serial Problems with serial Number Goods

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Nouvelles de l’industrie
Serial Problems with Serial Number
Goods: Understanding When It’s Safe to
Rely on Serial Number Searches
Série de Problèmes avec les Numéros
de série de machineries: Savoir
quand c’est sécuritaire de faire des
recherches par Numéro de série
W
e all like serial numbers. In a commercial world where
mass-production is the norm, serial numbers are the
foundation for the logistics of producing, distributing,
tracking and accounting for goods of every nature. In
an environment where dealers are selling new equipment that is yet
to be manufactured, and dealing with used equipment that is not
in their possession, dealers are prone to rely on serial numbers
to indentify the specific article of equipment they are selling,
purchasing or shipping. Unfortunately, when it comes to finding
security interests in personal property, dealers cannot always rely
on searching the serial numbers of implements. Dealer’s can only
rely on the searching of a serial number if the implement is a serial
number good, as defined by the Personal Property Regulations in
each province. What follows is a rough guide to what constitutes
a serial number good and when you can rely on searching a serial
number to find prior security interests in property.
The Problem of Finding Remote Interests in Property
The Personal Property Registry (PPR) is based on the principle that
certain individuals (or corporations) will secure obligations they owe
to another individual by granting the creditor an interest in items of
personal property. When the creditor registers its interest in the PPR,
it is a registration against the person who owes the obligation that
details the creditor’s interest in the person’s personal property: it is a
registration against the person, not the property. You cannot simply
register against property in the PPR: your interest in property is rooted
to an individual. Thus, when you want to determine if an individual’s
property is encumbered, you generally search the name of the individual
in the PPR.
If searching the PPR was restricted to the use of debtors’ names, the
following “problem of remoteness” occurs:
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canadian equipment dealer
N
ous aimons tous les numéros de série. Dans un monde
commercial où la production de masse est la norme,
les numéros de série sont la base pour la logistique
de production, la distribution, le dépistage et la
comptabilisation des marchandises de chaque nature. Dans un
environnement où les concessionnaires vendent le nouvel équipement
qui doit encore être fabriqué et traité avec de l’équipement
usagé qui n’est pas en leur possession, les concessionnaires
sont enclins de compter sur les numéros de série pour identifier
l’article spécifique d’équipement qu’ils vendent, achètent ou
expédient. Malheureusement, lorsqu’ils veulent retracer les liens
sur l’équipement, les concessionnaires ne peuvent pas toujours
compter sur la recherche par le numéro de série de l’équipement.
Les concessionnaires du Québec et de l’Ontario, ne peuvent pas faire
de recherche par numéro de série. Dans le RDPRM, la norme des
numéros de série est celle de l’automobile et nos machineries n’ont
pas la même norme que l’automobile dans l’attribution du numéro de
série.
Le problème pour trouver les enregistrements antérieurs
de propriétaire
Le registre des biens personnels (PPR) (RDPRM au Québec) est
basé sur le principe selon lequel certains individus (ou entreprises)
permettront d’assurer les obligations qu’ils doivent à une autre
personne par l’octroi au créancier d‘un intérêt dans des biens inscrits
au registre. Quand le créancier enregistre son bien dans le RDPRM, c’est
un enregistrement contre la personne qui doit l’obligation détaillant
l’enregistrement du créancier dans le registre sur les informations
personnelles du propriétaire: c’est un enregistrement contre la personne,
pas sur le bien. Vous ne pouvez pas simplement inscrire le bien dans
le RDPRM: votre intérêt dans la propriété est lié à un individu. Ainsi,
quand vous voulez déterminer si le bien d’un individu est endetté, vous
concessionnaire agricole canadien
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In a commercial world where
mass-production is the
norm, serial numbers are the
foundation for the logistics
of producing, distributing,
tracking and accounting for
goods of every nature…
Dans un monde commercial où la
production de masse est la norme,
les numéros de série sont la base
pour la logistique de production,
la distribution, le dépistage
et la comptabilisation des
marchandises de chaque nature…
Farmer Fred purchased a set of heavy packers to roll his lentil
fields with money he borrowed from the local Credit Union.
recherchez généralement le nom de l’individu dans le RDPRM ou le nom
de sa compagnie.
A few years following his purchase, Farmer Fred decides that
growing lentils is too risky and he offers to sell the packers to his
neighbour, Farmer Frank, who is a young, ambitious kid. Farmer
Frank pays his neighbour with cash and takes the packers.
Si une recherche dans le RDPRM est limitée à l’utilisation des noms
des débiteurs, les problèmes suivants peuvent survenir:
Another year passes and Farmer Frank decides that he does
not need his own set of packers, but he is interested in upgrading
his seeding outfit. He goes to Dealer Dan and makes a deal for
the purchase of a bigger seeding outfit, and includes the packers
as part of the trade-in deal. Dealer Dan, having taken the CWEDA
legal course offered by Layh & Associates, knows he should
search the PPR for “Farmer Frank” to ensure there are no prior
interests in the packers. Finding no registration against Farmer
Frank with respect to the packers, the dealer takes them on trade
and quickly sells them to Farmer Franz.
About two weeks following the sale of the packers, Dealer Dan
gets a phone call from the Credit Union asking if he took on trade
and then sold a set of packers. Dealer Dan says that he did, but
that he searched the PPR for Farmer Frank and there were no
registrations against him. The Credit Union then advises that
its interest in the packers was granted by Fred, not by Frank,
and that Fred failed to fully pay his Credit Union loan. The Credit
Union advises Dealer Dan that he can either pay-out the Credit
Union’s interest or the Credit Union will go seize the packers from
Farmer Franz.
Although it may seem unjust, personal property security law
supports the Credit Union’s position. When a potential purchaser or
creditor is looking for interests against property, you can only find
registrations against the individual you search: the search result will
not uncover prior interests in the same property given by prior owners of
that property. The only way to find prior interests is to discover the prior
owners of that property and search their names. In order to alleviate
this problem, the PPR includes the capacity to discover all the interests
canadian equipment dealer
L’agriculteur Fred a acheté un ensemble de rouleau de compactage
pour rouler ses champs de lentille avec l’argent qu’il a emprunté à une
caisse locale.
Quelques années après son achat, Fred décide que la culture des
lentilles est trop risquée et il offre de vendre ses rouleaux à son voisin,
l’agriculteur Frank, qui est un jeune agriculteur ambitieux. L’agriculteur
Frank paye à son voisin en argent comptant et prend les rouleaux.
Une autre année passe et l’agriculteur Frank décide qu’il n’a pas
besoin de ses propres rouleaux, mais il est intéressé à la modernisation
de son équipement de semence. Il va chez le concessionnaire Dan et
fait une offre pour l’achat d’un équipement de semence plus grand et
donne les rouleaux en échange. Le concessionnaire Dan, ayant suivi
la formation de CWEDA offert par « Layh & Associates », sait qu’il
devrait rechercher dans le RDPRM pour « agriculteur Frank » pour
s’assurer qu’il n’y a aucun enregistrement antérieur sur les rouleaux.
Ne trouvant aucun enregistrement contre l’agriculteur Frank en ce qui
concerne les rouleaux, le concessionnaire les prend en échange et les
vend rapidement à l’agriculteur Julien.
Environ deux semaines après la vente des rouleaux, le
concessionnaire Dan reçoit un appel téléphonique d’une banque
demandant s’il a pris un échange et s’il a ensuite vendu un ensemble
de rouleaux. Le concessionnaire Dan répond par l’affirmative, mais
qu’il a recherché dans le RDPRM pour l’agriculteur Frank et il n’y
avait aucun enregistrement sur lui. La banque l’informe alors que
l’enregistrement des rouleaux est au nom de Fred, pas Frank et que
Fred n’a pas entièrement payé son prêt à la banque. Elle avise le
Concessionnaire Dan qu’il peut rembourser le prêt de la banque ou
qu’elle ira saisir les rouleaux chez le Fermier Julien.
Bien que cela puisse sembler injuste, la loi sur le RDPRM soutient
la position de la banque. Quand un acheteur potentiel ou un créancier
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“…the definition of a motor vehicle has been written to include combines and tractors, but
to exclude all other mobile devices that are designed for use in farming. Thus, most implements
that are designed to be pulled or driven would not qualify as motor vehicles, and would,
therefore, not be serial number goods…”
attached to certain items of property by searching for the serial number
of the property instead of the name of the individual: this eliminates
the problem of remoteness... but only for those goods that are defined
as serial number goods!
cherchent des enregistrements sur le propriétaire, vous pouvez seulement
trouver des enregistrements sur l’individu que vous recherchez : le
résultat de recherche ne découvrira aucun enregistrements antérieurs de
ce bien donné par les anciens propriétaires. La seule façon de trouver des
enregistrements valables est de découvrir les anciens propriétaires de ce
bien et de rechercher avec leurs noms ou nom de société.
What Qualifies as a Serial Number Good?
To find out what equipment qualifies as a serial number good, we
look to the definition in the Regulations, which generally reads as
follows:
Qu’est-ce qui qualifie qu’un numéro de série est bon ?
Pour découvrir quelle machinerie est qualifiée avoir un bon numéro
de série, nous comptons sur la définition dans les Règlements, qui ce lit
généralement comme suit :
“serial numbered goods” means a motor vehicle, a trailer, a
mobile home, an aircraft, a boat or an outboard motor for a boat;
« bien avec numéro de série » : un véhicule routier, une
remorque, un motorisé, un avion, un bateau ou un moteur
hors-bord d’un bateau;
TECHNOLOGIES
While this definition seems complete on its face, there are a
number of terms within the definition that present potential for varying
interpretations. While there has been little contention about what
constitutes a boat, an aircraft, a mobile home or a trailer, there has
been much confusion about what constitutes a motor vehicle. This is
démonstrations
Tandis que cette définition semble complète en soi, il y a un certain
nombre de termes dans la définition qui peuvent être interprétés de
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«…Tandis que cette définition semble complète en soi, il y a un certain nombre de
termes dans la définition qui peuvent être interprétés de différentes façons. …»
understandable given the definition of a motor vehicle reads as follows:
“motor vehicle” means a mobile device that is propelled
primarily by any power other than muscle power:
(i) in, on or by which a person or thing may be transported or
drawn, and that is designed for use on a road or natural terrain; or
(ii) that is used in the construction or maintenance of roads;and
includes a pedal bicycle with a motor attached, a combine and a
tractor, but does not include a device that runs on rails or machinery
designed only for use in farming other than a combine or tractor;
It takes some time to distill this definition, but for the purpose of
farm machinery dealers, the definition of a motor vehicle has been
written to include combines and tractors, but to exclude all other mobile
devices that are designed for use in farming. Thus, most implements
that are designed to be pulled or driven would not qualify as motor
vehicles, and would, therefore, not be serial number goods. In Ontario,
even combines and tractors are not serial number goods! Thus, the
only time that dealers in provinces or territories, other than Ontario and
Quebec, can rely on searching the serial number of an implement is
when the implement is a combine or a tractor. High clearance sprayers,
self-propelled swathers, bale wagons, manure spreaders, balers,
seeders and like implements are NOT serial number goods for the
purposes of the PPR, and you cannot rely on searching the serial
number of these items to discover prior interests. Thus, high clearance
sprayers, self-propelled swathers, seeders and the like continue to pose
the problem of remoteness presented above.
What Should Dealers Do With Non-Serial Number
Equipment?
When taking one of these non-serial number implements in trade,
dealers should inquire from whom the customer purchased the
implement to be traded-in. If the customer purchased the implement
new from another dealer, there is no concern about prior interests, as
the only interests registered against the implement will be in relation to
that customer. However, if the customer purchased the implement at an
auction, from another individual or as a used implement from another
dealer, your dealership will benefit from learning who originally owned
the equipment. Although this seems like a lot of trouble, it becomes
more important as the value of used non-serial number implements
rises. High clearance sprayers, in particular, maintain a relatively high
used value.
Dealers frequently ask why more implements are not included
as serial number goods. The answer, in short, is that legislators
have simply failed to keep-up with the times. There are different
policy perspectives respecting what should be included as serial
canadian equipment dealer
différentes façons. Bien qu’il y ait eu peu de controverse en ce qui
constitue un bateau, un avion, un motorisé ou une remorque, il y a eu
beaucoup de confusion pour la définition de véhicule routier et c’est
compréhensible, la définition d’un véhicule routier se lit comme suit :
« Véhicule routier » De manière générale, un véhicule routier
muni d’un numéro d’identification apposé conformément à l’article
210 du Code de la sécurité routière. Sont considérés comme des
véhicules routiers :
un véhicule de promenade;
une motocyclette;
un taxi;
un véhicule d’urgence;
un autobus;
un minibus;
un véhicule de commerce;
une remorque ou une semi-remorque dont la masse nette est
supérieure à 900 kg;
une habitation motorisée;
une motoneige dont le modèle est postérieur à l’année 1988;
un véhicule tout terrain motorisé, muni d’un guidon et d’au
moins deux roues, qui peut être enfourché
et dont la masse nette n’excède pas 600 kilogrammes.
Ces véhicules routiers sont définis à l’article 4 du Code de la sécurité
routière ou à l’article 2 du Règlement sur l’immatriculation des véhicules
routiers.
Qu’est-ce que les concessionnaires devraient faire avec
des équipements qui n’ont pas de numéro de série valable
pour le RDPRM?
En prenant une machinerie agricole en échange, les concessionnaires
devraient demander de qui le client a acheté la machinerie. Si le client
a acheté la machine neuve d’un autre concessionnaire, il n’y a aucun
enregistrement antérieur parce que les seuls enregistrements fait
pour la machine sont pour ce client. Cependant, si le client a acheté
la machine à une vente aux enchères, d’un autre individu ou comme
une machine usagée d’un autre concessionnaire, votre concession devra
rechercher qui avait à l’origine possédée l’équipement. Bien que cela
puisse occasionner beaucoup de frais, cela devient plus important à
cause de la hausse de la valeur des machines usagées.
Les concessionnaires demandent fréquemment pourquoi la
machinerie agricole ne peut être recherchée par numéro de série. La
réponse, en bref, est que dans le RDPRM, il fonctionne avec la norme des
numéros de série des véhicules routiers (17 caractères alphanumériques
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Dealers must exercise whatever political influence they can to have provinces
amend their Regulations to include more items as serial number goods.
Les concessionnaires doivent user de leurs influences politiques provinciales
pour faire amender les règlements pour les numéros de série.
number goods. Certainly one Saskatchewan judge who deliberated
on whether a forklift qualified as a serial number good commented
that the primary purpose for including a good within serial number
definition is because of the good’s mobility. Although this may have
some bearing on the policy, we contend the primary consideration
for including a good as a serial number good is that it maintains a
high used value. For example, consider my notebook computer versus
a boat motor. My computer is, arguably, much more mobile than a
boat motor — I have taken my computer on international flights which
have seen the item move thousands of miles in a matter of hours.
Yet, my computer is not a serial number good, while a boat motor
is. The rational conclusion is that no one really cares about finding
prior interests in my computer because used notebook computers
are not generally worth much, while boat motors are frequently
re-sold a few times before they are disposed of — they have stronger
used value. Considering the increasing value of implements that are
not combines or tractors, dealers have a strong policy argument to
include high clearance sprayers, self-propelled swathers and, perhaps,
other implements as serial number goods.
D
ealers must exercise whatever political influence
they can to have provinces amend their Regulations
to include more items as serial number goods.
Until the legislators do so, dealers will continue to be
susceptible to the problem of remoteness when taking
high clearance sprayers, swathers, seeders and other
non-serial number implements on trade. The only way to protect
yourselves is to find out where the customers purchased the
trade-in and to search the prior owner... and maybe even the
owner prior to the prior owner! Dealers must measure the
financial risk of failing to investigate the implement’s past
against the inefficiencies of doing so. The higher value the
trade-in maintains, the more risk you assume in failing to
search prior owners.
If you have any questions about serial number goods, please
contact our office at any time – we are always pleased to
hear from dealers. We also encourage you to speak with
your industry association about lobbying for changes to the
Personal Property Regulations in your province.
universels) et que les manufacturiers ne rencontrent pas les mêmes
critères que l’automobile dans leur attribution de numéro de série.
Compte tenu de l’augmentation de la valeur des équipements agricoles,
les concessionnaires ont un argument de taille pour inclure la machinerie
agricole comme des tracteurs, des batteuses, des pulvérisateurs, des
andaineuses autopropulsées et, peut-être, d’autres instruments comme
des numéros de série admissibles pour le RDPRM.
L
es concessionnaires doivent user de leurs influences
politiques provinciales pour faire amender les règlements
pour les numéros de série. Jusqu’à ce que les politiciens le
fassent, les concessionnaires continueront d’être susceptibles
d’avoir un problème en prenant en échange machineries
agricoles qui n’ont pas de numéro de série valide pour le
RDPRM. La seule façon de vous protéger est de découvrir où
les clients ont acheté l’échange et de rechercher le ou les
anciens propriétaires! Les concessionnaires doivent mesurer
le risque financier de ne pas faire des recherches sur le passé
de la machine. Plus la valeur de l’échange est élevée, plus le
risque est grand de ne pas faire de recherches sur les anciens
propriétaires.
Nous vous encourageons également à parler avec votre
association pour faire des pressions en faveur des changements
aux Règlements de Biens personnels dans votre province.
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