COMMUNICATO FILM bASAGLIA con foto nADIA

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COMMUNICATO FILM bASAGLIA con foto nADIA
CINEMA Lundi 28 mars à 18h00
Institut Culturel Italien, salle Amerigo Vespucci
Hommage à Franco BASAGLIA
À l’occasion de l’inauguration du Pavillon Trieste de l’hôpital Edouard
Toulouse de Marseille en hommage à Franco Basaglia et à la
collaboration avec le pôle psychiatrique de Trieste, l’Institut présente la
projection du film C’era una volta la città dei matti sur la vie de Franco
Basaglia (trois heures de projection).
Franco BASAGLIA,
BASAGLIA né à Venise en 1924, est un psychiatre italien. Il est à l’origine de
l’ouverture des premiers Centres de Santé Mentale et de la fermeture d’hôpitaux
psychiatriques, comme celui de Trieste. Son combat aboutira à la Loi
180 visant la
suppression des hôpitaux psychiatriques et qui fut voté par le parlement italien en
1978.
L’hôpital Edouard Toulouse de Marseille travaille depuis de nombreuses années en
collaboration avec le Centre de Santé Mentale de Trieste ; c’est pourquoi un de leur
bâtiment sera renommé « Pavillon Trieste ». ce mardi 28 mars en présence du
médecin du centre de Trieste, Massimo MARSILI. L’inauguration, qui aura lieu en fin
de matinée, sera placée sous le signe de l’amitié entre Trieste, ville à l’origine de
cette psychiatrie moderne, et Marseille. Il s’agit en effet d’un hommage à la
psychiatrie italienne et à l’héritage de Franco Basaglia qui, à Trieste, a montré qu’un
travail de prévention et de partenariat dans la cité, au fil des années, avec des
équipes très dynamiques et mobiles, aboutit à une santé mentale communautaire,
intégrée à la cité.
Cette manifestation s’inscrit dans LA SEMAINE D’INFORMATION SUR LA SANTE
MENTALE.
C’era una volta la città dei matti de Marco Turco avec Fabrizio
Gifuni, Vittoria Puccini, Branko Djuric, Maurizio Fanin. (V.O.–
2010 – ‘200)
Lorsque Franco Basaglia, un psychiatre connu pour ses positions radicales,
est nommé directeur d'un asile dans le nord de l'Italie, il refuse de suivre
les traces de son prédécesseur qui laissait ses employés utiliser camisoles,
électrochocs et autres méthodes dignes d'un camp de concentration pour
calmer les patients. Lui préfère combattre la bureaucratie et les croyances
populaires pour offrir aux malades mentaux la meilleure vie possible.
Istituto Italiano di Cultura
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