Hi. My name is Andrew Bates, and I am running to be the President

Transcription

Hi. My name is Andrew Bates, and I am running to be the President
Hi. My name is Andrew Bates, and I am running to be the President of the Canadian
University Press.
I still have the letter I wrote to my paper five years ago to convince them to send me to
my first NASH. I said I wanted to go because I thought I'd been working hard that fall,
but that wasn't enough in my job as an editor. I wanted to learn how to be a journalist.
That's what CUP does. CUP trains people to be journalists. It helps papers to become
better. It gives young writers a chance to prove themselves on a national stage.
The Canadian University Press can make student newspapers better.
In five years, I've talked to a lot of papers, worked a lot, and learned a lot about how the
student press operates. I can help people because I know what it's like to run a paper on a
tight budget. I know what it's like to run a conference. I know what it's like to push for
independence.
I've seen CUP change in those five years. Through success and failure, I think I have an
idea what works and what doesn't. I can tell you that CUP is strongest when it is focusing
on making papers better. When it is focused on services like the newswire.
Members want us to focus on the newswire. Staff need to be trained properly and they
need to be held accountable to their roles. I want to support the National Bureau Chief in
strengthening the service. It is our members' top priority, and it needs to be ours.
A new document depot needs to be created, containing CUP resource manuals, board
minutes, sample constitutions, and conference bids. This service was invaluable for
papers looking for reference material years ago, and we should bring it back.
CUP needs to focus on financial issues this year. Part of that is figuring out what's going
on with Campus Plus, part of that is figuring out how we're going to pay for the executive
director position, part of that is revisiting a proposal to restructure fees and change the
way that the financial burden of the organization is shared. That was debated in Victoria
in 2012, but it never made it to plenary.
Throughout those changes, we need to engage member papers in what we're doing. CUP
doesn't do a very good job at that. Members are stakeholders, and they need to be treated
like it. They need to be consulted and informed about what's happening. When this
doesn't happen, people feel alienated from the proposed plans and there is chaos at
plenary.
People don't want to get involved in CUP when they feel disconnected from it. They
want to get involved with CUP when they feel like it has the potential to do good. People
get involved with CUP when they have the power to make positive change in the
organization.
CUP is here to make a positive change for student journalism in Canada. It is here to
make a positive change for our papers.
Check the papers across the country: Our names are scattered across all of our pages. My
name has been in the Concordian and the Brunswickan and the Argosy; the Griff (when it
was called Intercamp) and the Martlet and the Peak. It's been in the Sheaf and the Cord
and the Fulcrum and many more. Your names have been in my papers for many years.
We make each other better. CUP makes papers better when it focuses on the services. I
am committed to making sure we deliver on our promises and give you what you need. I
have the skills and experience necessary to do that. I have the energy to do that.
And more than anything else, I want CUP to do that because that's what it did for me.
Because CUP taught me how to be a journalist and changed my life. It should be focusing
on services and making people better. It can do that for all of you.
My name is Andrew Bates, and I am running to be the President of the Canadian
University Press.
________________________________________________________________________
Bonjour, Je m’appelle Andrew Bates, et je suis un candidat à la présidence pour la Presse
universitaire canadienne.
J’ai toujours la lettre que j’ai écrite à mon journal, il y a cinq ans, pour les convaincre de
m’envoyer à ma première NASH. J’ai dit que j’avais en vie d’y aller, par ce que j’ai
travaillé fort cet automne, mais il n’y avait pas assez dans mon poste de rédacteur. Je
voulais apprendre à être un journaliste.
Et ça c’est ce que la PUC fait. La PUC fournit la formation pour qu’on puisse devenir des
journalistes. Elle aide les journaux à améliorer. Elle donne des jeunes écrivains une
occasion à faire leurs preuves à un niveau national.
La Presse universitaire canadienne peut améliorer les journaux étudiants.
Durant les dernières cinq années, j’ai parlé avec des journaux à foison, travaillé beaucoup,
et j’ai appris énormément à propos comment la presse étudiante opère. Je peux aider les
gens, par ce que je sais ce que c’est de gérer un journal avec un budget restreint. Je sais
ce que c’est d’organiser une conférence. Je sais ce que c’est de militer pour indépendance.
J’ai vu la PUC change pendant ces cinq années. Par succès et échec, je pense que j’ai
unes idée de ce qui marche et ce qui ne marche pas. Je peux vous dire que la PUC est la
plus forte quand elle se concentre sur l’amélioration des journaux. Quand elle s’applique
aux services comme le fil de presse.
Nos membres veulent qu’on se concentre sur le fil de presse. C’est une nécessité que
notre personnel reçoit la formation essentielle et est tenue responsable de leurs rôles. Je
veux soutenir le Chef de Bureau Nationale à renforcer le service. C’est la première
priorité de nos membres et a besoin d’être la nôtre.
Un nouveau dépôt de document doit être créé; contenant les manuels de ressource de la
PUC, les procès-verbaux du conseil, les spécimens de constitutions, et les offres de
conférence. Il y a des années que ce service a été inestimable pour les journaux cherchant
les matériaux de ressource, et on devra le rétablir.
La PUC a besoin de concentrer sur les finances cette année. Une partie substantielle de
cela est de prévoir la situation avec Campus Plus, comment on va payer la poste de
directeur exécutif, la révision de la proposition pour restructurer les frais et changer la
façon dont le fardeau financier de l’organisation est partagé. Un débat a eu lieu à Victoria
en 2012, mais il n’est jamais arrivé à la séance de plénière.
Au cours de ces changements, on a besoin d’engager les membres avec ce qu’on fait. La
PUC ne le fait pas suffisamment. Nos membres requièrent d’être traités comme des
parties prenantes car ils y sont. Il est nécessaire qu’ils soient consultés et informés de ce
qui se passe. Quand ceci n’arrive pas, les gens sentent aliénés des plans proposés et il y a
du chaos aux séances de plénière.
Quand les gens sentent qu’ils sont détachés de la PUC, ils ne veulent pas se joindre. Ils
veulent se joindre quand il y a le sentiment qu’il fera du bien. Les gens veulent se joindre
avec la PUC quand ils ont le pouvoir de faire des changements positifs dans
l’organisation.
La PUC est ici pour faire un changement positif pour le journalisme étudiant au Canada.
Elle est ici pour faire un changement positif pour nos journaux.
Vérifiez les journaux à travers le pays: nos noms sont dispersés dans toutes nos pages.
Mon nom a été dans the Concordian et the Brunswickan et the Argosy ; the Griff (quand
c’était Intercamp) et the Martlet et the Peak. C’était dans the Sheaf et the Cord et the
Fulcrum, la liste continue. Vos noms ont été dans mes journaux depuis plusieurs années.
Nous nous améliorons. La PUC améliore les journaux quand elle se concentre sur les
services. Je suis engagé à assurer qu’on tient nos promesses et vous donne ce que vous en
avez besoin. J’ai les capacités et l’expérience nécessaire pour le faire. J’ai l’énergie pour
le faire.
Et plus que toute autre chose, je veux que la PUC le fait car c’est ce qu’elle a fait pour
moi. Parce que PUC m’a enseigné à être un journaliste et a changée ma vie. Elle devrait
être concentrée sur les services et améliorer les gens. Elle peut le faire pour vous tous.
Je m’appelle Andrew Bates, et je me présent à la présidence de la Presse universitaire
canadienne.