Coût de production BV Cantal, Lozere, Aveyron, Hte Loire_Mise en

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Coût de production BV Cantal, Lozere, Aveyron, Hte Loire_Mise en
COLLECTION RÉFÉRENCES
RÉSEAUX D’ÉLEVAGE POUR LE CONSEIL ET LA PROSPECTIVE
COÛTS DE PRODUCTION
DES ÉLEVAGES BOVINS
ALLAITANTS
Élevages Salers, Aubrac et Limousin des réseaux d’élevage
Cantal, Lozère, Aveyron et Haute-Loire
L’économie des élevages bovins viande est particulièrement affectée ces dernières années par la
hausse des charges et la baisse des prix de vente. Pour piloter son exploitation et son atelier
bovin viande, il est de plus en plus nécessaire de connaître son coût de production et ses
composantes. Ce document présente les résultats observés dans 40 fermes suivies dans les
réseaux d’élevage Cantal, Aveyron, Lozère et Haute-Loire.
UNE MÉTHODE DÉVELOPPÉE
AU PLAN NATIONAL
En
lien
avec
les
Chambres
d’Agriculture, l’Institut de l’Élevage a mis
au point une méthode permettant de
calculer les coûts de production dans
les élevages herbivores et par atelier (1).
Elle s’applique aux exploitations
spécialisées ou diversifiées avec d’autres
ateliers (cultures, autres herbivores…).
Voici
quelques
éléments
des
conventions prises en compte :
• En élevage bovin allaitant, les animaux
sont vendus en vif ou en carcasse. Pour
quantifier la production, toutes les
ventes sont comptabilisées en vif.
L’unité retenue pour le calcul du coût
de production est le kg de viande vive
produite. La production brute de
viande vive (kgvv) = kg vifs vendus – kg
achetés + kg d’inventaire final – kg
d’inventaire initial.
• Trois types de charges sont pris en
compte pour calculer le coût de
production : les charges courantes
constituées des charges opérationnelles
et structurelles affectées à l’atelier bovin
viande ; les amortissements qui rendent
compte des investissements réalisés
(bâtiment, matériel) et enfin les charges
supplétives qui rémunèrent les facteurs
de production (foncier, capitaux propres et main-d’œuvre non
salariée). Ces dernières sont évaluées sur la base d’un coût de
fermage moyen pour les terres, de la rémunération des capitaux
propres à 1,5 % et de la rémunération de la main-d’œuvre
exploitant à 1,5 SMIC brut/UMO (Unité de Main d’œuvre).
• La méthode permet de déduire le prix de revient de la viande
produite. C’est le prix auquel il faudrait vendre le kg vif pour
couvrir l’ensemble des charges et rémunérer les facteurs de
production (figure 1). Prix de revient = coût de production avec
charges supplétives – aides et autres produits affectables à l’atelier
bovin viande.
(1) Réseaux d’Élevage, septembre 2010, « Calculer le coût de production en élevage bovin viande » et Réseaux d’Élevage Limousin,
janvier 2011 « Performance économique des élevages bovins viande »
Cantal, Lozère, Aveyron, Haute-Loire
1
COÛTS DE PRODUCTION DES ÉLEVAGES BOVINS ALLAITANTS
ANALYSE DU COÛT DE
PRODUCTION
> Figure 1 : Coût de production, produits et prix de revient des 100 kgvv
Sources : Moyenne des 40 fermes des Réseaux d’élevage 2009
Le prix de revient à 2,62 €/kg
En 2009, le coût de production moyen
des 40 exploitations suivies par les
réseaux d’élevage est de 424 €/100
kgvv (figure 1), pour 22 240 kgvv
produits par UMO exploitant et 311
kgvv/UGB.
Les charges courantes représentent
48 % du coût de production, les
amortissements 17 % et les charges
supplétives 35 %. La rémunération du
travail exploitant sur la base de 1.5
SMIC brut/UMO pèse 29 % du coût de
production. Elle ne prend pas en
compte le travail bénévole présent
dans 40 % des exploitations.
Par comparaison, le produit total de
l’atelier bovin s’élève à 369 €/100 kgvv
dont 159 € d’aides. Le prix de revient
des 100 kgvv produits pour 1,5 SMIC
s’établit donc à 262 € en 2009, soit
2,62 € par kg vif produit. Le prix de
vente réel obtenu sur cette campagne
est de 2,09 € par kg vif. Par conséquent,
il n’a pas permis de couvrir la totalité du
coût de production de l’atelier
(Figure 1). Au final, la rémunération du
travail permise par le produit est de
66 €/100 kgvv en moyenne, soit
seulement 0,85 SMIC/UMO exploitant.
> Figure 2 : Composantes des coûts de production au 100 kgvv
Sources : Moyenne des 40 fermes des Réseaux d’élevage 2009
La mécanisation coûte cher !
Le poste mécanisation représente à lui
seul 21 % du coût de production. Il
regroupe les coûts d’entretien et
d’utilisation du matériel (carburants,
lubrifiants), le recours aux travaux par
tiers et l’amortissement.
Pour 88 €/100 kgvv en moyenne, 8 €
vont aux travaux par tiers, 12 € à
l’entretien, 13 € aux carburants et 50 €
aux amortissements.
Le poste approvisionnement des
animaux* (achats d’aliments concentrés
et fourrages) représente 10 % du coût
de production en moyenne. Il passe de
26 €/100kgvv pour les plus économes (quart inférieur du poste)
à 55 € pour les plus élevés. La quantité de concentrés distribués
explique significativement ces écarts avec 310 kg distribués par
UGB pour les plus bas et 800 kg/UGB pour les plus hauts.
Les frais d’élevage dont les achats de paille et les frais d’estive,
représentent 8 % du coût de production. Viennent ensuite par
ordre décroissant, le poste bâtiments (6 %) avec 21 €
d’amortissement sur 27 € au total, les frais divers de gestion (6 %)
et les approvisionnements des surfaces (5 %).
* les céréales autoconsommées sont comptées au coût réel de production. Elles sont donc intégrées dans les postes approvisionnements des surfaces (engrais,
semences et traitements) et mécanisation.
2
COÛTS DE PRODUCTION
SELON LES SYSTÈMES
Le coût de production moyen varie de
388 € à 454 € (figure 3).
Pour les systèmes Naisseurs Aubrac
principalement producteurs d’animaux
maigres destinés à l’export, le coût de
production est de 454 €/100 kgvv. Ces
systèmes localisés en Margeride et
Aubrac - présentent une faible
productivité avec 18 150 kgvv/UMO. Ils
valorisent des surfaces à faible potentiel
avec un chargement élevé qu’ils
compensent par l’utilisation d’intrants
(concentrés et fertilisation). Cette conduite augmente le coût de
production. Malgré un prix de vente au kg vif de 2,23 €, la
rémunération permise est de l’ordre de 0.61 SMIC/UMO
exploitant.
Pour les Naisseurs Aubrac avec engraissement de femelles
(Génisses « Fleur d’Aubrac » et vaches grasses «Boeuf Fermier
d’Aubrac), le coût de production est de 427 €/100 kgvv. Ces
élevages (69 vaches et 111 UGB) sont engagés dans la finition des
femelles en démarches de qualité. Les consommations de
concentrés sont équivalentes au groupe « naisseurs Aubrac »,
autour de 560 kg/UGB. Au final, la productivité de ces
exploitations est élevée avec 320 kgvv par UGB et 23,7 tonnes de
viande vive par travailleur. Avec un prix de vente moyen de 2,13 €
par kg vif, la rémunération permise par le produit est proche de 1
SMIC/UMO exploitant.
> Figure 3 : Caractéristiques des systèmes suivis en 2009
Sources : 40 fermes du Réseaux d’élevage 2009
Naisseur
Aubrac
Nb d'exploitations
UMO exploitant de l’atelier BV
ha de SAU
ha de SFP
Nbre de vaches allaitantes
Nbre d’UGB de l’atelier BV
Chargement UGB/ha SFP
N/ha SFP (fumure minérale)
Kg concentrés/UGB
Kg de viande vive (kgvv) /UGB
Kgvv totaux
Productivité de la main-d’œuvre (kgvv/UMO)
Coût de production des 100 kgvv
Aides totales et autres produits/ 100 kgvv
Prix de revient des 100 kgvv pour 1,5 SMIC
Prix moyen kg vif vendu
Rémunération permise par le produit en SMIC/UMO
9
2,1
127
125
84
134
0,99
17
557
302
39 704
18 148
454 €
151 €
303 €
2,23 €
0,61
Naisseur
Aubrac
Finition
5
1,8
137
128
69
111
0,93
15
559
320
35 110
23 749
427 €
164 €
263 €
2,13 €
0,97
Naisseur
Naisseur
Salers
Salers
Montagne Châtaigneraie
9
10
1,3
1,9
87
90
87
84
63
93
91
131
1,0
1,31
8
45
296
463
277
328
25 559
52 212
21 250
23 424
413 €
388 €
177 €
158 €
236 €
229 €
1,84 €
1,97 €
0,89
1,10
Élevage
Limousin
7
2
128
115
90
135
1,19
33
1 045
335
43 701
25 992
447 €
156 €
290 €
2,40 €
0,68
> Figure 4 : Répartition des charges et des produits par 100 kgvv produits, selon les systèmes d’élevage
Sources : 40 fermes du Réseaux d’élevage 2009
3
COÛTS DE PRODUCTION DES ÉLEVAGES BOVINS ALLAITANTS
Les systèmes Naisseurs Salers en
Montagne
sont
essentiellement
producteurs
d’animaux
maigres
destinés à l’export ou à la vente de
reproducteurs. Ces troupeaux de taille
moyenne (63 vaches) sont conduits de
manière extensive, avec un chargement
de 1 UGB / ha de SFP et très peu
d’intrants. En conséquence, la
productivité est limitée à 280 kgvv /
UGB et 21 tonnes de viande vive par
travailleur. Le coût de production des
100 kgvv s’élève à 413 €. Les aides dont
ICHN et PHAE représentent 177 € /
100 kgvv. Avec un prix moyen du kg vif
vendu de 1,84 € en 2009, la
rémunération permise par le produit
est de avec 0,89 SMIC par UMO
exploitant.
Les systèmes Naisseurs Salers en
Châtaigneraie sont généralement de
grande dimension (structure sociétaire)
avec 93 vaches en moyenne et utilisent
parfois des estives en complément des
surfaces autour du siège d’exploitation. Ces élevages produisent
des animaux alourdis pour l’export (380 à 420 kg vifs) et des
femelles finies (génisses et vaches de réforme). Ils produisent 328
kgvv par UGB et 23.4 tonnes de viande vive en moyenne par
travailleur. Situés en zone maïs favorable, le système fourrager basé
sur les stocks (maïs, ensilage d’herbe…) engendre une forte
utilisation d’intrants, avec 45 unités d’azote par ha de SFP. La
consommation de concentrés reste maîtrisée avec 463 kg de
concentrés distribués par UGB. Avec le coût de production le plus
faible à 388 €/100 kgvv et des aides totales à hauteur de
158 €/100 kgvv, le prix de revient pour rémunérer 1,5 SMIC est
de 229 €/100 kgvv. Le prix moyen du kg vif vendu à 1,97 € assure
une rémunération de 1,1 SMIC/ UMO exploitant.
Les élevages Limousins principalement suivis en Haute-Loire sont
orientés vers la finition de génisses et de vaches de réforme et
pour certains de jeunes bovins. Une partie des exploitations
commercialise également des animaux maigres pour l’export. Ces
systèmes sont consommateurs d’intrants pour intensifier les
surfaces (ensilage d’herbe, maïs…) et l’engraissement des animaux
avec plus d’une tonne de concentrés distribués par UGB. La
productivité est élevée avec 335 kgvv par UGB et 26 tonnes de
viande vive produites par travailleur. Avec un prix de vente au kg
vif de 2,40 €, la rémunération permise est de 0,68 SMIC/UMO
exploitant.
> Figure 5 : Détails des postes composants le coût de production de l’atelier selon les systèmes (en €)
Sources : 40 fermes du Réseaux d’élevage 2009
Coût de production atelier
Charges courantes
Travail
Foncier et Capital
dont Fermage (réel) et frais du foncier
dont Rémunération terres en propriété
dont Rémunération capitaux en propriété
Bâtiments avec amortissements
dont amortissement bâtiments
Mécanisation avec amortissements
dont travaux par tiers
dont carburants et lubrifiants
dont amortissement matériel
Frais divers de gestion
Frais d'élevage
dont frais vétérinaires
Approvisionnement des surfaces
dont engrais
Approvisionnement des animaux
dont achats d’aliments
Naisseur
Aubrac
Naisseur
Aubrac
Finition
Naisseur
Salers
Montagne
Naisseur
Salers
Châtaigneraie
Élevage
Limousin
454
216
137
63
24
11
12
29
24
87
6
13
52
25
33
15
23
17
57
45
427
188
122
86
24
34
15
23
16
79
7
10
51
21
34
12
22
14
40
35
413
200
130
66
36
10
11
24
14
80
4
12
47
28
36
17
10
7
42
28
388
170
113
67
22
26
15
24
19
85
9
14
45
22
31
13
19
11
27
21
447
243
99
55
23
6
11
37
32
109
16
17
57
27
36
12
28
16
55
55
4
COÛTS DE PRODUCTION DES ÉLEVAGES BOVINS ALLAITANTS
COÛT DE PRODUCTION, CE
QUE LES ÉLEVEURS EN
DISENT
• Les éleveurs de bovins viande des
Réseaux d’élevage, réunis cet hiver,
affirment que le coût de production est
un nouvel indicateur pertinent pour
analyser les performances techniques et
économiques de leur atelier. Ils sont
surpris par le montant total des coûts
de production dans leurs exploitations,
ainsi que par le poids de la
rémunération du travail et la part du
poste mécanisation dans les coûts.
Mais, les éleveurs enquêtés disent ne
pas pouvoir agir beaucoup sur leur coût
de production (figure 6). Cependant, ils
envisagent de mettre en place certaines
actions à court ou moyen terme dans
leur exploitation :
• 30 % placent l’amélioration de la
production brute de viande vive
comme axe majeur de travail à travers
une amélioration des performances de
reproduction (veaux produits), un
alourdissement des broutards et un
agrandissement des exploitations à
main-d’œuvre constante. Le progrès génétique et la production
d’animaux finis en démarches de qualité sont également mis en
avant comme des améliorations à développer. Enfin, pour les
systèmes en race Salers et Aubrac, l’augmentation du taux de
croisement est également évoqué par des éleveurs pour gagner
des kg de viande.
• 23 % pensent pourvoir agir sur le poste « approvisionnement
des animaux » en limitant le recours à des achats extérieurs. Il
s’agit pour ces éleveurs de gagner en autonomie alimentaire
L’agrandissement leur semble le plus souvent la voie à privilégier
pour éviter les achats de fourrages. Dans les situations favorables,
les éleveurs souhaitent augmenter les surfaces en céréales pour
valoriser le grain dans l’alimentation et limiter les achats de paille.
• Les éleveurs perçoivent la part importante du poste travail dans
le coût de production. Ce poste est conditionné aux évolutions de
la main-d’œuvre présente dans les exploitations (installation,
retraite, emploi de salarié…).
• Quelques éleveurs mettent en avant la possibilité d’une
meilleure valorisation de la viande produite en développant la
vente directe.
• Les postes bâtiments et mécanisation ne sont pas évoqués par
les éleveurs pour diminuer leur coût de production.
• 17 % disent n’avoir aucun levier d’amélioration à portée de main
dans le contexte de leur système de production.
> Figure 6 : Hiérarchie des postes sur lesquels les éleveurs disent pouvoir réagir pour réduire le coût de production
Sources : 35 Enquêtes Réseaux d’élevage 2010
5
COÛTS DE PRODUCTION DES ÉLEVAGES BOVINS ALLAITANTS
En 2009, la rémunération permise par
le produit est en moyenne de 0,85
SMIC/UMO exploitant dans les
exploitations des réseaux d’élevage. Il
manque environ 25 % sur le prix de
vente pour atteindre le prix de revient
calculé sur la base d’une rémunération
de 1,5 SMIC/UMO exploitant. Faute
d’une amélioration du prix de la viande
et dans un contexte de stabilité des
aides à la production, plusieurs pistes
doivent être étudiées pour optimiser le
coût de production et augmenter la
rémunération des éleveurs :
• Étudier au cas par cas les marges de
progrès au niveau des charges, en
particulier sur les postes les plus
coûteux, alimentation et mécanisation
en tête. Cela passe par la remise à plat
du système fourrager, la maîtrise des
quantités de concentrés distribués, la
place du pâturage par rapport aux
stocks récoltés, les solutions collectives
pour l’utilisation du matériel…
• Améliorer la productivité des
élevages allaitants passe par une bonne
maîtrise de la reproduction et la
réforme
rapide
des
vaches
improductives. Le coût d’entretien
d’une vache est de l’ordre de 0,80 à 1 €
par jour. L’élimination des vaches vides
permet de limiter les UGB entretenues.
Cela peut passer par la surveillance,
voire des constats de gestation (fouilles,
échographies).
• La finition de femelles et
l’alourdissement
des
broutards
permettent de produire plus de kg de
viande vive. Ces pratiques doivent tenir
compte des coûts alimentaires et des
prix de vente des animaux.
La valorisation de l’espace via
l’utilisation de surfaces pastorales
(estives ou parcours) est un enjeu
majeur
pour
l’équilibre
des
exploitations des zones d’altitude. Elle
implique de fortes contraintes de travail
et limite la productivité de la maind’œuvre. Ainsi, l’augmentation des
quantités de viande produites par
UMO n’est pas toujours possible. C’est
la cohérence globale des systèmes de
production et l’équilibre entre le sol, les
besoins du troupeau et la productivité
de viande qui reste la clef de la
meilleure rémunération des éleveurs.
À ce titre, cette synthèse permet de
dresser un premier état des lieux des
coûts de production dans les systèmes
d’élevage bovin viande de la zone
Cantal, Lozère, Nord Aveyron et
Haute-Loire. Les pistes d’amélioration
seront détaillées dans les prochaines
publications des réseaux d’élevage de la
zone.
Contacts
• Mathilde
BONESTEBE,
Yannick PECHUZAL,
Pierre ESTEVE,
Chambre d'Agriculture
du Cantal,
- Tél. : 04-71-45-55-00
• Philippe HALTER,
Chambre d’Agriculture
de la Haute-Loire,
- Tél. : 04-71-07-21-00
• Jean Louis BALME,
OIER SUAMME
Languedoc-Roussillon,
- Tél. : 04-66-65-62-00
• Olivier LAPORTE,
Chambre d'Agriculture
de la Lozère,
- Tél. : 04-66-65-62-00
• Michel WEBER,
Chambre d’Agriculture
de l’Aveyron,
- Tél. : 05-65-67-88-75
• Julien BELVEZE
Institut de l’Élevage
- Tél. : 05-61-75-44-34
Crédit photos : Chambre d’Agriculture du Cantal Création : Bêta Pictoris - Réalisation : Annette Castres
QUELQUES PISTES
D’AMÉLIORATION
LES RÉSEAUX D’ÉLEVAGE
Les Réseaux d’Élevage sont un dispositif partenarial associant des éleveurs et des ingénieurs des Chambres d’Agriculture et de l’Institut de l’Élevage.
LES PARTENAIRES FINANCEURS
Ce document a été élaboré avec le soutien financier conjoint du Ministère de l’Agriculture (CasDAR) et de FranceAgriMer..
Les données mobilisées pour sa réalisation ont été collectées dans le cadre du dispositif Réseaux d’élevage avec l’appui financier de FranceAgriMer.
Mai 2011
6
Document édité par l’Institut de l’Élevage - En vente à Technipel - 149 rue de Bercy 75595 Paris CEDEX 12
www.inst-elevage.asso.fr - ISBN 978-2-36343-090-8 - PUB IE : 00 11 57 013