L`art de choisir sa maîtresse - Belles Lettres Diffusion Distribution

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L`art de choisir sa maîtresse - Belles Lettres Diffusion Distribution
édItIons
finitude
21, rue Laharpe 33110 Le Bouscat / teL & fax: 05 56 79 23 06
www.fInItude.fr / dIffusIon-dIstrIButIon BLdd
PARUTIO
N
24 AOÛT
2011
benjamin franklin
L’art de choisir sa maîtresse
Benjamin Franklin
L’art de choisir
sa maîtresse
et autres conseils
indispensables
t
InédI
Traduction de Marie Dupin
Un volume de 112 pages, format 12 x 17 cm
IsBn : 978-2-912667-95-3
13,50 €
finitude
9 782912 667953
L’ART DE CHOISIR SA MAITRESSE
Comment choisir sa maîtresse ? Question cruciale s’il en est dans ce domaine où la moindre erreur peut s’avérer
fatale... Plein de sagesse, Benjamin Franklin nous fait part de son expérience : il faut la préférer vieille. Il donne d’ailleurs au lecteur incrédule huit excellentes et réjouissantes raisons de suivre son conseil.
Mais ce précieux petit livre recèle bien d’autres recommandations. Vous pourrez y apprendre les règles pour
devenir un compagnon détestable ou encore la meilleure façon de s’affirmer comme la reine des commères ; vous
saurez pourquoi Benjamin Franklin rêve de lâcher des serpents à sonnettes dans les respectables jardins anglais
et comment des castreurs de porcs pourraient aider à l’essor des États-Unis, puis vous vous indignerez des
mauvais traitements subis par la main gauche ou la lettre Z... Vous comprendrez, enfin, que Benjamin Franklin
était un facétieux personnage, irrévérencieux et libre-penseur.
LE LIVRE
Ce recueil rassemble treize textes inédits de Benjamin Franklin, parus pour la plupart dans la presse anglaise
ou américaine entre 1745 et 1780. S’ils font la part belle à l’humour et à l’impertinence, ces écrits sont
également révélateurs des idées que Franklin a défendues toute sa vie. Il a toujours œuvré pour le développement
des colonies américaines et pour l’amélioration des conditions de vie de ses concitoyens. Pour cela, il a été un
fervent défenseur de l’enseignement et de l’économie domestique, convaincu qu’on pouvait apprendre à tout
âge, que ce soit par la lecture des livres, des journaux ou des almanachs populaires. Mais il considérait que les
leçons passaient mieux si elles étaient amusantes et s’est employé à écrire de petits textes humoristiques pour
transmettre des notions parfois arides comme les théories coperniciennes (Un cuisinier fantasque) ou la régulation
des dépenses publiques (Un cadran solaire détonnant).
Mais ces textes de Franklin ont parfois eu un parfum de scandale, et jusque très récemment. En 1957, certains
juges américains ont décidé d’abolir les Obsenity laws, les lois régissant la morale et la censure. Pour démontrer
l’absurdité de ces lois, ils prouvèrent que certains textes de Benjamin Franklin, le père de la Constitution, le
savant respectable, s’ils étaient alors publiés, tomberaient sous le coup de la loi et leur auteur conduit en prison.
Un dernier pied de nez aux puritains et moralistes de tout poil !
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21, rue Laharpe 33110 Le Bouscat / teL & fax: 05 56 79 23 06
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PARUTIO
N
24 AOÛT
2011
BENJAMIN FRANKLIN
Benjamin Franklin est né à Boston en 1706, dans une famille de dix-sept
enfants. Pour des raisons financières, il quitte l’école et est mis en apprentissage
chez un imprimeur. C’est là qu’il apprend son futur métier de journaliste, en
total autodidacte. En 1730, il fonde son premier journal, La Gazette de
Pennsylvanie et publie la première livraison d’un almanach, L’Almanach du
Pauvre Richard. Ces publications assureront sa prospérité et permettront à
cet esprit curieux de se consacrer à ses recherches scientifiques dont les plus
célèbres concernent la foudre et l’électricité pour déboucher sur l’invention
du paratonnerre.
Franklin avait une haute idée du bien public et sa renommée, son intégrité
feront de lui un ambassadeur tout désigné pour représenter les colonies américaines à Paris lorsqu’il s’agira de demander le soutien de la France à la Guerre
d’Indépendance. Aidé par La Fayette, il obtiendra l’envoi d’une armée.
De retour aux États-Unis en 1787, il sera élu aux plus hautes fonctions et participera à la rédaction de la
Constitution fédérale.
Il meurt à Philadelphie en 1790 après avoir fondé une bibliothèque, un hôpital, la première société savante
américaine et écrit ses Mémoires.

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