Contactez le gouvernement hondurien afin d
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Contactez le gouvernement hondurien afin d
!ACTION URGENTE! Contactez le gouvernement hondurien afin d'exiger le respect des communautés de Río Blanco, dans leur volonté de refuser le projet hydroélectrique Agua Zarca et le blocage de l'accès routier qu'elles ont mis en place. La communauté Lenca de Río Blanco a bloqué la route d'accès au fleuve Gualcarque afin d'exiger le retrait du projet hydroélectrique Agua Zarca de son territoire. Des représentants de l'entreprise se sont rendus au point du blocage, accompagnés par la police hondurienne, et ont menacé des membres de la communauté. Des membres de la communauté de La Tejera ont été victimes d'agression physique, de persécution et de menaces de mort de la part d'employés du projet hydroélectrique. Par ailleurs, d'autres incidents ont mis en danger la sécurité de membres du COPINH [Comité Civique des Organisations Populaires et Indigènes du Honduras], dont l'obstaculisation du véhicule de l'organisation, une surveillance et un suivi du véhicule, ainsi que des menaces. Appelez et envoyez des courriers aux autorités mentionnées ci-dessous afin de demander instamment au gouvernement hondurien qu'il respecte les droits de la communauté Lenca de Rio Blanco et les membres du COPINH, et l'informer que vous suivez de près la situation, le combat légitime des communautés, de même que le comportement de la police et des entreprises concernées. Pour plus d'information, rendez-vous http://copinhonduras.blogspot.com sur le site en espagnol du COPINH : Passez vos appels : -Commissaire de Police d'Intibucá, Miguel Alberto Ponce Sorto: (504) 9711-8034 (portable) et (504) 2783-1006 -SERNA (Secrétariat des Ressources Naturelles et de l'Environnement): (504) 2232-1386 ou (504) 2235-7833 (demandez à parler au ministre Rigoberto Cuellar) -Président de la République (Porfirio Lobo Sosa): (504) 9990-0878 -Ministre de la Sécurité (Pompeyo Bonilla): (504) 2220-5547 -Procureur Général de la République (Luis Alberto Rubí) : (504) 2221-5670 o (504) 2221-3099 ou (504) 2221-5603 (demandez au Ministère public en charge des Ethnies qu'ils donnent suite aux plaintes déposées par le COPINH) -Juge de Première Instance : (504) 2230-1487 o (504) 2230-1654 -Ministre de la Justice et des Droits humains (Ana Pineda) : (504) 9982-6801 -Ministre du Secrétariat des Peuples Autochtones et Afro-honduriens (Luis Green) : (504) 99584364 / (504) 8730-4920 Envoyez vos courriers électroniques : [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] [email protected] et une copie à : [email protected] Contenu du courrier : Estimados Señores y Señoras: Les contacto para expresar mi preocupación sobre la situación y amenazas que enfrenta la comunidad Lenca y miembros de COPINH en Río Blanco, por expresar su rechazo al proyecto Agua Zarca en su territorio. Estoy sumamente preocupado de escuchar que el Sr. Cristian Toledo de SINOHYDRO llegó a la toma de carretera, acompañado por la DGIC y la Policía Nacional, y amenazó a miembros de la comunidad. Les insto respetar la vida y los derechos de las comunidades Lencas y los miembros de COPINH que están exigiendo su derecho legitimo a decidir sobre su territorio. Entiendo que las comunidades han rechazado el proyecto Hidroeléctrico Agua Zarca en cabildeos abiertos y asambleas Indígenas y que han informado al estado sobre su posición y han hecho denuncias en contra del proyecto Agua Zarca. Les insto respetar el Convenio 169 de la OIT y respetar el derecho de las comunidades Lencas de ser consultadas sobre proyectos en su territorio -- incluyendo su derecho de rechazar estos proyectos. Voy a seguir monitoreando la situación en Rio Blanco y el comportamiento de la policía y las empresas. Espero que tomen acción inmediata para resolver la situación y asegurar respeto a la vida y los derechos del pueblo Lenca en Río Blanco. Atentamente, {Nom et Prénom, Ville, Pays et Organisation, le cas échéant}