UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2

UNIVERSITÉ LUMIÈRE LYON 2
Née en 1968 de la scission de l’université
de Lyon en trois entités, l'Université Lyon 2 a
pris le nom d’Université Lumière Lyon 2 en
1987, en hommage aux frères Lumière.
Elle regroupe aujourd’hui 6 facultés et 6
instituts proposant près de 250 formations
dans
trois grands domaines :
L’ENTREPRISE
- Sciences humaines et sociales
- Arts, lettres, langues
- Droit, économie, gestion
Ses deux campus – Berges du Rhône (dans
le centre de Lyon) et Porte des Alpes (sur les
communes de Bron et St-Priest) –
accueillent en licence, master et doctorat
plus de 28 000 étudiants, dont 16%
d’étudiants étrangers et plus de 1300
sportifs de haut niveau.
L’université emploie 2000 personnes, dont
976 enseignants.
PROBLÉMATIQUE DU PROJET
Remplacer la solution de sauvegarde sur
bandes existante par une solution sur
disque sans changer de logiciel de
sauvegarde.
Absorber l’augmentation des volumes de
données à sauvegarder (+ 30% par an) tout
en maîtrisant la taille des fenêtres de
sauvegardes et les capacités de stockage.
Mettre en place une solution de restauration
et de reprise d’exploitation rapides en cas
de sinistre sur l’un des deux data centers.
CU
R
É FSÉTROEM
N ECRE PC RL IOEFNI TL E
Depuis octobre 2010, l’Université Lumière Lyon 2 s’appuie sur la solution de déduplication de
données EMC Data Domain pour réduire ses volumes et ses temps de sauvegarde. La
réplication automatique des sauvegardes dédupliquées entre deux data centers garantit une
reprise rapide en cas de sinistre sur l’un des sites.
CONTEXTE
Ses librairies de sauvegarde sur bandes arrivant à saturation et en fin de maintenance, la
direction des systèmes d’information (DSI) de l’université souhaitait se doter d’une
infrastructure répondant mieux à ses contraintes d’exploitation et à ses besoins de protection
des données. Exploitant un environnement où 90% des serveurs sont virtualisés, la DSI a
rapidement privilégié l’idée d’une sauvegarde sur disque, ainsi que le recours à une
technologie de déduplication, compte tenu des volumes de données à sauvegarder (52
téraoctets par mois) et de leur croissance continue. La DSI souhaitait également tirer parti de
ses deux data centers distants de 8 km pour mettre en place une sauvegarde déportée,
minimisant les risques de perte de données et d’interruption de services en cas de désastre
sur l’un ou l’autre site. Cette orientation, difficilement compatible avec les technologies de
bandes physiques, a conforté le choix d’une solution de sauvegarde dédupliquée, avec
réplication croisée des flux entre les deux data centers.
SOLUTION
Après une étude comparative des solutions du marché, l’Université a retenu la solution Data
Domain d’EMC, pour la supériorité de ses taux de déduplication, son fonctionnement
véritablement online, c’est-à-dire sans étape de stockage intermédiaire, et la possibilité de
choisir entre le stockage des sauvegardes sur disque ou sur bandes virtuelles. Afin de
conserver à la fois la logique de fonctionnement et le logiciel de sauvegarde préexistants,
l’université a retenu cette deuxième option. Une applicance Data Domain a été déployée sur
chacun des sites. Elle recoit les flux de sauvegarde des serveurs locaux via le SAN et les
déduplique au fil de l’eau. Dans un deuxième temps, elle envoie automatiquement les
données sauvegardées vers la baie Data Domain de l’autre site. Le dispositif de sauvegarde
couvre les bases de données Oracle (toutes les heures) et les applications SAP (sauvegarde
complète quotidienne), les fichiers et documents bureautiques (quotidiennement) ainsi que
les machines virtuelles elles-mêmes (une fois par semaine).
BÉNÉFICES
La réduction des volumes sauvegardés est le premier bénéfice observé :
une fois compressés et dédupliqués, les 13 To sauvegardés chaque semaine avec une
rétention de 4 semaines, n’occupent que 2,1 To, soit un taux moyen de 24 pour 1. Au
quotidien, le plus grand bénéfice est l’élimination de toutes les contraintes liées à la gestion
des bandes physiques, en particulier à leur externalisation puisque les sauvegardes sont
répliquées à distance. Le fait d’avoir une Data Domain sur chaque site apporte une double
sécurité : les sauvegardes dédupliquées stockées localement peuvent être restaurées très
rapidement. Comme elles existent à l’identique sur l’autre site, il est possible en cas de
sinistre de dérouler non seulement un plan de récupération des données mais un véritable
plan de reprise, en restaurant les machines virtuelles à partir des sauvegardes.
« En déployant une baie EMC Data
Domain sur nos deux sites, nous
bénéficions d’une solution
d’externalisation automatique des
sauvegardes, avec l’assurance de
pourvoir restaurer rapidement aussi bien
les machines virtuelles que les données
en cas de sinistre sur l’un des sites.
Outre cette sécurité, la gestion
quotidienne des sauvegardes est
significativement simplifiée et les
volumétries sérieusement allégées
puisque nous observons un taux moyen
de déduplication de 24 pour 1.»
Alexandre Mirek,
Responsable de l’équipe systèmes,
DSI, Université Lumière Lyon 2
Questions à Alexandre Mirek, Responsable de
l’équipe systèmes, DSI, Université Lumière Lyon 2
QUELLE ÉTAIT VOTRE PROBLÉMATIQUE INITIALE ?
« Les librairies LTO de nos deux data centers étaient en voie de saturation. Chaque semaine
nous étions obligés de recycler des bandes pour respecter la politique de rétention de quatre
semaines que j’avais programmée. Ces matériels étant en fin de période de maintenance,
nous avons comparé les avantages que nous aurions à les renouveler ou à passer à une
sauvegarde sur disque, sachant que nous ne voulions pas changer de logiciel de sauvegarde.
Au-delà du problème de saturation des librairies, nous souhaitions renforcer la sécurité des
données. En 1999, le site des Berges du Rhône a subi un incendie qui a failli gagner la salle
serveurs. Pour prévenir ce type de désastre, il nous fallait pour chaque site une sauvegarde
déportée, ce qui était assez lourd à mettre en œuvre avec une technologie de bandes
physiques. En prenant en compte ces différents éléments, la sauvegarde sur disque s’est
imposée assez facilement et, avec elle, la nécessité de dédupliquer les sauvegardes, pour une
meilleure maîtrise des volumétries mais aussi des temps de sauvegarde et de restauration. »
POURQUOI AVOIR CHOISI LA SOLUTION
DATADOMAIN D’EMC ?
« Nous avons choisi Data Domain à la suite d’un POC (proof of concept) comparatif. La
solution d’EMC arrivait largement en tête en termes de taux de déduplication et surtout elle
offrait une déduplication en mémoire, contrairement aux solutions concurrentes qui
imposaient une étape de stockage intermédiaire. L’option bandes virtuelles de la Data
Domain nous permettait, de plus, de rester très proches de la logique de la configuration
existante et, donc, de bénéficier d’une sauvegarde LAN-free : pour le logiciel de sauvegarde,
la cible est assimilée à des bandes physiques et, comme avec les anciennes librairies, les
flux transitent par le SAN. Cela libère le LAN et le débit est quatre fois plus élevé. La solution
EMC éliminait aussi la nécessité de paralléliser les sauvegardes comme nous étions obligés
de le faire pour optimiser l’alimentation et le fonctionnement des lecteurs. Enfin, sans
logiciel supplémentaire, les baies DataDomain permettaient la mise en place d’un schéma
de sauvegarde croisée entre nos deux sites, d’autant plus facilement que les échanges
intersites portent uniquement sur des données dédupliquées. »
PARMI LES BÉNÉFICES OBTENUS LESQUELS VOUS
PARAISSENT LES PLUS ESSENTIELS ?
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Pour plus d’informations sur les autres
produits et services EMC, rendez-vous sur
notre site Web à l’adresse www.emc2.fr
« La réduction du temps d’administration des sauvegardes est très significative et nous
avons plus de flexibilité qu’avant dans notre politique de sauvegarde, par exemple pour les
sauvegardes à chaud ou horaires de certaines bases de données. Les restaurations sont
également plus rapides et plus précises puisqu’on peut facilement descendre au niveau du
fichier. En termes de réduction des volumes sauvegardés, la performance de la solution EMC
est spectaculaire : dès la deuxième sauvegarde nous avons observé un taux de
déduplication/compression moyen de 24 pour 1. En fin de semaine, sur les dernières 24
heures, le taux atteint 35 pour 1. Sur nos volumétries, cela fait une différence très
significative en termes de capacité de stockage.
Enfin, avec une baie Data Domain sur chaque site, nous avons le meilleur des mondes : les
avantages d’une sauvegarde locale sur disque et la sécurité d’une sauvegarde déportée – le
tout sans manipulation de bandes ni problèmes mécaniques, et avec beaucoup plus de
sérénité ! »
Produits clés de la solution
Systèmes : 2 baies EMC Data Domain 670 (7,6 To utiles/baie)
EMC Computer Systems France
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