Toulouse. La future clinique Rive Gauche à la

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Toulouse. La future clinique Rive Gauche à la
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PAYS : France
TYPE : Web Grand Public
8 décembre 2015 - 20:54
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Toulouse. La future clinique Rive Gauche à la
pointe dans l’accueil des patients
> La clinique Rive Gauche, dont la première pierre vient d’être posée,
est née de la fusion des cliniques Sarrus-Teinturiers et Saint-Nicolas.
Elle se matérialisera par une extension de 8700 m² et un
investissement de 23 millions d’euros. Son ouverture est prévue en
2017.
Sa première pierre a été posée le 24 novembre, cinq mois après le début des travaux, en présence
d’élus locaux et de médecins, pour une ouverture prévue en mai 2017. La clinique Rive Gauche
conforte la position de pôle médical, obstétrical et chirurgical d’excellence, qu’ont déjà les
cliniques Sarrus-Teinturiers et Saint-Nicolas, toutes deux situées sur les allées Charles-de-Fitte et
liées par un actionnariat commun depuis 2003. Des établissements reconnus dans la région, dans
les secteurs de l’ORL pédiatrie et de la stomatologie surtout, mais aussi de la maternité, de
l’ophtalmologie, du cancer du sein et de l’activité vasculaire. A eux deux, ils ont accueilli plus de
30.000 patients en 2014, et pratiqué 4000 accouchements.
Nouvelle page médicale du quartier
Après deux siècles de présence au coeur de la Ville rose - l’asile Sarrus a ouvert en 1848, la
maternité des Teinturiers et la clinique Saint-Nicolas en 1930 -, l’équipe a tenu à rester dans le
quartier Saint-Cyprien. « Avec ce projet d’agrandissement, nous souhaitons écrire une nouvelle
page médicale du quartier. Nous construirons un centre médical et chirurgical du XXIe siècle »,
souligne le docteur Philippe Gausserand, président de la future clinique. Un choix salué par le
maire de Toulouse et président de la métropole Jean-Luc Moudenc, lui-même né à la clinique des
Teinturiers. « Malgré une vieille culture d’opposition entre les secteurs privé et public, en France,
on a besoin des deux pour avancer. Et il faut veiller à ne pas périphériser à l’excès l’offre de
soins », a souligné l’élu. Aucun recrutement n’est prévu, mais la clinique revendique son rôle
d’acteur économique majeur, grâce aux « 700 personnes impliquées chaque jour sur le site ». 350
salariés sont employés sur place, dont 150 praticiens.
Circuit court de prise en charge et salle d’opération hybride
Avec ses 8700 m² répartis sur six étages, le nouveau bâtiment, qui représente 23 millions d’euros
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d’investissement, permettra de proposer cinquante places supplémentaires en chirurgie
ambulatoire et davantage de lits en maternité. Des blocs opératoires équipés des dernières
technologies, dont une salle hybride alliant radiologie et chirurgie comme à la clinique Pasteur,
un laboratoire au rez-de-chaussée, et un pôle de consultations spécialisées font également partie
des innovations. De même que la mise en place d’un circuit court de prise en charge - moins de
trois heures entre l’entrée et la sortie du patient - et la mise en œuvre de techniques alliant le robot
et la chirurgie en ophtalmologie pour l’opération de la cataracte par exemple.
« Notre ambition est d’offrir une qualité de service optimisée à nos patients. Avec cette extension,
les prises en charge seront plus fluides, personnalisées et complètement coordonnées », résume
Gérard Reysseguier, directeur général de la future clinique Rive Gauche.
Bâtiment HQE
Rive Gauche tient également à souligner son ambition d’être un bâtiment certifié Haute qualité
environnementale (HQE), notamment grâce aux matériaux choisis pour les façades, les peintures
et les sols. 60% de son eau chaude sera produite par des panneaux solaires, et l’éclairage résultera
en grande partie sur la lumière naturelle, y compris dans les blocs opératoires. Elle prévoit enfin
de revaloriser 75% de ses déchets. « Cette conception a été possible grâce à l’investissement de
nos équipes médicales et le fort soutien de l’Agence régionale de santé », reconnaît le docteur
Philippe Gausserand.
Armelle Parion
Photo DR
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