docs barbares-Grecs textes élèves

Transcription

docs barbares-Grecs textes élèves
Des passages de vos travaux en cours, pour vous aider à progresser tous…
L’ensemble des textes compare les grecs avec les autres
hommes.
Je crois que l’idée principale de ces textes, c’est l’idée de la
crainte, de la peur envers l’étranger. La peur d’être mis en
échec par une autre population, pas celle de la xénophobie,
une peur patriotique…
En se séparant, les deux sœurs ne sont plus dans le même
cocon, c’est-à-dire qu’elles n’habitent pas la même terre et
n’auront peut-être pas le même destin et surtout pas le
même destin et la même patrie.
Il y a deux sœurs qui étaient vêtues de différente façon à
cause des traditions présentes dans le groupe où elles
habitent, ce qui démontre que même étant du même sang et
ayant des traditions celles-ci changent en fonction du lieu où
le membre de la famille habite.
Ce n’est pas parce qu’on est de la même famille qu’on est
systématiquement de la même patrie. En effet, ce texte
explique que chaque patrie s’oppose mais qui dit patrie dit
cité.
L’une est grecque, elle respecte les coutumes, elle vit selon
ce que croient les gens de sa patrie. Mais l’autre,
quoiqu’étant du même sang, a des points de vue différentes,
ce qui en fait une barbare par rapport à sa sœur. Nous
pouvons relier cela avec le problème de la guerre que nous
avons eu à traiter. Les grecs croyaient que s’il on ne fait pas
partie d’un groupe lors d’une guerre on ne fait pas partie du
peuple. Donc ceux-là sont considérés en quelque sorte
comme des barbares. Bien qu’ils soient du même peuple et
du même sang, ils ne font pas partie de la même patrie. Nous
relions cela au texte d’Aristote qui nous dit que les hommes
sont faits pour vivre en société, qu’il est de la nature de
l’homme de former des sociétés car c’est un être
« sociable ». Un homme qui est « sauvage par organisation »,
c’est-à-dire qu’il le veut, n’est pas un homme à fréquenter,
c’est un « fou » ou « un être supérieur » ce qui veut dire un
dieu. En cela nous comprenons que l’homme doit vivre en
société parce qu’il n’est pas un dieu. Ainsi tout ce qui ne vit
pas en association ne vit pas une vie normale.
Eschyle nous présente deux peuples, le peuple grec
représenté par la femme vêtue d’une robe Dorienne, et le
peuple barbare représenté par la femme vêtue d’une robe
perse. Ce sont deux sœurs. cela signifie qu’il y a d’un côté
ceux du peuple grec, qui respecte les coutumes grecques, et
de l’autre, ceux qui ne respectent pas les coutumes, et qui
sont considérés comme barbares.
Tous parlent de la terre barbare et de la Grèce. En
431 av. JC, il y a eu la Guerre du Péloponèse, qui opposa les
grecs aux barbares qui étaient les Perses. La guerre dura
35 ans. A cause de la guerre il y a eu la chute de la
démocratie en 404 av. JC.
Dans le texte 1, on peut voir que par rapport à ce que dit
Eschyle, la Grèce et les Perses sont en guerre. Les deux
sœurs du même sang s’affrontent à cause de là où elles
habitent. Dans le texte 2, Hérodote a écrit dans ce texte
toutes ces recherches par que personne n’oublie ce qu’ils ont
fait. Pour ne pas que s’efface de la mémoire.
On nous dit tout d’abord que les grecs ont distancié les
autres hommes pour la pensée et la parole. Les grecs se
sentaient bien supérieurs aux autres peuples. Ils restent en
comité. En second plan on nous dit que les citoyens sont
devenus les maîtres des autres ce qui veut dire que le peuple
grec essayait de diriger les autres peuples. Ils se sentaient
extrêmement supérieurs aux autres. En troisième plan, on
nous dit que les grecs ont fait employer le nom de grecs non
plus comme celui de la race mais comme celui de
l’intelligence. Être grec, ce n’est pas appartenir à un peuple
mais être intelligent.
Dans le texte d’Aristote il est expliqué que la plus importante
des associations, on la nomme État et association politique,
elle renferme toutes les autres associations. Elles visent
toutes à un bien mais le plus important des biens doit être
l’objet de la plus importante association. On peut prendre ce
texte comme une métaphore qui explique que la cité grecque
comprend toutes les autres terres déjà conquises qui visent
toutes un même bien qui est le peuple barbare, qui est
l’objet de la plus importante association, c’est-à-dire la cité
grecque.
Aristote nous dit qu’en Grèce toute association a un but, un
choix, selon leurs points de vue adoptés.
Hérodote ne veut pas que l’on oublie les cause de la guerre
entre les barbares et les grecs. Car si l’on se souvient de ses
erreurs, on ne les reproduira plus.
Le texte 3 semble dire que les grecs et les barbares n’ont
rien à voir entre eux, alors que le texte 7 semble dire le
contraire.
Dans le livre, on nous dit qu’est grec celui qui a des parents
grecs, alors que dans le texte d’Eschyle, on nous dit que deux
sœurs, donc elles ont les même parents, ne sont pas de la
même patrie. L’une est grecque, l’autre est en barbare.
Eschyle veut peut-être nous dire que ce n’est pas le sang qui
fait ce que nous sommes mais notre culture et notre
éducation. Donc des gens qui ne sont pas nés grecs mais qui
ont la même éducation devraient pouvoir le devenir.
D’ailleurs la règle est toujours vraie aujourd’hui, ce n’est pas
nos gènes te notre sang qui font ce que nous sommes mais
notre éducation.
On pourrait faire un texte global :
texte 1 : différences entre grecs et barbares (vestimentaire)
texte 2, conflits entre les deux patries
texte 7, des ressemblances malgré les conflits
texte 3, ressemblances
texte 4 puis 6, associations
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