économique et social

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économique et social
Pour éviter les choix
précipités, informez-vous
dès maintenant sur
toutes les filières
accessibles après votre
bac. Pluridisciplinaire, le
bac ES vous ouvre un
large éventail de filières.
Il y en a assurément une,
faite pour vous. Ne vous
laissez pas séduire par
les effets de mode,
comme cet engouement
qu’ont eu vos aînés pour
la psychologie ou les
sciences et techniques
des activités physiques et
sportives (STAPS). Sinon,
gare aux désillusions !
C’est à vous d’explorer le
champ des possibles, afin
de choisir le parcours le
plus cohérent.
Cap sur
l’université
ncontestablement, l’université est
plébiscitée par les bacheliers ES.
75 % d’entre eux optent chaque
année pour l’une des 33 mentions du
diplôme d’études universitaires générales (DEUG). Dans le cœur des économistes, le tiercé gagnant est : droit,
administration économique et sociale
(AES) et économie-gestion.
Signalons également les formations bidisciplinaires de DEUG (et de licence)
comme les bi-DEUG droit-économie, économie langue… ; l’objectif est de donner
une double compétence aux étudiants.
Ceux qui recherchent une filière professionnalisée peuvent se diriger vers un
DEUST (diplôme d’études universitaires
scientifiques et techniques) en 2 ans :
recrutement directement après le bac
ou après une 1re année de DEUG.
C’est ensuite que vous affinerez votre
orientation : études générales (licence,
puis maîtrise) dans la suite logique de
la spécialité de votre DEUG, ou études
professionnalisées (licence professionnelle, maîtrise de sciences de gestion – MSG, maîtrise de sciences et
I
Quelques questions à vous poser :
Avez-vous une idée du métier que vous souhaitez exercer et des études qui y
mènent ?
Combien de temps êtes-vous prêt à consacrer aux études : 2, 3, 4 ou 5 ans ?
Votre bac vous prépare-t-il bien aux études que vous visez ?
Votre connaissance des formations est-elle suffisante ?
Êtes-vous bien informé des modalités d’admission et d’inscription dans les
filières pressenties ?
Avez-vous exploré toutes les pistes et évalué vos chances de réussite ?
Aimez-vous travailler seul ou préférez-vous être encadré ?
techniques – MST , ou formation en institut universitaire professionnalisé –
IUP) dans les domaines de la gestion,
comptabilité, commerce, banquefinance, management, droit des entreprises, affaires internationales...
Informez-vous dès à présent sur les poursuites d’études offertes par le cursus
qui vous intéresse. En perspective : 3 à
5 ans d’études… et plus.
Attention, les universités s’inscriront
progressivement dans le schéma européen d’organisation des études autour de trois niveaux de sortie : la licence, le master et le doctorat. Avec
l’objectif de faciliter la mobilité des étudiants qui pourront capitaliser et transférer les modules d’une université à
l’autre, d’un pays à un autre…
Il est à noter que les deux systèmes
(le cursus en 3 cycles et le nouveau
cursus prélicence et postlicence) cohabitent déjà dans certaines universités depuis la rentrée 2002.
Trois filières vous séduisent
particulièrement : droit, AES
et économie-gestion
Le DEUG droit est une filière difficile, et ce pour tous les bacheliers.
Absente des programmes de lycée,
c’est une discipline complètement nouvelle, avec des exercices nouveaux
comme le commentaire d’arrêt. Le
droit demande beaucoup de rigueur.
Un travail régulier est plus que nécessaire pour en assimiler toutes les fa-
cettes. Au programme : le droit civil,
administratif, pénal et les sciences criminelles, les sciences économiques,
l’histoire du droit et des institutions...
Dans la suite logique du DEUG : la licence et la maîtrise de droit, assortie de
neuf mentions (droit social, droit européen, carrières judiciaires et sciences
criminelles... ). Deux autres voies sont
également accessibles : la licence d’administration publique et la licence et
maîtrise de sciences politiques. Vous
pouvez également envisager d’entrer
dans une école spécialisée sur concours
après une maîtrise : l’École nationale
de la magistrature, ou le centre de formation d’avocat.
Le DEUG AES (administration économique et sociale) est pluridisciplinaire. Le droit, l’économie, la comptabilité, les techniques quantitatives
appliquées aux sciences sociales, ou
bien encore l’histoire économique et
sociale... sont au programme. Aussi,
cette filière attire-t-elle en premier lieu
les bacheliers ES. Attention, certes,
moins poussées qu’en DEUG économie-gestion, les maths figurent bel et
bien au menu, (maximisation ou optimisation…).
Grâce au jeu des mentions, la licence
AES permet de se spécialiser dans
sept domaines différents : ressources
humaines ; administration générale et
territoriale ; commerce et affaires internationales...
Le DEUG économie-gestion attire
en premier lieu les bacheliers ES.
Cependant, il y a peu de ressemblance
entre l’enseignement d’économie de
terminale ES (surtout descriptif) et le
programme du DEUG qui s’appuie sur
un raisonnement très formalisé.
L’enseignement fait appel à l’abstraction et à l’analyse, même si les exigences en mathématiques et statistiques ont été revues à la baisse. Au
menu, trois pôles essentiels : l’analyse économique(macro- et microéco-
nomie, analyse monétaire…), les techniques quantitatives (maths, statistiques, informatique), les sciences de
gestion et la connaissance de l’entreprise (analyse des organisations, droit,
comptabilité…). À ne pas négliger
enfin, les cours de langue, de sciences
humaines et sociales.
Deux licences, suivies de la maîtrise correspondante, s’inscrivent dans la suite
du DEUG économie-gestion : la licence
et la maîtrise de sciences économiques
(dotées de huit mentions : analyse et politique économiques,économie du travail
et des ressources humaines, monnaie
et finance, économie industrielle…) ; la
licence et la maîtrise d’économétrie (des
maths,et surtout des maths !). Sont également accessibles les filières sciences
de l’éducation et aménagement.
Attention : le DEUG sciences et technologies, mention MASS (mathématiques appliquées et sciences sociales)
est à envisager avec beaucoup de précaution. Ses exigences en math sont
très élevées et le programme fait appel
à des connaissances et des méthodes
acquises en S.
Lettres, langues, sciences
humaines sont d’autres
perspectives
Les deux DEUG, lettres et langues d’une
part, sciences humaines et sociales
d’autre part, recouvrent, grâce au jeu
des mentions, une foule de spécialités
différentes. En bout de course, des secteurs d’activités et des métiers variés.
Le DEUG lettres et langues comporte huit mentions : lettres modernes ;
langues,littératures et civilisations étrangères (LLCE) ; langues étrangères appliquées (LEA)... Le DEUG LEA exige la
maîtrise de deux langues vivantes,à égalité de niveau, qui seront appliquées,
selon les cas, au droit, au commerce, à
l’informatique... avec en perspective des
débouchés en entreprise. Le DEUG LLCE
privilégie l’étude d’une langue vivante en
vue, principalement, de l’enseigner. La
mention lettres modernes attire les futurs enseignants, les inconditionnels de
la presse ou de la documentation. En
contactant directement la fac, un livret
reprenant le programme de chacune des
mentions vous sera adressé.
Le DEUG sciences humaines et sociales offre également huit mentions :
géographie, histoire, psychologie, sociologie, philosophie... Le profil requis diffère selon les mentions. La géographie
convient aux étudiants qui ne sont pas
rebutés par son côté scientifique. Les
amateurs de dissertation et de recherches documentaires se dirigent davantage en histoire... La licence de psychologie ne constitue pas un choix
judicieux pour s’orienter vers le professorat des écoles, via les instituts universitaires de formation des maîtres
(IUFM). Mieux vaut opter pour un DEUG,
puis une licence dans l’une des matières
enseignées à l’école primaire (maths,
histoire, langue, géographie ou lettres).
bac ES
À bac + 1 : les IUP
Les instituts universitaires
professionnalisés (IUP) sont
accessibles après une année
d’études supérieures validée de
DEUG, de BTS, de DUT ou de classe
préparatoire. Ils font la part belle à
la pratique professionnelle, grâce
aux nombreux stages en entreprise
et aux interventions de
professionnels. Trois années pour
décrocher la maîtrise et, pour les
plus brillants, un titre d’ingénieurmaître. Les spécialités sont
nombreuses : banque-financeassurance, commerce-vente, juriste
d’entreprise, métiers de l’hôtellerie,
du tourisme et des loisirs...
L’université :
un monde à explorer
L
En DEUG : confirmer ou
infirmer ses premiers choix
L’année universitaire est organisée en
semestres. Appelé semestre d’orientation, le premier semestre de la première année de DEUG est composé de
trois unités d’enseignements :
➜ une unité d’“enseignements fondamentaux” correspondant au DEUG
ou à la mention du DEUG choisi ;
➜ une unité de “découverte” d’autres
disciplines permettant une réorientation éventuelle en fin de semestre ;
➜ une unité de “méthodologie du travail
universitaire”, avec pour objectif d’aider
les étudiants à acquérir les méthodes
de travail et les savoir-faire nécessaires
pour réussir les études à l’université.
À la fin de ce premier semestre, vous
pourrez demander à vous diriger vers
un autre DEUG ou une autre mention
de DEUG en fonction des disciplines
que vous aurez abordées dans votre
unité de “découverte”. Quelques possibilités de réorientation vers un DUT
ou un BTS vous seront offertes.
L’université est attentive aux difficultés
que vous pouvez rencontrer. Elle peut
vous aider. Renseignez-vous auprès du
SCUIO de votre université.
Les études à l’université sont
organisées en deux cycles
s’articulant autour de la licence
cycle postlicence
es étudiants qui réussissent le
mieux à la fac sont “motivés” par
les études qu’ils suivent et sont
dans des filières de formation “cohérentes” avec la série du bac qu’ils ont
obtenu. Cela implique d’être bien informé avant de s’engager. Les universités organisent des journées “portes
ouvertes” pour les élèves de terminale... Une fois dans les murs, profitez
des séances d’information qui vous
sont destinées. Particulièrement au
moment des inscriptions pédagogiques, c’est-à-dire au moment où vous
choisirez vos cours et vos travaux dirigés (TD). Ne manquez pas les séances
de tutorat organisées en petits
groupes. Les tuteurs (étudiants de 2e
et 3e cycles) vous apportent une aide
dans l’organisation de votre travail et
dans vos recherches documentaires.
[
[
cycle prélicence
L’organisation des études
universitaires est
complexe : plusieurs niveaux, nombreux diplômes.
Elle ne doit pas vous échapper. Nombreux sont ceux
qui, avant vous, se sont engagés sans bien la connaître
et sans s’y préparer.
Résultat : un taux encore
trop élevé d’échecs et
d’abandons en première
année. Pourtant, les universités s’efforcent de mettre
en place des dispositifs efficaces d’aide aux étudiants :
cours de soutien, mises à niveau, aide des aînés dans le
cadre du “tutorat”... ) La clé
de la réussite ? Une bonne
organisation du travail et
l’assiduité en cours. Et si
vous perdez pied, n’attendez
pas d’être complètement
noyé pour solliciter l’aide de
vos professeurs et des tuteurs !
5e
année
Master
DEA - DESS
DRT
4e
année
Maîtrise
MST
IUP
3e
année
Licence
Licence pro
MST
IUP
2e
année
1re
année
DEUG 2e année
DEUST 2e année
IUP
1re année de DEUG (ou DEUST)
DEUG : diplôme d’études universitaires
générales
DEUST : diplôme d’études universitaires
scientifiques et techniques
DEA : diplôme d’études approfondies
DESS : diplôme d’études supérieures
spécialisées
DRT : diplôme de recherche technologique
IUP : institut universitaire professionnalisé
Master : nouveau diplôme national
(professionnel ou de recherche)
MST : maîtrise de sciences et techniques
Classes préparatoires
une filière exigeante
bac ES
Choisir sa prépa
ous avez choisi de vous diriger
vers une classe préparatoire ?
Les prépas recrutent sur dossier les meilleurs d’entre vous. En
effet, c’est la meilleure voie pour se
présenter aux concours des grandes
écoles, mais ce sont des classes qui
exigent deux ou trois années de travail
intensif..
Elles permettent d’acquérir de solides
méthodes de travail. Un gage de succès aux concours, mais aussi en cas
de réorientation vers l’université, une
école spécialisée… Le temps passé
en classe préparatoire n’est, dans ce
cas, jamais perdu.
V
➜ Conçues spécialement pour les bacheliers ES, les classes préparatoires
économiques et commerciales, option
économique, permettent de préparer
les concours d’entrée dans une grande
Zoom sur les instituts
d’études politiques
De haut niveau, les études dispensées dans les IEP (souvent appelés
“Sciences Po”) durent quatre ans
(cinq ans à Paris). Prononcée après
la réussite à des tests écrits, l’admission peut intervenir directement
après le bac, après un bac + 2 ou un
bac + 3. D’abord généraliste, la formation permet de se spécialiser en
économie et finance, service public,
ressources humaines, communication.
école de commerce (il en existe une
centaine).
➜ Avec, en plus, un très bon niveau
dans les disciplines littéraires, vous
pouvez envisager d’entrer en classe
préparatoire littéraire. Et tout particulièrement, en classe prépa “lettres et
sciences sociales”, avec en ligne de
mire les concours d’admission aux
écoles normales supérieures Ulm,
Lyon et Cachan, à l’École nationale de
la statistique et de l’administration
économique (ENSAE) et aussi aux
écoles supérieures de commerce.
Un conseil :
Dès l’entrée en prépa, inscrivez-vous
parallèlement à l’université en DEUG.
Cela vous sera utile en cas d’abandon
ou d’échec aux concours. Vous éviterez ainsi de repartir de zéro après une
ou deux années de prépa.
Pour se donner toutes les chances
d’être admis en prépa et tirer profit
de l’enseignement qui y sera
dispensé, il est important de
postuler pour des établissements
“à sa portée”. Choisir n’est pas
facile. Il faut prendre en compte
son niveau scolaire, ses capacités
de travail, ses objectifs d’études et
projets professionnels. Et, surtout,
bien évaluer le niveau d’exigences
des établissements d’accueil. Une
réflexion à mener bien avant le
moment de constituer son dossier
d’inscription. Une nouvelle
procédure d’inscription est
actuellement mise en place. Les
candidats pourront formuler 12
vœux (au lieu de 3) et un 13e vœu
géographique et devront se
connecter sur le site :
http://www.admission-prepas.org
à partir du 3 décembre 2002.
Zoom sur la filière comptable
De bac + 2 au diplôme d’expertise
comptable (7 ans et plus), la route est
longue. Elle est balisée de diplômes intermédiaires à caractère professionnel.
Vous pourrez commencer par un DEUG
économie-gestion, un DUT gestion des
entreprises et des administrations
(GEA), un BTS comptabilité et gestion
des organisations ou éventuellement
le diplôme préparatoire aux études
comptables et financières (DPECF)
dont la préparation est assurée dans
certains lycées.
Avec l’un de ces diplômes en poche,
vous pourrez préparer le diplôme
d’études comptables et financières
(DECF) ou la maîtrise de sciences et
techniques comptables et financières
(MSTCF), puis continuer, si vous le désirez, vers le diplôme d’études supérieures comptables et financières
(DESCF) et le diplôme d’expertise
comptable (DEC).
BTS-DUT : pour un accès rapide
à la vie professionnelle
ssociant pratique professionnelle
(un stage obligatoire d’une dizaine
de semaines) et cours théoriques,
les BTS (préparés au lycée) et les DUT
(préparés à l’université) ont pour vocation première une insertion professionnelle rapide. Parmi les spécialités les
plus prisées des bacheliers ES : les DUT
techniques de commercialisation, gestion des entreprises et des administra-
A
tions (GEA), gestion administrative et
commerciale (GACO), gestion logistique
et transport, carrières juridiques, les BTS
commerce international, force de vente,
assurance... Informez-vous sur leur
contenu et leurs débouchés.
De plus en plus d’étudiants continuent
leurs études au-delà de bac + 2 : à l’université,et notamment pour y préparer une
licence professionnelle (voir l’encadré),
pour intégrer un institut universitaire professionnalisé (voir l’encadré),ou une école
de commerce. Mais attention, les poursuites d’études après un DUT,et a fortiori
après un BTS, n’ont pas de caractère automatique et dépendent,en particulier,de
la spécialité préparée en BTS ou en DUT.
bac ES
Les licences professionnelles
Une école spécialisée pour
une vocation particulière
ne quarantaine de grandes
écoles de commerce recrutent
sur concours après le bac pour
quatre ou cinq ans d’études. À choisir
si vous voulez vous plonger tout de suite
dans le concret (marketing, management, économie, commerce international…). Ces écoles accueillent volontiers les bacheliers ES à condition qu’ils
ne soient pas allergiques aux maths.
D’autres écoles : de vente (en particulier celles dépendant du réseau des
U
chambres de commerce et d’industrie),
du secteur social, de secrétariat spécialisé, de notariat, les écoles du tourisme, de l’information et de la communication, du transport... sont des
pistes à explorer si vous avez un projet professionnel bien précis. Ces
écoles sont accessibles, selon les cas,
directement après le bac ou après un
DEUG, un DUT, un BTS. Vous vous engagerez alors pour trois à cinq ans
d’études.
Les licences professionnelles
accueillent des titulaires d’un
DUT, d’un BTS, d’un DEUG…
Conçue en étroite liaison avec le
monde professionnel, la formation
– qui dure un an – comporte un
stage de 12 à 16 semaines et un
projet “tutoré”. Objectif clair :
déboucher directement sur la vie
active, avec un bac + 3. Même si
certains pourront continuer leurs
études pour préparer une MST, un
diplôme délivré en IUP...
Les licences professionnelles
couvrent des domaines variés
comme la gestion et le
commerce, la communication et
l’information, les services aux
personnes et à la collectivité…
Pour vous aider dans vos choix
Rencontrez le conseiller
d’orientation-psychologue,
soit au centre d’information
et d’orientation (CIO), soit
lors de sa permanence au
lycée.
Faites le point avec votre
professeur principal.
Rendez-vous dans les salons sur les études et les
métiers et aux journées
“portes ouvertes” organisées par les établissements.
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productions de l’ONISEP.
Le guide régional “Après le
bac” est distribué à tous les
élèves de terminale des lycées publics et privés sous
contrat. Vous y trouverez
toutes les informations sur
les formations post-bac de
votre académie, leurs conditions d’admission et d’inscription, les bourses, le logement...
Pour avoir un panorama général des études supérieures et de leurs débouchés, lisez “Après le bac”, à
paraître en janvier 2003.
La collection Infosup vous
donne des informations sur
les filières unversitaires et
leurs débouchés. La revue
Avenirs et la collection
Parcours informent sur les
secteurs professionnels,
l’emploi, les métiers et les
formations qui y mènent. Il
en existe dans les
domaines de la gestion, de
l’économie, du commerce,
de la comptabilité et de la
finance, du droit, de l’histoire et de la géographie...
À signaler : “Le guide des
grandes écoles de commerce” (Dossiers).
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www.onisep.fr
Ministère de la Jeunesse, de l’Éducation nationale et de
la Recherche ● ONISEP, Office national d’information sur
les enseignements et les professions, BP 86 Lognes,
77423 Marne-la-Vallée cedex 2 ● Directeur de la
publication : J. Chapuisat ● Rédactrice en chef : A. Girot
● Rédactrice en chef adjointe : A. Ghys ● Rédacteurs :
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Documentation : M. Forestié, V. Forestiez, V. Barteau ●
Relecture : G. Mollard ● Fabrication : M.C. Jugeau ●
Conception graphique : E. Delzescaux ● Couverture : P.
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● ISSN : 0767-61900 ● Code Autodoc ONISEP : A04-03
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Imprimé par : La Galiotte Prenant (France) ● Dépôt légal :
novembre 2002 ● Reproduction, même partielle, interdite
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