P.V. Séance du 28 octobre 2015
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P.V. Séance du 28 octobre 2015
SEANCE DU MERCRE D I 2 8 O CTO BRE 2 01 5 PRESENTS EXCUSES M. Jean VANDERBECKEN, Bourgmestre-Président ; Mme Patricia LEBON, MM. Vincent GARNY, Bernard REMUE, Mme Sylvie VAN den EYNDE-CAYPHAS et M. Christophe HANIN, Echevins ; M. Gaëtan PIRART, Président du CPAS ; M. Philippe LAUWERS, Mme Martine BIEMANS, M. Grégory VERTE, Mme Catherine DE TROYER, MM. Sylvain THIEBAUT, Michel ANASTASIADES, Michel WAUTOT, M mes Valérie LEONARD, Anne-Françoise JARDON-JANS, MM. Sébastien VAN LOO, JeanPierre LEBLANC, Olivier CARDON de LICHTBUER, Eric de SEJOURNET de RAMEIGNIES, Mme Anne-Marie LEMOINE, M. François LEMAIRE, Mme Wivine VUYLSTEKE-GODAERT, MM. Michel DESCHUTTER et Eric BAMPS, Conseillers communaux ; Mme Virginie DENONCIN, Directrice générale f.f.; M. Etienne DUBUISSON et Mlle Mélissa MARTIN, Conseillers communaux; M. Michel DEVIERE, Directeur général. La séance est ouverte à 20h03. A. En séance publique I. SECRETARIAT – ADMINISTRATION GENERALE 1. Partie publique du procès-verbal de la séance du 30 septembre 2015 – Approbation – Vote. Le Conseil approuve, par 23 voix pour et 1 abstention (Monsieur LEMAIRE), la partie publique du procès-verbal de sa séance du 30 septembre 2015, moyennant la correction apportée par Monsieur VERTE. Monsieur LEMAIRE justifie son abstention par le fait qu’il était absent à ladite séance. 2. IMIO scrl – Attitude du Conseil sur les points mis à l’ordre du jour de l’Assemblée générale du 19 novembre 2015 – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le CWADEL, notamment les articles L1512-3 et L1523-1 et suivants; Vu sa décision du 28 mars 2012 d’adhérer à la scrl IMIO en souscrivant une part B à son capital social; Considérant que la Commune a été convoquée à participer à l’assemblée générale d’IMIO du 19 novembre 2015 par courrier daté du 29 septembre 2015 ; Considérant que l’assemblée générale du second semestre doit avoir lieu, avant le premier lundi du mois de décembre, conformément à l’article L1523-13 – § 4 du Code de la démocratie locale et de la décentralisation; Considérant que les points portés à l’ordre du jour de la susdite assemblée sont : 1. Présentation des nouveaux produits; 2. Evaluation du plan stratégique 2013-2015; 3. Présentation du plan stratégique 2016-2018; 4. Présentation du budget 2016; 1/33 5. Désignation d’administrateurs; Considérant que les points précités sont de la compétence de l’Assemblée générale et ce conformément à l’article 19 des statuts de l’intercommunale IMIO; Considérant que la Commune souhaite, dans l’esprit du décret précité, jouer pleinement son rôle d’associé dans l’Intercommunale, qu’il importe dès lors que le Conseil communal exprime sa position à l’égard des points portés à l’ordre du jour de ladite assemblée ; Considérant que les délégués rapportent à l’assemblée générale, la proportion des votes intervenus au sein du Conseil et qu’à défaut de délibération du Conseil communal, chaque délégué dispose d’un droit de vote correspondant au cinquième des parts attribuées à l’associé qu’il représente; Entendu l’exposé de Monsieur le Bourgmestre ainsi que les observations de Monsieur LEMAIRE ; A l’unanimité ; D E C I D E : er Article 1 : d’approuver les points portés à l’ordre du jour de l’assemblée générale de la scrl IMIO du 19 novembre 2015, tels que repris ci-après : 1. Présentation des nouveaux produits; 2. Evaluation du plan stratégique 2013-2015; 3. Présentation du plan stratégique 2016-2018; 4. Présentation du budget 2016; 5. Désignation d’administrateurs. Article 2 : de charger ses délégués à l’assemblée de se conformer à la volonté exprimée par le Conseil communal en ce jour. Article 3 : de charger le Collège communal de veiller à l’exécution de la présente décision. Article 4 : de transmettre un exemplaire de la présente délibération à la scrl IMIO et aux 5 délégués de Rixensart. Madame VAN den EYNDE entre en séance à 20h15. II. TRAVAUX VOIRIE/EGOUTTAGE 1. Avenue Alexandre – Pose de l’égouttage et réfection de la voirie – Marché de travaux – Etats d’avancement 3 et 4 final – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112230, L1124-4 et L1222-4 ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l’arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques, plus spécifiquement l’article 105 §1er-4° relatif aux seuils spécifiques ; Vu l’arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d’exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics, plus spécifiquement l’article 5 §4 ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l’information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu sa délibération du Conseil communal du 22 octobre 2014 adoptant le cahier spécial des charges relatif aux travaux d’égouttage et de réfection de l’avenue Alexandre et concluant le marché par adjudication ouverte ; Vu la délibération du Collège communal du 17 décembre 2014 confiant à la sa KRINKELS, rue des Scabieuses 10 à 5100 Naninne, le marché de travaux visant la réalisation d’un 2/33 égouttage et la réfection de la voirie de l’avenue Alexandre, pour un montant corrigé de 220.304,23 € TVAC ; Vu l’état d’avancement n° 3, correspondant à la déclaration de créance, présenté par la sa KRINKELS, d’un montant de 60.632,60 € HTVA, soit 73.365,45 € TVAC, couvrant la période du 1er au 30 juin 2015 ; Vu l’état d’avancement n° 4 et final, correspondant à la déclaration de créance, présenté par la sa KRINKELS, d’un montant de 8.187,41 € HTVA, soit 9.906,77 € TVAC, couvrant la période du 1er au 31 juillet 2015 ; Considérant que ces travaux concernent principalement la réalisation de la fondation, la pose des nouvelles bordures et filets d’eau, ainsi que la pose des différents revêtements en asphalte, avec les ragréages des trottoirs de l’avenue Alexandre ; Considérant les différents états d’avancement de ce marché : Etat d’avancement n° 1 : 146.403,62 € TVAC Etat d’avancement n° 2 : 84.753,01 € TVAC Etat d’avancement n° 3 : 73.365,45 € TVAC Etat d’avancement n° 4 et final : 9.906,77 € TVAC Montant Total 314.428,85 € TVAC Considérant que le montant total des travaux dépasse de plus de 10 % le montant d’attribution, à savoir 220.304,23 €, et qu’il nécessite l’approbation du Conseil communal ; Considérant que ce dépassement est principalement dû au mauvais sol rencontré en divers endroits de la voirie, ce qui a justifié le recours à des blindages spéciaux, dont les postes n’étaient pas prévus au moment de la rédaction du cahier spécial des charges ; Vu le rapport du 30 septembre 2015 émis par le service technique compétent proposant d’approuver l’état d’avancement n° 3, présenté par la sa KRINKELS, d’un montant de 60.632,60 € HTVA, soit 73.365,45 € TVAC, ainsi que l’état d’avancement n° 4 et final, d’un montant de 8.187,41 € HTVA, soit 9.906,77 € TVAC, relatifs au marché de travaux visant la réalisation d’un égouttage et la réfection de la voirie de l’avenue Alexandre ; Considérant que les crédits appropriés sont prévus en modification budgétaire n°1, à l’article 877/732-60 2014 EG01 ; Entendu l’exposé de Monsieur REMUE, Echevin des travaux ainsi que les remarques ou questions de Messieurs LAUWERS et WAUTOT ; A l’unanimité ; DECIDE : Article 1er : D’approuver l’état d’avancement n° 3, présenté par la sa KRINKELS, d’un montant de 60.632,60 € HTVA, soit 73.365,45 € TVAC, ainsi que l’état d’avancement n° 4 et final, d’un montant de 8.187,41 € HTVA, soit 9.906,77 € TVAC, relatifs au marché de travaux visant la réalisation d’un égouttage et la réfection de la voirie de l’avenue Alexandre ; Article 2 : De transmettre un exemplaire de la présente au service des travaux, au Directeur financier et à la cellule marchés publics. MATERIEL 2. Charroi communal – Déclassement de véhicules et engins de chantier – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L 11244 et L 1122-30 ; Considérant que le service des travaux dispose encore dans ses dépôts de divers engins et véhicules qui ne sont plus utilisés (ou de façon très épisodique) ; Considérant qu’il serait donc utile de déclasser ce matériel ; Considérant la liste ci-dessous des véhicules et des engins à déclasser : BALAYEUSE CITY CAT BUSCHER 1500 IMMATRICULEE DEU 131 Considérant que le circuit hydraulique est hors service, ce véhicule ne peut se déplacer par 3/33 ses propres moyens et a été remplacé par une nouvelle balayeuse ; DUMPER PEL JOB IMMATRICULE PDL655 Considérant que cet engin de chantier était utilisé lors de la pose d’égouttage par nos équipes communales, qu’il a 20 ans et que le mécanisme de frein est hors service, ainsi que le système hydraulique ; DUMPER PEL JOB IMMATRICULE LGU 962 Considérant que cet engin de chantier était utilisé lors de la pose d’égouttage par nos équipes communales, qu’il a 15 ans et que le mécanisme de frein est hors service, ainsi que le système hydraulique ; VEHICULE OPEL CORSA IMMATRCULE CZS 356 Considérant que ce véhicule a 19 ans et 140.749 kilomètres : corrosion importante à la structure portante, ainsi qu’à la carrosserie, il a été remplacé par le véhicule Dacia Dokker immatriculé 1GAU952 ; REMORQUE GOURDON Considérant que cette remorque n’est pas utilisée par le service des travaux, celle-ci n’est pas présentée au contrôle technique car lors de chaque passage au contrôle technique, il faut investir dans la réfection des freins qui restent bloqués (frein pneumatique) ; CAMIONNETTE DOUBLE CABINE MERCEDES IMMATRICULE PTE 083 Considérant que ce véhicule a été immatriculé en 1997 et qu’il a plus de 157.000 kilomètres : celui-ci est « cannibalisé » pour le remplacement de pièces dans d’autres véhicules Mercedes ; Tondeuse GRAVELLY (tonte des grandes surfaces) Considérant que cette tondeuse a plus de 15 ans : la boîte de vitesse ainsi que le plateau de tonde sont hors service (plus de pièces disponibles pour les réparations), il ne répond plus aux normes de sécurité ; Grue MECALAC Considérant que cet engin de chantier a plus de 15 ans et qu’il ne répond plus aux normes de sécurité et au contrôle AIB : cette grue pourrait éventuellement être reprise lors de l’achat d’un engin de chantier futur ; CAMIONNETTE CITROEN JUMPY TÖLE IMMATRICULE DCQ 495 Considérant que ce véhicule a été immatriculé en 2001 et affiche 136.170 kilomètres : le moteur est hors service (pompe d’injection et roulement moteur), corrosion importante à la structure ainsi qu’au tuyau du système de frein, les serrures de portes ne fonctionnent plus. Ce véhicule n’a pas été remplacé à ce jour ; VEHICULE OPEL ASTRA IMMATRICULE NRV 127 Considérant que cette voiture a été immatriculée en 1994 et affiche 115.057 kilomètres, le plancher et la structure sont pourris, ainsi que la ligne d’échappement ; Considérant qu’après l’approbation du déclassement de ces véhicules et engins par le Conseil communal, il y aura lieu de : - Renvoyer les plaques d’immatriculation à la D.I.V. pour annulation ; - Vérifier l’annulation de toutes les assurances qui se rapportent à ces véhicules et engins ; - Charger le Service Travaux de procéder à la vente de ce charroi ; Entendu l’exposé de Monsieur REMUE, Echevin des travaux ; A l’unanimité ; DECIDE: er Article 1 : D’approuver la liste ci-dessus des véhicules et engins de chantier du service des travaux à déclasser. Article 2 : De transmettre un exemplaire de la présente au service des travaux, au service assurances et au Directeur financier. 4/33 BATIMENTS 3. Bâtiment du culte – Eglise communale Saint-François-Xavier – Marché de travaux de remplacement de l’installation de chauffage gaz – Cahier spécial des charges et choix du mode de passation du marché – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112230, L1124-4 et L1222-4; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics de travaux de fournitures et de services et de concessions de travaux publics et ses arrêtés d’application ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques ; Vu l’arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d’exécution des marchés publics et des concessions de travaux ; Considérant que l’installation de chauffage de l’église communale Saint-François-Xavier est très vétuste et dangereuse ; Considérant qu’il y a donc lieu de la remplacer ; Considérant que l’estimation de ces travaux s’élève à 54.419,74 € TVAC ; Vu le rapport du 09 octobre 2015 émis par le service technique compétent proposant d’adopter le cahier spécial des charges du marché de travaux relatif au remplacement de l’installation de chauffage gaz de l’église communale Saint-FrançoisXavier et de choisir le mode de passation du marché par procédure négociée ; Considérant que les crédits appropriés sont inscrits au budget extraordinaire, à l’article 79050/724-60 2015CU02, à concurrence de 50.000,- €, complétés par la modification budgétaire, sous réserve de l’approbation de l’Autorité de tutelle ; Entendu l’exposé de Monsieur VANDERBECKEN, en charge des bâtiments du culte ainsi que les questions de Monsieur LAUWERS ; A l’unanimité ; DECIDE : er Article 1 : D’adopter le cahier spécial des charges relatif au marché de travaux de remplacement de l’installation de chauffage gaz de l’église communale SaintFrançois-Xavier et de conclure le marché par procédure négociée. Article 2 : De transmettre un exemplaire de la présente au service des travaux, au Directeur financier et au service marchés publics. 4. Mouvements de jeunesse – Marché de travaux de construction de nouveaux locaux scouts (17ème) sur le site de Froidmont – Décompte final – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112230, L1124-4 et L1222-3; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics de travaux de fournitures et de services et de concessions de travaux publics et ses arrêtés d’application ; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques ; Vu l’arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d’exécution des marchés publics et des concessions de travaux ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l’information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fourniture et de services ; Vu sa délibération du 23 octobre 2013 adoptant le cahier spécial des charges relatif aux travaux de construction de nouveaux locaux scouts de la 17 ème sur le site de Froidmont et décidant de conclure le marché par procédure négociée sans publicité ; Vu la délibération du Collège communal du 27 décembre 2013 attribuant le marché de travaux de construction de nouveaux locaux scouts de la 17 ème sur le site de Froidmont à la 5/33 scrl CBC CHAMPAGNE, avenue Thérèse, 10A à 1330 Rixensart pour un montant de 68.722,53 € hors tva, soit 83.154,26 € tva (21%) comprise, aux conditions fixées dans le cahier spécial des charges et selon les modalités de son offre ; Vu la délibération du Collège communal du 15 avril 2015 acceptant l’avenant n° 1 portant la date de début des travaux au 30 avril 2015 et la fin des travaux au 30 juin 2015, dans le cadre du marché de travaux de construction de nouveaux locaux scouts de la 17 ème sur le site de Froidmont par la scrl CBC CHAMPAGNE ; Vu la délibération du Collège communal du 03 juin 2015 acceptant l’avenant n° 2, d’un montant de 1.903,45 € HTVA, soit 2.303,17 € TVAC, présenté par l’entreprise CBCCHAMPAGNE , dans le cadre du marché de travaux de construction de nouveaux locaux scouts de la 17ème sur le site de Froidmont ; Vu la délibération du Collège communal du 08 juillet 2015 acceptant l’avenant n° 3, d’un montant de de 4.090,- € HTVA, soit 4.948,90 € TVAC, présenté par l’entreprise CBCCHAMPAGNE , dans le cadre du marché de travaux de construction de nouveaux locaux scouts de la 17ème sur le site de Froidmont ; Considérant que le décompte final s’élève à 80.713,25 € HTVA, soit 97.663,03 € TVAC soit 14.508,77 € TVAC de plus que la commande représentant donc un supplément de 17,45% par rapport à la soumission ; Considérant que ce montant se justifie comme suit : 1. Montant total des avenants à 5.993,45 € HTVA, soit 7.252,07 € TVAC, soit 8,72 % du montant de la soumission ; 2. Suppléments dus aux postes à quantité présumée qui s’élèvent à + 1.669,41 € TVAC, soit +2,01 % du montant de la soumission ; 3. Postes supprimés pour un montant de -1.469,43 € TVAC soit -1,77 % du montant de la soumission ; 4. Suite au calcul de l’ingénieur pour la mise en œuvre de la charpente, le service technique de la commune a soulevé le problème de la stabilité au feu de la toiture non conforme à la demande du service incendie ; Dans cette éventualité, l’auteur de projet avait prévu, en variante à la soumission, un poste pour un plafond Rf en lieu et place du voligeage commandé. Cela porte donc le supplément à +2.308,68 soit 2,78% du montant de la soumission. 5. Suite à une erreur d’interprétation, un montant de 4.748,04,- € TVAC a été supprimé de façon erronée lors de l’avenant 2 au poste « sable stabilisé ». Il y a eu confusion entre la quantité à la soumission et la quantité qui aurait été réalisée si on n’avait pas agrandi l’espace cave. D’où un supplément de 5,69 % ; Vu le rapport du 09 octobre 2015 émis par le service technique compétent proposant d’approuver le décompte final d’un montant de 80.713,25 € HTVA, soit 97.663,03 € TVAC, présenté par l’entreprise CBC-CHAMPAGNE scrl, dans le cadre du marché de travaux pour la construction de nouveaux locaux scouts de la 17ème sur le site de Froidmont ; Considérant que les crédits appropriés sont inscrits au budget extraordinaire, à l’article 761/724-60/2013/2013JE06, complétés par la modification budgétaire, sous réserve de l’approbation de la tutelle ; Entendu l’exposé de Monsieur GARNY, Echevin des mouvements de jeunesse ; Entendu Monsieur LAUWERS qui tient à motiver l’abstention de son groupe comme ciaprès : « Le décompte final laisse apparaitre près de 18% de suppléments. Vu la hauteur de ceux-ci, l’accord du conseil aurait dû être demandé en cours de chantier, bien avant le décompte final. Les prérogatives du conseil n’ont pas été respectées. En conséquence, nous nous abstenons sur ce point. »; Par 18 voix pour et 7 abstentions (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Messieurs WAUTOT, de SEJOURNET, Mesdames LEMOINE, VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; DECIDE : Article 1er : D’approuver le décompte final, d’un montant de 80.713,25 € HTVA, soit 97.663,03 € TVAC, présenté par l’entreprise CBC-CHAMPAGNE scrl, dans le cadre du marché de travaux de construction de nouveaux locaux scouts de la 6/33 Article 2 : 17ème sur le site de Froidmont. De transmettre un exemplaire de la présente au service des travaux, au Directeur financier et au service marchés publics. III. FINANCES 1. Ratification de dépenses urgentes – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation et plus spécialement les articles L1222-3, L1311-3 et L1311-5; Vu la délégation accordée le 17 décembre 2012 par le Conseil communal au Collège communal pour les marchés relatifs à la gestion journalière de la Commune ; Vu la loi du 24 décembre 1993 relative aux marchés publics et spécialement l’article 17§2 ; Considérant qu’en séance du 15 décembre 2014, le budget 2015 a été adopté par le Conseil communal et approuvé, moyennant réformation, par l’Autorité de tutelle le 23 février 2015; Considérant que les dépenses reprises ci-après sont couvertes par les crédits inscrits à la première modification budgétaire de l’année 2015 adoptée par le Conseil Communale du 30 septembre 2015; Vu les délibérations prises par le Collège communal portant sur les dépenses reprises dans le tableau ci-après : N° Article Fournisseur Montant Collège Facture 6540126 764/125-06/ -14 Initial 746,43 € 02/09/2015 Décompte LPO151056861 400/127-06/ -65 SPF Mobilité 30,00 € 23/09/2015 BC 1075/T28602 722/72205-60/-/-2000EN01 Ansul 4.154,95 € 23/09/2015 BC 1087/T28607 400/127-06/ -39 Mercedes Wavre 346,69 € 23/09/2015 BC 1089/T28609 400/127-06/ -44 Dannemark 1.781,12 € 23/09/2015 BC 1093/T28610 400/127-06/ -15 Renault Genval 183,16 € 23/09/2015 BC 1102/CS 2015-26 764/724-60/-/-2009CS02 Dave Design 3.926,45 € 23/09/2015 BC 1103/CS 2015-27 764/724-60/-/-2009CS02 Duranet 9.937,42 € 23/09/2015 BC 1104 000/123-16 Divers fournisseurs 750,00 € 23/09/2015 Pfacture 2015000463 400/127-06/ -21 Dmauto 80,17 € 30/09/2015 Facture 215787 762/724-60/-/-2015MQ05 Amiral Clean 992,20 € 30/09/2015 Facture 721000019231-0001 762/724-60/-/-2015MQ05 Loxam 157,27 € 30/09/2015 Pfacture 95452033 764/124-12/ -08 Alphéios 31,31 € 07/10/2015 Facture 20152623 400/127-06/ -47 Dubois S. 2.742,60 € 07/10/2015 Pfacture 6530851168 722/72205-60/-/-2000EN01 Proximus 436,58 € 07/10/2015 Facture 20152560 844/125-02 Tobel 110,06 € 07/10/2015 BC 1122/T28620 400/127-06/ -56 Interpneu 683,12 € 07/10/2015 BC 1194/T28653 76460/72102-60/-/CLT Clotures 07/10/2015 2.276,31 € 2013HO01 Pfacture 509-20152543 133/124-02 Archives générales 48,00 € 14/10/2015 Facture 101 722/72205-60/-/-2000EN01 Masset 6.946,61 € 14/10/2015 Facture WVF-09-155449 72104/125-02 Supersanit 58,31 € 14/10/2015 Facture 15.30.053642 137/124-02/ -01 Noblesse 221,43 € 14/10/2015 Facture FV15/01074 400/127-06/ -04 ITM Sud 280,54 € 14/10/2015 Facture 2015/P1/000045 84435/723-60/-/-2014FA02 Zone de secours 95,00 € 14/10/2015 BC 1218/2015/29 76302/12402-48 Fleurs de Mérode 450,00 € 14/10/2015 BC 1219/2015/31 76302/12402-48 Cré embal 250,00 € 14/10/2015 TOTAL 37.715,73 € Entendu l’exposé de Monsieur GARNY, Echevin des finances ainsi que les questions et 7/33 remarques de Messieurs VERTE et LAUWERS ; A l’unanimité ; DECIDE : Article 1er : de ratifier les décisions prises par le Collège communal. Article 2 : de transmettre un exemplaire de cette délibération au Directeur financier. 2. Régie foncière – Compte 2013 – Approbation par l’Autorité de tutelle – Prise d’acte. Le Conseil, en séance publique, Vu le CWADEL, spécialement l’article L1122-30 ; Vu le CWADEL, notamment les articles L1231-1 et L1231-2 relatifs aux Régies communales, et les articles L1311-1 et suivants relatifs aux budgets et aux comptes ; Vu l’arrêté du Régent du 18 juin 1946, spécialement les § 4 et 5 relatifs à la comptabilité et aux comptes des régies ; Vu la délibération du Conseil communal du 26 novembre 2014 arrêtant le compte de la Régie foncière pour l’exercice 2014; Vu l’arrêté pris le 23 septembre 2015 par le Ministre des Pouvoirs locaux et de la Ville, et notifié le 24 septembre 2015 approuvant, moyennant remarques, le compte de la Régie foncière pour l’exercice 2013 ; Vu que le compte 2013 de la Régie foncière approuvé s’établit comme suit : Bilan 31/12/2013 31/12/2012 31/12/2011 Total ACTIF 5.595.019 € 5.649.099 € 5.584.023 € Total PASSIF 5.595.019 € 5.649.099 € 5.584.023 € Compte de résultats 31/12/2013 31/12/2012 31/12/2011 Bénéfice d’exploitation 142.246 € 54.744 € 93.895 € Bénéfice de l’exercice 98.908 € 0€ 15.518 € Le bénéfice de l’exercice est transféré aux réserves disponibles (fonds de réserve « gros entretien») Evolution des provisions et des fonds de réserve Bilan Dotations Reprises Bilan 31/12/2012 31/12/2013 Fonds de réserve 0,00 € 274.878,32 € 128.236,15 € 146.642,17 € Provision « Grosses réparations » 47.734,33 € 0,00 € 47.734,33 € 0,00 € Provision « Rosier Bois » 160.829,31 € 45.917,92 € 21.324,90 € 185.422,33 € TOTAUX 208.563,64 € 320.796,24 € 197.295,38 € 332.064,80 € Considérant qu’il convient de prendre acte de cette décision Entendu l’exposé de Madame LEBON, Echevin de la Régie foncière ainsi que les questions de Monsieur LEMAIRE; PREND ACTE : Article unique : de l’arrêté pris le 23 septembre 2015, par le Ministre des Pouvoirs locaux et de la Ville, approuvant le compte de la Régie foncière pour l’exercice 2013. 3. Régie foncière – Modification budgétaire n°1 pour l’exercice 2015 – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le CWADEL, spécialement l’article L1122-30 ; Vu le CWADEL, notamment les articles L1231-1 et L1231-2 relatifs aux Régies communales, et les articles L1311-1 et suivants relatifs aux budgets et aux comptes ; Vu l’Arrêté du Régent du 18 juin 1946, spécialement le § 3 relatif aux budgets des régies ; 8/33 Vu la délibération du Conseil communal du 25 février 2015 arrêtant le budget de la Régie foncière pour l’exercice 2015; Vu l’arrêté pris par le Ministre des Pouvoirs locaux et de la Ville le 27 août 2015, et notifié le 1er septembre 2015 approuvant, moyennant remarques, le budget de la Régie foncière pour l’exercice 2015 ; Considérant qu’il y a lieu d’adapter un certain nombre de crédits tant au niveau du fonctionnement qu’au niveau des investissements ; Vu le projet de modification budgétaire n°1 de l’exercice 2015, ainsi que les annexes accompagnant la modification budgétaire; Vu la décision du Conseil de Régie du 21 octobre 2015 approuvant le projet de modification budgétaire n°1 pour l’exercice 2015 de la Régie foncière; Vu l’avis conforme sur le projet de modification budgétaire rendu par le Directeur financier; Vu que le projet de modification budgétaire n°1 de l’exercice 2015 de la Régie Foncière s’établit comme suit : Fonctionnement Recettes Dépenses 762.114,95 € 762.114,95 € Investissements Recettes 1.373.501,00 € Dépenses 1.373.501,00 € Entendu les exposés de Madame LEBON, Echevin de la Régie foncière et de Monsieur Olivier CARDON de LICHTBUER, Président du Conseil de la Régie foncière ainsi que les observations et questions de Madame BIEMANS et de Messieurs BAMPS, LAUWERS et VERTE; A l’unanimité ; DECIDE : er Article 1 : d’approuver la modification budgétaire n°1 de l’exercice 2015 de la Régie foncière. Article 2 : de transmettre un exemplaire de la présente délibération, ainsi que la modification budgétaire, à l’Autorité de tutelle. Article 3 : de transmettre un exemplaire de la présente délibération au Directeur financier et à la Régie foncière. 4. Construction d’un terrain de hockey – Financement des travaux – Convention relative à l’octroi d’un prêt CRAC financement alternatif – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation, notamment les articles L112230, L1122-3 et L1315-1; Vu le décret du 23 mars 1995 portant création du Centre Régional d’Aide aux Communes (CRAC) ; Vu le décret du 28 juin 2001 modifiant le décret du 23 mars 1995 portant création d’un centre Régional d’Aide aux Communes chargé d’assurer le suivi et le contrôle des plans de gestion des communes et des provinces et d’apporter son concours au maintien financier des communes et de provinces de la Région wallonne; Vu le décret du 15 février 2007 modifiant le décret du 23 mars portant création d’un centre Régional d’Aide aux Communes chargé d’assurer le suivi et le contrôle des plans de gestion des communes et des provinces et d’apporter son concours au maintien financier des communes et de provinces de la Région wallonne; Vu le décret du conseil Régional wallon du 25 février 1999 relatif aux subventions octroyées à certains investissements en matière d’infrastructures, tel que modifié; Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 10 juin 1999, modifié le 29 juin 2006, relatif aux 9/33 subventions octroyées à certains investissements en matière d’infrastructures sportives ; Vu la circulaire du 19 juillet 2001 relative au financement alternatif des infrastructures sportives; Vu la décision du Gouvernement wallon du 26 septembre 2013 de dégager un complément d’enveloppe de 21.000.000 € pour le financement alternatif des infrastructures sportives; Vu la décision du 26 septembre 2013 du Gouvernement wallon relative à l’accord ferme pour la subvention des travaux d’un terrain de hockey pour un montant de maximum 500.000 €; Vu l’arrêté ministériel du 8 mai 2014 confiant au Centre Régional d’Aide aux Communes une mission déléguée relative au financement et à la gestion financière de certains projets de construction ou la rénovation d’infrastructures sportives; Vu l’appel d’offre ouvert et le cahier spécial des charges référencé CRAC/SPORTS/2014; Vu l’offre de crédit de BELFIUS Banque du 11 septembre 2014; Vu la décision du 6 novembre 2014 d’attribution à BELFIUS Banque du programme de financement alternatif des infrastructures sportives en Wallonie; Vu la convention cadre du 12 mars 2015 relative au financement alternatif des infrastructures sportives en Wallonie, signée entre la Région wallonne, le Centre Régional d’aides aux Communes et BELFIUS Banque ; Vu l’accord de la Banque Belfius d’octroyer des prêts aux conditions définies dans la convention-cadre relative au financement alternatif d’infrastructures sportives; Vu la décision du 26 septembre 2013 du Gouvernement wallon relative à l’accord ferme pour la subvention des travaux d’un terrain de hockey pour un montant de maximum 500.000 €; Vu la délibération du 24 avril 2013 du Conseil communal adoptant le cahier spécial des charges relatif à la désignation d’un auteur de projet en charge de la réalisation d’un terrain de hockey synthétique situé rue du Tilleul, 48 à 1332 Rixensart ainsi qu’à la rénovation des installations existantes et concluant le marché par appel d’offres général ; Vu la délibération du 27 novembre 2013 du Conseil communal adoptant le cahier spécial des charges relatif à la réalisation de travaux pour la transformation d’un terrain de football en terrain de hockey, situé rue du Tilleul n° 48 ainsi qu’à la rénovation des installations existantes et concluant le marché par appel d’offres général; Vu le courrier du 8 octobre 2015 du CRAC transmettant le projet de convention relative à la mise en œuvre de ce financement; Entendu l’exposé de Monsieur GARNY, Echevin des finances ainsi que la remarque de Monsieur BAMPS ; A l’unanimité ; DECIDE : Article unique : De solliciter un prêt d’un montant de 500.000 € afin d’assurer le financement de la subvention pour l’investissement prévu par la décision du 26 septembre 2013 du Gouvernement wallon; D’approuver les termes de la convention particulière jointe au dossier. 5. Taux de couverture du coût vérité des déchets – Budget 2016 – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112232 et L1133-1 ; Vu la loi du 29 juillet 1991 sur la motivation formelle des actes administratifs; Vu l’article 21 du décret du 27 juin 1996 relatif aux déchets, tel que modifié par le décret du 22 mars 2007 visant la mise en œuvre des obligations en matière de coût-vérité des déchets ; Vu le courrier de l’Office Wallon des Déchets demandant de compléter le formulaire 10/33 électronique consacré au coût-vérité 2015 pour le 15 novembre 2015; Considérant que le taux de couverture doit se situer, selon les indications reprises dans la circulaire budgétaire, entre 95 et 110% pour l’année 2016 afin de bénéficier des subsides accordés par la Région wallonne dans le cadre des collectes sélectives et des services de l’IBW ; Considérant les prévisions budgétaires communiquées par l’IBW en ce qui concerne les tarifs de collecte et de traitement des différentes catégories de déchets collectés dans la commune de Rixensart et l’augmentation de la cotisation relative à l’utilisation du parc à conteneurs; Considérant les règlements fiscaux relatifs à la redevance pour la vente des sacs poubelles adopté par le Conseil communal le 23 octobre 2013 et à la taxe forfaitaire sur l’enlèvement et le traitement des immondices soumise au vote du Conseil communal le 28 octobre 2015; Considérant le projet de formulaire établi par les services concernés et considérant le fait que ces chiffres devront être intégrés dans le budget communal de l’exercice 2016; Considérant que le taux de couverture prévisionnel pour l’exercice 2016 est de 100% ; Sur proposition du Collège communal ; Entendu les exposés de Madame VAN den EYNDE, Echevine de l’environnement ainsi que les remarques et observations de Monsieur LAUWERS et de Madame BIEMANS ; Entendu Monsieur LAUWERS qui tient à justifier l’abstention de son groupe de la manière suivante : « Le tableau manque de transparence, notamment pour le cout de gestion des parcs à conteneurs. Par ailleurs, il n’y a aucune initiative en faveur de la collecte séparée des organiques, alors que la Région privilégie le traitement par biomasse qui est plus favorable pour l’environnement que l’incinération. Nous nous abstenons sur ce point. » ; Par 18 voix et 7 abstentions (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Monsieur VERTE, Mesdames DE TROYER, LEMOINE, VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; D E C I D E : Article unique : d’approuver, sur base des différents chiffres issus du formulaire à soumettre à l’Office Wallon des Déchets, la fixation à 100% du taux de couverture prévisionnel du coût-vérité des déchets pour l’exercice 2016. 6. Taxe forfaitaire sur l’enlèvement et le traitement des immondices et application du service minimum – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu la Constitution, les articles 41,162 et 170 § 4 ; Vu le Code de la Démocratie Locale et de la décentralisation et notamment l’article L112230 et les articles L3321-1 à 12; Vu les dispositions légales et réglementaires en vigueur en matière d’établissement et de recouvrement des taxes communales; Vu le décret du 14 décembre 2000 (M.B. 18.1.2001) et la loi du 24 juin 2000 (M.B. 23.9.2004, éd. 2) portant assentiment de la Charte européenne de l’autonomie locale, notamment l’article 9.1. de la Charte; Vu le décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; Vu le décret du 27 juin 1996 relatif aux déchets modifié par le décret du 22 mars 2007; Vu l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 mars 2008, relatif à la gestion des déchets issus de l’activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents; Vu la circulaire du 30 septembre 2008 relative à la mise en œuvre de l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 mars 2008, relative à la gestion des déchets issus de l’activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents; Vu la circulaire régionale du 16 juillet 2015 relative à l’élaboration des budgets des 11/33 communes et des CPAS de la Région wallonne à l’exception des communes et des CPAS relevant des communes de la Communauté germanophone pour l’année 2016; Considérant que la Commune se doit d’obtenir des recettes afin de se procurer les ressources nécessaires en vue du financement des dépenses de sa politique générale et de ses missions de service public; Considérant que le règlement portant sur le même objet voté par le Conseil communal le 22 octobre 2014 et approuvé par l’Autorité de tutelle le 11 décembre 2014 vient à échéance le 31 décembre 2015 et qu’il y a dès lors lieu d’adopter un nouveau règlement fiscal pour l’année 2016; Vu le règlement-redevance sur la délivrance de sacs payants du 23 octobre 2013 maintenant le prix des sacs à 1 € par sac de 60 litres; Considérant que la circulaire budgétaire indique que pour l’exercice 2016, les communes doivent couvrir entre 95 % et 110 % du coût-vérité; Considérant que depuis l’exercice 2011 les circulaires budgétaires recommandent une adaptation annuelle du règlement-taxe en fonction de la variation du coût-vérité; Vu le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 14 octobre 2015; Vu l’avis favorable du Directeur financier sur le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal, le 19 octobre 2015; Sur proposition du Collège communal et après en avoir délibéré; Entendu l’exposé de Madame VAN den EYNDE, Echevine de l’environnement ainsi que les remarques de Monsieur LAUWERS et de Madame DE TROYER ; Entendu Monsieur LAUWERS qui justifie le vote négatif de son groupe comme ciaprès : « Nous nous opposons à cette nouvelle augmentation de 10% de la taxe forfaitaire, après celle déjà opérée pour 2014. Elle est contraire au principe du “Pollueur-Payeur” et n’incite aucunement à modérer le volume des déchets de nos habitants, ce qui devrait être l’objectif premier. Un déséquilibre injustifiable et contreproductif se créée entre les recettes forfaitaires (60% du total) et celles de la vente des sacs (40%). »; Par 16 voix pour et 9 voix contre (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Monsieur VERTE, Madame DE TROYER, Monsieur WAUTOT, Madame LEMOINE, Monsieur LEMAIRE, Madame VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; ARRETE : er Article 1 : il est établi, pour l’exercice 2016, au profit de la Commune et aux conditions fixées ci-après, une taxe communale annuelle sur la collecte et le traitement des déchets ménagers et ménagers assimilés ainsi qu’un service minimal au sens de l’arrêté du Gouvernement wallon du 5 mars 2008 relatif à la gestion des déchets issus de l’activité usuelle des ménages et à la couverture des coûts y afférents via la distribution de bons à valoir sur l’acquisition de rouleaux de sacs poubelles. Sont visés uniquement l’enlèvement et le traitement des déchets ménagers et ménagers assimilés au sens des dispositions relatives aux déchets ménagers repris dans le Règlement général de Police adopté par le Conseil communal, ainsi que les services de gestion des déchets résultant de l’activité usuelle des ménages collectés spécifiquement par la Commune. Dispositions relatives au régime de taxation Article 2 : La taxe est due par ménage et solidairement par les membres de tout ménage qui, au 1er janvier de l’exercice d’imposition, est inscrit au registre de la population ou au registre des étrangers, ainsi que les seconds résidents, à savoir les personnes qui, pouvant occuper un logement, ne sont pas au même moment, inscrites, pour ce logement, au registre de la population ou au registre des étrangers. Par ménage il y a lieu d’entendre soit une personne vivant seule, soit la réunion de plusieurs personnes ayant une vie commune. Le nombre de personnes composant le ménage s’établit sur base des inscriptions figurant au 1er janvier de l’exercice d’imposition, au registre de la 12/33 population ou au registre des étrangers. En cas de décès d’une ou de plusieurs personnes du ménage, ou en cas de départ définitif à l’étranger, ou de situations visées par les alinéas a), b) et c) de l’article 5, la taxe est établie comme suit : - si le fait survient durant le 1er semestre, il y a exonération totale au prorata du nombre de personnes concernées. - si le fait survient durant le 2ème semestre, la taxe reste due dans son intégralité. La taxe est également due pour chaque lieu d’activité desservi par le service de collecte, par toute personne physique ou morale, ou solidairement par les membres de toute association, exerçant au 1er janvier de l’exercice de taxation une activité professionnelle quelconque sur le territoire de la commune productrice de déchets ménagers et ménagers assimilés et pour autant que le redevable ne dispose pas d’un contrat de collecte de ses déchets conclu avec un collecteur agréé pour la collecte et le traitement de l’ensemble des déchets visés par la présente taxe. En cas de coïncidence entre le lieu de l’activité professionnelle d’une personne physique (uniquement) et le lieu où est inscrit le ménage auquel appartient ladite personne physique, seule la taxe relative au ménage sera appliquée. Article 3 : La taxe est fixée comme suit : 1) pour les ménages visés à l’article 3 § 1 (hors seconds résidents): ménages comprenant 1 personne : 44 € ménages comprenant 2 personnes : 71.5 € ménages comprenant 3 personnes : 93.5€ ménages comprenant plus de 3 personnes : 110 € Pour les contribuables propriétaires de maximum un seul bien immeuble tant en Belgique qu’à l’étranger et justifiant d’un revenu net imposable en Belgique de leur ménage égal ou inférieur à 20.750 € sur base de documents probants, une exonération partielle fixée comme suit peut être obtenue: ménages comprenant 1 personne : 22 € ménages comprenant 2 personnes : 35,75 € ménages comprenant 3 personnes : 46,75 € ménages comprenant plus de 3 personnes : 55,00 € Les documents suivants peuvent être pris en considération pour l’établissement de la situation des différentes personnes composant le ménage : - la copie des derniers avertissements extraits de rôle à l’IPP adressés aux personnes composant le ménage, les propositions de déclarations simplifiées émanant de l’administration fiscale, et/ou les attestations relatives aux revenus étrangers perçus par le redevable - l’attestation émanant du Centre public d’Action sociale attestant que la personne bénéficie du revenu d’intégration sociale institué par la loi du 26 mai 2002, Pour le calcul du revenu imposable, la déduction pour occupation professionnelle sera ajoutée au montant figurant sur l’avertissement-extrait de rôle. L’exonération partielle dont question supra pourra être obtenue moyennant l’envoi à la Recette communale, dans les 6 mois de la date de l’avertissement- extrait de rôle, des documents établissant que le contribuable peut bénéficier de l’exonération. 2) pour seconds résidents visés à l’article 2 § 1 : 44 € 3) pour les redevables visées à l’article 2 § 5 : 50 € par an et par lieu d’activité; Article 4 : Champ d’application de la taxe Les biens du domaine public et ceux du domaine privé de l’Etat entièrement affectés à un service public ou à un service d’utilité générale ne sont pas soumis à l’impôt (Cas 14 juin 13/33 1960). Suite aux réformes institutionnelles survenues depuis l’arrêt du 14 juin 1960, par ‘Etat’, il y a lieu d’entendre tant l’Etat fédéral que les Régions et les Communautés. Cette exclusion du champ d’application du présent règlement est également étendue aux biens du domaine public et ceux du domaine privé des Provinces et des Communes entièrement affectés à un service public ou à un service d’utilité générale. Ces dispositions ne s’appliquent toutefois pas aux parties d’immeubles occupées par leurs agents à titre privé et pour leur usage personnel ; Article 5 : Exonérations : Le redevable peut obtenir l’exonération de la taxe prévue ci-avant dans les cas suivants : a) les personnes hébergées dans les asiles, les maisons de santé, sur base d’un document probant émanant de l’institution d’accueil ; b) les personnes hébergées dans les maisons de repos, les résidences-services ainsi que les centres de jour et de nuit, sur base d’un document probant émanant de l’établissement en question ; c) les personnes détenues dans les établissements pénitentiaires ou de défense sociale, sur base d’un document probant émanant de l’établissement en question ; d) pour les personnes morales uniquement en apportant la preuve qu’elles disposent d’une convention particulière avec un collecteur de déchets agréé et pour autant que cette convention porte explicitement sur la collecte et le traitement de l’ensemble des déchets visés par la présente taxe ; e) pour les personnes morales qui n’occupent pas d’autres personnes que leur gestionnaire et pour autant que le lieu de taxation coïncide avec le domicile privé de celui-ci et que l’activité exercée ne soit pas productrice de déchets ne faisant pas l’objet d’une convention de collecte des déchets décrite au paragraphe d) ci-avant. L’exonération dont question supra ne pourra être obtenue que moyennant l’envoi à la Recette communale, dans les 6 mois de la date de l’avertissement-extrait de rôle, des documents établissant que le contribuable peut bénéficier de l’exonération. Conformément aux recommandations de l’Office Wallon des déchets, les personnes physiques apportant la preuve qu’elles disposent d’une convention particulière avec un collecteur de déchets agréé et pour autant que cette convention porte explicitement sur la collecte et le traitement de l’ensemble des déchets visés par la présente taxe , le taux de la taxe réduite couvrant les autres services de collecte de déchets leur restant accessibles sont fixés comme suit : ménages comprenant 1 personne : 19,00 € ménages comprenant 2 personnes : 46,50 € ménages comprenant 3 personnes : 68,50 € ménages comprenant plus de 3 personnes : 85,00 € Pour les contribuables propriétaires de maximum un seul bien immeuble tant en Belgique qu’à l’étranger et justifiant d’un revenu net imposable en Belgique de leur ménage égal ou inférieur à 20.750 € sur base de documents probants, une exonération partielle fixée comme suit peut être obtenue: ménages comprenant 1 personne : 9,50 € ménages comprenant 2 personnes : 23,25 € ménages comprenant 3 personnes : 34,25 € ménages comprenant plus de 3 personnes : 42,50 € Article 6 : La taxe est perçue par voie de rôle. Article 7 : Les clauses relatives à l’établissement, au recouvrement et au contentieux sont celles des articles L3321-1 à L3321-12 du Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation et de l’arrêté royal du 12 avril 1999 déterminant la procédure devant le Collège communal en matière de réclamation contre une imposition communale. Elles sont complétées par les dispositions 14/33 particulières découlant du décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; Article 8 : La taxe est payable dans les deux mois de l’envoi de l’avertissement extrait de rôle qui est dressé et rendu exécutoire par le Collège communal conformément à l’article L3321-4 du Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation. A défaut de paiement dans ce délai, il est fait application des règles relatives aux intérêts de retard en matière d’impôts d’État sur le revenu. Article 9 : Le redevable peut introduire une réclamation conformément aux dispositions légales en cours lors de l’introduction de sa réclamation. Dispositions relatives à l’octroi du service minimum Article 10 : Les bons à valoir sont attribués aux différentes catégories de redevables définies à l’article 2 du présent règlement Article 11 : la valeur totale des bons à valoir distribués est fixée comme suit : 1) pour les ménages (hors seconds résidents): ménages comprenant 1 personne : ménages comprenant 2 personnes : ménages comprenant 3 personnes : ménages comprenant plus de 3 personnes : 2) pour seconds résidents: 5€ 5€ 10 € 15 € 5€ 3) pour les autres redevables concernés : entreprises et assimilées : 5 € par an et par lieu d’activité. Article 12 : L’application des dispositions prévues à l’article 10 - est ouverte aux redevables ayant régulièrement acquitté, pour l’année précédant celle de la distribution de bons à valoir, les taxes communales qui leur ont été adressées ou qui en ont obtenu l’exonération partielle selon les dispositions de l’article 3 du présent règlement. - est ouverte aux redevables qui n’ont pas été enrôlés dans la commune de Rixensart durant l’année de référence. - n’est pas ouverte aux redevables soumis à l’application des dispositions de l’article 4 du présent règlement. Article 13 : Les litiges fiscaux avec l’administration ne font pas obstacle à l’application des dispositions reprises à l’article 12. Dispositions finales communes Article 14 : Le présent règlement entre en vigueur le premier jour qui suit celui de sa publication. Article 15 : La présente délibération sera transmise au Gouvernement wallon ainsi que, pour information, à Monsieur le Directeur financier et à tous les services administratifs concernés. 7. Règlement-taxe sur la délivrance de documents administratifs – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu la Constitution, les articles 41,162 et 170 § 4 ; Vu le Code de la Démocratie Locale et de la décentralisation et notamment l’article L112230 et les articles L3321-1 à 12; Vu les dispositions légales et réglementaires en vigueur en matière d’établissement et de recouvrement des taxes communales; 15/33 Vu le décret du 14 décembre 2000 (M.B. 18.1.2001) et la loi du 24 juin 2000 (M.B. 23.9.2004, éd. 2) portant assentiment de la Charte européenne de l’autonomie locale, notamment l’article 9.1. de la Charte; Vu le décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; Vu la circulaire régionale du 16 juillet 2015 relative à l’élaboration des budgets des communes et des CPAS de la Région wallonne à l’exception des communes et des CPAS relevant des communes de la Communauté germanophone pour l’année 2016; Considérant que la Commune se doit d’obtenir des recettes afin de se procurer les ressources nécessaires en vue du financement des dépenses de sa politique générale et de ses missions de service public; Considérant qu’il y a lieu en conséquence de modifier le règlement portant sur le même objet voté par le Conseil communal le 23 novembre 2013 et approuvé par l’Autorité de tutelle le 29 novembre 2013 venant normalement à échéance le 31 décembre 2019 ; Vu le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 14 octobre 2015; Vu l’avis favorable du Directeur financier sur le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 19 octobre 2015; Sur proposition du Collège communal et après en avoir délibéré; Entendu les exposés de Monsieur le Bourgmestre et de Monsieur HANIN, Echevin de l’urbanisme; Par 20 voix pour, 4 voix contre (Messieurs LAUWERS, VERTE, Madame DE TROYER et Monsieur LEMAIRE) et 1 abstention (Madame BIEMANS) ; ARRETE : er Article 1 : le règlement-tarif voté par le Conseil communal le 23 octobre 2013, rendu exécutoire par l’Autorité de tutelle le 29 novembre 2013 est abrogé au plus tôt le 1er janvier 2016 ou au jour de l’entrée en vigueur du présent règlement. si ce dernier est rendu exécutoire après cette date. Article 2: Il est établi pour les exercices 2016 à 2019, au profit de la Commune et aux conditions fixées ci-dessous, une taxe sur la délivrance de documents administratifs. Article 3 : La taxe est due par la personne physique ou morale à laquelle le document administratif est délivré sur demande ou d’office par la Commune. Article 4 : les taux de cette taxe sont fixés comme suit, par document administratif: A) sur les cartes d’identité et titres de séjour, délivrés aux belges et étrangers Outre les frais de fabrication des cartes d’identité prélevés pour compte du Ministère de l’Intérieur -2€ pour la première carte d’identité ou pour toute autre carte d’identité délivrée contre restitution de l’ancienne carte, ainsi que pour tout titre de séjour, à l’occasion de sa délivrance, de son renouvellement, de sa prorogation ou de son remplacement Ce montant est porté à 13 € lorsque le document doit être établi de manière urgente. -8€ pour les duplicata suite à une perte ou une carte périmée -1€ pour la délivrance ou le renouvellement de cartes d’identité électroniques pour les enfants belges de moins de douze ans Ce montant est porté à 12 € lorsque le document doit être établi de manière urgente. -5€ pour la fourniture d’un nouveau code « PUK » La délivrance ou le renouvellement de certificats d’identité ou de pièces d’identité sur support papier pour les enfants non belges de moins de douze ans reste fixé à 1,25 €. B) sur la délivrance de passeports Outre les frais de fabrication et les droits de chancellerie 14 € pour un nouveau passeport ou une prorogation de passeport 16/33 Ce montant est porté à 25 € par passeport lorsque le document doit être établi de manière urgente. Outre les frais de fabrication et les droits de chancellerie, la délivrance de passeport pour les mineurs reste toutefois gratuite. C) Permis de conduire au format carte bancaire - 4€ pour le premier permis de conduire ou pour tout autre permis délivré contre restitution de l’ancien -8€ pour les duplicata suite à une perte ou permis périmé. D) Changement d’adresse - 10 € par dossier E) Déclaration de mariage ou de cohabitation légale (circulaire du 26 janvier 2006 relative à la loi du 5 décembre 2005 modifiant les articles 64 et 1476 du Code civil et l’article 59/1 du Code des droits de timbres en vue de simplifier les formalités de mariage et de la cohabitation légale) - 10 € par dossier F) sur la délivrance de carnets de mariage - 35 € par carnet G) Dossier de nationalité - 50€ par dossier H) sur la délivrance d’autres certificats de toute nature, extraits, copies, légalisations, autorisation, etc.... délivrées d’office ou sur demande 2 € pour un exemplaire unique ou pour le premier exemplaire 1 € pour le second et tout autre exemplaire délivré en même temps que le premier I) demande d’adresse (conformément aux dispositions de la loi du 8 décembre 1992 relative à la protection de la vie privée à l’égard des traitements de données à caractère personnel) 4 € lorsque la demande émane d’un particulier 10 € lorsque la demande émane d’un notaire, avocat ou société habilitée à recevoir ce type d’information J) recherche généalogique Pour les recherches de minime importance 2 € par personne recherchée Pour les travaux importants : 8 € de l’heure K) célébration de mariages vendredi matin et samedi matin : gratuit autres jours ou après-midi, après accord de l’Officier d’Etat Civil : 62 € L) Réponses, conformément à l’article 150 du CWATUP, aux lettres de notaires, de promoteurs immobiliers ou de particuliers demandant les prescriptions urbanistiques d’un lieu 75 € par lettre et par lieu Permis de Location délivré conformément à l’arrêté du Gouvernement wallon du 3 juin 2004 relatif au permis de location 125 € par enquête M) Ordonnances de police relatives à l’occupation de la voie publique prises en vertu des dispositions du Règlement général de police Dossiers simples :50 €; Dossiers complexes : 50€ + 10€ de l’heure Article 5 : La taxe est perçue au moment de la délivrance du document. La preuve du paiement de la taxe est constatée par l’apposition sur le document d‘une vignette indiquant le montant de la taxe. Les personnes ou les institutions assujetties à la taxe qui introduisent une demande pour l’obtention de l’un 17/33 ou l’autre document, sont tenues de consigner le montant de la taxe au moment de leur demande, lorsque ce document ne peut être délivré immédiatement. En cas d’expédition des documents demandés, les frais d’expédition sont récupérés, même dans le cas où la délivrance est gratuite. Article 6 : sont exonérés de la taxe la délivrance : a) des documents qui doivent être délivrés gratuitement par l’Administration communale en vertu d’une loi, d’un décret, d’un arrêté royal ou d’un règlement quelconque de l’autorité b) des documents délivrés à des personnes indigentes; l’indigence est constatée par toute pièce probante c) des autorisations relatives à des manifestations religieuses, philosophiques, philanthropiques ou politiques d) des autorisations concernant des activités qui comme telles font déjà l’objet d’une imposition ou d’une redevance en faveur de la Commune e) des documents délivrés pour postuler un emploi ou présenter un examen f) des documents relatifs à la candidature à un logement dans une société agréée par la SRWL g) des documents relatifs à l’allocation déménagement et loyer (A.D.E.) h) des autorisations d’inhumation ou d’incinération i) des documents relatifs à la création d’une entreprise (installation comme travailleur indépendant à titre individuel ou sous forme de société). Article 7 : la taxe n’est pas applicable à la délivrance de documents qui, en vertu d’une loi, d’un décret, d’un arrêté royal ou d’un règlement de l’autorité est déjà soumise au paiement d’un droit au profit de la Commune. Exception est faite pour les droits revenant d’office aux communes, lors de la délivrance de passeports et qui sont prévus à l’annexe III de la loi du 4 juillet 1956. Article 8 : sont exonérés de la taxe les autorités judiciaires, les administrations publiques et les institutions y assimilées, de même que les établissements d’utilité publique. Article 9 : La taxe est payable au comptant. A défaut de paiement au comptant, la taxe est enrôlée et est immédiatement exigible. Article 10: Les clauses relatives à l’établissement, au recouvrement et au contentieux sont celles des articles L3321-1 à L3321-12 du Code de la Démocratie Locale et de la décentralisation et de l’arrêté royal du 12 avril 1999 déterminant la procédure devant le Collège communal en matière de réclamation contre une imposition communale. Elles sont .complétées par les dispositions particulières découlant du décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; Article 11: le redevable peut introduire une réclamation conformément aux dispositions légales en cours lors de l’introduction de sa réclamation. Article 12: Le présent règlement entre en vigueur le premier jour qui suit celui de sa publication. Article 13 : La présente délibération sera transmise au Gouvernement wallon ainsi que, pour information, à Monsieur le Directeur financier et à tous les services administratifs concernés. 8. Règlement-taxe sur le stationnement de véhicules à moteur – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu la Constitution, les articles 41,162 et 170 § 4 ; Vu le Code de la Démocratie Locale et de la décentralisation et notamment l’article L112218/33 30 et les articles L3321-1 à 12; Vu les dispositions légales et réglementaires en vigueur en matière d’établissement et de recouvrement des taxes communales; Vu l’arrêté ministériel du 7 mai 1999 relatif à la carte de stationnement pour personnes handicapées ; Vu le décret du 14 décembre 2000 (M.B. 18.1.2001) et la loi du 24 juin 2000 (M.B. 23.9.2004, éd. 2) portant assentiment de la Charte européenne de l’autonomie locale, notamment l’article 9.1. de la Charte; Vu l’arrêté royal du 22 mars 2006 exécutant l’article 25 de la loi du 20 juillet 2005 modifiant les lois coordonnées du 16 mars 1968 relative à la police de la sécurité routière donnant la possibilité aux commune de prélever, outre des redevances, des taxes de stationnement pour les véhicules à moteur, leurs remorques ou éléments ; Vu l’arrêté royal du 9 janvier 2007 permettant aux communes de délivrer des cartes de stationnement à d’autres catégories d’usagers que les riverains ; Vu le décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; Vu le décret du 27 octobre 2011 modifiant divers décrets concernant les compétences de la Région wallonne; Vu les règlements complémentaires de circulation routière interdisant le stationnement en certains endroits, sauf usage régulier du disque de stationnement et pour la durée que cet usage autorise ; Vu la circulaire régionale du 16 juillet 2015 relative à l’élaboration des budgets des communes et des CPAS de la Région wallonne à l’exception des communes et des CPAS relevant des communes de la Communauté germanophone pour l’année 2016; Attendu que les places disponibles sur la voie publique sont en nombre insuffisant; qu’il y a lieu d’assurer une rotation dans le stationnement des véhicules afin de permettre une juste répartition du temps de stationnement des usagers; Attendu qu’afin d’assurer la rotation dans le stationnement des véhicules, il s’indique de contrôler la limitation de la durée de stationnement autorisé aux endroits où l’usage du disque de stationnement est rendu obligatoire par le règlement de circulation routière ; Attendu que le taux pratiqué pour les personnes en infraction par rapport au présent règlement se doit d’être suffisant afin d’en favoriser le respect; Considérant par ailleurs que le contrôle de cet usage entraîne de lourdes charges pour la Commune; Considérant en conséquence qu’il y a lieu de modifier le règlement portant sur le même objet voté par le Conseil communal le 23 novembre 2013 et approuvé par l’Autorité de tutelle le 29 novembre 2013 venant normalement à échéance le 31 décembre 2019 ; Vu le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 14 octobre 2015; Vu l’avis favorable du Directeur financier sur le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 19 octobre 2015; Sur proposition du Collège communal et après en avoir délibéré; Entendu l’exposé de Monsieur le Bourgmestre ainsi que les remarques et questions de Madame LEMOINE, de Messieurs LAUWERS, de SEJOURNET, LEMAIRE et BAMPS ; Par 22 voix pour et 3 abstentions (Monsieur VERTE, Madame DE TROYER et Monsieur LEMAIRE) ; ARRETE : er Article 1 : le règlement-tarif voté par le Conseil communal le 23 octobre 2013, rendu exécutoire par l’Autorité de tutelle le 29 novembre 2013 est abrogé au plus tôt le 1er janvier 2016 ou au jour de l’entrée en vigueur du présent règlement. si ce dernier est rendu exécutoire après cette date; Article 2 : Il est établi, pour les exercices 2016 à 2019, une taxe pour le stationnement des véhicules à moteur sur la voie publique ou sur les lieux assimilés à la voie publique. 19/33 Est visé le stationnement d’un véhicule à moteur sur les lieux où ce stationnement est autorisé et dans lesquels l’usage régulier du disque de stationnement est imposé. Par voie publique, il y a lieu d’entendre les voies et leurs trottoirs ou accotements immédiats qui appartiennent aux autorités communales, provinciales ou régionales ou sont gérées par celles-ci ; Par lieux assimilés à la voie publique, il y a lieu d’entendre les parkings situés sur la voie publique, tels qu’énoncés à l’article 4, paragraphe 1 alinéa 2, de la loi du 25 juin 1993 sur l’exercice d’activités ambulantes et l’organisation des marchés publics. Par lieux assimilé à une voie publique, il y a également lieu d’entendre les parkings situés dans des lieux publics au sens de l’article 28 de la loi du 16 mars 1968 relative à la police de la circulation routière, tels que les parkings mis à la disposition des clients de commerces,, ayant fait l’objet d’une convention entre leur exploitant et la Commune portant sur leur inclusion dans le périmètre d’une zone dans laquelle l’usage régulier du disque de stationnement est imposé. Article 3 : A) La taxe est fixée à 25 euros par jour de stationnement. B) Le stationnement est gratuit pour la durée autorisée par la signalisation routière et lorsque le conducteur a apposé sur la face interne du pare-brise un disque de stationnement avec indication de l’heure à laquelle il est arrivé conformément à l’article 27.1.1 de l’arrêté royal du 1er décembre 1975. C) Le stationnement est gratuit pour les véhicules des personnes handicapées. La qualité de personnes handicapées sera constatée par l’apposition de manière visible et derrière le pare-brise de son véhicule de la carte délivrée conformément à l’arrêté ministériel du 7 mai 1999. D) Le stationnement est, dans les zones délimitées "zones bleues excepté cartes communales de stationnement ", gratuit pour les véhicules mentionnés au niveau de la carte communale de stationnement délivrée par la commune. Pour pouvoir bénéficier de la gratuité, le riverain à l’obligation d’apposer de manière visible et derrière le pare-brise de son véhicule, la carte officielle délivrée par la commune. Article 4 : La taxe visée à l’article 3A est due par le conducteur ou, à défaut d’identification de celui-ci, par le titulaire du certificat d’immatriculation du véhicule dès le moment où le véhicule a dépassé la durée autorisée de stationnement ou lorsque le disque de stationnement indiquant l’heure d’arrivée n’a pas été apposé sur la face interne du pare-brise. Article 5 : Lorsqu’un véhicule est stationné sur un emplacement en zone bleue sans apposition du disque de stationnement ou lorsque la durée autorisée pour le stationnement a été dépassée, il sera apposé par le préposé de la commune sur le pare-brise du véhicule une invitation à acquitter la taxe dans les 10 jours. A défaut de paiement dans les 10 jours, la taxe, dont le montant est majoré de 10 € est enrôlée au nom du redevable identifié selon la plaque minéralogique et devient immédiatement exigible à la réception de l’avertissement -extrait de rôle qui est dressé et rendu exécutoire par le Collège communal, conformément à l’article L3321-4 du Code de la Démocratie Locale et de la Décentralisation. Article 6 : Les clauses relatives à l’établissement, au recouvrement et au contentieux sont celles des articles L3321-1 à L3321-12 du Code de la Démocratie Locale et de la décentralisation et de l’arrêté royal du 12 avril 1999 déterminant la procédure devant le Collège communal en matière de réclamation contre une imposition communale. Elles ont complétées par les dispositions particulières découlant du décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du 20/33 Article 7 : Article 8 : Article 9 : CIR; le redevable peut introduire une réclamation conformément aux dispositions légales en cours lors de l’introduction de sa réclamation. Le présent règlement entre en vigueur le premier jour qui suit celui de sa publication. La présente délibération sera transmise au Gouvernement wallon ainsi que, pour information, à Monsieur le Directeur financier et à tous les services administratifs concernés. 9. Taxe sur la construction et la reconstruction de bâtiments et autres permis ou certificats d’urbanisme – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu la Constitution, les articles 41,162 et 170 § 4 ; Vu le Code de la Démocratie Locale et de la décentralisation et notamment l’article L112230 et les articles L3321-1 à 12; Vu les dispositions légales et réglementaires en vigueur en matière d’établissement et de recouvrement des taxes communales; Vu le décret du 14 décembre 2000 (M.B. 18.1.2001) et la loi du 24 juin 2000 (M.B. 23.9.2004, éd. 2) portant assentiment de la Charte européenne de l’autonomie locale, notamment l’article 9.1. de la Charte; Vu le décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; Vu le CWATUPE; Vu la circulaire régionale du 16 juillet 2015 relative à l’élaboration des budgets des communes et des CPAS de la Région wallonne à l’exception des communes et des CPAS relevant des communes de la Communauté germanophone pour l’année 2016; Considérant que la Commune se doit d’obtenir des recettes afin de se procurer les ressources nécessaires en vue du financement des dépenses de sa politique générale et de ses missions de service public; Considérant la complexité croissante de l’instruction des dossiers d’urbanisme ; Considérant qu’il y a lieu de modifier le règlement portant sur le même objet voté par le Conseil communal le 23 novembre 2013 et approuvé par l’Autorité de tutelle le 28 novembre 2013 venant normalement à échéance le 31 décembre 2019; Considérant que la Commune estime inopportun d’alourdir les charges pesant sur les immeubles possédés par des autorités judiciaires, des administrations publiques et des institutions y assimilées, de même que ceux des établissements reconnus par la loi comme étant d’utilité publique; la distinction administrative entre les immeubles du « domaine public » et du « domaine privé » des institutions concernées ne permettant pas de rencontrer systématiquement cet objectif; Vu le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 14 octobre 2015; Vu l’avis favorable du Directeur financier sur le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 19 octobre 2015; Sur proposition du Collège communal et après en avoir délibéré; Entendu les exposés de Monsieur HANIN, Echevin de l’urbanisme et du Bourgmestre ainsi que les remarques et questions de Madame BIEMANS, de Messieurs WAUTOT, VERTE, LAUWERS et BAMPS; Entendu Monsieur LAUWERS qui tient à justifier le vote négatif de son groupe comme ciaprès : « Nous nous opposons à ces hausses importantes (+50%) de ces taxes, après celles intervenues en 2014. Elles pèsent de façon non négligeable dans les budgets des demandeurs, surtout pour les petits permis, et ne font qu’accroitre le cout du logement, déjà parmi les plus élevés dans la commune. La gestion de l’urbanisme est un service de base. Nous ne pouvons souscrire au raisonnement selon lequel les demandeurs 21/33 doivent supporter 100% de ses couts de fonctionnement, ce qui rendrait son financement aléatoire. Ces couts doivent être aussi couverts par les impôts et taxes généraux prélevés par la commune. »; Par 17 voix pour et 8 voix contre (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Monsieur VERTE, Mesdames DE TROYER, LEMOINE, Monsieur LEMAIRE, Madame VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; ARRETE : er Article 1 : le règlement-tarif voté par le Conseil communal le 23 octobre 2013, rendu exécutoire par l’Autorité de tutelle le 28 novembre 2013 est abrogé au plus tôt le 1er janvier 2016 ou au jour de l’entrée en vigueur du présent règlement. si ce dernier est rendu exécutoire après cette date; Article 2 : il est établi, pour les exercices 2016 à 2019, une taxe communale sur la construction et la reconstruction de bâtiments et de leurs annexes ainsi que sur la délivrance d’autres permis ou certificats d’urbanisme. Article 3: La taxe est à charge des personnes morales ou physiques auxquelles les documents sont délivrés, à leur demande ou d’office par la Commune. Article 4 : les taux de cette taxe sont fixés comme suit : A. lors de l’introduction d’une demande de permis d’urbanisme (droit de dossier) 75 € lorsqu’il s’agit d’une demande de permis d’urbanisme nécessitant le concours d’un architecte 75 € lorsqu’il s’agit d’un certificat d’urbanisme n° 1 ou 2 50 € pour les autres demandes de permis telles que permis d’abattage d’arbres ou de travaux de minime importance 100 € de majoration par rapport au montant ci-dessus pour tout dossier nécessitant l’organisation d’une enquête publique Ce dernier montant sera majoré d’un décompte des frais postaux relatifs à l’envoi des différents courriers engendrés par la dite enquête publique B. lors de l’introduction d’une demande en régularisation En application des dispositions de l’article 445 du Code des Impôts sur les revenus, l’amende administrative à appliquer lors de l’introduction de demandes de permis en vue de régulariser des constructions, transformations, abattages ou travaux de minime importance réalisés sans autorisation préalable est fixée comme suit : 150 € lorsqu’il s’agit de permis d’urbanisme nécessitant le concours d’un architecte, de permis de lotir ou de modification de permis de lotir 100 € lorsqu’il s’agit d’autres permis tels que permis d’abattage d’arbres ou de travaux de minime importance 100 € de majoration par rapport au montant ci-dessus pour tout dossier nécessitant l’organisation d’une enquête publique Ce dernier montant sera majoré d’un décompte des frais postaux relatifs à l’envoi des différents courriers engendrés par la dite enquête publique C. lors de la construction ou de la reconstruction la taxe se base sur le cubage des parties construites ou reconstruites de la propriété et est calculée aux taux suivants : - 0,50 € par mètre cube jusqu’à 499 m³ - 1,00 € par mètre cube de 500 à 1.000 m³ - 2.00 € par mètre cube au-delà de 1.000 m³ pour toute la partie construite ou reconstruite 0,25 € par mètre cube pour les hangars agricoles et horticoles Lorsqu’un bâtiment est agrandi ou exhaussé d’un ou plusieurs étages ou lorsqu’un bâtiment annexe est construit ou reconstruit, la taxe est calculée d’après le cubage de la construction neuve, la taxe n’étant plus due pour les parties déjà existantes. Il sera cependant tenu compte du volume total pour déterminer le taux de taxe qui sera d’application. En cas de démolition suivie de reconstruction, il n’est pas tenu compte du cubage de la portion démolie, mais bien de celui de la portion reconstruite. 22/33 Article 5 : les demandes de permis ou de certificat d’urbanisme visant les opérations suivantes sont exonérées de toutes taxes les constructions d’immeubles détruits par faits de guerre, pour la partie qui ne constitue pas un agrandissement des immeubles détruits et quel que soit l’endroit dans la même commune où ils sont reconstruits les maisons et lotissement réalisés sous le patronage de la Société Wallonne du Logement les maisons et lotissements dans les conditions déterminées par le pouvoir fédéral en vue de l’octroi des primes à la construction par l’initiative privée, d’habitations bon marché et de petite propriété terrienne les constructions considérées comme provisoires : a) celles qui seront démolies dans le délai de un an au plus tard à compter du jour de la délivrance du permis d’urbanisme b) les hangars isolés Pour ces deux cas, l’exonération accordée ne vise toutefois par les taxes reprises sous l’alinéa A de l’article 4 (droits de dossiers) les constructions érigées en vertu d’une autorisation provisoire si elles sont démolies dans le même délai que prévu ci-dessus, à moins qu’un délai plus long n’ait été prévu dans cette autorisation. Pour ce cas, l’exonération accordée ne vise toutefois pas les taxes reprises sous l’alinéa A de l’article 4 (droits de dossier) les documents qui doivent être délivrés gratuitement par l’administration communale en vertu d’une loi, d’un arrêté royal ou d’un règlement quelconque de l’autorité les demandes visant les immeubles ou parties d’immeubles des autorités judiciaires, des administrations publiques et des institutions y assimilées, de même que celles visant des établissements reconnus par la loi comme étant d’utilité publique et ce même si les biens visés n’appartiennent pas au domaine public. Article 6 : en ce qui concerne les taxes visées sous les alinéas A et B de l’article 4, la taxe est exigible lors de la délivrance par l’Administration, du récépissé de réception du dossier. Dans le cas d’un dossier envoyé à l’Administration par envoi recommandé à la poste, le paiement du montant de la taxe sera exigé préalablement à la délivrance du permis, du refus de permis ou du certificat d’urbanisme. La preuve du paiement de la taxe est constatée par l’apposition, sur le document, d’une vignette indiquant le montant de la taxe. Article 7 : en ce qui concerne les taxes visées à l’alinéa C de l’article 4, la taxe est calculée et est payable au comptant lors de la délivrance du permis d’urbanisme. Toutefois en cas de demande reprenant distinctement plusieurs phases d’exécution de travaux que le demandeur du permis déclare vouloir exécuter sur plusieurs années, le demandeur peut demander par écrit l’étalement du paiement, lequel devra toutefois avoir lieu préalablement à l’exécution effective de chacune des phases reprises dans le permis. En tout état de cause, la taxe afférente à la première phase reste perçue lors de la délivrance du document. Les taux et modes de calcul applicables aux phases successives du dossier restent celles fixées lors de l’octroi du permis, même en cas de modification des dispositions applicables aux nouvelles demandes. Article 8: le redevable qui n’a pas débuté la construction et dont le permis est périmé conformément aux règles du CWATUP peut demander le remboursement du montant de la taxe reprise à l’alinéa C de l’article 4 par lettre recommandée à 23/33 Article 9: Article 9 : Article 11 : Article 12 : Article 13 : Article 14: Article 15: Article 16: la Poste. le redevable qui renonce à la construction ou à l’extension de son permis de bâtir avant que celui-ci ne soit périmé peut demander le remboursement du montant de la taxe reprise à l’alinéa Cde l’article 4 par lettre recommandée à la Poste. Conformément à l’article L3321-6 du CWADEL, la non-déclaration dans les délais prévus par ce règlement ou la déclaration incorrecte, incomplète ou imprécise de la part du redevable entraîne l’enrôlement d’office de la taxe. Avant de procéder à l’enrôlement d’office, le Collège communal notifie au redevable, par lettre recommandée à la poste, les motifs de recours à cette procédure, les éléments sur lesquels la taxation est basée, ainsi que le mode de détermination de ces éléments et le montant de la taxe..Les taxes ainsi enrôlées d’office seront majorées d’un montant égal à la moitié de la taxe principale, cette majoration étant elle-même enrôlée lors de l’enrôlement d’office. en ce qui concerne la taxe reprise à l’alinéa C de l’article 4, à la fin des travaux, l’Administration établit, sur base des travaux réellement exécutés, un décompte qui constate soit le remboursement d’un trop perçu au redevable, soit la perception d’un supplément à charge du redevable. Ce supplément sera payable dans les trente jours qui suivent la notification de l’état de recouvrement y afférent. la construction ou reconstruction érigée sur la limite de deux communes, n’est imposée que pour la partie qui se trouve sur le territoire de notre commune. Le lotissement visant des terrains à la limite de deux communes n’est imposé que pour les lots se trouvant en tout ou au moins à cinquante pour cent sur le territoire de notre commune. Lorsque la perception ne peut pas être effectuée selon les modalités reprises aux articles 6 et 7, la taxe est enrôlée et est immédiatement exigible; le redevable peut introduire une réclamation conformément aux dispositions légales en cours lors de l’introduction de sa réclamation. Le présent règlement entre en vigueur le premier jour qui suit celui de sa publication. La présente délibération sera transmise au Gouvernement wallon ainsi que, pour information, à Monsieur le Directeur financier et à tous les services administratifs concernés. 10. Taxe sur la délivrance d’un permis d’urbanisation – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu la Constitution, les articles 41, 162 et 170 § 4 ; Vu le Code de la Démocratie Locale et de la décentralisation et notamment l’article L112230 et les articles L3321-1 à 12; Vu le décret du 14 décembre 2000 (M.B. 18.1.2001) et la loi du 24 juin 2000 (M.B. 23.9.2004, éd. 2) portant assentiment de la Charte européenne de l’autonomie locale, notamment l’article 9.1. de la Charte; Vu le décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; Vu le décret du 30 avril 2009 modifiant le CWATUP, le décret du 11 mars 2009 relatif au permis d’environnement et le décret du 11 mars 2004 relatif aux infrastructures d’accueil des activités économiques ; Vu les dispositions légales et réglementaires en vigueur en matière d’établissement et de recouvrement des taxes communales; 24/33 Vu la circulaire régionale du 16 juillet 2015 relative à l’élaboration des budgets des communes et des CPAS de la Région wallonne à l’exception des communes et des CPAS relevant des communes de la Communauté germanophone pour l’année 2016; Considérant que la Commune se doit d’obtenir des recettes afin de se procurer les ressources nécessaires en vue du financement des dépenses de sa politique générale et de ses missions de service public; Considérant la complexité croissante de l’instruction des dossiers d’urbanisme ; Considérant qu’il y a lieu de modifier le règlement portant sur le même objet voté par le Conseil communal le 22 octobre 2014 et approuvé par l’Autorité de tutelle le 27 novembre 2014 venant normalement à échéance le 31 décembre 2019 ; Vu le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 14 octobre 2015; Vu l’avis favorable du Directeur financier sur le projet de règlement taxe arrêté par le Collège communal le 19 octobre 2015; Sur proposition du Collège communal et après en avoir délibéré; Entendu l’exposé de Monsieur HANIN, Echevin de l’urbanisme; Par 17 voix pour et 8 voix contre (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Monsieur VERTE, Mesdames DE TROYER, LEMOINE, Monsieur LEMAIRE, Madame VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; ARRETE : er Article 1 : le règlement-taxe voté par le Conseil communal le 22 octobre 2014, rendu exécutoire par l’Autorité de tutelle le 27 novembre 2014 est abrogé au plus tôt le 1er janvier 2016 ou au jour de l’entrée en vigueur du présent règlement si ce dernier est rendu exécutoire après cette date. Article 2 : il est établi, pour les exercices 2016 à 2019, une taxe sur la délivrance d’un permis d’urbanisation. Article 3 : La taxe est à charge des personnes morales ou physiques auxquelles les documents sont délivrés, à leur demande ou d’office par la Commune. Article 4 : les taux de cette taxe sont fixés comme suit : 50 € de frais administratifs lors de l’introduction de la demande. Ce taux est porté à 100 € lorsque la demande porte sur un permis de régularisation. Pour les demandes introduites avant le 1er septembre 2010 : 150 € pour chacun des lots créés par la division la parcelle Pour les demandes introduites à partir du 1er septembre 2010 : 150 € pour chacun des logements créés par la division de la parcelle. Dans l’hypothèse où le permis d’urbanisation fait référence à un nombre maximum de logements autorisés, c’est ce chiffre qui est pris en compte pour calculer le montant de la taxe d’urbanisation La taxe est due lors de la délivrance du permis d’urbanisation. La taxe est également due pour la modification d’un ancien permis de lotir. une majoration de 100 € par dossier sera appliquée pour tout dossier nécessitant l’organisation d’une enquête publique Ce dernier montant sera majoré d’un décompte des frais postaux relatifs à l’envoi des différents courriers engendrés par la dite enquête publique; La taxe reste définitivement acquise à la commune même dans le cas où le permis d’urbanisation délivré par la commune serait prescrit pour inexécution conformément aux dispositions prévues par le CWATUP. Article 5 : La taxe est payable au comptant au moment de la délivrance du permis d’urbanisation. A défaut de paiement au comptant, la taxe est enrôlée et est immédiatement exigible. Article 6 : Les clauses relatives à l’établissement, au recouvrement et au contentieux sont celles des articles L3321-1 à L3321-12 du Code de la Démocratie locale et de la Décentralisation et de l’arrêté royal du 12 avril 1999 déterminant la procédure devant le Collège communal en matière de réclamation contre 25/33 Article 7 : Article 8 : Article 9 : une imposition communale. Elles sont complétées par les dispositions particulières découlant du décret-programme du 22 juillet 2010 (M.B. 20 août 2010) rendant applicables à la fiscalité locale les articles 355 à 357 du CIR; le redevable peut introduire une réclamation conformément aux dispositions légales en cours lors de l’introduction de sa réclamation. Le présent règlement entre en vigueur le premier jour qui suit celui de sa publication. La présente délibération sera transmise au Gouvernement wallon ainsi que, pour information, à Monsieur le Directeur financier et à tous les services administratifs concernés. IV. ENSEIGNEMENT 1. Décision de principe de prise en charge sur fonds communaux de 12 périodes de traitement d’enseignantes maternelles – Ecoles communales – Section La Bruyère – Ratification. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, spécialement en ses articles L1123-23, L1124-4 et L1213-1 ; Attendu qu'en application du décret du 13 juillet 1998 portant organisation de l'enseignement maternel et primaire ordinaire, les emplois des enseignantes maternelles sont subventionnés sur base de la population scolaire recensée le 30 septembre de l'année civile en cours ; Considérant que l'application stricte de l'article 27 du décret du 13 juillet 1998 ne pourrait qu'être de nature à porter préjudice à la qualité de l'enseignement auquel les enfants qui nous sont confiés sont en droit de prétendre ; Considérant dès lors que dans un souci de continuité des classes qui ont été organisées le 1er septembre 2015, il convenait de maintenir les emplois actuellement ouverts sans attendre les futures augmentations de cadre à intervenir les 24 novembre 2015, 18 janvier 2016, 29 février 2016 ou 25 avril 2016 par la prise en charge sur fonds communaux de 12 périodes complémentaires d’institutrice maternelle ; Attendu que les crédits sont inscrits au budget 2015 et le seront au budget 2016 ; A l’unanimité ; DECIDE : Article 1er : de ratifier la prise en charge sur fonds communaux de 12 périodes par semaine de traitement d'enseignante maternelle entre le 1er octobre 2015 et une des prochaines augmentations de cadre à intervenir au cours de l’année scolaire 2015-2016 décidée par le Collège communal en sa séance du 7 octobre 2015. Article 2 : de transmettre un exemplaire de cette délibération aux services de l’enseignement, des finances et du personnel. 2. Décision de principe de prise en charge sur fonds communaux de périodes de traitement d’enseignants primaires à destination des classes de 1ère et 2ème – Ecoles communales – Sections Genval et Rosières – Ratification. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, spécialement en ses articles L1123-23 et L1124-4 ; Vu le décret du 6 juin 1994 et ses modifications subséquentes fixant le statut des membres du personnel subsidié de l'enseignement officiel subventionné; 26/33 Attendu qu'en application du décret du 13 juillet 1998 portant organisation de l'enseignement maternel et primaire ordinaire, les périodes complémentaires P1/P2 sont subventionnées durant 12 mois consécutifs soit du 1er octobre au 30 septembre, sur base du nombre d’enfants recensés en 1ère et 2ème années primaires le 30 septembre de l'année civile concernée ; Attendu toutefois que la stricte application de cet encadrement complémentaire subventionné ne pourrait qu'être de nature à porter préjudice à la qualité de l'enseignement auquel ces jeunes enfants qui sont confiés à notre réseau communal d'enseignement sont en droit de prétendre ; Considérant dès lors que, dans un souci de pédagogie optimale, le Collège communal, en ses séances des 10 juin 2015 et 8 juillet 2015, avait décidé d’adjoindre, au bénéfice des écoles de Rosières, Bourgeois et Genval, à charge du budget communal, du 1 er au 30 septembre 2015, 24 périodes complémentaires P1/P2 d’enseignants primaires à l'encadrement subventionné jusqu’au 30 septembre 2015; Attendu que, suite au calcul des périodes P1/P2 subventionnées du 1 er octobre 2015 au 30 septembre 2016, il y avait lieu de prolonger cette mesure du 1er octobre 2015 au 30 juin 2016, au bénéfice des enfants des écoles de Genval et Rosières inscrits en 1ère et/ou 2ème années primaires; Attendu que les crédits nécessaires sont inscrits au budget 2015 et devront l’être au budget 2016 ; A l’unanimité ; DECIDE : er Article 1 : de ratifier la prise en charge sur fonds communaux de 15 périodes complémentaires P1/P2 d’enseignants primaires du 1er octobre 2015 au 30 juin 2016, au bénéfice des écoles de Genval et de Rosières, décidée par le Collège communal en sa séance du 7 octobre 2015. Article 2 : de transmettre un exemplaire de cette délibération aux services de l’enseignement, des finances et du personnel. V. MARCHES PUBLICS 1. Régie foncière – Marché de fourniture avec placement de chaudières à gaz à condensation à destination de divers logements – Cahier spécial des charges et choix du mode de passation du marché – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112230, L1124-4 et L1222-3 ; Vu la loi du 29 juillet 1991 sur la motivation formelle des actes administratifs ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services, notamment l’article 26 §1er, 1°, a) ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l’information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu l’arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques ; Vu l’arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d’exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics ; Considérant qu’il y a lieu que soit passé un marché de fourniture avec placement en vue de remplacer les chaudières à gaz dans différents logements appartenant à la Régie foncière de Rixensart, et ce, au fur et à mesure des besoins ; Considérant que le marché sera valable pendant maximum douze mois à partir de la date de notification ; 27/33 Considérant que le montant estimé total du marché dont il est question, s’élève approximativement à 26.000,00 € hors tva, soit 27.560,00 € TVAC; Considérant dès lors qu’il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant le cahier spécial des charges n° 2015/42 RF ci-joint, relatif à la fourniture avec placement de chaudières à gaz à condensation dans différents logements appartenant à la Régie foncière de Rixensart ; Considérant que les crédits appropriés sont disponibles aux investissements du budget 2015 de la Régie foncière communale et seront inscrits de même en 2016 ; Sur proposition du Collège communal ; Entendu les exposés de Madame LEBON, Echevine de la Régie foncière et de Monsieur Olivier CARDON de LICHTBUER, Président de la Régie foncière ; Par 18 voix pour et 7 abstentions (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Messieurs WAUTOT, de SEJOURNET, Mesdames LEMOINE, VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; DECIDE : Article 1er : D’adopter le cahier spécial des charges relatif à la fourniture avec placement de chaudières à gaz à condensation dans différents logements appartenant à la Régie foncière de Rixensart et de conclure le marché par procédure négociée sans publicité. Article 2 : De transmettre un exemplaire de la présente au Directeur financier, au service Régie foncière et au service marchés publics. 2. Régie foncière – Marché de travaux du Grand Fory – Salles de bains – Cahier spécial des charges et choix du mode de passation du marché – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112230, L1124-4 et L1222-3 alinéa 1er; Vu la loi du 29 juillet 1991 sur la motivation formelle des actes administratifs ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services ; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l’information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fourniture et de services; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics ; Considérant que dans le cadre de la rénovation actuelle du bâtiment « Le Grand Fory » il est apparu nécessaire de procéder à des travaux de renouvellement des salles de bains ; Considérant qu’il a été établi un cahier spécial des charges 2015/40 RF pour ledit marché de travaux; Considérant que le montant estimé total du marché des salles de bains, s’élève approximativement à 109.000 € hors tva, soit 115.540 € tva 6% comprise ; Considérant dès lors qu’il est proposé de passer le marché par appel d’offres ouvert ; Considérant que les crédits appropriés seront inscrits au budget extraordinaire de la Régie foncière par voie de modification budgétaire ; Sur proposition du Collège communal; Entendu l’exposé de Madame LEBON, Echevine de la Régie foncière ainsi que les remarques et questions de Monsieur BAMPS ; Par 18 voix pour et 7 abstentions (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Messieurs WAUTOT, de SEJOURNET, Mesdames LEMOINE, VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; DECIDE : Article 1er : D’adopter le cahier spécial des charges relatif aux travaux de rénovation du Grand Fory (salles de bains), et de conclure le marché par appel d’offres 28/33 Article 2 : ouvert. De transmettre un exemplaire de la présente au Directeur financier, au service Régie foncière et au service marchés publics. 3. Régie foncière – Marché de travaux du Grand Fory – Sols et peintures – Cahier spécial des charges et choix du mode de passation du marché – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112230, L1124-4 et L1222-3 alinéa 1er; Vu la loi du 29 juillet 1991 sur la motivation formelle des actes administratifs ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services, notamment l’article 26; Vu la loi du 17 juin 2013 relative à la motivation, à l’information et aux voies de recours en matière de marchés publics et de certains marchés de travaux, de fourniture et de services; Vu l'arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques ; Vu l'arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d'exécution des marchés publics et des concessions de travaux publics ; Considérant que dans le cadre de la rénovation actuelle du bâtiment « Le Grand Fory » il est apparu nécessaire de procéder à des travaux de peintures et de recouvrement des sols ; Considérant qu’il a été établi un cahier spécial des charges 2015/41 RF pour ledit marché de travaux; Considérant que le montant estimé total du marché dont il est question, s’élève approximativement à 52.000 € hors tva, soit 55.120 € tva 6% comprise ; Considérant dès lors qu’il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant que les crédits appropriés sont inscrits au budget extraordinaire de la Régie foncière; Sur proposition du Collège communal; Entendu l’exposé de Madame LEBON, Echevine de la Régie foncière ; Par 18 voix pour et 7 abstentions (Monsieur LAUWERS, Madame BIEMANS, Messieurs WAUTOT, de SEJOURNET, Mesdames LEMOINE, VUYLSTEKE et Monsieur BAMPS) ; DECIDE : Article 1er : D’adopter le cahier spécial des charges relatif aux travaux de rénovation du Grand Fory (sols et peintures), et de conclure le marché par procédure négociée sans publicité. Article 2 : De transmettre un exemplaire de la présente au Directeur financier, au service Régie foncière et au service marchés publics. 4. D’CLIC – Marchés publics – Fourniture avec placement de jeux dans la plaine de jeux des Charmettes – Cahier spécial des charges et choix du mode de passation du marché – Vote. Le Conseil, en séance publique, Vu le Code de la démocratie locale et de la décentralisation, notamment les articles L112230, L1124-4 et L-1222-3; Vu la loi du 29 juillet 1991 sur la motivation formelle des actes administratifs ; Vu la loi du 15 juin 2006 relative aux marchés publics et à certains marchés de travaux, de fournitures et de services, notamment l’article 26 §1er, 1°, a) ; Vu l’arrêté royal du 15 juillet 2011 relatif à la passation des marchés publics dans les secteurs classiques ; Vu l’arrêté royal du 14 janvier 2013 établissant les règles générales d’exécution des marchés 29/33 publics et des concessions de travaux publics ; Considérant qu’il y a lieu d’acquérir de nouveaux jeux destinés à être placés dans la plaine de jeux du site des Charmettes ; Considérant le cahier spécial des charges 2015/39DC pour la fourniture en question ; Considérant que le coût de ces équipements est estimé à 16.500 € HTVA soit 19.965 € TVAC ; Considérant dès lors qu’il est proposé de passer le marché par procédure négociée sans publicité ; Considérant que cette dépense peut être couverte par un montant de 20.000,- € inscrit au budget extraordinaire 2015 à l’article 76150/72110-60/ 2015 JE01 ; Entendu l’exposé de Monsieur GARNY, Echevin de la jeunesse et la question de Monsieur VERTE ; A l’unanimité ; D E C I D E : er Article 1 : D’adopter le cahier spécial des charges relatif au marché de fourniture avec placement de jeux destinés à la plaine de jeux du site des Charmettes, et de conclure le marché par procédure négociée sans publicité. Article 2 : De transmettre un exemplaire de la présente au service D’Clic, au Directeur financier et au service des marchés publics. VI. POINT DES CONSEILLERS 1. Demande de Monsieur LEMAIRE – Le partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP) – Motion – Vote. Monsieur LEMAIRE reçoit la parole comme suite à son courriel du 22 octobre courant dont il rappelle le contenu: « C’est avec étonnement que les groupes Ecolo et UC-PS constatent que le vote d’une motion relative au Partenariat transatlantique de commerce et d’investissement (TTIP selon l’acronyme anglais) n’est pas porté à l’ordre du jour du conseil communal de ce mercredi 28 octobre 2015. En effet, lors de sa réunion du 24 juin 2015, le conseil a décidé d’organiser une réunion publique d’information concernant ce sujet très sensible et discuté. Pour ce faire, un groupe de travail a été constitué, des représentants de chaque groupe politique siégeant au conseil communal ont été désignés. Le 22 septembre 2015, ladite séance s’est tenue sous la houlette de David Coppi, journaliste au Soir, avec la participation d’intervenants de qualité issus des 4 familles politiques traditionnelles : Cédric du Monceau, échevin cdH à Ottignies-Louvain-la-Neuve ; Jean-Jacques Flahaut, député fédéral MR ; Benoit Hellings, député fédéral Ecolo et Olga Zrihen, députée régionale PS. Un public nombreux –une cinquantaine de personnes- s’est déplacé pour mieux appréhender ce qu’est le TTIP et connaître les positions des grands partis francophones belges. Suite à la séance d’information, les membres du groupe de travail (…) ont convenu de rédiger, sur la base de la motion votée à l’unanimité par le conseil communal de Lasne, une proposition de texte qui serait soumise au conseil communal. Un projet a circulé par courrier électronique qui semble emporter l’adhésion de tous. C’est pour pallier cette absence que les groupes Ecolo et UC-PS s’associent pour demander la mise à l’ordre du jour du vote de cette motion telle qu’elle a été discutée au sein du groupe de travail. ». Monsieur LAUWERS intervient également en signalant que « le groupe Ecolo se réjouit de la perspective du vote de cette motion, même s’il aurait préféré qu’elle demande l’arrêt des négociations du partenariat transatlantique, au lieu d’une suspension de celles-ci. La motion met en tout cas des conditions très strictes quant à leur reprise éventuelle. Il est important que les communes se positionnent car elles sont directement concernées dans leurs politiques publiques. Il s’agit de défendre un modèle de société qui ne se laisse pas dominer par une libéralisation débridée des échanges mondiaux, au détriment d’un développement 30/33 durable. Nous souhaitons que la commune fasse un maximum de publicité (Rixensart Info, site et réseaux sociaux) sur le vote de cette motion et sur les enjeux des négociations sur le TTIP. » ; Monsieur le Bourgmestre indique qu’avec l’incapacité de travail du Directeur général, le Collège communal a pris du retard dans ce dossier qu’il envisageait de présenter lors d’un Conseil communal ultérieur. Il remercie dès lors Messieurs LEMAIRE et LAUWERS d’avoir pris l’initiative d’inscrire le vote de la motion à l’ordre du jour. Il indique qu’il sera bien entendu procédé au vote de ladite motion mais ne garantit pas à Monsieur LAUWERS que celle-ci sera reproduite dans le Rixensart Info car historiquement, les motions ne sont pas reproduites dans le magazine d’information. S’il devait en être ainsi, Monsieur LAUWERS indique le regretter. Après cet échange de vues, il est procédé au vote de la motion déposée par Messieurs LEMAIRE et LAUWERS. Le Conseil, en séance publique, Vu le mandat relatif à la conclusion avec les États-Unis d'un accord appelé « Partenariat transatlantique sur le Commerce et l'Investissement », donné par le Conseil des ministres européens des affaires étrangères et du commerce à la Commission européenne le 14 juin 2013, Vu l'accord de Gouvernement au niveau fédéral du 10 octobre 2014 en vertu duquel: -"La Belgique continuera à soutenir le "Transatlantic Trade and investment Partnership" (TTIP) avec les USA, tout en veillant à la transparence ainsi qu'à la préservation d'un certain nombre d'intérêts sociaux, et culturels importants ainsi que la sécurité alimentaire"; ou encore, -"La Belgique plaidera au niveau européen pour le respect et l'inclusion des droits fondamentaux du travail et les normes environnementales internationales - y compris dans le cas spécifique de la coopération au développement – dans le mandat de la Commission européenne pour la négociation d'accords d'investissements et d'accords de libre-échange" ; Vu le rapport publié par la Commission européenne le 13 janvier 2015 sur la consultation concernant la protection des investissements et le règlement des différends entre investisseurs et Etats (RDIE) dans le cadre du partenariat transatlantique de commerce et d'investissement dont il découle qu'une immense majorité de répondants parmi les citoyens, les ONG et les petites entreprises s'opposent à l'inclusion de la clause de règlement des différends dans l'accord transatlantique ; Vu l'avis sur le Partenariat transatlantique de commerce et d'investissement (PTCI) adopté le 12 février 2015 par le Comité des régions invitant les autorités européennes à respecter les compétences des collectivités locales et régionales dans le cadre de la conclusion de cet accord ; Vu les observations 39 et 40 de ce même avis dans le cadre desquelles le Comité des régions considère que les mécanismes de règlement des différends entre investisseurs et Etats applicables aux relations entre l'Union européenne et les Etats-Unis comportent des risques significatifs pour l'acquis législatif européen et invite les autorités européennes à ne pas déroger aux compétences des juridictions nationales dans le cadre de la négociation de ce traité ; Vu la position adoptée en avril 2015 par le conseil d’administration de l’Union des Villes et Communes de Wallonie (UVCW) à propos des négociations portant sur le TTIP ; Considérant que les dispositions du traité transatlantique, en vertu de l’article 27 des Directives de négociation du TTIP adoptées par le Conseil européen le 14 juin 2013, devraient être obligatoires pour toutes les institutions ayant un pouvoir de régulation, en ce compris les communes qui seront par conséquent concernées et impactées par ledit traité ; Considérant que, au vu des études contrastées parues sur le sujet, il n'est pas aisé de 31/33 prévoir avec précision si l’accord de partenariat transatlantique de commerce et d'investissement aura des retombées positives en termes de croissance et d'emplois au sein de l'Union européenne ; Considérant que, au-delà d’un hypothétique surplus de croissance, il y a lieu de s’interroger sur l’impact global qu’aurait le TTIP sur notre cadre de vie et notre environnement, au vu notamment des risques souvent évoqués d'un nivellement par le bas des normes sanitaires européennes (comme par exemple en matière de bien-être animal, d'OGM et d'usage des hormones de croissance) ; Considérant la nécessité de préserver le modèle social et économique européen ; Considérant que la conclusion d'un accord portant sur le commerce et l'investissement entre l'Union européenne et les Etats-Unis ne doit pas mettre à mal les acquis de l'Union européenne dans des domaines tels que l'environnement, la santé, la protection des consommateurs – dont le principe de précaution qui en découle –, la protection des données personnelles, la sécurité sociale, les droits des travailleurs, l'agriculture, le bienêtre animal, la sécurité alimentaire et les services publics ; Considérant que les normes européennes, nationales, régionales ou communales traduisant ces acquis doivent être maintenues, voire renforcées, et qu'à cette fin, chaque entité doit conserver la possibilité d'instaurer des niveaux de protection plus élevés ; Considérant la nécessité de maintenir des exceptions à l'ouverture aux marchés agricoles concernant des produits sensibles et d'exiger la transparence vis-à-vis des consommateurs (origine des produits, processus d'élevage, fabrication et composition) ; Considérant que les clauses de protection des investissements contenues dans le projet d'accord transatlantique ne peuvent en aucune manière avoir pour effet (i) de porter directement ou indirectement atteinte au pouvoir réglementaire des différentes autorités publiques, en ce compris les communes, ou (ii) de limiter la compétence des tribunaux des Etats membres de l'Union européenne par des régimes spéciaux applicables aux litiges entre investisseurs et Etats ; Considérant que le pouvoir réglementaire de l'Union européenne et de ses Etats membres ne peut en aucune manière être limité par des dispositifs dits de « coopération réglementaire » permettant aux investisseurs d'intervenir dans la phase préalable à l'adoption d'une réglementation en exigeant l'analyse de celle-ci sous l'angle de l'impact qu'elle est susceptible d'avoir sur le libre-échange ; Considérant qu'il y a lieu d'exclure les services publics et d'intérêt général (éducation, santé, culture, eau, etc.) de toute marchandisation et, partant, des négociations ; Considérant la nécessité de renforcer le développement et l'application de la législation en matière de conditions de travail, de promouvoir les normes et les critères fondamentaux de l'Organisation internationale du travail (OIT), de même que le travail décent ; considérant que les Etats-Unis n’ont ratifié à ce jour que deux des huit conventions fondamentales de l’OIT ; Considérant que les enjeux de développement durable doivent être pris en compte dans le cadre des négociations en cours ; Considérant que le processus de négociation doit faire l'objet de la plus grande transparence ; Considérant qu'il y a lieu d'impliquer davantage le Parlement européen et les parlements nationaux dans le suivi des négociations ; Considérant la séance d’information du 22 septembre 2015 organisée sous l’égide du Conseil communal durant laquelle des citoyens et des élus rixensartois ont exprimé leurs appréhensions quant à l’opacité du processus en cours ainsi que leurs interrogations et inquiétudes vis-à-vis de ses conséquences potentielles ; Par 21 voix pour et 4 abstentions (Messieurs REMUE, HANIN, PIRART et VAN LOO) ; DECIDE : er Article 1 : D'affirmer ses craintes quant aux négociations telles qu'actuellement 32/33 Article 2 : Article 3 : Article 4 : Article 5 : Article 6 : Article 7 : menées dans le cadre du TTIP, et son attachement au principe de précaution. De refuser toute tentative de dérégulation de nos normes et d'affaiblissement du cadre communal, régional, national ou européen notamment en matière culturelle, sociale, de santé, d'environnement, des travailleurs, des consommateurs, des entreprises et de l’agriculture, De demander aux autorités belges compétentes et concernées d'exiger que les négociations concernant le projet de Partenariat transatlantique sur le Commerce et l'Investissement entre l'Union européenne et les Etats-Unis d'Amérique : - ne puissent avoir pour objet des domaines d’utilité publique essentielle comme l’eau, la santé et l’éducation, - aient pour objectif d’assurer une croissance qui soit soutenable, - visent absolument une harmonisation vers le haut, c'est-à-dire intégrant les normes les plus élevées, que cela concerne les droits sociaux, la santé, les droits humains, les dispositifs de protection de l'environnement ou encore la protection de l'environnement ou encore la protection des travailleurs et des consommateurs et encourage toute position de ces autorités allant dans ce sens. De demander à la Commission et au Conseil de suspendre les négociations le temps de permettre au Parlement Européen, après débat, de redéfinir le mandat octroyé à la Commission, et ce en : - déterminant les objectifs et balises de la nouvelle phase de négociation, lesquels intégreront nécessairement l’ensemble des exigences visées aux points 2 et 3 ci-dessus, - exigeant une transparence totale tout au long du processus des négociations. De marquer sa ferme opposition par rapport à tout mécanisme spécifique de règlement des différends entre investisseurs et États, et de manière générale à toute clause de règlement des différends) qui pourrait limiter (i) le pouvoir réglementaire des différentes autorités publiques et (ii) la compétence juridictionnelle des Etats membres et/ou permettre d’échapper aux juridictions de droit commun. D’inciter les autorités belges compétentes à faire pression au niveau européen afin que les négociations sur ce projet de partenariat se fassent dans la plus grande transparence à l'égard des consommateurs et des citoyens. De charger le collège d’adresser la présente motion aux autorités et instances suivantes : Conseil, Commission et Parlement européen (avec copie aux eurodéputés belges), gouvernement fédéral, gouvernement wallon, gouvernement de la Communauté française et UVCW. La séance est clôturée à 22h16. PAR LE CONSEIL, La Directrice générale f.f., Le Président, Virginie DENONCIN. Jean VANDERBECKEN. 33/33