver
s
jeune homme du plus bel avenir, dipl.,
mata en herbe, mais d'eue herbe
ai
commence à pousser dru ; et ce neveu,
qui n
èreloqnr-là
ù a court d'or.
gaisI aie rnmlrgtt
d'une prévenance extraordinaire.
- Q,,'est-ce q
mander ? fit l'on J
le thé, pendant q
piros,
tu
.
me 1
g
d
t
Is allomaiuut des pa-
L'oncle sourit
- A force de faire des cadeaux inuti.
les à son oncle, outre panure garçon se
trouva si pauvre, lie il résolut de r ttraper eu une fois toutes ses mises de
fonds, avec en poli, intérêt, et ce n'était quejoste, depuis le Lmnps qu il...
- Non, conélu il poil jnste ! interrompit l'oncle aaditenr; n'introduis pas de
masinnes diplomatiques dans un maison
honnête!
- Juste ou .en, continua le jeune
.,est
'oui,pourquoi faire ?
fait toujours dans
orle cave ! Depuis Hermès Trismégiste,
'a jamais fait l'or ailleurs que dans
(son d'ordonner, un bon déjouer IL
un excellent cigare l'avaient disposé à
toutes les anse,,,atone qui ne seraient pas
de pis dons,
- Qui
là ? dit-il en voyant
"ene déballeravec
nn tus
d'herl es odorifératueset ana gnantihi
de petits papiers co serie de noms latins, - en latin de pharmmcie, qui, vous
le touez, n'est autre close que du lotin
de cuisine.
- Ce que j'apporte, m
p.. dit 1
nl
1
e
Vu
ourle? réa
sa ,lier. le s, voir. Il faut q, i
ssaire,
sana allons nous enrnêmer !
-- Si vers vans laissez arrter par de
vez la liste et les proportions, et la formule... Je noublia rien ?
A jeun, vous savez ?
- 0ai, ona,
anis tranquille.
- Non, il crois que c'est bien tout..,
je n'ai rien
sbllé,,,
Eh hieu, adieu,
cher oncle, bonne chance 1
m il
se fit amena sou cheval, l'enfourcha et partit.
L'oncle collé, seul s'allongea 'dans un
pectives
so muaient
désormais devant
Luit Il ferait l'or jusqu'à ce qu'il eu et,t
caves plein tous ses
quoi plaisir d'avoir tant d'or !
toutes ses
plein
Il ferait hilir une no velle maison, les
ligue; les frais de douane seraient énor-
lais qu'importe à celui dont le
mes,
capital est inépuisable !...
Aptes avoir neublé le rez-de-chaussée
de la maison
il passait à
l'aménagement du premier élage, 50mimaginaire,
puériles
naidéeations...
d'un air offensé,
n aH
- Non,
fat le neveu
esvais mettre
le. anmaunet ds paluc
galoches. "I t'engage même à eu faire autant,
cinq minutes après, trois domesti-
ques, plus étonnés l'un que l'autre, des.
endaient dans la cave l'attirail du seu et un petit louer eau eu briques, pas
commode du tout,
dont on se servait
parfois pour faire des
- Sortes
!
qu'il collectif, retentir sue le sol, durci
par les preaidres gelée,, las subtils d'mi
cheval lancé à toute vitesse.
- Qui diable est cela ? se di4Jl.
Avant qu'il eût le temps de se mets
ses pieds, son neveu entra,
p51e, hagard, les cheveux eu coup de
tre
vent.
.Mon oncle, s'écria-t-il, vous n'avez.
confitures,
leur dit le neveu d'en air
théâtral.
Les trois domestiques nue fois sortis,
il ferma la porte et ouvrit le soupirail
- Mais en. I tu sais bien, que uu
qu'il
faut étceà
jeun,
pour donner de l'air. La cave, au fard,
n'était gniun sous.sol, pas trop désagréable, mais sentant ou peu le moisi,
Au
rand ébahissement de sou o
clé, le jgeune homme mélangea las ],lefils et les petits paquets, ajouta un peu
Que
Seigneur
à temps. Ah
sous
de remords,
raon
clé, si roua saviez 1
- Quoi donc ?
-J'avais oublié ,le vous dire,,. Mais
puisqu ï1 e est encore temps, il n'y a
d'eau, mit te tout sur le t'en, et, faut
ont du clef, mon
rien de perdu. A.
en remuant le mélange avec une cuillère
oncle, quand vous ferez de l'or, ne
pensez ,jamais à leurs blanc, sans
quoi l'opération ne pourrait pas réas.
à pundu, il lut à demi-voix une formule
sous
abracadabrante qu'il avait copiés je ne
où.
Le mélange exhalait une
remonte commencé ?dDites.moi que
pas
venons de dise, et
r,
veau abo-
IL
mmal le. L'oncle se bouchait le nez pet
- L'ours blanc !
- Oui ; l'ours blanc a oe inllueee
restait près du soupirail, tort en aloi.
vant des yeux la fantastique cuisine de
,,alchimiste.
contraire à celle des planètes, et la simple évocation de son image maths à trou-
- C'est fait, mou ..clef dit celui-ci
bler la maoipnlalion des métaux dans
le creuset. Ainsi, ne pensez pas à ,et
lui passant la cuillère à punch,
Cherchez vous-même le précieux métal.
L'oncle, non sans se brûler les doigts,
plongea dans le mélange puauy et,
après quelques recherches, amena deux
en
ou trois grains d'or,- de l'or,
pas douter,
- De l'art
à
ours fatal.
-Le diable t'emporte avec n ours
blanc !grommela l'avare ;
o5ÿ ai pas
plue penséILLI
yen, me pendre. Tu ra..
fait fine frayeur ! Pourquoi veux-tu que
je pense à l'ours blanc ?
On agi sait pas ! le hasard est si
grand! Enfin, vous voilà prévenu ; mainje m'en relonrne...
e.
'6crta.til. Va-t'en me
chercher mon éprouvette dans l'armoire
de mon cabinet.
Il sortit sans ernpérhe.lot.', et fut
cinq ans sans reparaître dans les environs.
Cinq ans après, pensant qu'il y
aéit
prescription pour lui, il se hasarda à
Le neveu disparut et revint au bout
d'un moment; l'or cnsay6 à l'épronvctle
donna le meilleur résultat Il y avait
bien un peu d'alliage, mais le nover
expliqua a aou oncle que son pou de
taireir à ses pénates ; chez un propribUte voisin, il se rencontra avec son
oncle. IL s'attendait à de cruels repro,
ressources Cavait obligé à prendre dea
air chendises de seconde. qualité, Avec
vues,., point !
un choix plus séides, on obtiendrait de
l'or
- Te voilà ? lui dit son oncle d'un air
triste.
ntif.
- C'est mens, tri's-curieux, mur-
- Oui, j'ai fait le tour do monde,,,
- Tu sais ? je n'ai pas en de
murait l'oncle d'un air absorbé. Et,,. ça
coûte cher?
,ban,...
- No., eu comparais.. des résultats obtenus, c'est une simple bagatelle.
- Comment cela, mm oncle ?
- da n'ai jamais P. réussir l'opération 1 je l'ai pourtant bien recommencée
deux crus lois... Mais c' est ta faute,
- Ah!... Et d'où tiens-tu ce secret?
S'il y a lb-dedans quelque infiumce de
l'esprit malin? je ne voudrais pas, pour
aussi ! Qu sIsa tt besoin de me parler
blanc
de l'ours
c ? De ma vie je n'y avais
songé, et maintenant il ne me sort plus
de la tête !
Le jeune diplomate avait fini sou histone. Son oncle, sans mot dire, lui
passa la liasse des billets de barque.
des biens après tout périssables.,-
- Rassurez-vous, me cher-one,
c
- Mais n'y reviens pas, dit-il, car la
plus
prochaine histoire me trouverait
jeùne et la prière,,,
exigeant pour le même prix.
- Mais avais déjeuné t
- Mais, j'étais à jouit, aloi l Et
moi qui ai fait l'opération !
(Le Temps).
c'est
mois,
bu grand ,.mur, mon ami ; remon-
L M, le vicomte de Melun, par li. le
Camus. - II. Les finis an 1' ape, il
deux cents ans (suite et fia), par Ch,
Y,
Darthélemy. - III, La Réforme sociale
tons,
Nos deux alchimistes fermèrent à clef
la porte de leur laboratoire, et le jeune
l la foi catholique. Conférences de
l'0raloire, uc' Conférence, par le IL P.
Lesemur, prêtre de l'Oratoire. - IV.
Wuishanpt, on l'école des espions (lait.
homme se vit bientôt en l'ace d'un lunch
des mieuxcomposés.
Tu veut donc rien me taira part de
tao secret ? dit l'oncle de l'air le plus ,a.
-
t
()ai,
L
bien
te), par Mathieu (Pilche. - V. Les
te
I t nes au
siècle. Ihsto le
.her .acte ; ,o ms le mévotre bonté -- veto,
canctu
i
uesnv nntvmte.
Voici le grammaire do armé,,. do 1-,
juillet du Cnnlemporairc, revue d'économie chrétienne, paraissant tous les
- C'estjustc.
- Et même, mon oncle, si vous vouliez lie me faire servir une petite collation.,,
ara S parti. dsNote, p
Puehcs
neveu orphelin.
]
Bibliothèque municipale de Toulouse - Tous droits réservés
e P. besoin de moi.
meubles viendraient de Paris en droite
j'ai là un creuset, les ingrédients né-
1
vans aune bien tendrement pore vous
- Vous u
Vous avez vis comment je m'y prends;
je vt vous
ai laissé des mstériaux,; d'ailleurs
ocave;
selon son ,mur et m a, révélé ce secret
veilleur. il faut se préparer par le
lui-ci était do belle humeur; 1'.d..".
uce
ter pn.. nafder ?
- l'a ace cave. Ftites-y descendre un fourneau ;
joutier, puis chez
chez ,,il marchand de poêlons en terre ;
ayant colis terminé ses mnplètes, il les
o tgn eusemenl dans sa valise otse
dirigea vers la maison de son oncle,
Le neveu dinn avec ana gicle, empachi l'argent, et prit congé.
- Comment, tu t'en vas ! lit l'oncle
dépaysé. Je croyais que tu allais res-
coffras.,. et
C'est on visu. moine do Kief qui m'a
confié ce secret. Il faisait un pèlerinage
et s'est reposé chez moi. Il m'a trouvé
n herboriste, puis
traité
lourdes que les précédentes. Le
reçut son exécuflou.
fauteuil et se mit à rêver. douillet pers-
v
scélérat, antre rare ,e résolut à frapper un grand coup, Il more son unique
cheval, prit une petite valise et se. alla
à la ville. (tenta d'abord eh,, un bi-
blea comptant, et promit de eccommener l'expérience le lendemain mutin. La
rende épreuve on fut, pas moins m illefaisentegne la premiseeb,ciau pepltes
et p!ns
l'or étaimst mé me
i
pplas facile. Vous avez
c
- Oslo l'or ça s
rit :
an fâchait de rien, et puis il était si
simple, qu'il n'y entendait peut.étra pas
malice.
n lui lit très-mauvaise fi'urq et il eut
beau montrer son :provint de bonne
prRien
e
'enfonça dans son fauteuil et
çus,mmon, il
e déLaOtt
question dus lin
Inngnemerl et lirait pur os ouipeamun.
I e neveu as contcnla de dix milles rou-
du
Le nove ponsssa un soupir de rési-
-
Bique rival ?
La
mea,
hile, cette idée-là ne pouvait pas passer
o
digtsotrop
empressés de son neveu. Si
e
extraordinairement
!
!
- On s'est moqué de toi, man pauvre
dit-il, - et il allongea
l'histire est bonne, tu Is auras
Cela prend du temps ! EL anis,
il faut être à ,jeun, vis s laver, N'aver,nspas honte de marchander la pnesession d'en secret qui fera do vous
ai,
ami ! dit il, plein de pitié.
- Mon bnm
out inoculerait, neveu, qui
saisit entre homme parle poignet d'en
air fatidique, j'ai fat,,, j'.L fait aie
or l
- Se voudrais bien voir ça ! fit l'oncle d'un air goguenard,
pendant six
ciel que de l'or
taira
Ôexion :
coup de sa cnillére à thé sur les
gnation
le peu enfin que me
11 avait bran être
fit une
liasse de billets
- Les voilà
copte 1
- Saine dente ! Mais je ne pal Pas ne
avec effroi, croyant que son neveu parlait dans un accès de fièvre chaude.
- Non, merci, m
on le. En un
mot, j'ai la pierre philosophale,
L'oncle regarda le noves, la bouche
béante, puis la referma sérieusement et
réfléchit. Après une demi-minute de me-
!
- Oh ! men oncle, dl pudiquement
charmant d'usurper l'état civil d'an hon-
lits deux gens et les époux
ts.
imbécilen1 m aurais pu t'amtrors
pgéconnaissance de dans ;ou trois
letila
a
que l'acte de décès et les a
aie
damnation inscrits au nam d'Alfred Laichot s:appligeraient dorenavanf au
malfaiteur anonyme qui avait trouvé
es gens, qui ont été
a prêtés pour payer dans
les
heures, mais il eu a besoin
ç caà,
aie de quoi foire Inc mmutalfnc d'or,
puisque lu dis que cela l evicnl à ai lino
- Veux-tu un verre d'eau ? fit l'oncle
Et qu'on mens-m taire ?
mangé
- Mais aval vingt mille maltas, tu
pacifique, l'Afrique ou môme l'Améri-
histoire failli' neuve.
Cinq mille roubles, malheureux !
tralea, fut complélemeut rectifié.
profitant de ce que son attention était
Il l
courage.
-
- Et les m fières premières ? Il faut
de quoi les acheter,
=a-
cinq mille roubles,
pt- Donnmoi
man
cher mole, et je vus raconterai
d'ici
ront d'or qu'il te plaira ?
F:h bien, aujourd'hui,
il c'est mieux
que tant le reste que
vous apporte,
est le pouvoir absolu, c'est la
Lice de monde entier, c'est la forme
anus autres bernes que votre caprice!...
Vans pouvee désormais scheler les mines de diamants de l'Inde, les lies du
n avait, eu disant Ira mots,
une si dente de n
, que Concis n'y
pot tenir, et se mit Ià rire. Voyant qu'il
gagnait du terrain, le jeune homme ce-
de décès dis
puisque tu possèdes le moyen de !aire, au-
- C'est vrai, tus un bon garçon 1
etiùre !
nue les
vi
- Oui, mon cher oncle.
- Que veux-lu faire ,le non oignit,
nourtours l'oncle tués-touché.
Le 1e u
pose enr d'un ace de décès anticipé
et, qui plus est, d'au casier judiciaire
des plot ,loquets.
heureux Loicis
plaisanterie.
se
Vingt mille roubles !
L'avare bondit jusqu'au plafond.
permettaient mes faibles ressources ?
oncle adoré... je viendrai gratis la prochaine fuis, et je resterai nue
Voilà par quel onchat,ieinet de cirmnstances biaarecs le véei!able Alfred
Laichot se tronvoit, l'année, dernière,
Le jeune homme n 1vait «mm chose
à foire : prouver sou identité, son hune.
rabilité, qui est parfaite, et se présenter devant le Iribanal civil de 'Cordon,
café, des livresj,
mille
- Vous allez me compter
onbles argent.
vous ai-e pas envoyé du thé, du
noyer.
-Mou
sur les
doléen
;
lies
tion pour tentative d'assassinat. Le malcrut à une détestable
L'avant-dernière fois, c'était
cinq ccots roubles, la dernière mille ;
je Irouv.. la prngressinn trop rapide.'l'n
maux t'en
retourner ; j'aime enroue
d u-
onde.
cher
- Laquelle?
1
- Je ne bénis pas ! dit l'once d'en
qui avait adopté In défet et dont ¢npie
fut envoyée, c'am'e, nnns lavoas vil,
au maire de Ilicol, lequel le lit trans'
registres
fit l'oncle on dressant l'oreille,
a ir froid.
o-
- De grand ,, c Ir, n
.Oui j'ai grandi, et mes smdimmds
cle... le mevlenr agis menus
pénilentiflires, quant il m neuf au
commencement da 1671. D nuU rc'tait
plus qu'a émhlir l'acte do éeés, qu'on
dressa bien art-la, sa,us 4! Peso naja
val recula pour conserver sa distance
et se préparer en cas d'attaque. Mais,
il
- Eh !
t
.on, 't
mat e , . Eh I n c a ,
Alois il y a aue I mIite condition.
cet geanuli avec n . J'ai appris, ces
plats derniers, un see,'et d'une telle importance, qu'il renouvelle la face dà
culotte, et je amuis venu vous en faite
part.
- Ah ! boit ht l'oncle très-surpris,
- Cola vuuel étonne de ma part ? Ah !
llollt clos ingrat, m
oncle ! Depuis
que j'ai nage de ris
tour
ai-je manqué.
fois à vous souhaiter votre tété, t
si elle est trop belle, je ne bénirai rien
du tout Combien Y
- Cinq mille roubles, mon cher on-
es
M. Laval caveau les
Un étrange accueil l'attendait à la
mairie. L'employé auquel il sadassuit
Loi
répondit
ails de travaux Il
chez leurs parents, par ordre du ma-
Voilà une singulière aventure qui
.,i-douer.
"'
veines.
F.-
de remercier
belle occasion
it
ne-mm ta -cils.
- Mon sim m, que tu émis petit ! Interrompit Fauche attendri par ces sait
- Eh bien, mai ,hou oncle, fit nove
diplomatq en ment comme
,sil
le taureau per les ,.cars, voici
fa 11,
x, les parés du Czrd le '".dame?.
reol, taujom's sons sais fan, non, à dix
t
d
d t l va e pl
.... ert onargea,..
tai le benls secretamont les
debmres qui l'amculot ici.
pa s
n
J,4
toujours térnméné
J 'tonifié, dep Is le J cor o vous
z fat i t radia l d'une ti ubale et d'un
-
m
-
d'assises, etsnivant c
e'rmflan
161
1l n'y a pas de quoi te ficher, re- t
dle
noyée, suis qui on ait jamais sa pour
quoi. Des daines eharitables s'etlnrcécenL de remplacer auprès de l'orpheline
' Ine que le malte ce toi avait enlevée.
da
vantea
D,urllmr, a
villes qu'il
sé III sep tau e,
conterais -cet d
011 1 mon .elle ! s'écria le neveu
d un air vexé.
eNe s
st
comme
res dis mariage rat comment il a été
à le conclnrn, croyant Marie
1rchmmui, venue Courtois, eu possession
tombées
I
.
Cie ae rassoit ris 1970. On n'eut pas
Il loisir, ce
diriger immédiatement le e,nd:,orné s r m destinafion d'cntre.mre qu'il avait r
. Ilref,
fan fnrçx attendait Imjar
u dépôt ,le
'ru n
fis dé ndépa4
par ]'ancien logea
ravière le 15 mai dernier, ào Meulas,
ré-
yn L; mariage. Elle
pand que, sil y a en taus, reIL son
I a sont
a,,,,,;,, d: travauv (accès.
Cet dan, cet ordre
devant la cour
sous l'impressiml d'un drame donluureux et émouvant dont les journaux de
la localité nouo s apportent le récit:
savoir, qae de pue c'étaaituà l'égard de
que treize jours après la eéléhraliun
du snarmge, lcragn'on est venu arrêta
I
é cI
contre quel pieu
sanniee Irai perla, un soir q,i d frisait sa
onde. Le prbteudil Loichnt reparut
Travail, hier devant le jury de la
rétquelle avait por contracter an s cond mariage à c'ar'ter ,an identité. M,
lo président lui Lut observer que c'
tait là un faux, quelle devait bien le
Je nature à
i
satins
ir dis coup de contéom que
Seine, Marie Percheron explique tinté-
mari rue frde e. Elle
. Ice t à
I
ma'issu ccntial e, l e lne t L n ll i l
à vingt ans de travaux faecé5
nouveau
g,lat les quatre années de
se,
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