Rapport de mobilité effectué en Roumanie dans la ville de Timisoara

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Rapport de mobilité effectué en Roumanie dans la ville de Timisoara
Rapport de mobilité effectué en Roumanie dans la ville de Timisoara
Je suis étudiant en licence d'économie et gestion à l'université Pierre Mendés France à
Grenoble et j'ai effectué ma troisième année en échange Erasmus en Roumanie, dans la ville de
Timisoara. C'est une ville d'environ 306 milles habitants où je suis rester pour 2 semestres; du mois
de septembre au mois de juin. Sachant que les cours ne débutent seulement à partir d'octobre.
A) Vie pratique
-Logement: il y a deux possibilités qui s'offrent aux étudiants Erasmus et par conséquent deux
modes de vie assez distint. Le premier choix est la chambre universitaire. Elle donne de nombreux
avantages tout d'abord financier; le coût d'un lit en résidence universitaire est d'environ 30€ charges
comprises. De plus dans le complexe étudiant se trouve toutes les commidités, que ce soit des
magasins d'alimentation, des laveries, mais aussi des restaurants, pizzerias, kebab... Cela permet
aussi de rencontrer une grande partie des autres étudiants étrangers présent sur Timisoara et de ce
fait participer à un brassage de culture que je désignerai d'assez exeptionnel tant au niveau social,
linguïstique, gastronomique.... Cependant il faut savoir, car cela peut en gêner certains, que ce sont
des chambres d'environ 12 m² pour 2 personnes sans réfrégirateur (ce qui peut poser parfois
problème), avec les toilettes, douches et cuisine communes.
La seconde option est de vivre en appartement. Il est vrai que les loyers sont bon marché,
pour exemple pour un 70 m² le loyer est d'environ 250€. Je conseil quand même de cohabiter avec
d'autres étudiants roumains car il est difficile de s'intégrer à la population car on se retrouve trés vite
entre étudiants Erasmus. L'appartement apporte un confort plus important qu'en chambre
universitaire. Cependant il faut trouver les centres de paiement pour l'eau et l'elecrtricité. Il faut
aussi savoir que le chauffage est un forfait et ne dépend pas de ce que l'on consomme et même
parfois dans certains appartements les radiateur ne peuvent pas être réglés voir ne pas s'éteindre.
C'est un forfait mensuel que dépend du niveau de consommation global de la zone à laquelle on
appartient. Malheureusement pas trés écologique et pas trés confortable car le chauffage est donc
gérer par la ville et de ce fait l'on a souvent à faire à des locaux surchauffé. De plus l'eau chaude est
toujours trés longue à arrivée rajoutant de la consommation et du gaspillage inutile. Il ne faut donc
pas s'étonner, que ce soit à l'hotel ou dans les appartement, si l'on doit attendre plusieur minutes
avant de pouvoir prendre une douche.
Argent: je rappelle que la monnaie en circulation en Roumanie est le "leu" (des lei au pluriel) mais
aussi peut être vue sous le sigle RON. Son taux de change à bien entendu évolué tout au long de
l'année passant de 1€= 4,26lei à 1€= 4,09lei. L'on trouve des bureaux de changes un peu partout,
dans le centre mais aussi prés du complexe étudiant ou encore dans le centre commercial de la ville
ou dans les banques (mais dans les deux derniers cas les taux sont moins avantageux que les
bureaux de change dans la rue). L'on peut aussi changer son argent en France avant de partir mais je
ne le conseille pas car la commision prise est vraiment importante. De toute manière il n'est pas
utile de le faire car les taxis à l'aéroport de Timisoara accepte le euro qui est très utilisé (comme par
exemple pour le paiement des loyer). A savoir que le prix moyen pour un aller de l'aéroport au
centre de Timisoara est de 10euro par taxi que l'on soit seul ou 4 (il ne faut pas hésiter à négocier !).
L'on peut aussi retirer de l'argent aux distributeurs et dans ce cas les commissions varie selon la
banque à laquelle on est, mais aussi de la carte de crédit que l'on dispose. Certains étudiants ont
décidés d'ouvrir un compte en Roumanie et on par conséquent réalisé des virements bancaire. Cette
dernière option semble la plus avantageuse si l'on reste dans le pays pour au moins 2 semestres.
En définitive il faut ce méfier des bureaux de changes français qui prennent une commission
trés importante et venir avec du liquide que l'on peut sans difficultés faire changer à Timisoara.
Santé: la Roumanie est rentré dans l'Union Européenne et par conséquent seul la carte Européenne
d'assurance maladie est demandé. De toute manière les soins sont gratuits en Roumanie et les
urgences ont seulement besoin de la carte d'identité. Cependant il faut avancer l'argent pour les
médicaments qui seront remboursé par la sécurité sociale française à l'envoie d'une feuille de
facturation émise par la pharmacie en Roumanie.
Télécomunicat ion: quand nous sommes arrivé en Roumanie nous avons acheter une carte
Romtelecom (carte télephonique) car les cabines sont encore trés répendu et utilisé. Celles-ci
s'achetes dans tous les kiosques à journaux présent prés des arrêts de bus ou dans le centre. Certains
étudiants Erasmus ont acheter un portable et une puce Roumaine. Les recharges de crédits sont de
5euros et valable un mois, elles permettent d'appeler et d'envoyer des messages en illimité vers le
même opérateur ce qui est assez avantageux. Cependant il n'est pas possible d'appeler en
international avec ces types de forfaits. Ce que je conseille pour joindre les amis, la famille en
France c'est d'utiliser Skype: un logiciel qui s'installe sur votre ordinateur et qui permet de
communiquer gratuitement partout dans le monde avec une autre personne qui posséde le logiciel
ou même encore appeler des telephones fixes et portables à des tarifs raisonnables. De plus il faut
savoir que le débit internet en Roumanie est bien supérieur à celui que l'on posséde en France; la
Roumanie ce situant dans les 3 premiers pays Européen en matière de débits internet. Ceci vient du
fait que le pays posséde de nouvelles installations tandis que le renouvellement des anciennes
installations en France prènent du temps.
Vie universitaire: nous avons été très bien encadré que ce soit par notre faculté en France ou par
l'université d'accueil. À notre arrivés nous avons eu des journées d'intégrations, un listing des
adresses importantes et des formalité administrative à remplir. Nous avons ensuite eu quelque
semaines pour rencontrer nos professeurs et confirmer le choix de nos cours. Après cela deux
possibilités se présentent:
-le cour choisit est desservi en anglais et correspond à un enseignement de 3 heure par semaine dans
la plupart des cas ( 1h30 de td et 1h30 d'amphi).
- le cour n'est pas donnée en anglais, par conséquent lors de l'entretien avec le professeur l'on
convient d'un type d'examen et la présence en cour n'est de ce fait pas obligatoire. Cependant je
conseille tout de même de se rendre quelque fois en td afin de rencontrer de façon régulière le
professeur et par la même occasion faire connaissance avec des étudiants Roumains (qui parlent, de
manière général, trés bien l'anglais, voir parfois le français).
Dans mon cas j'ai eu certaines matières en anglais mais aussi 3 projets qui se présentaient
soit sous la forme d'études de cas, d'analyse économique. J'ai aussi choisi un cour d'apprentisssage
de la langue Roumaine, que je conseille vivement, cela permet d'avoir des bases en Roumain mais
aussi d'appréhender une manière bien différente d'assimiler une langue étrangère.
Stage: je n'est pas effectué de stage en Roumanie mais je sais qu'à Timisoara il y à chaque année
des étudiants Français en stage au centre culturelle français. Tout ce que j'ai pu fréquenté en stage
m'ont dit qu'il n'y avait aucune rémunération. Pour ce qui est du rythme de travail, il faut savoir qu'il
n'y a pas de pause entre midi et 2h comme nous avons l'habitude en France et que le temps de
travail hebdomadaire est de 40h.
Vie quotidienne:
*le climat en Roumanie est plus ou moins similaire à ce que l'on connait en France même si
le pays possède un climat continental assez accentué, avec des saisons tranchées et des amplitudes
de température importantes L'été, voir début mai jusqu'à mi octobre, est très lourd à timisoara et
bucarest. Cependant dans les montagnes (en Maramureş, dans les monts Apuseni, moldaves ou en
Bucovine..) l'été est agréablement tempéré par l'altitude.
*Dans les villes les grandes surfaces sont généralement ouvertent jusqu'à 21h ou 22h, le
dimanche inclus. Les épiceries ne ferment pas avant minuit-1h du matin
*Le maillage du réseau de transports roumain est fondé sur le couple train-bus. Les bus des
compagnies locales roulent sur de courtes distances. Il existe des liaisons entre les villes d'une
même région. Beaucoup de villages sont reliés par bus, mais à des fréquences souvent réduites. Ils
restent cependant très utilent pour s'enfoncer dans la campagne Roumaine (pour ma part j'ai
vraiment apprécier me balader dans les villages et faire connaissance avec la population rurale).
Moins cher que le train, le bus reste souvent le seul moyen d'atteindre bon nombre de petits villages.
Il existe aussi une formule bien pratique : des minibus de 9 à 16 places, de bonne qualité, qui
assurent des liaisons régulières de Bucarest vers toutes les grandes villes du pays dont timisoara. Il
existe aussi des liaisons entre ces villes. Les minibus sont parfois moins cher et plus rapide que le
train. Les trains roumains ne sont ni très propres ni très confortables. Assez lents (environ 60 km
d'aprés mes calculs) mais relativement fiables du point de vue des horaires et, surtout, bon marché.
Il existe plusieurs types de trains. Si je me souvient bien et que je n'en oubli pas, on trouve quatre
appellations : personal, rapid, accelerat et I.C.. Les trains mentionnés personal sont des omnibus.
Les accelerat et rapid desservent tout le pays dans de bonnes conditions. Les I.C. (Intercity) sont
confortables, rapides et bon marché, ils permettent de nous rendrent, de Timisoara, à Budapeste et
Belgrade. Il faut aussi savoir qu'il existe le "balkanpass" qui coute 50€ et permet de voyager
librement dans tous les pays des balkans (hongrie, bulgarie, turquie, serbie, gréce,...) pendant jours.
Pour ma part je suis allé à istanbul car la turquie ne damande aux résident de l'union Européenne
seulement une carte d'identité, nul besoin d'un visa ou d'un passeport. Ce pass peut être retiré dans
les gares en Roumanie sans problème.
*Je connais aussi certains étudiants qui sont venu en Roumanie en voiture; je sais qu'il faut
environ 24-26h à partir de lyon. Cela permet bien sur d'avoir une grande autonomie de déplacement
par rapport aux transports en commun, lents et rares dans certaines régions; la possibilité de réaliser
des économies sur l'hébergement en accédant plus aisément aux campings. Cependant l'état du
réseau secondaire est assez redoutable pour les amortisseurs dû aux nids-de-poule et crevasses. Pour
traverser l'Europe il faut dans certains pays acheter une vignette, comme en Suisse, en Hongrie mais
aussi en Roumanie. Celles-ci sont vendue aux frontières. L'on peut aussi louer des voitures en
Roumanie mais cela coûte cher et n'est pas forcément trés utile.
Il existe cependant deux autre moyen de ce rendre en Roumanie, via l'avion, il existe des
trajets direct entre l'aéroport de Beauvais à Paris où l'on peut avoir des billets pour 30€ si l'on
réserve à l'avance. Sachant qu'il faut rajouter 15€ par bagages en soutes. Si cela ne change pas il y à
2 vols par semaines: le lundi et le vendredi. Mais l'on peut aussi se rendre dans le pays en bus. Il
part régulièrement des cars de Lyon pour un trajet de 26 heures.
*Dans les villes il y a aussi la possibilité de se déplacer en Taxi. À Timisoara prendre le taxi
pour traverser la ville coutait maximum 3€; il est donc évident que tout les étudiants étrangers
l'utilisaient régulièrement pour rentrer après une soirée oupour faire les courses. Il était trés utile
pour ce rendre à l'aéroport car le prix de la commission été de seulement 10€.
*Au sujet de la nourriture il est incontournable de gouter les "Covrigi", sorte de gros bretzels
que l'on trouve de partout dans la ville. Il y à tout une série de spécialités qui ne me sont pas laissé
indifférent, je citerai le Sarmale (feuilles de choux farcies de riz et de viande), les "mici" (petites
saucisses grillées à base de viande hachée), la "ciorba" (soupe que l'on peut déguster dans de trés
nombreux restaurants). Si je devait donner un dernier constat sur la nourriture en Roumanie je
dirai qu'elle regorge de spécialité merveilleuse mais que le pain, le fromage (ils ont principalement
du fromage de vache et un peu de brebis mais ne connaisse pas le fromage de chévre) et le
saucisson français m'ont bien manqué.
*J'ai aussi pu apprécier l'hospitalités des paysans qui nous ont offert la "placinta" (sorte de
beignet frit) pour discuter avec nous. Je vais d'ailleur encore nommé la "mamaliga" qui est une
semoule de maïs (rappelle la polenta) qui est le plat de base en campagne. Le choux est aussi
consommé en grande quantité, il est mangé, on peut le dire, à toutes les sauces! D'ailleur fréquenter
la population rurale, selon moi, nous apprend beaucoup plus sur la Roumanie que de rester dans les
villes qui s'occidentalise de plus en plus et dans ce cas apprendre les bases de la langue Roumaine
devient essentiel et très utile. Comprendre quels ont été les changements dû à la à la chute du
communisme et malheureusement s'appercevoir que certains regrette l'époque Ceausescu. L'on à pu,
par exemple, cotoyer un chauffeur de bus qui dénoncer le problème de l'enrichissement d'une partie
de la population à partir de 1990 et l'apparition de grandes fortunes. Nos collocataires Roumains
nous expliqué qu'avec le communisme lorsque tu sortais de tes études l'Etat te trouvait un emploi
ainsi qu'un logement. Nous avons aussi pu discuter avec un paysan qui nous à enmené jusqu'à la
ville la plus proche en charrette, tracté par son cheval Baltazar, son seul moyen de transport. Celuici nous expliquait que la population rural vivait mieux (selon lui). Il dénonçait, quand à lui, le
sentiment de désinterressement de la classe politique envers les problémes des ruraux ou encore de
la corruption qui à exiter durant l'après Ceausescu. Il est donc regrettable que la classe populaire,
écoeuré par les écart de revenus et fortement délaissé par le gouvernement principalement dû à la
mise en place du libéralisme, en vient à préférer l'époque où la liberté été baffoué! Vivre un an en
Roumanie peut pour certains étudiants enfin leurs faire prendre consciences des limites du
libéralisme.
*Il faut aussi s'interroger sur les discours que l'on peut entendre en France, principalement
sur les populations Tziganes et Roms qui sont deux types de populations distint. Les Roms crois en
un Dieu, ils vivent en famille ou avec des individus d'une même caste, il existe différentes classes
sociales chez les Roms (du plus riche au plus pauvre), ils conserves des vêtements traditionnels tel
que le chapeaux pour les hommes et les robes et foulard pour les femmes, seul les hommes ont
accés à l'éducation. Les Tziganes sont athés, vivent en communautés, il y a un "chef" qui s'occupe
de gérer les conflits, les revenus généré par leur travail, les grandes décisions et qui est désigner
jeunes car sera le seul à avoir accés à l'éducation (en Roumanie cela ce passait ainsi car ils n'avait
pas assez d'argent pour financer des études à tous les enfants) et sera par conséquent le plus instruit.
J'ai la possibilité de vous parler de cela car j'ai passé quelques jours auprés de ces populations grâce
à un journaliste Américain qui nous mis en contact avec une famille Rom et un camp tzigane. Il faut
vraiment vivre cette expérience pour laisser tomber tout les appriorie que les français peuvent avoir.
Chacun d'un nous à accueilli généreusement, nous ont fait découvrir leurs modes de vies, leurs
habitudes, leur travail... je déplore qu'aujourd'hui en france on rejette ces populations plutôt que
chercher à les connaîtres, je vous conseil donc à tous ceux qui vont faire un tour en Roumanie de
vous rendre sur le site www.tzigania.com pour aller en l'encontre des tziganes et roms et vous faire
votre propre opinion!
B) Bilan et suggestions
La première chose que j'ai à dire c'est que ce séjour à l'étranger fut une expérience
inoubliable. Je conseille à tous les étudiants français et européen qui bénéficient de ce programme
d'échange de profiter de cette chance. J'ai pu cautoyer différentes nationalités et je trouve encore
cela extraordinaire et merveilleux de voir 5-6 personnes de pays distints qui tissent des liens
d'amitiés malgré leurs différences culturelles, linguistiques; qui essaie de discuter de se faire
comprendre les uns les autres. Ceci fut la première difficulté que j'ai pu rencontrer: la peur de
parler anglais, probablement dû à mon niveau en langues insuffisant mais je dirai aussi à la méthode
d'apprentissage française des langues qui selon moi nous apprend d'abord à bien construire une
phrase plutôt que de parler malgré les erreurs que l'on peut comettre. Par conséquent on remarque
distinctement que les français osent moins s'exprimer que les autres étudiants probablement de peur
de faire fautes (enfin toujours selon moi) donc la première chose que j'ai appris durant ce séjour
c'est disculté librement (comme la plupart des français que j'ai croisé en Roumanie).
Projets professionnels: cette anée à accrue mon envie de voyager c'est pour cela qu'ayant
validé ma licence j'ai décidé, avant de reprendre pour un master, de partir quelques mois en
Amérique central et principalement au Costa Rica où je passerai au moins un mois dans une réserve
naturelle puis je visiterai le pays. Cependant j'ai aussi pris conscience qu'il est difficile pour moi de
s'intégrer et que certaines habitudes, façon de faire nous manque et que je ne vivrai pas
définitivement dans un autre pays que la France.
Les difficultés que j'ai rencontrer ont été très intense a mon arrivé , en effet ayant un
très mauvais niveau en anglais et ne sachant pas assez parler roumain j'ai eu beaucoup de mal au
début et étais déstabilisée et perdu. Avant de partir pour mon année Erasmus j'ai contacté une
ancienne étudiantes ayant déjà effectué sont année en Roumanie pour m'orienter et me donner
quelques informations sur le pays. Mais je pense que les deux facultés ont donné toute l'aide
nécessaire sur les démarches à suivre, j'ai été très bien informé et n'ai donc pas eu de problèmes .
En défintive le bilan que je tire de cette anée à été trés positif, je ne regrette en rien mon
départ et ma destination. Cette année à été très enrichissante tant sur le plan humain que sur le plan
scolaire. La France n'a pas une image positive de la Roumanie, beaucoup de gens m'on posé la
question: "pourquoi la Roumanie?", "qu'est ce tu peux aller faire la bas?", j'ai même eu droit à "ils
ont des machines à laver?", "il sont dévellopé?". Je suis content de pouvoir donner une autre image
du pays, pouvoir expliquer aux gens que c'est loin d'être ce qu'ils en disent, pensent. J'ai pu
découvrir une population accueillante et ouverte, malgré leur manque de revenu, en Roumanie un
salaire minimum est de 150 euros, la vie est certes moins cher, mais cela ne leur suffit pas pour
vivre et tout ce qui touche à électroménager, les voitures, téléviseurs ,ordinateurs ou autre
technologies imorté, sont aussi cher qu'en France. De plus les études supérieur sont payantes:
environ 1000€ par an, une chance pour nous d'avoir accés aux études de manière quasi gratuite car
la-bas seul les plus fortunés ont la possibilité de faire des études longues. Je disais donc que les
roumains étaient accueillant contrairement aux français ou désormais je peux remarqué
l'individualisme et l'égoïsme de chacun de nous, les roumain ont peu de moyens et pourtant sont
très généreux, ils m'est arrivé à de nombreuses reprises de passer dans des petits villages lors de
mes voyages et très souvent quelqu'un venait nous proposer à manger et à boire alors qu'ils ne nous
avait jamais vu, chose que nous ne verrons jamais en France puisque nous vivons dans une peur
constante des autres. Une autre chose est aussi trés appréciable: si quelqu'un dans la rue remarque
que tu es perdu il va tout de suite venir t'aider, tu reste jmais seul. Il m'est arrivé plusieurs fois dans
les premiers que des gens m'accompagne jusqu'à la facultés ou au centre culturel français même si
ils devaient faire des détours; et lorsqu'ils ne connaissaient pas l'endroit ils interpelle quelqu'un
d'autre dans la rue ou appel un ami voir même une fois à appeler quelqu'un pour qu'il regarde sur
internet afin de trouver. Assez exeptionnel pour nous.

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