Avantages et inconvénients des béquilles
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Avantages et inconvénients des béquilles
Avantages et inconvénients des béquilles En descendant du 2ème étage par les escaliers, un manque d'attention et c'est la catastrophe. On glisse, on se tord la cheville. Et c'est parti pour 2 semaines de béquilles. Je peux vous parler de cela car, il y a quelques semaines, il m'est arrivé une mésaventure. Pendant un entraînement de foot, je me suis tordu le ligament du genou gauche en shootant dans le ballon. A cause (ou grâce) à cela j'ai dû changer d'option temporairement. J'ai donc arrêté l'option sport et me voilà dans l'option journalisme. C'est pour cela que je vais vous parler des avantages et des inconvénients d'avoir des béquilles pour un ado. A l'école, les avantages sont plutôt géniaux. Chaque jour, les parents ou les grandsparents amènent le blessé à l'école. Le port des pantoufles, en cours, n'est pas obligatoire. Quelqu'un est toujours là pour vous aider à ouvrir les portes, à porter vos livres ou votre sac. On peut également utiliser l'ascenseur pour se rendre en classe. Si celui qui est blessé n'aime pas le sport, il aura l'avantage d'être dispensé des cours de gymnastique. Il y a énormément d'inconvénients. On a mal aux mains à cause des béquilles. Pour cela un petit conseil utile: afin d'éviter ce problème, mettez des brassards sur les appuis des béquilles (où vous posez les mains). Les bras se fatiguent également vite. On est lent lorsqu'on doit se déplacer. On ne peut plus utiliser son vélomoteur. Quand on exerce un sport, on ne peut plus y participer pour un certain temps. Il ne faut pas non plus oublier que lorsqu'on a des béquilles, en principe, si le cas est assez important, de la rééducation est indispensable. Il faudra donc se rendre la physiothérapeute, cela prend du temps, des douleurs peuvent intervenir. Quelques conseils pour éviter toutes blessures: faites des étirements, chauffez-vous avant de faire du sport. Dans toute circonstance, restez attentif et surtout regardez où vous mettez les pieds lorsque vous marchez. Glenn Mariéthoz