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Le Nouveau magazine en ligne du Gnis
DOSSIER DE PRESSE
Service de presse : Marie-Catherine Gault
11, rue Fessart – 92100 Boulogne
Tél : 01.41.10.49.49
e.mail : [email protected]
Gnis – Contact : Delphine Guey
44, rue du Louvre – 75001 Paris
Tél : 01.42.33.88.27
L’ouverture du Salon International de l’Agriculture*, le 3 mars 2007, sera l’occasion
pour le Gnis** de présenter, en exclusivité, son nouveau site Internet grand public :
www.semencemag.fr. Un magazine en ligne entièrement consacré au monde des
semences et son rôle dans notre vie quotidienne.
Les plantes constituent, en effet, une source précieuse pour résoudre aux besoins
d’aujourd’hui et aux enjeux de demain.
Objet de multiples travaux de recherche et d’innovations permanentes, l’adaptation
des plantes à nos besoins suscite de nombreuses interrogations, car nous sommes
dans le domaine du vivant : « Les anciennes variétés ont-elles disparu ? », « Quelles
plantes peut-on transformer en biocarburants ? » ou encore « Quel blé pour le
pain ? », « Comment éviter que ma pelouse devienne un paillasson ? »…
A travers 6 grands thèmes, « semencemag.fr » propose de nombreux articles qui
abordent des sujets d’actualité pour informer le grand public sur « notre
alimentation », « notre santé », « notre jardin », « notre cadre de vie », « notre
campagne » et « notre planète ». Réactualisé en permanence, ce magazine en
ligne** séduira non seulement par la richesse de son contenu mais aussi par sa lecture
et sa navigation très simples, ses nombreuses illustrations, sans oublier ses dessins
humoristiques.
Toujours dans le souci de faciliter la lecture et la compréhension, des mini-articles et
interviews sous forme d’encadrés donnent, quant à eux, des exemples concrets, des
anecdotes, des rappels historiques, des chiffres et restituent également le contexte
économique ou réglementaire.
Enfin, un espace « Approfondir » propose des grands dossiers de fond en lien avec
les différents sujets abordés pour éclairer le grand public sur : « la biodiversité »,
« l’agriculture durable », « la qualité des aliments », « les questions d’eau »,
«l’amélioration des plantes», « les plantes transgéniques », « les biocarburants »,
« les plantes et brevets » et « les textiles et biomatériaux ».
L’internaute peut participer aux dossiers en donnant son avis, en réagissant aux
articles mis en ligne sur le site.
Grâce à ce nouveau site interactif, la filière semences apporte ainsi des éléments de
réponses à des questions d’actualité et donne quelques pistes pour comprendre et
réfléchir ensemble.
* SIA, du 3 au 11 mars 2007 – Parc des Expositions – Porte de Versailles – Stand Odyssée
Végétale Hall 2-2
** Groupement National Interprofessionnel des Semences et Plants
C'était mieux du temps de la cueillette ?
Il fut un temps où l'homme se nourrissait directement des produits de la nature: chasse, pêche,
cueillette... Ce mode de vie n'est plus qu'un lointain souvenir.
Aujourd'hui celui qui déguste une pomme ne l'a généralement pas cueillie. Et celui qui récolte le blé
ne fait plus sa farine et son pain.
Depuis que les premières industries agroalimentaires du 19ème siècle ont pris en charge la
transformation des matières premières issues de l'agriculture, la chaîne alimentaire est devenue plus
complexe avec des professionnels de plus en plus spécialisés. On oublierait presque qu'à l'origine
des épinards surgelés, des céréales du petit déjeuner ou des frites, il y a toujours des plantes
cultivées, elles-mêmes issues... de semences.
Est-ce pour le pire ou pour le meilleur ?
Un retour en arrière s'impose : il y a moins de 250 ans, on mourait encore de famine et
d'intoxications alimentaires en Europe. Il y a 50 ans, beaucoup de variétés de légumes n'existaient
pas encore et aujourd'hui chacun peut disposer chaque jour de produits de qualité : fruits, légumes,
pâtes, pain, céréales pour petit déjeuner, huiles, bière...
Mais le bonheur est-il dans ce que l'on possède ou dans ce que l'on désire? Dans la réalité ou dans
l'imaginaire?
Dans cette rubrique qui aborde les questions liées à la sécurité alimentaire, la
qualité des aliments, la diversité des produits et des utilisations ainsi que la question
du goût, on découvrira, entre autres :
9 Pourquoi les spaghettis ne collent-ils plus ?
9 S’il est vrai que de nos jours les tomates n’ont plus de goût !
9 Qu’en 1845, des champs entiers de pommes de terre sont décimés par un
parasite qui provoque la famine en Irlande. Qu’en est-il aujourd’hui ?
On devient ce que l’on mange.
« Cette affirmation souvent reprise reflète les préoccupations actuelles.
Mais il y a 60 ans, après la dernière guerre mondiale et les rationnements généralisés, la
préoccupation principale concernait l'accès à la nourriture elle-même. A cette époque, la France, en
quelques dizaines d'années, atteint non seulement l'autosuffisance, mais devient un grand pays
exportateur de produits agricoles. Pour les familles, l'alimentation représentait également une part
importante du budget. Depuis, la part de l'alimentation s'est fortement réduite. Avoir régulièrement
plus de choix est devenu une demande forte, et la réponse est maintenant évidente dans les rayons
de nos magasins d'alimentation.
Après ces attentes en terme de disponibilité, de prix, de choix et de qualité constante, les demandes
des consommateurs se sont orientées vers la santé. La preuve : les dizaines de revues et magazines
vendus chaque jour sur les thèmes de la santé et de l'alimentation.
En effet, devenu célèbre, le régime crétois, avec ses tomates et son huile d'olive, a mis en évidence
les rapports étroits entre santé et alimentation. Aujourd'hui, on cherche à joindre l'utile à l'agréable,
avec des aliments à la fois savoureux et bénéfiques pour la santé.
Du côté de la création de nouvelles variétés de légumes, de céréales et autres plantes à huile, c'est
donc tout naturellement que les aspects nutritionnels sont pris en compte.
Mais si les produits issus de l'agriculture sont de qualité, il nous restera toujours un effort à faire :
équilibrer et diversifier notre alimentation. »
Dans cette rubrique qui aborde les questions liées aux allergies, à la qualité des
productions ou à l’équilibre nutritionnel ;
on découvrira, entre autres :
9 Si le profil idéal en acides gras existe pour huiles végétales ?
9 Si le sucre fait grossir ou quel sucre choisir ?
9 Si les allergiques sont condamnés à bannir de leur cuisine des aliments qui les
indisposent ?
Nos jardins ont bien changé !
« Nos jardins ont bien changé au cours des vingt dernières années : les fleurs, les plantes vivaces,
les massifs, les arbustes ont gagné du terrain. La pelouse est devenue plus accueillante, le potager
est de plus petite taille et tourné vers le plaisir et la découverte.
Avec les chercheurs, de nouvelles espèces et variétés de fleurs et de légumes sont venues enrichir
nos jardins, les couleurs sont plus variées et durent plus longtemps.
Bref, les jardins d'aujourd'hui sont bien différents de ceux de nos aînés. Et cela semble assez
normal...
Mais avec toutes ces évolutions, le jardinier se pose de nouvelles questions : Que puis-je cultiver
dans mon petit jardin ? Comment faire de mon potager un jardin d'agrément ? Qu'est ce qu'une
variété F1 ? Est-ce que je peux faire du bio dans mon jardin ? Comment puis-je éviter que ma
pelouse ne se transforme en paillasson l'été ?
Face à toutes ces questions, voici quelques points de repère. »
Dans cette rubrique qui aborde l’esthétique et le plaisir des pelouses, les
conditionnements des semences et plants, la diversité des fleurs et légumes mais
aussi les variétés anciennes, de culture bio ou hybrides ;
on découvrira, entre autres :
9 Si une pelouse desséchée chaque été, c’est une fatalité ? Et, s’il faut renoncer
aux siestes estivales sur une pelouse moelleuse et fraîche ?
9 Que la pelouse est une source de plaisir pour 41 % des français
9 Si on peut faire du bio dans son jardin ?
9 Ce qu’est une variété hybride F1…
Ces plantes que l'on ne voit pas toujours
« Quel rapport peut-il bien y avoir entre le travail des chercheurs pour améliorer les semences de
légumes et les massifs des squares ou les ronds-points de nos quartiers ?
A y regarder de plus près, on découvre parfois qu'au milieu des fleurs et des arbustes, des jardiniers
professionnels inspirés introduisent des plantes potagères pour créer des compositions originales.
Du côté des sélectionneurs, cette tendance est prise en compte. Proposer davantage de nouvelles
variétés adaptées à cet usage, comme des aubergines blanches par exemple, fait aujourd'hui partie
de leurs objectifs.
En fait, de nombreux aspects de notre vie quotidienne, souvent insoupçonnés, donnent l'occasion
aux professionnels des semences d'exercer leurs talents. Ils doivent faire face à de multiples
demandes: des légumes décoratifs mais aussi des fleurs pour les jachères, des fibres végétales pour
nos vêtements, des biocarburants pour nos voitures, des gazons qui résistent au piétinement pour
nos pelouses, des matériaux biodégradables pour nos sacs plastiques...
De nombreuses plantes, que l'on ne voit pas toujours, font désormais partie de notre quotidien et de
notre cadre de vie. »
Dans cette rubrique qui aborde les questions liées aux différentes utilisations de la
pelouse ou du lin, de la qualité visuelle des légumes décoratifs, des cultures de colza
ou de tournesol, à l’environnement avec le maïs pour plastiques biodégradables ;
on découvrira, entre autres :
9 Que l’idée d’utiliser les légumes comme élément de décor est loin d’être
récente.
9 Si les huiles végétales de colza et de tournesol vont bientôt remplacer les
carburants issus du pétrole ?
9 Que pour la fibre de lin, qui offre une large palette d’utilisations, notamment
dans la mode, c’est le couturier qui demande à l’agriculteur qui demande au
chercheur…
Le nouveau visage de nos campagnes
« Las des alertes alimentaires à répétition, du battage médiatique et des débats d'experts souvent
obscurs, pourquoi ne pas profiter d'une belle journée ensoleillée à la campagne ?
Sortis de la ville et de ses innombrables ronds-points périphériques, nous voici enfin au coeur de
notre campagne, au coeur des lieux qui font débat donc.
Premières impressions : au premier plan, un champ de maïs avec sa rampe d'irrigation à plein
régime. Dans le lointain, un tracteur répand des pesticides. Les questions se bousculent : ne peut-on
utiliser moins d'eau, moins de produits chimiques ?
Pourtant, le paysage conserve sa beauté. Des reflets bleus d'une fleur inconnue colorent les champs
avec harmonie. Des vaches broutent paisiblement dans des pâturages aux tons variés.
Cette vision nous interpelle sur l'évolution de nos campagnes dans un contexte difficile : comment
nos agriculteurs arrivent-ils à conjuguer modernité, réalités économiques et respect de
l'environnement ? Peut-être tout simplement grâce à la passion de leur métier... et leur capacité à
s'adapter. »
Dans cette rubrique qui aborde les questions liées à la nature, aux pratiques
culturales comme l’agriculture biologique, à l’environnement avec les bandes
enherbées ou les abeilles ou encore les nouveaux débouchés avec les biogaz ;
on découvrira, entre autres :
9 Des cultures au service des nappes phréatiques, qui retiennent les nitrates et
protègent les sols
9 Que le maïs, souvent mis en cause par les médias en période de canicule,
utilise peu d’eau par kilo, contrairement aux idées reçues
9 Qu’est-ce qui peut bien décimer nos abeilles nationales ?
9 Un scoop : les vaches mangent toujours de l’herbe !
Faudra t-il se délocaliser sur la planète Mars ?
« Chaque jour, nous prenons un peu plus conscience des effets de l'action humaine sur notre planète
Terre.
Bien sûr, l'exploitation de minerais, de mines de sel, de charbon, de gypse, ainsi que du gaz, du
pétrole, des océans... a permis de développer l'économie et d'améliorer les niveaux de vie. Mais
toute médaille a son revers. En l'occurrence, la dégradation de l'environnement et l'épuisement d'une
grande partie de nos ressources naturelles.
Sans prendre la situation à la légère, faut-il envisager comme unique solution pour les générations
futures la migration vers d'autres planètes ?
Comme il n'est pas possible de revenir à la situation initiale avant l'ère industrielle, il faut tout
mettre en œuvre, en particulier au niveau de la recherche, pour relever les enjeux.
Les plantes sont des ressources renouvelables par excellence. Nous les utilisons déjà pour la
nourriture, les vêtements, les soins... Mais les chercheurs savent que les ressources cachées au coeur
des plantes sont considérables et peuvent nous apporter beaucoup et dans de très nombreux
domaines.
En voici quelques exemples. »
Dans cette rubrique qui aborde les questions liées à l’agriculture durable, aux
biocarburants, au réchauffement climatique ou à la recherche de la dépollution ;
on découvrira, entre autres :
9 Quelles plantes on peut transformer en biocarburants ?
9 La dépollution des sols avec des plantes qui font le ménage.
9 Pourquoi certaines espèces supportent la sécheresse alors que d’autres
succombent rapidement ? L’exemple de l’Afrique où certains végétaux font
face au manque d’eau depuis longtemps.
9 C’est en Europe que l’on produit les plus belles fibres longues de lin avec les
meilleurs rendements. Ces fibres que la chine nous envie…