Extrait - Le Souffle d`Or

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Décodage Biologique
Gynécologie et grossesse
Symptômes, sens et ressentis
Christian FLECHE
EXTRAIT
Afin de saisir le fondement du décodage biologique et des ressentis proposés dans cet
ouvrage, il est nécessaire de connaître le fonctionnement d’un organe, son rôle, ses particularités
propres, thème étudié ci-après. Pour déterminer quelle émotion est à l’origine des maladies, nous
nous basons sur la fonction saine de l’organe en question, toujours.
Sens biologique
Pourquoi le conflit de perte va-t-il induire une tumeur des ovaires (ou des testicules) ?
Si on vole à la poule ses œufs, elle pond inlassablement, elle refait d’autres ovules : les
œufs. Si un mâle tue ses petits, la lionne déclenche ses chaleurs pour faire de nouveaux
lionceaux, pour continuer la lignée. Le poisson pond des milliers d’œufs, car peu survivront.
Quand on perd ses enfants, c'est la pérennité de l'espèce qui est compromise.
Tout être vivant est le bref support spatio-temporel de la survie de l'espèce.
Il existe deux programmes biologiques de survie :
- le programme biologique de survie personnelle,
- le programme biologique de survie de l'espèce.
Ce dernier est le plus puissant des deux.
Dans un conflit de perte, puisque la perte d'un enfant est le plus grave des conflits, le
cerveau va décoder les cellules germinatives des gonades, les gamètes.
Exemples
Tumeur ovarienne de la granulosa
En mai 1998, Mme X se retrouve enceinte sans être mariée. Elle le vit avec beaucoup de
culpabilité (famille judéo-chrétienne). Au sixième mois de grossesse, on diagnostique chez
l'enfant une hydrocéphalie. On pratique un avortement thérapeutique, horrible pour elle, à vingtquatre semaines (six mois de grossesse). Il lui faut attendre pour avoir une autre grossesse. En
juin 2003: elle débute une nouvelle grossesse. Elle se sent sereine jusqu'au sixième mois. Puis
elle est hospitalisée durant une semaine. À ce moment-là, elle a très peur de perdre sa mère
malade. En décembre 2003, survient le décès de sa mère et c'est un moment terrible pour la
patiente. Elle fait l'amalgame, émotionnellement, entre la mort de sa mère et la mort de son bébé.
En mars 2004: apparition d'une tumeur ovarienne de la granulosa, hyperactive, de 7 cm.
Kyste de 5 cm à l’ovaire.
Mme X a quarante ans. Ses parents ont hébergé jadis une jeune fille – Mlle B - qui
ensuite, à l'âge de vingt ans, a eu un enfant. La patiente a vingt-quatre ans le jour de la naissance
du bébé de Mlle B, et elle se fait opérer de l’épaule gauche (relation mère-enfant). Elle considère
cet enfant comme son bébé.
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A trente-huit ans, elle reçoit un coup de téléphone. Cet enfant, devenu adolescent vient
d’avoir un accident gravissime, il peut mourir, il est en réanimation ; son choc : « Je ne peux pas
aller le voir, c’est trop dur ! ». Un an plus tard, douleur au ventre, échographie normale. Un an
après : découverte du kyste ovarien, opération prévue le jour de l’anniversaire de ce jeune
homme (puis endométriose sur l'ovaire).
Le chien
Une enfant avait un chien qu'elle laisse s'échapper : une voiture l'écrase = choc. Perte
avec culpabilité de ne pas l'avoir surveillé. Kyste à l'ovaire.
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