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Questions fréquemment posées :
I Existe-t-il des limites au soutien financier
que l’IFC peut accorder ?
En règle générale, l’appui de l’IFC sous forme
de prêts et de participations au capital peut
représenter jusqu’à 35 % du financement
d’un projet entièrement nouveau et jusqu’à
50 % du financement d’un projet d’expansion,
mais sa contribution ne peut pas dépasser
25 % des capitaux engagés.
I Quand l’IFC accepte-t-elle de prendre
une participation au capital d’une entreprise ?
L’IFC peut prendre une participation au capital
d’une entreprise lorsque cette participation
a un impact positif sur la structure financière
de l’entreprise, lorsque les actionnaires de
l’entreprise se déclarent intéressés par une
participation de l’IFC, et lorsque l’IFC estime
que cette participation offre de très bonnes
perspectives aussi bien en termes de bénéfices
que d’impact sur le développement.
I L’IFC prend-elle des participations au capital
à long terme ?
L’IFC maintient son appui à un projet tant que
sa présence reste nécessaire pour des raisons
financières, et pour atténuer les risques. Elle
exige la mise en place d’un mécanisme qui
lui permet de se retirer de l’entreprise dans
laquelle elle a investi ; ce mécanisme peut
revêtir la forme d’une cession de ses parts
à des acquéreurs du secteur privé, d’une
option de vente (put) ou d’une introduction
en bourse.
I L’IFC accorde-t-elle des prêts à long terme ?
Oui. L’IFC accorde des prêts à des conditions
qui renforcent la viabilité du projet.
Les différés de paiement et la durée du prêt
Financer
le tourisme
dans le monde
entier
sont déterminés en fonction de la capacité
de remboursement du projet.
I L’IFC peut-elle être le principal investisseur
dans un projet ?
L’IFC assume, en général, le rôle de chef de file
dans le montage financier des projets qu’elle
appuie, mais elle n’est pratiquement jamais
le principal investisseur dans un projet ou une
société. Dans toute la mesure du possible, l’IFC
utilise ses propres investissements pour mobiliser
des capitaux sous forme de prêts auprès d’une ou
plusieurs banques commerciales internationales.
I L’IFC investit-elle sur tous les marchés émergents ?
L’IFC investit dans des projets et des sociétés du
secteur privé de pays émergents membres de
l’institution et classés par la Banque mondiale
dans la catégorie des pays à revenu faible ou
à revenu intermédiaire. Tous les principaux sites
d’investissements se trouvent dans ses 181 pays
membres.
I L’IFC offre-t-elle une garantie contre les risques
politiques ?
Non. Toutefois, la participation de l’IFC à un projet
atténue les risques politiques, ce qui profite à
toutes les parties prenantes du projet. Lorsqu’une
entité investit aux côtés de l’IFC, elle forge avec
celle-ci un partenariat de longue durée pour un
investissement ou une série d’investissements dans
des marchés émergents. Lorsque des problèmes
surviennent au niveau d’un projet, l’IFC collabore
étroitement avec ses partenaires pour s’efforcer de
régler les problèmes en question avec les entités
publiques ou privées pertinentes.
I L’IFC peut-elle mobiliser d’autres sources
de financement ?
Oui. L’IFC peut offrir des services de syndication
dans le cadre de partenariats avec des banques
ou d’autres institutions financières.
I Quels autres avantages un investissement
de l’IFC offre-t-elle ?
Un investissement de l’IFC est souvent jugé conférer
un « label de qualité » au projet qu’il finance en
raison du statut de l’IFC et du soin avec lequel elle
prépare ses investissements. L’IFC fournit un appui
dans les domaines du gouvernement d’entreprise
et de la viabilité environnementale et sociale,
si nécessaire.
L’IFC a pour mission de promouvoir
des investissements privés durables dans les pays
en développment, afin de réduire la pauvreté et
d’améliorer les conditions de vie des populations.
Pour plus d’informations, contacter :
Henrik Elschner Pedersen 1-202-458-7807
ou [email protected]
Carolyn Cain 1-202-473-8843 ou [email protected]
Shaun Mann 1-202-458-7543 ou [email protected]
Société financière
internationale
Groupe de la Banque mondiale
Société financière internationale
2121 Pennsylvania Avenue, N.W.
Washington, D.C. 20433
États-Unis d’Amérique
1-202-473-3800
www.ifc.org
IFC : un partenaire spécialiste
des marchés émergents
Société financière
internationale
Groupe de la Banque mondiale
L’IFC propose une large gamme de produits
et de services financiers :
I L’IFC dispose d’instruments de prêt, de quasiparticipation et de participation pour financer
des investissements sur projet ou dans des entreprises
dans le cadre du secteur privé et aux conditions
du marché.
I Dans certains pays où seuls des financements à court
et à moyen terme sont disponibles, l’IFC peut
apporter des ressources à long terme ( 8 à 12 ans),
parfois en monnaie nationale.
I Grâce aux bureaux qu’elle a ouvert dans 80 pays
émergents, l’IFC a une connaissance approfondie
des problématiques locales, ainsi que des contacts
privilégiés.
L’IFC est la plus importante source
multilatérale de financements
sous forme de prêts
et de participations au capital
pour les entreprises privées
dans les marchés émergents.
I L’IFC, institution membre du Groupe de la Banque
mondiale, est spécialisée dans les investissements
destinés à des sociétés et des projets privés dans
des marchés émergents, notamment la Chine,
l’Inde et la Russie.
I Les actionnaires de l’IFC sont les 181 pays
développés et en développement représentés
au Conseil d’administration de l’institution par
des membres de leurs gouvernements respectifs.
I À la fin de l’exercice 08, l’actif net de l’IFC se
chiffrait à 18,3 milliards de dollars, et le montant
total de son portefeuille d’engagements était
de 39,8 milliards de dollars. Le portefeuille
d’engagements comprend des investissements
dans 1 490 sociétés de 122 pays.
I L’IFC occupe une place unique au sein des institutions
financières internationales, car elle allie un champ
d’action mondial à une forte présence sur le terrain.
Son personnel est basé dans 100 villes de 81 pays.
I L’IFC investit dans des entreprises privées viables
qui ont un effet positif sur l’économie, favorisent
un environnement sain et le bien-être de la société,
et offrent aux autres entreprises des exemples
de bonnes pratiques.
I L’IFC peut aussi mobiliser des financements
supplémentaires auprès de banques commerciales
internationales qui, sans elle, ne seraient pas
disposées à investir (ou qui n’investiraient qu’à
court terme) en raison des risques associés aux pays
considérés. En effet, la participation de l’IFC à un
investissement a généralement pour effet de réduire
le risque politique. En sa qualité d’institution
membre du Groupe de la Banque mondiale, l’IFC
a le statut de créancier privilégié dans les pays dans
lesquels elle investit, et les projets qu’elle appuie
bénéficient des avantages que ce statut lui confère.
I L’IFC participe également à des projets de restructuration
d’entreprise en aidant les sociétés viables à prendre
des mesures de restructuration financière pour rétablir
la correspondance entre les flux de trésorerie résultant
de leurs activités d’exploitation et leurs obligations
financières.
L’IFC a une connaissance spécialisée de l’industrie
hôtelière :
I L’IFC a investi plus de 2,3 milliards de dollars
dans ce secteur, notamment en participant
à des prêts pour des projets hôteliers.
I L’IFC a poursuivi des projets concernant des stations
touristiques, des hôtels urbains ou destinés à une
clientèle d’affaires et des structures polyvalentes, et
a procédé à des investissements dans des entreprises.
I L’IFC compte parmi ses clients de gros investisseurs et
propriétaires-exploitants nationaux et internationaux
qui poursuivent de nouveaux projets ainsi que
des projets de rénovation ou d’agrandissement.
L’industrie hôtelière dans le monde :
I Les marchés émergents attirent une part
croissante du tourisme mondial.
I Les touristes achètent pour plus de 250 milliards
de dollars de biens et de services dans les marchés
émergents.
I L’existence d’hôtels destinés à une clientèle
d’affaires est essentielle pour attirer
les investisseurs étrangers.
I Même si des catastrophes peuvent avoir des effets
dévastateurs au niveau local, dans l’ensemble,
les marchés se redressent très vite — d’où l’intérêt
réel d’une diversification.
I Les nouvelles tendances du secteur font ressortir
une hausse de la demande pour :
• les hôtels d’affaires et les stations
touristiques milieu de gamme
dans plusieurs pays ;
• les hôtels haut de gamme pour
les voyageurs d’affaires ;
• l’écotourisme et le tourisme d’aventure ;
• les stations touristiques offrant des séjours
tout compris ;
• les hôtels de charme haut de gamme ;
• les sites à usage mixte ;
• les sites associant la formule station
touristique et zone résidentielle.
Les investissements de l’IFC dans le secteur
hôtelier :
I Peru Orient Express Holdings (Pérou).
L’IFC a investi dans cette co-entreprise
pour financer la rénovation du Machu
Picchu Sanctuary Hotel (32 chambres)
et du Monasterio Hotel (123 chambres)
à Cusco. Par suite des bons résultats
donnés par ce projet, l’IFC a approuvé un
mécanisme de financement de 50 millions
de dollars en faveur du groupe Orient
Express Hotels pour permettre à celui-ci
de s’implanter davantage dans les
marchés émergents. Les premiers projets
à avoir bénéficié d’un financement dans
le cadre de ce mécanisme ont été réalisés
au Pérou et en Russie.
I Occidental (Mexique et République
dominicaine). En procédant à cet
investissement, l’IFC a aidé un client
de longue date à se restructurer. Par suite
du repli du marché, l’IFC a effectué le
montage financier assorti d’échéances
longues que le marché ne pouvait fournir
à la société et grâce auquel celle-ci
pourra opérer à long terme sur des
bases saines.
I Reval (Estonie). Ce projet a permis
de procéder à l’expansion, au
développement stratégique et à la
restructuration financière du groupe Reval
Hotel, opérateur hôtelier qui occupe une
place de premier plan en Estonie où il
assure la gestion de trois hôtels. Le groupe
a obtenu de bons résultats d’exploitation
et affiche des taux d’occupation élevés.
I UPDC Hotel (Nigéria). L’IFC a accordé
un prêt à l’appui de la rénovation d’un
hôtel de 432 chambres à Lagos (Nigéria).
Les fonds du prêt ont permis de relancer
cet établissement, sous-utilisé avant son
rachat à l’État, de contribuer à remédier
au manque criant de chambres d’hôtel
dans la ville et de créer des emplois
locaux.