La famille GIFFARD - Fontaine-le-Dun

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La famille GIFFARD - Fontaine-le-Dun
La famille GIFFARD
C.G.P.C.S.M. / Fontaine d’Histoire
30 juillet 2007
c 30 juillet 2007 C.G.P.C.S.M. / Fontaine d’Histoire
Copyright Fontaine le Dun (76740)
Table des matières
1
Présentation de l’ouvrage . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Présentation des travaux réalisés sur l’œuvre et la généalogie de Pierre Giffard
Pierre Giffard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Biographie succincte de Pierre Giffard (1853-1922) . . . . . . . . . . . . . .
Quel homme fut Pierre Giffard ? . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Un pionnier du Journalisme moderne . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Pierre Giffard à l’origine du tour de France, comment ? . . . . . . . . . . . .
Pierre Giffard à l’origine du tour de France, comment ? : l’histoire en détails .
Les œuvres publiées par Pierre Giffard . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
La généalogie, rapide présentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
Histoire des documents de référence en généalogie . . . . . . . . . . . . . .
La numérotation utilisée dans ce document . . . . . . . . . . . . . . . . . . .
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Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Génération 1 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 2 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 3 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 4 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 5 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 6 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 7 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 8 . . . . . . . . . . . . . . . .
Génération 9 . . . . . . . . . . . . . . . .
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Présentation de l’ouvrage
Présentation des travaux réalisés sur l’œuvre et la généalogie de Pierre Giffard
Généalogie réalisée par le C.G.P.C.S.M.
Une collaboration avec l’association
Fontaine d’histoire.
Ce travail de recherche généalogique a été réalisé par Dominique Carpentier, membre du C.G.P.C.S.M., dans le but de participer
à une action initiée par l’association « Fontaine d’histoire ».
Cette dernière association vise à mieux faire connaître aux fontainais l’histoire de leur lieu de résidence et des personnages qui y
ont vécu ; tout de suite Pierre Giffard s’impose puisque pionnier du journalisme de reportage, amoureux du sport et résolument
tourné vers la modernité.
Ce document montre combien les racines de ce personnage haut en couleurs sont ancrées dans notre région ; certains lecteurs y
trouveront (peut-être) un cousinage.
Notez-bien : Ce document n’a pas la prétention d’être exhaustif ; il représente l’état actuel de nos connaissances.
Un travail de Thierry Houx pour « Fontaine d’Histoire ».
Pierre Giffard
Pierre Giffard, dessin de Henri Meyer1
Biographie succincte de Pierre Giffard (1853-1922)
Pierre Giffard naît le 1er juillet 1853 à Fontaine le Dun.
Son père était notaire et maire de ce village. Pierre est, dès l’âge de 6 ans, pensionnaire à St Laurent en Caux, chez le Père Biville.
Dès l’âge de 8 ans, il est pensionnaire au lycée « Corneille »de Rouen où il restera jusqu’à la classe de troisième. Il est ensuite
placé à Paris dans une institution du Marais qui « Corrigeait au lycée Charlemagne » selon l’expression consacrée. C’est pendant
ces années que s’éveille en lui l’idée républicaine.
La guerre de 1870 éclate, et il se rend en Haute-Normandie, à Fontaine le Dun, auprès de ses parents desquels il sollicite le droit
de s’engager. Son pére et sa mère s’opposent à cette idée, mais finissent par céder au bout de trois mois.
En novembre, il va s’engager au Havre dans l’armée auxiliaire. Il est alors élu officier (on élisait les chefs à cette époque) : Il est
nommé lieutenant le 10 décembre 1870, et probablement l’un des plus jeunes officiers de l’armée auxiliaire.
1 Le
Journal Illustré du 31/01/1892, dessin de Henri Meyer (Mulhouse 1844 - Paris 1899) d’après une photographie de Pierre Petit
5
La guerre terminée, et les troupes licenciées, il s’en va terminer ses études à Douai où il fut reçu bachelier en août 1871.
Son père décède le 1er août 1872. Pierre est alors installé à Paris ; peu fortuné, il a toutefois une passion dont il veut faire son
métier : le journalisme. Instruit et laborieux, il fait front aux difficultés auxquelles se heurtent les débutants. De 1873 à 1878,
il entre successivement au « Corsaire », à « l’Evènement », à « la France », au « Gaulois » où il apprend le métier de journaliste
parisien avec Emile Blavet, au « Petit Parisien » de Dalloz, à « la Lanterne » de Ballay.
En 1880, les directeurs du « Figaro », qui ont remarqué sa valeur littéraire, sa rigueur et son originalité, apprécié les conférences
qu’il a organisées pendant l’Exposition de 1878 concernant les inventions d’Edison, du téléphone, du phonographe, etc... l’engagent dans la rédaction de leur journal. Cette collaboration durera 7 ans.
Au terme de ces quinze premières années de journalisme, Pierre Giffard est un journaliste reconnu : voyageur, reporter, globetrotter, pas un évènement en Europe ou en Afrique sans qu’il s’y rende et informe son journal ; des missions parfois dangereuses
et toujours délicates, mais formatrices.
Au hasard de l’actualité, il est ainsi amené à parcourir la Suisse, la Belgique, l’Allemagne, l’Italie, la Grèce, l’Autriche, l’Angleterre, l’Ecosse, l’Algérie, la Tunisie, L’Egypte, Malte, Chypre, l’Espagne, la Hollande, le Danemark... Il assiste notamment à la
chasse des troupes françaises contre Bou-Hamama (Algérie), à la prise de Sfax (Sud Tunisie), voit débarquer la flotte anglaise à
Alexandrie et l’escadre française quitter l’Egypte abandonnant cette dernière à la rapacité de la « perfide et hautaine Albion ».
Marinoni lui propose de prendre en main la réorganisation du service des nouvelles du « Petit Journal », poste qu’il accepte le
1er octobre 1887. Toutefois, il ne saurait se suffire de ce travail bureaucratique et se met donc à écrire une chronique. Suivant la
tradition du « Petit Journal », il signe du pseudonyme de « Jean-sans-Terre » et devient la coqueluche des lecteurs. Il collaborera
pendant 10 ans à ce journal.
En 1891, il crée la course cycliste « Bordeaux-Paris », puis la course « Paris-Brest-Paris » pour le compte du « Petit Journal » ; il
organise aussi cette même année la course à pied Paris-Belfort.
En 1892, il est nommé chevalier de la Légion d’honneur.
En 1894, le 22 juillet, il organise pour le compte du « Petit Journal » la course Paris-Rouen qui est considérée comme la première
vraie compétition automobile non chronométrée.
En 1896, il ira rejoindre son associé Paul Rousseau à la tête du journal « le Vélo »dans lequel il écrit des article sous le pseudonyme d’« Arator ». Il crée le 19 juillet 1896 le « Marathon de Paris ». Il contribue à la fondation de « l’Automobile-Club ».
En 1900, il est nommé officier de la Légion d’honneur.
Il se présente aux élections législatives en mars 1900 dans la deuxième circonscription de la Seine-Inférieure (Yvetôt). Il se
consacre entièrement au journal qu’il a fondé jusqu’en 1902, époque à laquelle il entra au « Matin ». Ce dernier l’envoya en
extrème-orient où éclatait la guerre russo-japonaise.
Il reviendra à Paris, malade, en juillet 1904. Journaliste connu, et reconnu, il collaborera alors à différents journaux comme « la
Dépèche Coloniale » et « le Petit Marseillais ». Il se remet à écrire des romans.
En juin 1906, il est alors le doyen des reporters français et reprend du service pour « le Figaro »lors de la réunion de la première
Douma (parlement russe).
Pierre Giffard décèdera le 21 janvier 1922 à Maisons-Laffitte, lieu où il résidait.
Supplément au Petit Journal du 1/09/1901.
6
Quel homme fut Pierre Giffard ?
Pierre Giffard fut un grand patron de presse ; il a notamment fondé, avec Paul Rousseau, le premier quotidien de sport « Le
Vélo » paraissant sur papier vert, cette publication fut lancée le 1er décembre 1892 . Il portait sur sa manchette la célèbre phrase
de Pierre Giffard : « La vélocipédie est plus qu’un sport, c’est un bienfait social ». Le Vélo était en 1901 à son apogée. Ce journal
finira par mourir de la concurrence acharnée de « L’Auto » (qui paraîssait sur fond papier jaune) de Desgrange, ce dernier étant à
l’origine du désormais célèbre « Tour de France ».
A ses débuts, Pierre Giffard fut un pionnier du reportage journalistique moderne, et notamment grand reporter pour le journal
« Le Figaro ». Sa réputation, et ses qualités indéniables amenèrent Hippolyte Marinoni à lui proposer le poste de « directeur du
service des informations du Petit Journal », qu’il accepta.
Devenu éditorialiste, passionné par le sport et notamment le vélocipède, il organise le fameux « Paris-Brest » de cyclisme en
1891. Encouragé par le succès populaire de l’épreuve, il prend le risque de quitter « Le Petit Journal » pour créer un journal aura
pour nom « Le Vélo » et dont il sera le patron.
Parallèlement, Pierre Giffard écrit. Ce seront des livres dont notamment « La Fin du Cheval » en 1899, puis à partir de 1908, sous
forme de feuilleton, une œuvre de fiction : « La guerre infernale » illustrée par le célèbre dessinateur Robida.
Pierre Giffard est un amoureux du sport, et est notamment passionné par le vélocipède. En 1891, il édite sous le titre « La Reine
Bicyclette », l’histoire du vélocipède, des temps les plus reculés jusqu’à nos jours. C’est notamment l’emblématique dessin de
couverture (une jeune femme portant au-dessus sa la tête, sans effort apparent, une machine moderne et légère) et le titre du livre
qui marquent les esprits : . A partir de ce moment, les amateurs de la bicyclette l’appelleront, en référence au livre de Giffard,
« la petite reine ». Cette expression devint alors usuelle.
La Reine Bicyclette
« La fin du Cheval », c’est la thèse du remplacement inéluctable du cheval par la bicyclette, puis par l’automobile. L’œuvre
parait en 1899 et le XXème siècle verra se concrétiser cette vision. « Il ne me deplait pas de reconnaître que j’ai pour un peu
contribué au triomphe de l’idée nouvelle. ....Il n’y a pas encore dix ans que je sonnais le rappel des hommes valides autour de
la délicieuse bicyclette... » écrivait-il. Ce livre est malheureusement aussi à l’origine de déboires pour son auteur : Ce dernier
critiqua le comte de Dion pour son attitude face au Président Loubet et aussi pour ses prises de position sur l’affaire Dreyfus. de
Dion décide alors de prendre sa revanche :
Lorsque Pierre Giffard se présente aux élections législatives dans le canton d’Yvetot, il envoie ses employés distribuer aux
électeurs de la circonscription le livre écrit par Giffard « La fin du cheval », dont il a acheté une grande quantité d’exemplaires
dans les librairies. Ce livre est présenté par les distributeurs comme étant un programme politique, ce qui dans ce milieu très
rural a pour conséquences la non-élection de Pierre Giffard.
7
La fin du cheval, dessin A. Robida (Armand Colin, 1899)2
Dans ses souvenirs, le comte de Dion écrivit : « L’effet en fut magique et, lors du scrutin, une majorité certaine fut transformée
en défaite retentissante ». Il est à noter que l’ouvrage en question est d’autant plus historique que la brouille entre les deux
hommes conduisit à la naissance du journal L’Auto-Vélo.
De plus, en raison de la diffusion du livre auprès des électeurs paysans, il se dit que l’ouvrage aurait été largement détruit, ce qui
expliquerait sa rareté.
Un pionnier du Journalisme moderne
Myriam BOUCHARENC3 , dans « Journalisme et littérature au XIXe siècle », nous parle d’un livre de Pierre Giffard, « Le
Sieur de Va-Partout », comme étant un premier manifeste de la littérature de reportage.
En effet, pour cette universitaire, Pierre Giffard s’inscrit dans un mouvement dont il est un des initiateurs : L’écrivain-reporter.
Plusieurs grands Auteurs suivront ce mouvement dont les plus emblématiques sont Kessel et Albert Londres. C’est en 18804
que P. Giffard fait paraître ce livre, à l’âge de 27 ans. C’est une œuvre composite, à la fois roman, récit d’enquêtes et essai. Il
s’agit d’un livre qui est abondamment cité par les historiens, d’un point de vue technique pour ses aspects précurseurs, et dont
on oublie curieusement tout l’aspect romantique.
Voici ce que nous dit Marie-Eve Thérenty (Université Paris1 - Panthéon - Sorbonne) 5 sur le journalisme de reportage, que
pratiqua Pierre Giffard, dans : « Les vagabonds du télégraphe », représentations et poétiques du grand reportage avant 1914.
Cet article se propose d’étudier la naissance d’une nouvelle forme de récit de voyage : le reportage, autour de quelques grandes
figures de reporters comme Pierre Giffard, Gaston Leroux, les frères Tharaud, Jules Huret, Ludovic Baudeau. Nouveau récit
de voyage journalistique, le reportage se développe avec le développement des moyens de communication, notamment le
télégraphe, et l’influence du modèle d’information anglo-saxon fondé sur le primat de l’actualité. Toute actualité devient bonne
à exploiter mais le reportage de guerre constitue véritablement le stéréotype du genre. Le reportage mène un double récit : d’un
côté, il raconte les faits d’actualité ; de l’autre, il dramatise et héroïse l’épopée des reporters - d’où la nécessité d’une écriture
à la première personne au moment même où le récit se prétend objectif. Cette ambiguïté peut se poser autrement : le reporter
souffre de sa posture impossible d’observateur-voyeur et tente en affichant un corps souffrant et exposé de changer de statut. La
mythologie qui entoure encore aujourd’hui le reporter montre que cette opération symbolique et très tôt négociée a parfaitement
réussi.
Pour continuer d’éclairer ce contexte des écrivains-reporter, voici une extrait de « TRACES DE 14-18 ». Actes du colloque
international de Carcassonne, 24 - 27 avril 1996.
Thomas Ferenczi, traitant « LES TRANSFORMATIONS DU JOURNALISME », précise ceci : Le reportage existait avant la
guerre de 14. Quelques grands noms - ceux de Jules Huret ou, avant lui, de Pierre Giffard au Figaro, de Ludovic Naudeau au
Journal, de Gaston Leroux, le futur créateur de Rouletabille, au Matin - illustrent la naissance du genre, favorisée par les guerres
européennes - la guerre franco-prussienne de 1870, la guerre russo-turque de 1877-1878, la guerre russo-japonaise de 1904-1905
- et par les expéditions coloniales. Les progrès techniques, dans les transports et dans les communications, ont évidemment
beaucoup contribué à cette évolution. Toutefois, en dépit de ces glorieux exemples, le reportage n’avait pas encore conquis toutes
2 Collection
communale, commune de Fontaine le Dun
de Limoges
4 Editeur Maurice Dreyfous.
5 Sociétés & Représentations n˚ 21 Le siècle des voyages
3 Université
8
ses lettres de noblesse. On considère en général que la guerre russo-japonaise de 1904-1905 a marqué une étape importante dans
le développement du reportage, mais c’est la guerre de 1914 qui a définitivement imposé le genre et rendu possible, ensuite, le
mythe d’Albert Londres.
Pierre Giffard à l’origine du tour de France, comment ?
Pierre Giffard, rédacteur en chef du « Vélo », qui à cette époque est le premier quotidien sportif national, prend fait et cause
dans son journal pour le capitaine Dreyfus. Son principal annonceur, le comte de Dion, furieux des prises de position de Giffard,
enlève les publicités de ses automobiles du journal « Le Vélo ». Toutefois, pour vendre ses voitures, il a besoin d’un support
publicitaire, et crée à cette fin un journal concurrent : « l’Auto-Vélo » qui s’appèlera ensuite, après un procès retentissant initié
par Giffard, « l’Auto ».
A partir de ce moment, s’engage une lutte fraticide entre les deux journaux. Une des raisons de la popularité du « Vélo » est une
course dont Giffard est l’initiateur : « Paris-Brest-Paris ». de Dion fixe comme objectif à Desgrange, qu’il avait nommé rédacteur
en chef de son journal, de créer une course qui ferait mieux et serait plus importante que celle du « Vélo ».
Plus important que la course de 1200 kilomètres qu’est Paris-Brest-Paris, c’est une exigence difficile à satisfaire. Desgrange
travaille sur le sujet avec les membres de son équipe, il reprend à son compte une idée que Géo Lefebvre lui proposa lors d’un
déjeuner le 19 décembre 1902 : Lancer une course qui ferait le tour complet du Pays ; le « Tour de France » est né.
Le journal « Le Vélo » disparaît en novembre 1904. A la lumière de ce qui précède, on constate donc : Sans la « cause » Pierre
Giffard, il n’y aurait jamais eu la « conséquence » qu’est le « Tour de France ».
Pierre Giffard photographié par Nadar6
Pierre Giffard à l’origine du tour de France, comment ? : l’histoire en détails
Un article de Jacques Marchand, paru dans l’Equipe le 16/10/2000.
Parution du premier numéro de « L’Auto-Vélo », qui deviendra « L’Auto » le 16 janvier 1903, puis « L’Equipe » en février
1946.
« Le (lundi) 15 octobre 1900, au deuxième étage du bâtiment de brique, dans le fond de la cour du journal l’Eclair (ancienne
imprimerie Schiller), rue du Faubourg-Montmartre, n˚ 10, une vingtaine de personnes réunies autour du comte de Dion, dans
l’atelier de composition du nouveau journal, heurtaient leurs coupes de champagne en l’honneur de L’Auto-Vélo, dont le premier
numéro allait paraître le lendemain ».
Cet acte de naissance est publié dans un document d’archives, le manuscrit de Jacques May qui, au titre de secrétaire général de
L’Auto-Vélo, puis de L’Auto, en devient le mémorialiste.
Pourtant, dans la suite de son témoignage, la liste des invités qu’il ajoute est contestée par des historiens modernes : « il y avait,
à côté d’Albert de Dion, Henri Desgrange, Victor Goddet, administrateur de L’Auto-Vélo et associé d’Henri Desgrange, Georges
Prade, Géo Lefèvre, Gaston de Pawlowski, le grand metteur en pages Henri Guiton, quelques rédacteurs, quelques ouvriers,
compositeurs, imprimeurs, etc. ». L’erreur peut en effet concerner Géo Lefèvre, qui n’appartenait pas à l’équipe du départ et ne
rejoindra L’Auto qu’en janvier 1901. Petit détail, sans doute, mais qui nous place déjà au cœur d’une rivalité de deux organes de
presse, dont on ne soupçonne pas la nature et la violence dans le monde feutré de la presse d’aujourd’hui. En effet, Géo Lefèvre
était encore à l’époque collaborateur du quotidien sportif concurrent (mieux vaudrait dire ennemi), Le Vélo, piloté de main de
maître, depuis sa création en décembre 1892, par le talentueux et ombrageux Pierre Giffard.
6 Pierre Giffard, journaliste au "Petit Journal" : Photo par NADAR (Archives Photographiques (Médiathèque de l’Architecture et du Patrimoine) c CNM), N˚
phototype (NUMP) NA 236 02100 P, Référence APNADAR021435.
9
Un bienfait social
Or L’Auto-Vélo ne surgit pas par hasard sur la route du Vélo. Ce n’est pas un match-poursuite qui s’engage pour désigner un
premier et un second, ce qui est la règle de la compétition, même commerciale, c’est un combat qui doit se conclure par un K-O.
Premier personnage à entrer en scène dans cette « dramatique » : Pierre Giffard, pionnier du journalisme de son époque, grand
reporter-bourlingueur du Figaro. Appelé par Hippolyte Marinoni à rénover et à diriger le service des informations du Petit
Journal (tirage 1 500 000 exemplaires), il en devient éditorialiste et, du haut de sa tribune, exprime avec chaleur son coup de
cœur pour le vélocipède qu’il présente au public comme un »bienfait social ».
Conquis par le sport, il lui consacre son temps, ses idées, il est ainsi l’organisateur de ce monument du cyclisme le Paris-BrestParis de 1891 (1 200 kilomètres sans arrêt). Le succès populaire de l’épreuve l’incite à prendre son indépendance vis-à -vis
du Petit JournaL. Il s’évade et s’échappe du conventionnel et de la routine du quotidien d’actualité en enfourchant un « vélo »,
raccourci de vélocipède dont il fait un mot à la mode et le titre du journal qui aura une prise immédiate sur le sport français,
activant sa popularité, donc sa pratique et son développement économique.
Pierre Giffard peut compter en toute logique sur le soutien publicitaire des constructeurs du cycle et de l’automobile.
Un pacte invraisemblable.
Chacun y retrouve son compte : l’éditeur, le sport, l’industrie. Pourtant, cette entente basée sur une convergence d’intérêts, qui
fonctionne avec efficacité les premières années, s’altère avec le temps et ne résiste pas aux courants d’opinion qui s’affrontent
à propos de l’affaire Dreyfus. Pierre Giffard prend position publiquement ; fasciné par le « J’accuse » de Zola, il ne se place pas
dans le même camp que ses principaux commanditaires et se brouille avec le plus influent d’entre eux, le comte de Dion, puissant
patron de la marque des premières voitures compétitives, en s’associant à Georges Bouton, un modeste mécanicien de la rue de
Charonne.
On pourrait douter des conditions rocambolesques de cette brouille, si elles n’avaient pas été racontées par le comte de Dion
lui-même (Extrait d’une plaquette intitulée « Images du passé » publiée par le marquis de Dion en 1937) : « En juin 1899, après
l’élection de M. Loubet à la présidence de la République, une manifestation politique eut lieu à Auteuil, suivie d’une bagarre
à laquelle je me trouvai engagé. Arrêté avec quelques amis patriotes et nationalistes comme moi, je fus incarcéré. Pendant mon
séjour à la Santé, je reçus la visite de Pierre Giffard, dont les opinions politiques étaient tout à fait opposées aux miennes et qui
m’avait attaqué violemment dans son journal au sujet de mon attitude lors des évènements d’Auteuil ». Le comte et le journaliste
passent un pacte invraisemblable pour des hommes de cette trempe : ils décident de se considérer, écrit de Dion, « amis pour
l’automobile, ennemis pour la politique ».
Le contrat n’est pas de pure forme. Quelques mois plus tard, lorsque Pierre Giffard se présente aux élections législatives dans le
canton très agricole d’Yvetot, de Dion mobilise le personnel de son entreprise pour aller distribuer aux futurs électeurs ruraux un
livre écrit par Giffard, dont il a fait rafler et acheter les exemplaires en librairie, intitulé « la Fin du cheval ».
Content de sa plaisanterie, le comte poursuit son récit : « L’effet en fut magique et, lors du scrutin, une majorité certaine fut
transformée en défaite retentissante ». Avec une fausse naïveté, l’industriel paraît surpris de l’enchaînement des conséquences :
« Giffard ne me pardonna pas, décida de ne plus prononcer mon nom dans son journal et de boycotter toute espèce de publicité
pour la marque De Dion-Bouton, sur laquelle il avait reporté toute sa rancune à mon égard. Or Le Vélo était un journal fort lu et
la décision ne laissait pas d’être fort gènante pour la maison De Dion-Bouton ». Et la conclusion tombe : « C’est à la suite de ces
ennuis que je décidai de créer un journal concurrent du Vélo ».
La présence du comte, dans l’atelier de composition du faubourg Montmartre, le 15 octobre 1900, pour trinquer à la santé de
L’Auto-Vélo, s’explique et se justifie donc. De Dion a joué un rôle capital, d’abord parce qu’il a fourni précisément le capital de
lancement du nouveau journal. Il en sera, tout du moins au départ, l’instigateur et le vrai propriétaire.
Sans doute, Pierre Giffard, homme de caractère et à ce titre cabochard, accumule les provocations face aux industriels, ses
commanditaires, car en plus de ses idées politiques affichées dans son journal, dont il va se servir pour mener sa propre campagne
électorale, et de sa profession de foi pour la révision du procès Dreyfus, il s’attaque au bastion de l’Automobile Club de France,
où sont réfugiés de Dion et ses amis, et en provoque la scission en soutenant un concurrent : « le Moto Club de France ».
Dès le lendemain du coup d’état fomenté par Giffard, le comte de Dion invite un groupe de « loyalistes » à l’hôtel Pastouret :
le baron Zuylen de Nyevelt de Haart, le comte Chasseloup-Laubat, le constructeur de cycles Adolphe Clément, le fabricant de
pneumatiques André Michelin, et leur fait adopter le projet d’un nouveau quotidien de sport, dont le capital est fixé à 200.000
francs, avec mission de réunir les bailleurs de fonds.
Desgrange : le choix qui s’impose
Dès lors, Le Vélo est désarmé, privé d’une bonne partie de ses ressources publicitaires et Pierre Giffard est condamné. Pour
l’abattre, lui le battant, il faut lui opposer un autre battant. Le choix sera déterminant et il ne sera pas innocent. Le comte de
Dion, devenu marquis à la mort de son père, l’avoue dans ses Mémoires : « il me fallait découvrir un rédacteur en chef », écrit-il,
« et un administrateur qui aient le mordant, l’intelligence nécessaires pour contrebalancer les qualités indéniables de Pierre
Giffard et la vieille réputation du Vélo ». Ce sera Henri Desgrange.
Les actionnaires, qui cherchent un titre à leur journal, sont d’autre part persuadés d’avoir fait une bonne affaire en rachetant
10
celui d’un hebdomadaire satirique, L’Auto-Vélo (Journal illustré et satirique créé en 1897 et dirigé par Pierre Lafitte et Frantz
Reichel), qui leur convient parfaitement, car il recouvre les activités auxquelles ils sont le plus directement intéressés. Ils
ignoraient les rebondissements juridiques qui les obligeraient à le décapiter, quelques années plus tard, pour ne plus conserver
que L’Auto.
Dans l’équipe qu’il constitue, Desgrange confie son administration à son compagnon inséparable, Victor Goddet, qui est
déjà son associé à la direction du Parc des Princes - créé en 1897 - et dans la petite agence de publicité qu’ils ont créée ensemble
à la Bourse du commerce.
On a sans doute considéré trop longtemps que Victor Goddet marchait dans l’ombre de Desgrange, alors qu’il était souvent
devant et ouvrait le chemin. « D’origine modeste, sans formation particulière, sans fortune, il s’était élevé dans la hiérarchie des
responsabilités par un moyen tout simple le travail », explique son fils Jacques Goddet dans ses Mémoires (L’Equipée belle de
Jacques Goddet, Robert Laffont/Stock). Il rend hommage à son père et à l’héritage qu’il lui a légué, bien que l’aîné Maurice ait
été plus favorisé dans le partage. Victor Goddet n’a pas été seulement un bon comptable, mais un administrateur avisé ; c’est à
lui que le comte de Dion cèdera une majorité de ses actions de L’Auto, à tel point qu’à sa mort Victor Goddet est le « patron » du
journal et de Desgrange.
Il reste que L’Auto, à l’origine et pour presque un demi-siècle, c’est la pensée, l’énergie, l’autorité de Desgrange. Dans son
affrontement avec Giffard, deux destins inverses se sont croisés et violemment heurtés : celui de Giffard, le journaliste-né qui se
consacre au sport, celui de Desgrange, le « sportman » type qui se consacre au journalisme. Desgrange l’emportera en 1903 par
K.O. avec l’aide du Tour de France. Il avait les bons atouts dans son jeu.
Les œuvres publiées par Pierre Giffard
La liste ci-dessous est aussi exhaustive que possible.
Sujets d’actualité, récits de voyages, romans
– Le téléphone, 1878
– Le phonographe expliqué à tout le monde, Edison et ses inventions, Maurice Dreyfous, 1878
– Les succès dramatiques. Comédie française. Les Rochambault par E. Augier. Analyse de la pièce, portraits et biographies
de l’auteur et des principaux acteurs. Paris, Tresse, 1878
– Les succès dramatiques. Théâtre lyrique. Les Amants de Vérone par M. le marquis d’Ivry. Analyse de l’ouvrage, biographies
de l’auteur et des artistes. Paris, Tresse, 1879
– La téléphonie domestique, 1879
– La lumière électrique, 1879
– Le Sieur de Va-Partout, souvenirs d’un reporter, Maurice Dreyfous, 1880
– Les Français à Tunis, Victor Havard, Paris, 1881
– Les Grands Bazars. Paris sous la troisième république, Paris, Victor Havard, 1882
– Les Français en Egypte, Paris, Victor Havard, 1883
– Figaro-ci, Figaro-là, Paris, Librairie illustrée, 1887
– La tournée du père Thomas, Tresse & Stock, 1887
– Hermance ou les trois étapes, 1887
– La vie au théâtre (Illustrations de A. Robida), 1887
– La vie en chemin de fer (roman humoristique, illustrations de A. Robida), La librairie illustrée, 1888
– Le téléphone expliqué à tout le monde, Firmin-Didot, 1891
– Une histoire du vélocipède, Firmin-Didot, 1891
– La reine bicyclette, Firmin-Didot, 1891
– Giffard, un nom vieux de mille ans, 1896
– La fin du cheval, Armand Colin & Cie, 1899
– M. Loubet en Afrique, 1903 (co-auteur Paul Gers)
– Beaux gestes et braves gens. Humanité ! (nouvelles), 1903
– Les soirées de Moukden, nouvelles russo-chinoise, Paris, Juven s.d., 1904
– L’enfer de neige, 1905
– Retiré des affaires (roman), Félix Juven, 1905
– Les nuits de Mandchourie - I. L’hôtellerie souterraine , Félix Juven, 1905
– Les nuits de Mandchourie - II. Lunes rouges et dragons noirs, Félix Juven, 1906
– Microbe - Le petit breton (roman), Félix Juven, 1906
– Microbe - Champion des sports, Boivin & Cie, ré-édition post-mortem 1939
– Les diables jaunes, 1906
– Roubles et roublards - voyage aux pays russes, 1906
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L’enfer de neige, les damnés de sakkaline, 1906
La guerre infernale (roman, 2 volumes), 1908
Les drames de l’air - I. La torpille volante. - (Illustrations de A. Robida), Albert Méricant, 1909
Les drames de l’air - II. Les chevaliers de l’infini. - (Illustrations de A. Robida), Albert Méricant, 1909
Les drames de l’air - III. A l’assaut du ciel. - (Illustrations de A. Robida), Albert Méricant, 1909
Les drames de l’air - IV. Perdus dans l’Espace. roman - (Illustrations de A. Robida), Albert Méricant, 1909
Les drames de l’air - V. Les vampires de l’océan. roman - (Illustrations de A. Robida), Albert Méricant, 1909
La piste du Tsar, Albert Méricant, 1909
L’enfer de neige, Albert Méricant, 1909
Le tombeau de glace (roman d’aventures), Albert Méricant, 1909
Le feu à l’Opéra-Comique (roman), 1909
La Montre de malheur (Nouvelle), 1910
Le violon fantôme (roman policier), Albert Méricant, 1914
Le livre d’or de la Légion Etrangère
L’Empire des slaves est-il possible ?
Un trou dans la glace
Pièces de théâtre
– Les procès de Racine, A-propos en un acte, en vers, Paris Tresse. Représenté au Théâtre national de l’Odéon le 21/12/1877
(première).
– Jonathan (en collaboration avec Goudin et Oswald ; Gymnase), comédie en 3 actes, 1879.
– Le mannequin (en collaboration avec Philibert Bréban), comédie en 3 actes, Paris Tresse. Représenté au théâtre Déjazet le
11/11/1880 (première).
– Le morse, 1880.
– Le volcan (en collaboration avec Gondinet et Oswald ; Palais-Royal), pièce en 3 actes, 1882.
La guerre infernale
Le grand roman d’aventures pour la jeunesse, œuvre de fiction, publié sous forme de feuilleton, « La Guerre infernale » était
illustré par le célèbre dessinateur Albert Robida et paraissait tous les samedis.
Ce roman a ensuite été publié sous plusieurs formats :
– Deux tomes de 480 pages, reliure cartonnage illustré, dos toile.
– Deux tomes de 480 pages, reliure luxe, papier satiné, tranches dorées.
– Six séries brochées.
Le sujet : La Conférence sur la Paix, à La Haye, se termine en guerre anglo-allemande, puis en guerre mondiale. M. Pigeon,
journaliste au journal "L’An 2000" en est le héros principal.
L’histoire se situe au cours des années 1980. Elle met en scène une guerre mondiale entre la France alliée à la Grande Bretagne
et au Japon, contre l’Allemagne et les Etats-Unis. En bref : La seconde guerre mondiale écrite avant qu’ait eu lieu la première ;
y sont décrits l’attaque et le siège de Londres par les allemands et le conflit entre japonais et américains.
Il est composé des titres suivants7 (ordre chronologique, chaque fascicule faisant 32 pages) :
– La planète en feu (volume 1, 25 janvier 1908)
– Les armées de l’air (volume 2, 1er février 1908)
– Les semeurs d’épouvante (volume 3, 8 février 1908)
– Prisonnier dans les nuages (volume 4, 15 février 1908)
– Paris bouleversé (volume 5, 22 février 1908)
– Les chevaliers de l’abîme (volume 6, 29 février 1908)
– Tragédies sous la mer (volume 7, 7 mars 1908)
– Le siège de Londres (volume 8, 14 mars 1908)
– Moletown, la ville des taupes (volume 9, 21 mars 1908)
– La bataille aérienne (volume 10, 28 mars 1908)
– Le sang des samouraïs (volume 11, 4 avril 1908)
– Perdus dans l’Atlantique (volume 12, 11 avril 1908)
– La cohue des fous (volume 13, 18 avril 1908)
– La croisière du "Krakatoa" (volume 14, 25 avril 1908)
– La mer qui brule (volume 15, 2 mai 1908)
– La mer qui gèle (volume 16, 9 mai 1908)
– La tuerie scientifique (volume 17, 16 mai 1908)
7 Images
reprises du site http ://www.noosfere.org/
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Jap contre Sam (volume 18, 23 mai 1908)
Le hibou de l’océan (volume 19, 30 mai 1908)
L’invincible armada (volume 20, 6 juin 1908)
La muraille blanche (volume 21, 13 juin 1908)
Nitchevo ! (volume 22, 20 juin 1908)
Les fourmis jaunes (volume 23, 27 juin 1908)
Le choc des deux races (volume 24, 4 juillet 1908)
A nous, le choléra ! (volume 25, 11 juillet 1908)
Le train sanitaire (volume 26, 18 juillet 1908)
Désespoirs et vengeance (volume 27, 25 juillet 1908)
Les chinois à Moscou (volume 28, 1er août 1908)
Dans l’avenue des supplices (volume 29, 8 août 1908)
La Fin d’un cauchemar (volume 30, 15 août 1908)
Voici les premières de couverture (page suivante) :
13
14
La généalogie, rapide présentation
Histoire des documents de référence en généalogie
Ce sont, par ordre de recherche, les registres d’état civil puis paroissiaux qui sont la base des recherches généalogiques.
L’histoire de ces documents commence au XVIème siècle, en voici la chronologie :
– L’ordonnance de Villers-Cotterêts (1539) institue l’obligation pour les curés de tenir un registre des baptêmes à transmettre
au greffe du tribunal royal.
– L’ordonnance de Blois (1579) étend cette obligation aux mariages et sépultures, et le Code Louis (ordonnance de SaintGermain-en-Laye, 1667) impose la tenue en double exemplaire, l’un restant dans la paroisse, l’autre transmis au greffe du
tribunal.
– Les registres d’Etat civil sont créés par les décrets des 20 et 25 septembre 1792 et se substituent aux registres paroissiaux
(B.M.S.). Ils comprennent les naissances, mariages, décès (N.M.D.) et sont tenus en double par les mairies depuis 1793,
l’un conservé en mairie ou déposé aux archives départementales, l’autre conservé au greffe des tribunaux, versé aux archives
départementales.
A partir de 1793, on trouve aussi des tables décennales (T.D.) qui sont un récapitulatif par ordre alphabétique des personnes
concernées par les actes (N.M.D.).
La numérotation utilisée dans ce document
C’est un système de numérotation très simple, et d’utilisation courante en généalogie : Il consiste à donner le numéro 1 à la
personne dont on établit l’ascendance, le numéro 2 à son père et le 3 à sa mère, et ainsi de suite.
En conséquences :
– Le père a toujours un numéro double de celui de son enfant, et donc de la moitié de celui de son père.
– La mère a toujours un numéro double de celui de son enfant + 1
Ce système a été inventé par Eyzinger en 1590, puis utilisé par Sosa et repris par Stradonitz : Il est ainsi connu sous le nom de
"numétotation Sosa-Stradonitz".
Chapitre 1
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Génération 1
Génération 2
1 Pierre Louis GIFFARD
2 Michel Louis GIFFARD
Pierre Louis GIFFARD, le fils de Michel Louis GIFFARD(2)
et Célina Honorine ALLARD(3), est né le 1 juillet 1853 à Fontaine le Dun, 76, Seine Maritime, , , . Pierre est décédé le 21
janvier 1922 à Maisons-Laffitte, , , , , et était journaliste. Son
ascendance est illustrée figure 1.1.
Michel Louis GIFFARD, le fils de Michel Modeste GIFFARD(4) et Rose Sophie TILLAUX(5), est né le 4 janvier 1813
à St Pierre le Vieux, 76, Seine Maritime, , FRANCE, . Il a
épousé Célina Honorine ALLARD le 29 août 1852 à Dieppe,
76. Célina, la fille de Pierre François Désiré ALLARD et Aimée Désirée PHILIPPE, est née le 20 mai 1828 à Dieppe. Michel est décédé le 1 août 1872 à Fontaine le Dun, 76, Seine
Maritime, , , et était notaire, maire de 1851 à 1871.
Enfants de Michel Louis GIFFARD et Célina Honorine ALLARD :
. Pierre Louis GIFFARD est né le 1 juillet 1853 à Fontaine le
Dun et il est décédé le 21 janvier 1922 à Maisons-Laffitte, ,
, , , . cf. (1).
. Aimée Louise Honorine GIFFARD est née le 7 mars 1860
à Fontaine le Dun. Aimée est décédée le 8 février 1953 à
Paris, 75, Seine, , PARIS, XIVe.
3 Célina Honorine ALLARD
Célina Honorine ALLARD, la fille de Pierre François Désiré
ALLARD(6) et Aimée Désirée PHILIPPE(7), est née le 20 mai
1828 à Dieppe. Elle a épousé Michel Louis GIFFARD le 29
août 1852 au même lieu. Michel, le fils de Michel Modeste
GIFFARD(4) et Rose Sophie TILLAUX(5), est né le 4 janvier
1813 à St Pierre le Vieux et est décédé le 1 août 1872 à Fontaine
le Dun.
Enfants de Célina Honorine ALLARD et Michel Louis GIFFARD cf. (2).
15
16
Jean GIFFARD
Adrien GIFFARD
Marie LEMOINE
Michel GIFFARD
Jean LANCHON
Marie Marguerite Catherine Jeanne LANCHON
Jeanne ANCEL
Michel Modeste GIFFARD
Jacques QUESNEL
Guillaume QUESNEL
Marguerite REBULET
Françoise Marie Suzanne QUESNEL
Jean MARET
Suzanne MARET
Adrienne MODARD
Michel Louis GIFFARD(2)
Jacques TILLAUX
Jacques TILLAUX
Catherine VEREL
Jacques TILLAUX
Adrien MOREL
Marie Françoise MOREL
Marie MAUGER
Rose Sophie TILLAUX
Guillaume RIDEL
Guillaume RIDEL
Marie BOULARD
Marie Claire RIDEL
Jean BOURIENNE
Barbe Prudence Marguerite BOURIENNE
Prudence DUJARDIN
Pierre Louis GIFFARD(1)
Jacques ALLARD
Jean François ALLARD
Marthe JOMME
Jacques François Guillaume Félix ALLARD
Jacques DARDANNE
Marie Rose DARDANNE
Marie POTDEVIN
Pierre François Désiré ALLARD
François BEAUMAIS
Adrien François Hilarion BEAUMAIS
Marie Anne SANNIER
Anne Marguerite BEAUMAIS
François DEGREGE
Marie Anne DEGREGE
Marie Catherine CASTELOT
Célina Honorine ALLARD(3)
Michel PHILIPPE
Joseph Gaud PHILIPPE
Marie POSTEL
Pierre PHILIPPE
Georges JACQUELINE
Marie Jeanne JACQUELINE
Jeanne LESACHE
Aimée Désirée PHILIPPE
Jean DARDANNE
Pierre Jean Joseph DARDANNE
Marie Catherine MENARD
Marie Jeanne Elisabeth DARDANNE
Nicolas HARDI
Marie Françoise HARDI
Marie SAVOYE
F. 1.1 – Ancêtres de Pierre Louis GIFFARD(1)
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Génération 3
4 Michel Modeste GIFFARD
Michel Modeste GIFFARD, le fils de Michel GIFFARD(8) et
Françoise Marie Suzanne QUESNEL(9), a été baptisé le 30
juin 1779 à La Gaillarde, 76, Seine Maritime, , FRANCE, . Il a
épousé Rose Sophie TILLAUX le 9 janvier 1810 à St Pierre le
Vieux, 76. Rose, la fille de Jacques TILLAUX et Marie Claire
RIDEL,
Enfants de Michel Modeste GIFFARD et Rose Sophie
TILLAUX :
. Michel Louis GIFFARD est né le 4 janvier 1813 à St Pierre
le Vieux et il est décédé le 1 août 1872 à Fontaine le Dun,
76, Seine Maritime, , , . cf. (2).
5 Rose Sophie TILLAUX
Rose Sophie TILLAUX, la fille de Jacques TILLAUX(10) et
Marie Claire RIDEL(11), a épousé Michel Modeste GIFFARD
le 9 janvier 1810 à St Pierre le Vieux. Michel, le fils de Michel
GIFFARD(8) et Françoise Marie Suzanne QUESNEL(9),
Enfants de Rose Sophie TILLAUX et Michel Modeste GIFFARD cf. (4).
6 Pierre François Désiré ALLARD
Pierre François Désiré ALLARD, le fils de Jacques François
Guillaume Félix ALLARD(12) et Anne Marguerite BEAUMAIS(13), est né le 15 juillet 1798 à Dieppe, 76. Il a épousé Aimée Désirée PHILIPPE le 10 mai 1817 au même lieu. Aimée,
la fille de Pierre PHILIPPE et Marie Jeanne Elisabeth DARDANNE, est née le 10 juin 1795 à Dieppe et est décédée le 27
août 1869 à Dieppe. Pierre est décédé le 24 novembre 1861 au
même lieu et était boulanger, propriétaire.
Enfants de Pierre François Désiré ALLARD et Aimée Désirée PHILIPPE :
. Emilie Marie Aimée ALLARD est née le 22 novembre 1817
à Dieppe. Emilie est décédée le 26 mars 1891 au même lieu.
. Célina Honorine ALLARD est née le 20 mai 1828 à Dieppe.
cf. (3).
7 Aimée Désirée PHILIPPE
Aimée Désirée PHILIPPE, la fille de Pierre PHILIPPE(14) et
Marie Jeanne Elisabeth DARDANNE(15), est née le 10 juin
1795 à Dieppe. Elle a épousé Pierre François Désiré ALLARD
Génération 3
17
le 10 mai 1817 au même lieu. Pierre, le fils de Jacques François
Guillaume Félix ALLARD(12) et Anne Marguerite BEAUMAIS(13), est né le 15 juillet 1798 à Dieppe et est décédé le 24
novembre 1861 à Dieppe. Aimée est décédée le 27 août 1869
au même lieu et était couturière.
Enfants de Aimée Désirée PHILIPPE et Pierre François Désiré ALLARD cf. (6).
18
Génération 4
Marie Claire RIDEL, la fille de Guillaume RIDEL(22) et Barbe
Prudence Marguerite BOURIENNE(23), a été baptisée le 18
juin 1735 à Gueutteville les Grès, 76. Elle a épousé Jacques
TILLAUX le 3 mai 1766 à La Chapelle/Dun. Jacques, le fils de
Jacques TILLAUX(20) et Marie Françoise MOREL(21),
Enfants de Marie Claire RIDEL et Jacques TILLAUX cf.
(10).
8 Michel GIFFARD
Michel GIFFARD, le fils de Adrien GIFFARD(16) et Marie Marguerite Catherine Jeanne LANCHON(17), a épousé
Françoise Marie Suzanne QUESNEL le 11 septembre 1759 à 12 Jacques François Guillaume Félix ALLARD
Veules, 76, Seine Maritime, , FRANCE, St Martin. Françoise,
Jacques François Guillaume Félix ALLARD, le fils de Jean
la fille de Guillaume QUESNEL et Suzanne MARET,
Enfants de Michel GIFFARD et Françoise Marie Suzanne François ALLARD(24) et Marie Rose DARDANNE(25), a été
baptisé le 24 juillet 1760 à Dieppe, 76. Il a épousé Anne MarQUESNEL :
guerite BEAUMAIS le 25 février 1777 à Dieppe, 76, Seine Ma. Michel Adrien GIFFARD a été baptisé le 25 octobre 1761 à
ritime, , FRANCE, St Rémy. Anne, la fille de Adrien François
La Gaillarde, 76, Seine Maritime, , FRANCE, .
Hilarion BEAUMAIS et Marie Anne DEGREGE, est décédée
. Jean Baptiste GIFFARD a été baptisé le 13 novembre 1763
le 4 février 1825 à Dieppe. Jacques est décédé le 1 février 1848
à La Gaillarde.
au même lieu et était maître ramoneur.
. Pierre GIFFARD a été baptisé le 30 juin 1766 à La Gaillarde.
Enfants de Jacques François Guillaume Félix ALLARD et
. Françoise Véronique GIFFARD a été baptisée le 7 février Anne Marguerite BEAUMAIS :
1769 à La Gaillarde.
. Michel Firmin GIFFARD a été baptisé le 27 octobre 1771 à
La Gaillarde.
. Pierre François Désiré ALLARD est né le 15 juillet 1798 à
Dieppe et il est décédé le 24 novembre 1861 au même lieu.
cf. (6).
. Claire GIFFARD a été baptisée le 1 juin 1774 à La Gaillarde.
. Victoire Dorothée GIFFARD a été baptisée le 4 juillet 1777
à La Gaillarde.
. Michel Modeste GIFFARD. cf. (4).
13 Anne Marguerite BEAUMAIS
Anne Marguerite BEAUMAIS, la fille de Adrien François Hilarion BEAUMAIS(26) et Marie Anne DEGREGE(27), a été
baptisée le 30 novembre 1754 à Envermeu, 76. Elle a épousé
9 Françoise Marie Suzanne QUESNEL
Jacques François Guillaume Félix ALLARD le 25 février 1777
à Dieppe. Jacques, le fils de Jean François ALLARD(24) et
Françoise Marie Suzanne QUESNEL, la fille de Guillaume Marie Rose DARDANNE(25), est décédé le 1 février 1848 à
QUESNEL(18) et Suzanne MARET(19), a été baptisée le 7 mai Dieppe. Anne est décédée le 4 février 1825 au même lieu.
1739 à Veules. Elle a épousé Michel GIFFARD le 11 septembre
Enfants de Anne Marguerite BEAUMAIS et Jacques Fran1759 au même lieu. Michel, le fils de Adrien GIFFARD(16) et çois Guillaume Félix ALLARD cf. (12).
Marie Marguerite Catherine Jeanne LANCHON(17),
Enfants de Françoise Marie Suzanne QUESNEL et Michel
GIFFARD cf. (8).
14 Pierre PHILIPPE
Pierre PHILIPPE, le fils de Joseph Gaud PHILIPPE(28) et Marie Jeanne JACQUELINE(29), a été baptisé le 22 janvier 1753 à
10 Jacques TILLAUX
St Sauveur le Vicomte, 50, Manche, , FRANCE. Il a épousé en
Jacques TILLAUX, le fils de Jacques TILLAUX(20) et Ma- premier, Marie Françoise LESASCHE le 3 mai 1781 à Dieppe,
rie Françoise MOREL(21), a épousé Marie Claire RIDEL le 3 76, Seine Maritime, , FRANCE, St Jacques. Marie, la fille de
mai 1766 à La Chapelle/Dun, 76. Marie, la fille de Guillaume Jacques LESASCHE et Françoise DORLEANS, est décédée en
RIDEL et Barbe Prudence Marguerite BOURIENNE, Jacques janvier 1785 à Dieppe. Pierre a épousé en second, Marie Jeanne
était propriétaire cultivateur.
Elisabeth DARDANNE le 7 avril 1785 au même lieu. Marie,
Enfants de Jacques TILLAUX et Marie Claire RIDEL :
la fille de Pierre Jean Joseph DARDANNE et Marie Françoise
. Rose Sophie TILLAUX. cf. (5).
HARDI, Pierre est décédé le 12 décembre 1815 à Dieppe et
était serrurier.
Pierre PHILIPPE et Marie Françoise LESASCHE n’ont pas
eu d’enfant.
Enfants de Pierre PHILIPPE et Marie Jeanne Elisabeth
11 Marie Claire RIDEL
DARDANNE :
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
. Aimée Désirée PHILIPPE est née le 10 juin 1795 à Dieppe
et elle est décédée le 27 août 1869 au même lieu. cf. (7).
15 Marie Jeanne Elisabeth DARDANNE
Marie Jeanne Elisabeth DARDANNE, la fille de Pierre Jean Joseph DARDANNE(30) et Marie Françoise HARDI(31), a été
baptisée le 22 mai 1764 à Dieppe. Elle a épousé Pierre PHILIPPE le 7 avril 1785 à Dieppe. Pierre, le fils de Joseph Gaud
PHILIPPE(28) et Marie Jeanne JACQUELINE(29), est décédé
le 12 décembre 1815 à Dieppe. Pierre a épousé précédemmment Marie Françoise LESASCHE le 3 mai 1781 à Dieppe.
Enfants de Marie Jeanne Elisabeth DARDANNE et Pierre
PHILIPPE cf. (14).
Génération 5
19
Génération 5
16 Adrien GIFFARD
Adrien GIFFARD, le fils de Jean GIFFARD(32) et Marie LEMOINE(33), a été baptisé le 24 octobre 1697 à Veules, 76,
Seine Maritime, , FRANCE, St Nicolas. Il a épousé Marie
Marguerite Catherine Jeanne LANCHON le 13 mai 1723 à La
Gaillarde, 76, Seine Maritime, , FRANCE, . Marie, la fille de
Jean LANCHON et Jeanne ANCEL, est née en (CAL 1700) et
est décédée le 15 mai 1741 à Brametot, 76. Adrien est décédé
le 14 décembre 1777 à La Gaillarde.
Enfants de Adrien GIFFARD et Marie Marguerite Catherine
Jeanne LANCHON :
. Michel GIFFARD. cf. (8).
17 Marie Marguerite Catherine Jeanne
LANCHON
Marie Marguerite Catherine Jeanne LANCHON, la fille de
Jean LANCHON(34) et Jeanne ANCEL(35), est née en (CAL
1700). Elle a épousé Adrien GIFFARD le 13 mai 1723 à La
Gaillarde. Adrien, le fils de Jean GIFFARD(32) et Marie LEMOINE(33), est décédé le 14 décembre 1777 à La Gaillarde.
Marie est décédée le 15 mai 1741 à Brametot.
Enfants de Marie Marguerite Catherine Jeanne LANCHON
et Adrien GIFFARD cf. (16).
18 Guillaume QUESNEL
Guillaume QUESNEL, le fils de Jacques QUESNEL(36) et
Marguerite REBULET(37), a été baptisé le 17 janvier 1704 à
Veules, 76, Seine Maritime, , FRANCE, St Martin. Il a épousé
Suzanne MARET avant 1736. Suzanne, la fille de Jean MARET
et Adrienne MODARD, est née en (CAL 1704) et est décédée
le 5 avril 1777 à Veules. Guillaume est décédé le 8 juillet 1762
au même lieu.
Enfants de Guillaume QUESNEL et Suzanne MARET :
. Jacques Pierre Guillaume QUESNEL a été baptisé le 12 mai
1736 à Veules.
. Guillaume QUESNEL a été baptisé le 12 mars 1738 à
Veules, 76.
. Françoise Marie Suzanne QUESNEL. cf. (9).
. Marie Marguerite Madeleine QUESNEL a été baptisée le 4
juin 1742 à Veules.
. Jean Martin QUESNEL a été baptisé le 14 juin 1746 à
Veules.
20
19 Suzanne MARET
Suzanne MARET, la fille de Jean MARET(38) et Adrienne
MODARD(39), est née en (CAL 1704). Elle a épousé
Guillaume QUESNEL avant 1736. Guillaume, le fils de
Jacques QUESNEL(36) et Marguerite REBULET(37), est décédé le 8 juillet 1762 à Veules. Suzanne est décédée le 5 avril
1777 au même lieu.
Enfants de Suzanne MARET et Guillaume QUESNEL cf.
(18).
20 Jacques TILLAUX
Jacques TILLAUX, le fils de Jacques TILLAUX(40) et Catherine VEREL(41), a épousé Marie Françoise MOREL le 16 août
1729 à Iclon, 76. Marie, la fille de Adrien MOREL et Marie
MAUGER,
Enfants de Jacques TILLAUX et Marie Françoise MOREL :
24 Jean François ALLARD
Jean François ALLARD, le fils de Jacques ALLARD(48) et
Marthe JOMME(49), a épousé Marie Rose DARDANNE le 20
septembre 1749 à Dieppe, 76, Seine Maritime, , FRANCE, St
Rémy. Marie, la fille de Jacques DARDANNE et Marie POTDEVIN, est décédée avant février 1777. Jean est décédé avant
avril 1776.
Enfants de Jean François ALLARD et Marie Rose DARDANNE :
. Jacques François Guillaume Félix ALLARD est décédé le 1
février 1848 à Dieppe, 76. cf. (12).
. Agathe ALLARD . .
. Marie Catherine ALLARD . .
. Marie Anne Rose ALLARD . .
. Jacques TILLAUX. cf. (10).
25 Marie Rose DARDANNE
21 Marie Françoise MOREL
Marie Rose DARDANNE, la fille de Jacques DARDANNE(50)
et Marie POTDEVIN(51), a épousé Jean François ALLARD
Marie Françoise MOREL, la fille de Adrien MOREL(42) et
le 20 septembre 1749 à Dieppe. Jean, le fils de Jacques ALMarie MAUGER(43), a été baptisée le 12 mai 1705 à Iclon.
LARD(48) et Marthe JOMME(49), est décédé avant avril 1776.
Elle a épousé Jacques TILLAUX le 16 août 1729 au même
Marie est décédée avant février 1777.
lieu. Jacques, le fils de Jacques TILLAUX(40) et Catherine VEEnfants de Marie Rose DARDANNE et Jean François ALREL(41),
LARD cf. (24).
Enfants de Marie Françoise MOREL et Jacques TILLAUX
cf. (20).
26 Adrien François Hilarion BEAUMAIS
22 Guillaume RIDEL
Guillaume RIDEL, le fils de Guillaume RIDEL(44) et Marie
BOULARD(45), a été baptisé le 29 mars 1703 à Gueutteville
les Grès, 76. Il a épousé Barbe Prudence Marguerite BOURIENNE le 14 juin 1729 au même lieu. Barbe, la fille de Jean
BOURIENNE et Prudence DUJARDIN,
Enfants de Guillaume RIDEL et Barbe Prudence Marguerite
BOURIENNE :
. Marie Claire RIDEL. cf. (11).
Adrien François Hilarion BEAUMAIS, le fils de François
BEAUMAIS(52) et Marie Anne SANNIER(53), a été baptisé
le 21 octobre 1728 à Envermeu, 76. Il a épousé Marie Anne
DEGREGE le 1 février 1751 au même lieu. Marie, la fille de
François DEGREGE et Marie Catherine CASTELOT, est décédée après août 1783. Marie s’est ensuite remariée avec François
BERTRAND le 30 juin 1778 à Dieppe. Adrien est décédé le 29
avril 1764 à Dieppe et était laboureur.
Enfants de Adrien François Hilarion BEAUMAIS et Marie
Anne DEGREGE :
. Anne Marguerite BEAUMAIS est décédée le 4 février 1825
à Dieppe. cf. (13).
23 Barbe Prudence Marguerite BOURIENNE
Barbe Prudence Marguerite BOURIENNE, la fille de Jean
BOURIENNE(46) et Prudence DUJARDIN(47), a été baptisée le 19 janvier 1703 à Gueutteville les Grès. Elle a épousé
Guillaume RIDEL le 14 juin 1729 au même lieu. Guillaume, le
fils de Guillaume RIDEL(44) et Marie BOULARD(45),
Enfants de Barbe Prudence Marguerite BOURIENNE et
Guillaume RIDEL cf. (22).
. Romain BEAUMAIS . .
. Joseph BEAUMAIS . .
. François BEAUMAIS . .
27 Marie Anne DEGREGE
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Marie Anne DEGREGE, la fille de François DEGREGE(54)
et Marie Catherine CASTELOT(55), a été baptisée le 2 février 1728 à Envermeu. Elle a épousé en premier, Adrien François Hilarion BEAUMAIS le 1 février 1751 au même lieu.
Adrien, le fils de François BEAUMAIS(52) et Marie Anne
SANNIER(53), est décédé le 29 avril 1764 à Dieppe. Marie
a épousé en second, François BERTRAND le 30 juin 1778
à Dieppe. François, le fils de François BERTRAND et Anne
BRESSON, Marie est décédée après août 1783 et était cabaretière.
Enfants de Marie Anne DEGREGE et Adrien François Hilarion BEAUMAIS cf. (26).
Marie Anne DEGREGE et François BERTRAND n’ont pas
eu d’enfant.
28 Joseph Gaud PHILIPPE
Joseph Gaud PHILIPPE, le fils de Michel PHILIPPE(56) et
Marie POSTEL(57), a été baptisé avant 1730. Il a épousé Marie
Jeanne JACQUELINE le 26 juillet 1750 à Néhou, 50, Manche,
, FRANCE. Marie, la fille de Georges JACQUELINE et Jeanne
LESACHE, Joseph est décédé le 10 novembre 1784 à St Sauveur le Vicomte, 50 et était boulanger.
Enfants de Joseph Gaud PHILIPPE et Marie Jeanne JACQUELINE :
. Pierre PHILIPPE est décédé le 12 décembre 1815 à Dieppe.
cf. (14).
29 Marie Jeanne JACQUELINE
Marie Jeanne JACQUELINE, la fille de Georges JACQUELINE(58) et Jeanne LESACHE(59), a épousé Joseph Gaud
PHILIPPE le 26 juillet 1750 à Néhou. Joseph, le fils de Michel PHILIPPE(56) et Marie POSTEL(57), est décédé le 10
novembre 1784 à St Sauveur le Vicomte.
Enfants de Marie Jeanne JACQUELINE et Joseph Gaud
PHILIPPE cf. (28).
30 Pierre Jean Joseph DARDANNE
Pierre Jean Joseph DARDANNE, le fils de Jean DARDANNE(60) et Marie Catherine MENARD(61), a épousé Marie Françoise HARDI le 9 novembre 1750 à Dieppe. Marie, la
fille de Nicolas HARDI et Marie SAVOYE, est décédée après
avril 1785. Pierre est décédé le 22 mai 1768.
Enfants de Pierre Jean Joseph DARDANNE et Marie Françoise HARDI :
. Marie Jeanne Elisabeth DARDANNE. cf. (15).
Génération 5
21
31 Marie Françoise HARDI
Marie Françoise HARDI, la fille de Nicolas HARDI(62) et Marie SAVOYE(63), a épousé Pierre Jean Joseph DARDANNE
le 9 novembre 1750 à Dieppe. Pierre, le fils de Jean DARDANNE(60) et Marie Catherine MENARD(61), est décédé le
22 mai 1768. Marie est décédée après avril 1785 et était fripière.
Enfants de Marie Françoise HARDI et Pierre Jean Joseph
DARDANNE cf. (30).
22
Génération 6
. Guillaume QUESNEL est décédé le 8 juillet 1762 à Veules.
cf. (18).
. Marguerite QUESNEL a été baptisée le 29 mars 1706 à
Veules.
. Marie QUESNEL a été baptisée le 12 novembre 1708 à
Veules.
. Marie QUESNEL a été baptisée le 2 avril 1711 à Veules.
32 Jean GIFFARD
Jean GIFFARD a épousé Marie LEMOINE avant 1697.
Enfants de Jean GIFFARD et Marie LEMOINE :
. Adrien GIFFARD est décédé le 14 décembre 1777 à La
Gaillarde, 76, Seine Maritime, , FRANCE, . cf. (16).
. Jean GIFFARD a été baptisé le 18 février 1700 à Veules, 76.
. Françoise QUESNEL a été baptisée le 8 octobre 1713 à
Veules. Françoise est décédée le 17 novembre 1782 au
même lieu.
. Catherine Angélique QUESNEL a été baptisée le 29 septembre 1715 à Veules.
. Jacques Guillaume QUESNEL a été baptisé le 4 novembre
1717 à Veules.
. Jacques QUESNEL a été baptisé le 6 juin 1720 à Veules.
Jacques est décédé au même lieu.
33 Marie LEMOINE
Marie LEMOINE a épousé Jean GIFFARD avant 1697.
Enfants de Marie LEMOINE et Jean GIFFARD cf. (32).
37 Marguerite REBULET
Marguerite REBULET est née en (CAL 1672). Elle a épousé
Jacques QUESNEL le 16 mai 1695 à Veules. Jacques est né en
(CAL 1665) et est décédé le 12 août 1751 à Veules. Marguerite
est décédée le 31 octobre 1752 au même lieu.
34 Jean LANCHON
Enfants de Marguerite REBULET et Jacques QUESNEL cf.
(36).
Jean LANCHON est né en (CAL 1668). Il a épousé Jeanne ANCEL avant 1700. Jean est décédé le 2 août 1711 à La Gaillarde.
Enfants de Jean LANCHON et Jeanne ANCEL :
. Marie Marguerite Catherine Jeanne LANCHON est née en
(CAL 1700) et elle est décédée le 15 mai 1741 à Brametot,
76. cf. (17).
. Jean LANCHON . .
38 Jean MARET
Jean MARET est né en (CAL 1672). Il a épousé Adrienne MODARD le 16 avril 1701 à Veules. Adrienne, la fille de x MODARD est née en (CAL 1673) et est décédée le 7 mars 1736 à
Veules. Jean est décédé le 30 septembre 1746 au même lieu.
Enfants de Jean MARET et Adrienne MODARD :
35 Jeanne ANCEL
. Suzanne MARET est née en (CAL 1704) et elle est décédée
le 5 avril 1777 à Veules. cf. (19).
Jeanne ANCEL a épousé Jean LANCHON avant 1700. Jean est
né en (CAL 1668) et est décédé le 2 août 1711 à La Gaillarde.
Enfants de Jeanne ANCEL et Jean LANCHON cf. (34).
. Guillaume MARET a été baptisé le 20 juillet 1707 à Veules,
76, Seine Maritime, , FRANCE, St Nicolas. Guillaume est
décédé le 27 juillet 1707 au même lieu.
. Charles MARET a été baptisé le 20 juillet 1707 à Veules.
36 Jacques QUESNEL
Jacques QUESNEL est né en (CAL 1665). Il a épousé Marguerite REBULET le 16 mai 1695 à Veules, 76, Seine Maritime, ,
FRANCE, St Martin. Marguerite est née en (CAL 1672) et est
décédée le 31 octobre 1752 à Veules. Jacques est décédé le 12
août 1751 au même lieu.
Enfants de Jacques QUESNEL et Marguerite REBULET :
. Jacques QUESNEL a été baptisé le 2 février 1698 à Veules.
. Nicolas QUESNEL a été baptisé le 28 mars 1700 à Veules.
. Pierre QUESNEL a été baptisé le 14 mai 1702 à Veules.
Pierre est décédé le 19 juillet 1708 à Veules.
39 Adrienne MODARD
Adrienne MODARD, la fille de x MODARD(78), est née en
(CAL 1673). Elle a épousé Jean MARET le 16 avril 1701 à
Veules. Jean est né en (CAL 1672) et est décédé le 30 septembre
1746 à Veules. Adrienne est décédée le 7 mars 1736 au même
lieu.
Enfants de Adrienne MODARD et Jean MARET cf. (38).
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Génération 6
23
40 Jacques TILLAUX
44 Guillaume RIDEL
Jacques TILLAUX a épousé Catherine VEREL le 18 novembre
1698 à St Pierre le Vieux, 76. Jacques est décédé avant août
1729.
Enfants de Jacques TILLAUX et Catherine VEREL :
Guillaume RIDEL a épousé Marie BOULARD avant 1703.
Marie est née en (CAL 1673) et est décédée le 1 novembre
1723 à Gueutteville les Grès, 76. Guillaume est décédé le 24
février 1728 au même lieu.
Enfants de Guillaume RIDEL et Marie BOULARD :
. Jacques TILLAUX. cf. (20).
. Guillaume RIDEL. cf. (22).
41 Catherine VEREL
45 Marie BOULARD
Catherine VEREL a épousé Jacques TILLAUX le 18 novembre
1698 à St Pierre le Vieux. Jacques est décédé avant août 1729. Marie BOULARD est née en (CAL 1673). Elle a épousé
Enfants de Catherine VEREL et Jacques TILLAUX cf. (40). Guillaume RIDEL avant 1703. Guillaume est décédé le 24 février 1728 à Gueutteville les Grès. Marie est décédée le 1 novembre 1723 au même lieu.
Enfants de Marie BOULARD et Guillaume RIDEL cf. (44).
42 Adrien MOREL
Adrien MOREL est né en (CAL 1669). Il a épousé Marie
MAUGER le 26 novembre 1696 à Iclon, 76. Marie est née en
46 Jean BOURIENNE
(CAL 1676) et est décédée le 21 mars 1746 à Iclon. Adrien est
décédé le 22 avril 1717 au même lieu et était laboureur.
Jean BOURIENNE est né en (CAL 1671). Il a épousé Prudence
Enfants de Adrien MOREL et Marie MAUGER :
DUJARDIN avant 1701. Prudence est née en (CAL 1669) et
. Marie MOREL a été baptisée le 13 septembre 1698 à Iclon.
est décédée le 3 février 1704 à Gueutteville les Grès. Jean est
. Jacques MOREL a été baptisé le 20 avril 1701 à Iclon.
décédé le 2 août 1726 au même lieu.
Enfants de Jean BOURIENNE et Prudence DUJARDIN :
. Adrien MOREL a été baptisé le 7 février 1703 à Iclon.
Adrien est décédé le 16 avril 1743 au même lieu.
. Vivien MOREL a été baptisé le 7 avril 1704 à Iclon.
. Marie Françoise MOREL. cf. (21).
. Geneviève MOREL a été baptisée le 22 décembre 1706 à
Iclon.
. Prudence Barbe BOURIENNE a été baptisée le 14 février
1701 à Gueutteville les Grès. Prudence est décédée le 23
octobre 1702 au même lieu.
. Barbe Prudence Marguerite BOURIENNE. cf. (23).
. Anne MOREL a été baptisée le 29 avril 1708 à Iclon. Anne
est décédée le 10 juillet 1710 au même lieu.
. Charles MOREL a été baptisé le 16 décembre 1709 à Iclon.
Charles est décédé le 1 octobre 1710 au même lieu.
. Guillaume MOREL a été baptisé le 19 février 1712 à Iclon.
. Charles Nicolas MOREL a été baptisé le 15 mars 1714 à
Iclon.
. Guillaume MOREL a été baptisé le 18 avril 1715 à Iclon.
Guillaume est décédé le 3 février 1721 au même lieu.
. François MOREL a été baptisé le 21 octobre 1716 à Iclon.
François est décédé le 29 septembre 1721 au même lieu.
47 Prudence DUJARDIN
Prudence DUJARDIN est née en (CAL 1669). Elle a épousé
Jean BOURIENNE avant 1701. Jean est né en (CAL 1671) et
est décédé le 2 août 1726 à Gueutteville les Grès. Prudence est
décédée le 3 février 1704 au même lieu.
Enfants de Prudence DUJARDIN et Jean BOURIENNE cf.
(46).
48 Jacques ALLARD
43 Marie MAUGER
Marie MAUGER est née en (CAL 1676). Elle a épousé Adrien
MOREL le 26 novembre 1696 à Iclon. Adrien est né en (CAL
1669) et est décédé le 22 avril 1717 à Iclon. Marie est décédée
le 21 mars 1746 au même lieu.
Enfants de Marie MAUGER et Adrien MOREL cf. (42).
Jacques ALLARD a épousé Marthe JOMME avant 1729.
Enfants de Jacques ALLARD et Marthe JOMME :
. Jean François ALLARD est décédé avant avril 1776. cf.
(24).
49 Marthe JOMME
24
Marthe JOMME a épousé Jacques ALLARD avant 1729.
Enfants de Marthe JOMME et Jacques ALLARD cf. (48).
50 Jacques DARDANNE
Jacques DARDANNE, le fils de Jean DARDANNE(100) et
Françoise HEBERT(101), a épousé en premier, Marie Anne
LEROY avant septembre 1724. Marie est décédée avant octobre
1724. Jacques a épousé en second, Marie POTDEVIN le 30 octobre 1724 à Dieppe, 76, Seine Maritime, , FRANCE, St Rémy.
Marie, la fille de Thomas POTDEVIN et Barbe DESCHAMPS,
est décédée avant septembre 1745. Jacques a épousé en troisième, Marie Anne THUEUR le 13 septembre 1745 à Dieppe,
76.
Jacques DARDANNE et Marie Anne LEROY n’ont pas eu
d’enfant.
Enfants de Jacques DARDANNE et Marie POTDEVIN :
. Marie Rose DARDANNE est décédée avant février 1777.
cf. (25).
Jacques DARDANNE et Marie Anne THUEUR n’ont pas eu
d’enfant.
Marie Anne SANNIER, la fille de Jean SANNIER(106) et
Anne BOURGEOIS(107), a été baptisée le 28 avril 1706 à
Gouchaupré, 76. Elle a épousé François BEAUMAIS le 21 septembre 1728 à Envermeu. François est décédé le 18 avril 1733
à Intraville. Marie est décédée vers 1751.
Enfants de Marie Anne SANNIER et François BEAUMAIS
cf. (52).
54 François DEGREGE
François DEGREGE, le fils de Antoine DEGREGE(108) et Catherine LEROUX(109), a été baptisé le 6 avril 1701 à Envermeu. Il a épousé Marie Catherine CASTELOT le 10 février
1722 à Avesnes en Val, 76. Marie, la fille de Jean CASTELOT
et Anne BROUSSIN, est décédée le 20 octobre 1766 à Envermeu. François est décédé le 27 août 1770 au même lieu et était
aubergiste, cabaretier, laboureur.
Enfants de François DEGREGE et Marie Catherine CASTELOT :
. Marie Anne DEGREGE est décédée après août 1783. cf.
(27).
. Marie Marguerite DEGREGE a été baptisée le 25 juillet
1730 à Envermeu.
51 Marie POTDEVIN
55 Marie Catherine CASTELOT
Marie POTDEVIN, la fille de Thomas POTDEVIN(102) et
Barbe DESCHAMPS(103), a épousé Jacques DARDANNE
le 30 octobre 1724 à Dieppe. Jacques, le fils de Jean DARDANNE(100) et Françoise HEBERT(101), Jacques a épousé
précédemmment Marie Anne LEROY avant septembre 1724.
Jacques s’est ensuite remarié avec Marie Anne THUEUR le 13
septembre 1745 à Dieppe. Marie est décédée avant septembre
1745.
Enfants de Marie POTDEVIN et Jacques DARDANNE cf.
(50).
Marie Catherine CASTELOT, la fille de Jean CASTELOT(110) et Anne BROUSSIN(111), a été baptisée vers 1703.
Elle a épousé François DEGREGE le 10 février 1722 à Avesnes
en Val. François, le fils de Antoine DEGREGE(108) et Catherine LEROUX(109), est décédé le 27 août 1770 à Envermeu.
Marie est décédée le 20 octobre 1766 au même lieu.
Enfants de Marie Catherine CASTELOT et François DEGREGE cf. (54).
56 Michel PHILIPPE
52 François BEAUMAIS
François BEAUMAIS a été baptisé le 21 juillet 1704 à Envermeu, 76. Il a épousé Marie Anne SANNIER le 21 septembre
1728 au même lieu. Marie, la fille de Jean SANNIER et Anne
BOURGEOIS, est décédée vers 1751. François est décédé le
18 avril 1733 à Intraville, 76.
Enfants de François BEAUMAIS et Marie Anne SANNIER :
. Adrien François Hilarion BEAUMAIS est décédé le 29 avril
1764 à Dieppe. cf. (26).
53 Marie Anne SANNIER
Michel PHILIPPE a épousé Marie POSTEL avant 1730. Michel est décédé avant juillet 1750.
Enfants de Michel PHILIPPE et Marie POSTEL :
. Joseph Gaud PHILIPPE est décédé le 10 novembre 1784 à
St Sauveur le Vicomte, 50, Manche, , FRANCE. cf. (28).
57 Marie POSTEL
Marie POSTEL a épousé Michel PHILIPPE avant 1730. Michel est décédé avant juillet 1750.
Enfants de Marie POSTEL et Michel PHILIPPE cf. (56).
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Génération 6
25
58 Georges JACQUELINE
Georges JACQUELINE, le fils de Georges JACQUELINE(116)
et Louise BRETEL(117), a épousé Jeanne LESACHE le 22 jan63 Marie SAVOYE
vier 1709 à Néhou, 50. Jeanne, la fille de François LESACHE et
Jacqueline LETELLIER, Georges est décédé avant juillet 1750. Marie SAVOYE a épousé Nicolas HARDI avant 1730. Nicolas
est décédé avant novembre 1750.
Enfants de Georges JACQUELINE et Jeanne LESACHE :
Enfants de Marie SAVOYE et Nicolas HARDI cf. (62).
. Marie Jeanne JACQUELINE. cf. (29).
. Anne JACQUELINE . .
59 Jeanne LESACHE
Jeanne LESACHE, la fille de François LESACHE(118) et Jacqueline LETELLIER(119), a épousé Georges JACQUELINE le
22 janvier 1709 à Néhou. Georges, le fils de Georges JACQUELINE(116) et Louise BRETEL(117), est décédé avant juillet
1750.
Enfants de Jeanne LESACHE et Georges JACQUELINE cf.
(58).
60 Jean DARDANNE
Jean DARDANNE, le fils de Jean DARDANNE(100) et Françoise HEBERT(101), a épousé Marie Catherine MENARD le
28 août 1724 à Dieppe. Marie, la fille de André MENARD et
Angélique BRETON,
Enfants de Jean DARDANNE et Marie Catherine MENARD :
. Pierre Jean Joseph DARDANNE est décédé le 22 mai 1768.
cf. (30).
Notez que son père (100) n’a pas le numéro Sosa habituel à
cause d’un implexe. Notez que sa mère (101) n’a pas le numéro
Sosa habituel à cause d’un implexe.
61 Marie Catherine MENARD
Marie Catherine MENARD, la fille de André MENARD(122)
et Angélique BRETON(123), a épousé Jean DARDANNE le
28 août 1724 à Dieppe. Jean, le fils de Jean DARDANNE(100)
et Françoise HEBERT(101),
Enfants de Marie Catherine MENARD et Jean DARDANNE
cf. (60).
62 Nicolas HARDI
Nicolas HARDI a épousé Marie SAVOYE avant 1730. Nicolas
est décédé avant novembre 1750.
Enfants de Nicolas HARDI et Marie SAVOYE :
. Marie Françoise HARDI est décédée après avril 1785. cf.
(31).
26
Génération 7
78 x MODARD
x MODARD . .
Enfants de x MODARD et
:
. Catherine MODARD est née vers 1683. Elle a épousé Nicolas LEGAY. Catherine est décédée le 4 mai 1750 à Veules,
76, Seine Maritime, , FRANCE, .
. Adrienne MODARD est née en (CAL 1673) et elle est
décédée le 7 mars 1736 à Veules, 76, Seine Maritime, ,
FRANCE, St Martin. cf. (39).
100 Jean DARDANNE
Jean DARDANNE a épousé Françoise HEBERT avant 1704.
Enfants de Jean DARDANNE et Françoise HEBERT :
. Jacques DARDANNE. cf. (50).
106 Jean SANNIER
Jean SANNIER, le fils de Antoine SANNIER(212) et Marguerite FERRAND(213), a été baptisé le 9 octobre 1679 à Guilmécourt, 76. Il a épousé Anne BOURGEOIS le 9 février 1700 à
Assigny, 76. Anne, la fille de Antoine BOURGEOIS et Anne
GONDREE, Anne s’est ensuite remariée avec x PILOLAINE
après 1713. Jean est décédé le 3 septembre 1713 à Envermeu,
76.
Enfants de Jean SANNIER et Anne BOURGEOIS :
. Marie Anne SANNIER est décédée vers 1751. cf. (53).
. Jean SANNIER . .
107 Anne BOURGEOIS
Anne BOURGEOIS, la fille de Antoine BOURGEOIS(214) et
Anne GONDREE(215), a épousé en premier, Jean SANNIER
le 9 février 1700 à Assigny. Jean, le fils de Antoine SANNIER(212) et Marguerite FERRAND(213), est décédé le 3 septembre 1713 à Envermeu. Anne a épousé en second, x PILOLAINE après 1713.
Enfants de Anne BOURGEOIS et Jean SANNIER cf. (106).
Anne BOURGEOIS et x PILOLAINE n’ont pas eu d’enfant.
. Jean DARDANNE. cf. (60).
108 Antoine DEGREGE
101 Françoise HEBERT
Antoine DEGREGE, le fils de Antoine DEGREGE(216) et Marie Madeleine Anne ROULAND(217), a été baptisé vers 1675.
Françoise HEBERT a épousé Jean DARDANNE avant 1704.
Enfants de Françoise HEBERT et Jean DARDANNE cf. Il a épousé Catherine LEROUX le 9 juin 1697 à Envermeu. Catherine, la fille de Nicolas LEROUX et Roberte DEHORNOY,
(100).
est décédée le 25 mai 1720 à Envermeu. Antoine est décédé le
13 décembre 1710 au même lieu et était chapelier.
Enfants de Antoine DEGREGE et Catherine LEROUX :
102 Thomas POTDEVIN
. François DEGREGE est décédé le 27 août 1770 à Envermeu. cf. (54).
Thomas POTDEVIN a épousé Barbe DESCHAMPS avant
1704. Thomas est décédé avant octobre 1724.
Enfants de Thomas POTDEVIN et Barbe DESCHAMPS :
. Marie POTDEVIN est décédée avant septembre 1745. cf.
(51).
109 Catherine LEROUX
Catherine LEROUX, la fille de Nicolas LEROUX(218) et Roberte DEHORNOY(219), a été baptisée vers 1678. Elle a
épousé Antoine DEGREGE le 9 juin 1697 à Envermeu. Antoine, le fils de Antoine DEGREGE(216) et Marie Madeleine
Anne ROULAND(217), est décédé le 13 décembre 1710 à En103 Barbe DESCHAMPS
vermeu. Catherine est décédée le 25 mai 1720 au même lieu.
Barbe DESCHAMPS a épousé Thomas POTDEVIN avant
Enfants de Catherine LEROUX et Antoine DEGREGE cf.
1704. Thomas est décédé avant octobre 1724.
(108).
Enfants de Barbe DESCHAMPS et Thomas POTDEVIN cf.
(102).
110 Jean CASTELOT
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Génération 7
27
Jean CASTELOT, le fils de Jean CASTELOT(220) et Margue- André MENARD a épousé Angélique BRETON le 26 avril
rite DUNET(221), a épousé Anne BROUSSIN le 8 août 1701 1700 à Petit Appeville, 76.
Enfants de André MENARD et Angélique BRETON :
à Avesnes en Val, 76. Anne, la fille de Nicolas BROUSSIN et
Louise PARESIS,
. Marie Catherine MENARD. cf. (61).
Enfants de Jean CASTELOT et Anne BROUSSIN :
. Marie Catherine CASTELOT est décédée le 20 octobre
1766 à Envermeu. cf. (55).
123 Angélique BRETON
Angélique BRETON a épousé André MENARD le 26 avril
1700 à Petit Appeville.
111 Anne BROUSSIN
Enfants de Angélique BRETON et André MENARD cf.
Anne BROUSSIN, la fille de Nicolas BROUSSIN(222) et (122).
Louise PARESIS(223), a épousé Jean CASTELOT le 8 août
1701 à Avesnes en Val. Jean, le fils de Jean CASTELOT(220)
et Marguerite DUNET(221),
Enfants de Anne BROUSSIN et Jean CASTELOT cf. (110).
116 Georges JACQUELINE
Georges JACQUELINE a épousé Louise BRETEL avant 1689.
Enfants de Georges JACQUELINE et Louise BRETEL :
. Georges JACQUELINE est décédé avant juillet 1750. cf.
(58).
117 Louise BRETEL
Louise BRETEL a épousé Georges JACQUELINE avant 1689.
Enfants de Louise BRETEL et Georges JACQUELINE cf.
(116).
118 François LESACHE
François LESACHE a épousé Jacqueline LETELLIER avant
1689.
Enfants de François LESACHE et Jacqueline LETELLIER :
. Jeanne LESACHE. cf. (59).
119 Jacqueline LETELLIER
Jacqueline LETELLIER a épousé François LESACHE avant
1689.
Enfants de Jacqueline LETELLIER et François LESACHE
cf. (118).
122 André MENARD
28
Génération 8
est décédée le 12 décembre 1717 à Envermeu. Antoine est décédé le 27 décembre 1730 au même lieu et était marchand, greffier, trésorier, chapelier.
Enfants de Antoine DEGREGE et Marie Madeleine Anne
ROULAND :
. Antoine DEGREGE est décédé le 13 décembre 1710 à Envermeu. cf. (108).
212 Antoine SANNIER
Antoine SANNIER, le fils de Jean SANNIER(424) et Françoise
SANNIER(425), a été baptisé en janvier 1628 à Guilmécourt,
76, Seine Maritime, , FRANCE, . Il a épousé Marguerite FER217 Marie Madeleine Anne ROULAND
RAND avant 1664. Marguerite est décédée après 1700. Antoine
est décédé avant 1700.
Marie Madeleine Anne ROULAND, la fille de Antoine ROUEnfants de Antoine SANNIER et Marguerite FERRAND :
LAND(434) et Marie STALIN(435), a été baptisée le 27 jan. François SANNIER a été baptisé le 6 novembre 1664 à Guil- vier 1649 à Envermeu. Elle a épousé Antoine DEGREGE le
mécourt, 76, Seine Maritime, , FRANCE, St Vaast. François 29 janvier 1674 au même lieu. Antoine, le fils de Antoine DEest décédé le 28 août 1710 à Envermeu, 76.
GREGE(432) et Suzanne TIEBAUX(433), est décédé le 27 dé. Françoise SANNIER a été baptisée vers 1666.
cembre 1730 à Envermeu. Marie est décédée le 12 décembre
. Jean SANNIER est décédé le 3 septembre 1713 à Envermeu. 1717 au même lieu.
cf. (106).
Enfants de Marie Madeleine Anne ROULAND et Antoine
DEGREGE cf. (216).
213 Marguerite FERRAND
218 Nicolas LEROUX
Marguerite FERRAND a été baptisée vers 1628. Elle a épousé
Antoine SANNIER avant 1664. Antoine, le fils de Jean SAN- Nicolas LEROUX a épousé Roberte DEHORNOY avant 1678.
NIER(424) et Françoise SANNIER(425), est décédé avant Roberte est née vers 1645 et est décédée le 2 mars 1719 à En1700. Marguerite est décédée après 1700.
vermeu.
Enfants de Marguerite FERRAND et Antoine SANNIER cf.
Enfants de Nicolas LEROUX et Roberte DEHORNOY :
(212).
. Catherine LEROUX est décédée le 25 mai 1720 à Envermeu. cf. (109).
214 Antoine BOURGEOIS
Antoine BOURGEOIS a épousé Anne GONDREE avant 1680.
Enfants de Antoine BOURGEOIS et Anne GONDREE :
. Anne BOURGEOIS. cf. (107).
219 Roberte DEHORNOY
Roberte DEHORNOY est née vers 1645. Elle a épousé Nicolas
LEROUX avant 1678. Roberte est décédée le 2 mars 1719 à
Envermeu.
Enfants de Roberte DEHORNOY et Nicolas LEROUX cf.
(218).
215 Anne GONDREE
Anne GONDREE a épousé Antoine BOURGEOIS avant 1680.
Enfants de Anne GONDREE et Antoine BOURGEOIS cf.
(214).
220 Jean CASTELOT
Jean CASTELOT a épousé Marguerite DUNET avant 1680.
Enfants de Jean CASTELOT et Marguerite DUNET :
216 Antoine DEGREGE
Antoine DEGREGE, le fils de Antoine DEGREGE(432) et Suzanne TIEBAUX(433), a été baptisé vers 1649. Il a épousé Marie Madeleine Anne ROULAND le 29 janvier 1674 à Envermeu. Marie, la fille de Antoine ROULAND et Marie STALIN,
. Jean CASTELOT. cf. (110).
221 Marguerite DUNET
Les ancêtres de Pierre Louis GIFFARD
Marguerite DUNET a épousé Jean CASTELOT avant 1680.
Enfants de Marguerite DUNET et Jean CASTELOT cf.
(220).
222 Nicolas BROUSSIN
Nicolas BROUSSIN, le fils de Nicolas BROUSSIN(444) et
Marguerite FOURNIER(445), a épousé Louise PARESIS.
Enfants de Nicolas BROUSSIN et Louise PARESIS :
. Anne BROUSSIN. cf. (111).
Génération 9
29
Génération 9
424 Jean SANNIER
Jean SANNIER a épousé Françoise SANNIER avant 1625.
Françoise est décédée le 6 mai 1673 à Guilmécourt, 76, Seine
Maritime, , FRANCE, .
Enfants de Jean SANNIER et Françoise SANNIER :
. Antoine SANNIER est décédé avant 1700. cf. (212).
. Jacques SANNIER . .
. Jean SANNIER a été baptisé vers 1625.
223 Louise PARESIS
Louise PARESIS a épousé Nicolas BROUSSIN. Nicolas, le fils
de Nicolas BROUSSIN(444) et Marguerite FOURNIER(445),
Enfants de Louise PARESIS et Nicolas BROUSSIN cf.
(222).
. Tousssaint SANNIER . .
. Madeleine SANNIER . .
425 Françoise SANNIER
Françoise SANNIER a épousé Jean SANNIER avant 1625.
Françoise est décédée le 6 mai 1673 à Guilmécourt.
Enfants de Françoise SANNIER et Jean SANNIER cf. (424).
432 Antoine DEGREGE
Antoine DEGREGE a épousé Suzanne TIEBAUX avant 1649.
Suzanne est décédée après 1645. Antoine est décédé le 8 juin
1666 à Envermeu, 76.
Enfants de Antoine DEGREGE et Suzanne TIEBAUX :
. Antoine DEGREGE est décédé le 27 décembre 1730 à Envermeu. cf. (216).
433 Suzanne TIEBAUX
Suzanne TIEBAUX a été baptisée avant 1639. Elle a épousé
Antoine DEGREGE avant 1649. Antoine est décédé le 8 juin
1666 à Envermeu. Suzanne est décédée après 1645.
Enfants de Suzanne TIEBAUX et Antoine DEGREGE cf.
(432).
434 Antoine ROULAND
Antoine ROULAND est né en (CAL 1607). Il a épousé Marie STALIN avant 1649. Antoine est décédé le 4 mars 1691 à
Envermeu.
Enfants de Antoine ROULAND et Marie STALIN :
30
. Marie Madeleine Anne ROULAND est décédée le 12 décembre 1717 à Envermeu. cf. (217).
435 Marie STALIN
Marie STALIN a épousé Antoine ROULAND avant 1649. Antoine est né en (CAL 1607) et est décédé le 4 mars 1691 à Envermeu.
Enfants de Marie STALIN et Antoine ROULAND cf. (434).
444 Nicolas BROUSSIN
Nicolas BROUSSIN a épousé Marguerite FOURNIER.
Enfants de Nicolas BROUSSIN et Marguerite FOURNIER :
. Nicolas BROUSSIN. cf. (222).
445 Marguerite FOURNIER
Marguerite FOURNIER a épousé Nicolas BROUSSIN.
Enfants de Marguerite FOURNIER et Nicolas BROUSSIN
cf. (444).
Index
ALLARD, Agathe, 20
ALLARD, Célina Honorine (1828-), 15, 15, 17
ALLARD, Emilie Marie Aimée (1817-1891), 17
ALLARD, Jacques, 20, 23, 24
ALLARD, Jacques François Guillaume Félix (-1848), 17, 18,
18, 20
ALLARD, Jean François (-1776), 18, 20, 20, 23
ALLARD, Marie Anne Rose, 20
ALLARD, Marie Catherine, 20
ALLARD, Pierre François Désiré (1798-1861), 15, 17, 17, 18
ANCEL, Jeanne, 19, 22, 22
BEAUMAIS, Adrien François Hilarion (-1764), 18, 20, 21, 24
BEAUMAIS, Anne Marguerite (-1825), 17, 18, 18, 20
BEAUMAIS, François, 20
BEAUMAIS, François (-1733), 21, 24, 24
BEAUMAIS, Joseph, 20
BEAUMAIS, Romain, 20
BERTRAND, François, 20, 21
BOULARD, Marie (-1723), 20, 23, 23
BOURGEOIS, Anne, 24, 26, 26, 28
BOURGEOIS, Antoine, 26, 28, 28
BOURIENNE, Barbe Prudence Marguerite, 18, 20, 20, 23
BOURIENNE, Jean (-1726), 20, 23, 23
BOURIENNE, Prudence Barbe (-1702), 23
BRESSON, Anne, 21
BRETEL, Louise, 25, 27, 27
BRETON, Angélique, 25, 27, 27
BROUSSIN, Anne, 24, 27, 27, 29
BROUSSIN, Nicolas, 27, 29, 29, 30, 30, 30
CASTELOT, Jean, 24, 27, 27, 28, 28, 29
CASTELOT, Marie Catherine (-1766), 20, 24, 24, 27
DARDANNE, Jacques, 20, 24, 24, 26
DARDANNE, Jean, 21, 24, 25, 25, 26, 26, 26
DARDANNE, Marie Jeanne Elisabeth, 17, 18, 19, 21
DARDANNE, Marie Rose (-1777), 18, 20, 20, 24
DARDANNE, Pierre Jean Joseph (-1768), 18, 21, 21, 25
DEGREGE, Antoine (-1666), 28, 29, 29
DEGREGE, Antoine (-1710), 24, 26, 26, 28
DEGREGE, Antoine (-1730), 26, 28, 28, 29
DEGREGE, François (-1770), 20, 24, 24, 26
DEGREGE, Marie Anne (-1783), 18, 20, 21, 24
DEGREGE, Marie Marguerite, 24
DEHORNOY, Roberte (1645-1719), 26, 28, 28
DESCHAMPS, Barbe, 24, 26, 26
DORLEANS, Françoise, 18
DUJARDIN, Prudence (-1704), 20, 23, 23
DUNET, Marguerite, 27, 28, 29
FERRAND, Marguerite (-1700), 26, 28, 28
FOURNIER, Marguerite, 29, 30, 30
GIFFARD, Adrien (-1777), 18, 19, 19, 22
GIFFARD, Aimée Louise Honorine (1860-1953), 15
GIFFARD, Claire, 18
GIFFARD, Françoise Véronique, 18
GIFFARD, Jean, 19, 22, 22, 22
GIFFARD, Jean Baptiste, 18
GIFFARD, Michel, 17, 18, 18, 19
GIFFARD, Michel Adrien, 18
GIFFARD, Michel Firmin, 18
GIFFARD, Michel Louis (1813-1872), 15, 15, 17
GIFFARD, Michel Modeste, 15, 17, 17, 18
GIFFARD, Pierre, 18
GIFFARD, Pierre Louis (1853-1922), 15, 15
GIFFARD, Victoire Dorothée, 18
GONDREE, Anne, 26, 28, 28
HARDI, Marie Françoise (-1785), 18, 21, 21, 25
HARDI, Nicolas (-1750), 21, 25, 25
HEBERT, Françoise, 24, 25, 26, 26
JACQUELINE, Anne, 25
JACQUELINE, Georges, 25, 27, 27
JACQUELINE, Georges (-1750), 21, 25, 25, 27
JACQUELINE, Marie Jeanne, 19, 21, 21, 25
JOMME, Marthe, 20, 23, 24
LANCHON, Jean, 22
LANCHON, Jean (-1711), 19, 22, 22
LANCHON, Marie Marguerite Catherine Jeanne (-1741), 18,
19, 19, 22
LEGAY, Nicolas, 26
LEMOINE, Marie, 19, 22, 22
LEROUX, Catherine (-1720), 24, 26, 26, 28
LEROUX, Nicolas, 26, 28, 28
LEROY, Marie Anne (-1724), 24
LESACHE, François, 25, 27, 27
LESACHE, Jeanne, 21, 25, 25, 27
LESASCHE, Jacques, 18
LESASCHE, Marie Françoise (-1785), 18, 19
LETELLIER, Jacqueline, 25, 27, 27
MARET, Charles, 22
MARET, Guillaume (-1707), 22
MARET, Jean (-1746), 19, 22, 22
MARET, Suzanne (-1777), 18, 19, 20, 22
MAUGER, Marie (-1746), 20, 23, 23
MENARD, André, 25, 27, 27
MENARD, Marie Catherine, 21, 25, 25, 27
31
32
MODARD, Adrienne (-1736), 19, 22, 22, 26
MODARD, Catherine (1683-1750), 26
MODARD, x, 22, 26
MOREL, Adrien (-1717), 20, 23, 23
MOREL, Adrien (-1743), 23
MOREL, Anne (-1710), 23
MOREL, Charles (-1710), 23
MOREL, Charles Nicolas, 23
MOREL, François (-1721), 23
MOREL, Geneviève, 23
MOREL, Guillaume, 23
MOREL, Guillaume (-1721), 23
MOREL, Jacques, 23
MOREL, Marie, 23
MOREL, Marie Françoise, 18, 20, 20, 23
MOREL, Vivien, 23
PARESIS, Louise, 27, 29, 29
PHILIPPE, Aimée Désirée (1795-1869), 15, 17, 17, 19
PHILIPPE, Joseph Gaud (-1784), 19, 21, 21, 24
PHILIPPE, Michel (-1750), 21, 24, 24
PHILIPPE, Pierre (-1815), 17, 18, 19, 21
PILOLAINE, x, 26
POSTEL, Marie, 21, 24, 24
POTDEVIN, Marie (-1745), 20, 24, 24, 26
POTDEVIN, Thomas (-1724), 24, 26, 26
QUESNEL, Catherine Angélique, 22
QUESNEL, Françoise (-1782), 22
QUESNEL, Françoise Marie Suzanne, 17, 18, 18, 19
QUESNEL, Guillaume, 19
QUESNEL, Guillaume (-1762), 18, 19, 20, 22
QUESNEL, Jacques, 22
QUESNEL, Jacques (-1751), 20, 22, 22
QUESNEL, Jacques Guillaume, 22
QUESNEL, Jacques Pierre Guillaume, 19
QUESNEL, Jean Martin, 19
QUESNEL, Marguerite, 22
QUESNEL, Marie, 22
QUESNEL, Marie Marguerite Madeleine, 19
QUESNEL, Nicolas, 22
QUESNEL, Pierre (-1708), 22
REBULET, Marguerite (-1752), 20, 22, 22
RIDEL, Guillaume, 18, 20, 20, 23
RIDEL, Guillaume (-1728), 20, 23, 23
RIDEL, Marie Claire, 17, 18, 18, 20
ROULAND, Antoine (-1691), 28, 29, 30
ROULAND, Marie Madeleine Anne (-1717), 26, 28, 28, 30
SANNIER, Antoine (-1700), 26, 28, 28, 29
SANNIER, François (-1710), 28
SANNIER, Françoise, 28
SANNIER, Françoise (-1673), 28, 29, 29
SANNIER, Jacques, 29
SANNIER, Jean, 26, 28, 29, 29, 29
SANNIER, Jean (-1713), 24, 26, 26, 28
SANNIER, Madeleine, 29
SANNIER, Marie Anne (-1751), 21, 24, 24, 26
SANNIER, Tousssaint, 29
SAVOYE, Marie, 21, 25, 25
STALIN, Marie, 28, 29, 30
THUEUR, Marie Anne, 24
TIEBAUX, Suzanne (-1645), 28, 29, 29
TILLAUX, Jacques, 17, 18, 18, 20, 20, 20, 23
TILLAUX, Jacques (-1729), 20, 23, 23
TILLAUX, Rose Sophie, 15, 17, 17, 18
VEREL, Catherine, 20, 23, 23